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zalandeau

24 novembre 2021

J’aurais du écrire mon histoire de cette bataille

 

 

GSMÉcrit le 18/02/2007, première publication

Il y a quelque temps, je faisais une liste de mes amis, j’arrivais à 40 environ.

Puis, en regard de cette liste j’ai fait des colonnes : « Je l’appelle », « Il m’appelle » etc..

Je me suis vite rendu compte que la colonne « Il m’appelle » était très souvent vide.

J’ai donc cessé d’appeler tout le monde. Très vite, je me suis aperçu que mes « amis » ne partageaient pas ce sentiment avec moi. Il n’en est resté que trois, sur cette liste.

Les autres avaient juste la correction de ne pas me dire franchement : « t’es pas mon pote, qu’est-ce que tu me fais chier à m’appeler, fous moi la paix ! ».

L’expérience que j’ai fait, me sert d’expérience. J’ai compris le message non-dit.

Je me découvre une envie d’écrire, et bien je vais me rabattre là-dessus, comme une sorte de repli sur soi...

J’aurais du écrire mon histoire de cette bataille bien avant, pour me débarrasser, en quelque sorte, d'un fardeau de plus de 28 ans.

Je crois que je vais l’écrire chapitre par chapitre dans le désordre, ou du moins dans l’ordre où mon cerveau y pensera.

Je vais aller faire ma marche à pied tout à l’heure. Et dire qu’en 2004, je parcourais 400 m avec difficulté. Je fais mes 14 km chaque dimanche en journée, et mes 4 à 5 km chaque matin du lundi au vendredi. L’été dernier, j’ai atteint le « record » de 28,5 km.

Ça n’a l’air de rien, à coté des marches de 100 km en 24h que nous faisions à l’armée, mais j’étais tombé si bas depuis, que chaque progrès sur moi-même me satisfait.

 

   

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23 novembre 2021

(12) Rupture



GSM

Il voulait ce matin lui écrire un poème. Il voulait ce matin lui dire des "je t'aime".
Mais il a attendu, elle n'a rien dit. Il s’est forcé à ne pas lui exprimer la spontanéité de son amour, pour voir... Elle n'a rien dit d’autre que des banalités. A son retour de chez le garagiste où il avait déposé la voiture, là non plus, elle n'a rien dit. Pas un mot d'amour, pas un mot de tendresse. Encore des banalités... Il en a marre de tirer tout seul leur amour... Pourquoi dit-il "notre amour", se questionne-t-il ?
Il en a marre de lire sur sa peau les mots qu’il y a écrits. Il en a marre de lui dire les mots qu’il aimerait qu’elle lui dise... Cela fait trois mois aujourd'hui... Qu’il tire la charrette dans laquelle elle est assise... Alors leur dispute a éclaté...
 
Après avoir récupéré sa voiture, il a vu qu’elle avait mis en évidence sur une chaise les cadeaux d'anniversaire et autres fêtes qu’il lui avait fait, avec ce mot laconique : "Reprends-les"...
Alors il est ressorti de chez elle, a fermé sa porte et lui a déposé ses clés dans sa boîte aux lettres et est reparti chez lui...
 
« Si tu veux de moi, tu n'auras qu'à m'appeler. Si tu n'appelles pas, j'aurais bien compris », se marmonne-t-il, au grand étonnement d’une passante.
« Cela fait trois mois, que je fais le premier pas et même le deuxième. C'est moi qui fais tous les pas »...
« Si tu attendais que je me lasse et bien c'est réussi... Je ne veux plus aimer dans le vide. Je ne veux plus faire semblant que tu m'aimes ».
« Après tout, notre écart d'âge mettait notre relation en grand danger de non-existence »... Les quidams se retournent surpris et amusés…
« Alors... Et bien on verra... J'ai besoin de dormir... Toutes ces émotions m'ont épuisé »...
 
Ecrit le 31 mai 2008
   
22 novembre 2021

États-Unis : et si la gauche perdait la « guerre raciale » ?

GSM

Paru sur BV le 20 novembre 2021 en accès libre

La « guerre raciale » est de nouveau sur toutes les lèvres, outre-Atlantique. Mardi 16 novembre s’ouvrait le procès du jeune homme – blanc – Kyle Rittenhouse, accusé du meurtre de deux militants antiracistes, en août 2020 à Kenosha, ville de l’État du Wisconsin, en pleine euphorie Black Lives Matter. Encore une fois, l’affaire Rittenhouse a polarisé l’opinion entre légitime défense et suprémacisme blanc. Finalement, c’était bien la légitime défense, le jeune homme venant d’être acquitté.

Le procès intervient dans un climat déjà très tendu aux États-Unis, où la théorie critique de la race (critical race theory ou CRT) exacerbe un pays divisé politiquement. Rappelons que cette théorie utilise la sémantique et la théorie critique marxiste, appliquée aux races, pour justifier les inégalités sociales et phénomènes sociaux. En découlent les concepts de « racisme systémique », « suprémacisme blanc », etc. D’abord réservé aux campus et universités, le phénomène a gangrené toutes les strates de la société : le monde de l’entreprise, les médias et, désormais, les écoles élémentaires.

