Souvenirs d'enfance
Mémoires et radotages (435) – Karting à Fresnes: «Prison-plage»
Karting à Fresnes: «Prison-plage»
L’éditorial du Figaro, par Vincent Trémolet de Villers. Extrait :
« Dans cette histoire, la France ressemble à un mauvais morceau de rap. Après le rodéo dans les rues de nos villes, voici le temps du karting en prison. On peut assister à la course sur son téléphone dans un mélange tremblant de réseaux sociaux et d’imaginaire de téléréalité. La débandade de l’autorité de l’État filmée jusque dans les murs qui la symbolisent: c’est la kiffance! Pour ajouter à l’humiliation, dans ce club Mickey pour marlous, on retrouve un violeur, avant probablement d’autres découvertes. Rappelons à toutes fins utiles que la hiérarchie administrative avait donné son autorisation pour cette journée de prison-plage, que la direction de la communication du ministère a validé la vidéo… ».
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Écrit le 28 août 2022 par zalandeau
Ma femme, indignée m’interpelle : « T’as vu aux infos, ils font du karting en prison ! C’est un scandale ! Déjà qu’ils ont le droit de baiser ! Pourquoi pas leur servir du caviar ??? C’est scandaleux ! »
Moi : « C’est rien tout ça ! On s’en fout ! Ce n’est pas ça le fond du problème ! Franchement cela ne me choque pas ! Tu serais jalouse ou quoi ?
Ce qui me choque, c’est la quasi impunité de la racaille qui récidive, c’est le désordre qu’engendre le laxisme de la justice et de l’état, c’est les peines de prison largement insuffisantes pour les plus grands criminels et toujours largement écourtées pour des motifs fallacieux, c’est des violeurs et des assassins psychopathes qui sont relâchés et qui recommencent leurs crimes !
Ce qui me choque, c’est le manque de prisons, c’est le dogme pourri qui règne au sein de la magistrature ! S’ils veulent jouer « Jésus Christ », ils n’ont qu’à aller tendre eux-mêmes l’autre joue aux assassins qu’ils aiment tant ! On verra quand eux ou leurs familles subiront les crimes de leurs actuels "protégés"
Ce qui me choquerait, c’est les évasions de prison, c’est les gardiens de prison qui n’ont plus le droit de se faire respecter et qui se font tuer parfois par les taulards…
Car enfin, la prison, (même si je regrette la peine de mort dans certains cas où le coupable de crimes atroces est clairement établi, sans aucun doute possible), c’est le seul moyen de protéger la société, et c’est le seul moyen de mettre hors d’état de nuire les criminels et délinquants qui lui nuisent et la mettent en péril…
Alors, du moment que ceux qui ont mérité la taule, que ceux qui sont dangereux pour la société, soient en taule… Le reste ? Je m’en bats les… oreilles ! Ils peuvent jouir de bonne conditions ou pas, qu’est-ce que j’en ai à foutre ? Si cela peut leur faire éviter des révoltes et des bains de sang contre le personnel pénitentiaire… Et bien c’est très bien comme ça !
Ce que je veux, c’est que les taulards n’aient pas de téléphones portables ni aucun moyen de communiquer avec l’extérieur de manière incontrôlée, afin d’éviter toute commandite criminelle… Je rappelle : Il faut qu’ils soient hors d’état de nuire à la société !
Tu vois, cette info, ça émeut le populo, mais ça occulte complètement l’énorme vrai problème que nous avons par rapport à l’injustice institutionnalisée, dans ce pays…
Mémoires et radotages (434) – Onze années de vie parallèle terminées
Écrit le 25 août 2022
Les rêves… Je n’ai pas fini d’en parler, nonobstant le fait que j’oublie la plus grande partie d’entre eux, à peine éveillé…
Mais je dois dire une chose que j’ai toujours gardée pour moi, depuis 2008, ma dernière année de travail…
Depuis, je rêvais toutes les nuits que je travaillais encore dans la dernière boite qui m’avait employé… peut importe le sujet des rêves, plus débiles les uns que les autres… Mais dans mes rêves je continuais de travailler au lieu d’être en invalidité, puis en retraite anticipée… J’ai alors dépassé la date de la retraite pleine et j’ai accumulé des années de travail en plus, me permettant d’avoir une retraite assez confortable…
Ainsi, je menais une double vie : Le jour j’étais inactif avec une petite pension et la nuit j’avais toujours un salaire correct et même plus parce que dans les rêves, on est récompensés pour nos résultats ! Et de plus, j’accumulais pleins de points supplémentaires dans mes régimes complémentaires !
Au bout de plus d’une décennie, je me suis dit (toujours dans mes rêves), que finalement j’exagérais et que je piquais un emploi à un jeune en travaillant encore à presque 70 ans…
Un autre évènement m’a marqué aussi fin 2019… J’ai du aller à Paris pour mes problèmes de santé… J’ai donc pris la route pour Paris, pour de vrai, alors que je n’avais pas fait le trajet depuis 2008, en dépit du fait que toutes les nuits, ce trajet, je le faisais dans mon autre vie !
C’est ainsi, que ce petit matin de fin 2019, sur cette route réelle, dans la nuit, le brouillard, le froid, le crachin, j’ai vraiment eu le trouillomètre à zéro ! J’ai alors pris conscience que ma seconde vie n’était pas vraie… tout simplement parce que le trajet n’était pas aussi idéal que dans mes rêves…
J’étais enfin retombé sur mes pieds, dans la sordide réalité… Mais pas de bonne paye, pas de retraite majorée de 20%, je pouvais comme dans la fable dire « adieu veau, vache, cochon, couvée »…
Depuis, je ne rêve plus de travailler encore chez mon dernier employeur, et je ne rêve plus de ma fierté des actes que je commets en tant que tel…
Certes, je fais maintenant, souvent des rêves idiots que j’oublie à peine réveillé, qui ont trait au BTP, à des bâtiments en ruines, à des labyrinthes, à des combats dans les ruines, mais plus jamais dans le cadre de mon dernier emploi, plus jamais avec un objectif de retraite améliorée…
Je me dis que c’est peut-être ces rêves à répétition qui avaient fait cesser ma façon de m’endormir, d’avant, celle que j’ai pratiquée pendant 44 ans… Mais c’est une autre histoire…
Ces putains de Suédois…
Il y a une saison pour tout
Il y a une saison pour être enfant, une autre pour être parent et une dernière pour être grand parent.
On ne devrait jamais faire d'enfants quand on est trop vieux, parce que nous ne sommes plus dans la phase d'enseignement, dans le rôle d'éducateurs, mais plutôt dans la période où l'on gâte les enfants, qui devraient être nos petits enfants.
Dans le cas où on s'y prend trop tard, la vieillesse arrivant, c'est nos enfants que l'on chouchoute à l'âge où ils devraient voler de leurs propres ailes et nous fabriquer des petits bambinos (Bambini en italien)...
Bruce Springsteen - Born in the U.S.A.
Je rajoute la traduction, c'est plus parlant...
Born In The USA
(Né Aux Etats-Unis)
Born down in a dead man's town
Né dans une ville paumée
The first kick I took was when I hit the ground
J'ai reçu mon premier coup quand j'ai touché le sol
You end up like a dog that's been beat too much
On finit comme un chien trop battu
Till you spend half your life just covering up
Passant la moitié de sa vie à s'en remettre
(Chorus:)
Born in the U.S.A.
Né aux Etats-Unis
I was born in the U.S.A.
Je suis né aux Etats-Unis
I was born in the U.S.A.
Je suis né aux Etats-Unis
Born in the U.S.A.
Né aux Etats-Unis
Got in a little hometown jam
Foutu dans le pétrin à la ville
So they put a rifle in my hand
Ils m'ont mis un fusil dans les mains
Sent me off to a foreign land
M'ont envoyé dans un pays lointain
To go and kill the yellow man
Pour aller tuer l'homme jaune
(Chorus)
Come back home to the refinery
De retour chez moi, à la raffinerie
Hiring man says Son if it was up to me
Le chef du personnel me dit Fils, si ça ne dépendait que de moi.
Went down to see my V.A. man
Ayant vu le secrétaire aux anciens combattants
He said Son, don't you understand now
Il m'a dit Fils, ne comprends-tu pas maintenant ?
I had a brother at Khe Sahn
J'avais un frère à Khe Sahn
Fighting off the Viet Cong
Qui combattait les Viet Cong
They're still there, he's all gone
Ils sont encore là, il a disparu
He had a woman he loved in Saigon
Il avait une femme qu'il aimait à Saigon
I got a picture of him in her arms now
J'ai encore une photo de lui dans ses bras
Down in the shadow of the penitentiary
A l'ombre du pénitencier
Out by the gas fires of the refinery
Près des torchères de la raffinerie
I'm ten years burning down the road
Ça fait 10 ans que je m'use sur la route
Nowhere to run ain't got nowhere to go
Nulle part où s'enfuir, nulle part où aller
Born in the U.S.A.
Né aux Etats-Unis
I was born in the U.S.A.
Je suis né aux Etats-Unis
Born in the U.S.A.
Né aux Etats-Unis
I'm a long gone Daddy in the U.S.A.
Je suis un papa parti depuis longtemps aux Etats-Unis
Born in the U.S.A.
Né aux Etats-Unis
Born in the U.S.A.
Né aux Etats-Unis
Born in the U.S.A.
Né aux Etats-Unis
I'm a cool rocking Daddy in the U.S.A. idem
Je suis un papa cool qui assure aux Etats-Unis
Ne dépecez plus le monde
La nouvelle souche de fièvre hémorragique de Crimée-Congo
Elle tue jusqu'à 40% des malades : la nouvelle souche de fièvre hémorragique de Crimée-Congo, transmise par les tiques, inquiète
jeu. 30 juin 2022 à 12:11 PM - Écrit par Autrui sur yahoo
Santé
Des chercheurs russes ont identifié une nouvelle souche de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo dont le taux de mortalité peut atteindre jusqu’à 40% des personnes infectées.
Une découverte inquiétante. Mardi 28 juin, des scientifiques de l’université Sechenov de Moscou ont annoncé à l’agence de presse Tass avoir identifié une nouvelle souche de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo dans le sud de la Russie. Cette maladie qui provoque des flambées de fièvre hémorragique virale sévère peut tuer jusqu’à 40% des personnes infectées.
Une maladie déjà observée en Europe
La fièvre hémorragique de Crimée-Congo sévit dans plusieurs pays d'Afrique, des Balkans, du Moyen-Orient et d’Asie. Elle est aussi responsable de vagues épidémiques dans les régions du Sud de la Russie, notamment aux frontières de l'Ukraine, de la Géorgie et du Kazakhstan. Plus rarement, elle est observée en Europe. En mai 2020, un homme avait ainsi dû être hospitalisé en Espagne après avoir été piqué par une tique dans une pinède de la province de Salamanque, rappelle L’Indépendant.
Le virus responsable de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, de la famille des Bunyaviridés, "se transmet principalement à l’être humain à partir des tiques et des animaux d’élevage", détaille l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Les Hommes peuvent aussi se le transmettre entre eux après un contact direct avec du sang, des sécrétions ou des liquides biologiques.
Des symptômes d’apparition brutale
La durée d’incubation du virus est comprise entre un et 13 jours. Apparaissent ensuite brutalement des symptômes, tels que de la fièvre, des vertiges, des douleurs musculaires et des raideurs, des maux de tête et une sensibilité des yeux, notamment à cause de la lumière. Des nausées, vomissements, diarrhées, maux de gorge et confusion sont aussi observés dans certains cas. "Au bout de deux à quatre jours, l’agitation peut laisser la place à une somnolence, une dépression, une lassitude", note l’OMS.
Les autres signes cliniques sont : la tachycardie, le gonflement des ganglions, des saignements au niveau des muqueuses. Chez les personnes les plus gravement touchées se développent une dégradation rapide de la fonction rénale, une insuffisance hépatique ou pulmonaire soudaine à partir du cinquième jour de maladie et la mort survient généralement au cours de la deuxième semaine de la maladie. Pour les autres, l’état général commence à s’améliorer neuf à dix jours après le début des symptômes.
Le ciel est gris, comme un ciel de mort (2)
Écrit le 12 octobre 2014