Aussi, dès son arrivée à la Maison-Blanche, Joe Biden s’est empressé de défaire les mesures prises par son prédécesseur visant à limiter l’introduction de cette théorie dangereuse dans les programmes scolaires et les administrations… Loin de se laisser faire face à la plaie woke, l’opposition a fait preuve de diverses initiatives très encourageantes. On mesure les efforts quand on sait qu’en France, il est quasiment impossible de remettre en question les méthodes de l’Éducation nationale. Ainsi, par exemple, le média Education Week explique que, depuis fin 2020, vingt-huit États américains ont pris des mesures visant à restreindre la promotion de l’idéologie CRT à l’école ; douze l’ont fait par voie législative désormais en application.

Dans ce sens, le sénateur républicain du Missouri Josh Hawley présentait, ce mardi 16 novembre, un projet de loi intitulé « Loi sur la déclaration des droits des parents » (Parents’ Bill of rights). Il y énonce huit droits fondamentaux concernant l’éducation des enfants au sein des établissements scolaires, notamment liés à la nécessaire transparence quant au matériel utilisé, aux programmes étudiés et aux intervenants sollicités. Les écoles qui violeraient ces principes risqueraient des poursuites et des coupes dans le financement fédéral. Pour le sénateur Hawley, « il est temps de redonner le contrôle aux parents ».

Autre initiative à souligner, la création d’une université libre anti-cancel culture au Texas, l’université d’Austin, promue par la journaliste Bari Weiss. Devise de l’institution ? « La poursuite courageuse de la vérité ». Pour le président de l’université d’Austin, Pano Kanelos, « on ne peut pas attendre que les grandes universités se redressent. Il faut recréer du neuf. » Repartir de zéro, recréer les corps intermédiaires qui n’assurent plus leur rôle.

Le plus inattendu reste que le jeu de la gauche progressiste sur la question raciale pourrait même finalement jouer en sa défaveur. En Virginie, récemment, la théorie critique de la race aurait ainsi profité au candidat républicain Glenn Yougkin dans sa victoire au poste de gouverneur, faisant passer l’État de démocrate à républicain (Joe Biden y avait gagné par dix points d’avance).

C’est en tout cas l’analyse faite par la société de conseil en stratégie politique Anvil Strategies. Cette dernière a mené une étude via de longs entretiens auprès d’une centaine de femmes de l’État de Virginie ayant voté démocrate en 2017, pour le gouverneur Ralph Northam, puis encore démocrate en 2020 pour le président Biden mais ayant voté républicain en 2021. L’objet était de comprendre les raisons de ce retournement soudain. Les entretiens révèlent que l’élément déclencheur fut vraisemblablement l’impossibilité de choix des parents dans les décisions scolaires (fermeture des écoles, port du masque obligatoire, enseignement de la CRT). Tout n’est donc pas perdu.

    

21 novembre 2021

Dalida - Histoire d'un amour

GSM



Mon histoire
C'est l'histoire d'un amour
Ma complainte
C'est la plainte de deux coeurs
Un roman comme tant d'autres
Qui pourrait être le vôtre
Gens d'ici ou bien d'ailleurs
 
C'est la flamme
Qui enflamme sans brûler
C'est le rêve
Que l'on rêve sans dormir
Un grand arbre qui se dresse
Plein de forces et de tendresse
Vers le jour qui va venir
 
C'est l'histoire d'un amour éternel et banal
Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal
Avec la roue l'on s'enlace
Celle où l'on se dit adieu
Avec les soirées d'angoisse
Et les matins merveilleux
 
Mon histoire
C'est l'histoire qu'on connaît
Ceux qui s'aiment
Jouent la même, je le sais
Mais naive ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde
Qui ne finira jamais
 
C'est l'histoire d'un amour
Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal
Avec la roue l'on s'enlace
Celle où l'on se dit adieu
Avec les soirées d'angoisse
Et les matins merveilleux
 
Mon histoire
C'est l'histoire qu'on connaît
Ceux qui s'aiment
Jouent la même, je le sais
Mais naive ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde
Qui ne finira jamais
 
C'est l'histoire d'un amour
 
Paroliers : Carlos Eleta Almaran / Francis Blanche
 
21 novembre 2021

Mémoires et radotages (31) – L’état d’urgence, quelle aubaine !

GSM

Écrit le 19 septembre 2015

Je parlais de Hollande et de l’emploi… D’ailleurs, est-ce que tout ce déploiement de promesses ne serait que des paroles ? Car c’est bien souvent le cas… La lutte contre le terrorisme n’est-elle pas l’alibi pour mettre à l’ombre, derrière les problèmes de sécurité, les mesures sociales et profiter de ce tsunami émotionnel, pour faire passer les mesures les plus libérales et antisociales ?
Paroles, paroles, comme chantait Dalida… Ces paroles, reprises et amplifiées par des journalistes avides de sensationnalisme, plutôt que de vérité… Tout cela me dégoûte…
 
Tout journaliste qui se respecte devrait vérifier que les annonces, les promesses de nos dirigeants sont l’émanation d’intentions véritables et surtout contrôler la réalité de leur mise en œuvre… NON ! On se contente de se satisfaire de péroraisons qui n’ont pour but que d’enfumer le bon peuple…
 
Démocratie… qu’ils disent… Peut-il y avoir démocratie, si nous sommes toujours les jouets de mensonges d’état, sans aucun contrôle d’un quelconque contre-pouvoir ?
 
Revenons sur ces problèmes d’annonces concernant la lutte anti-terroriste… Qui nous annonce chaque mois, le nombre de personnes embauchées pour étoffer les effectifs des services secrets, des services spéciaux, de l’armée, les investissements sur du matériel technologique, de combat ou de défense passive ? Qui ? Personne !
 
Et dans un an, à l’occasion d’une autre catastrophe, on nous dira que rien n’a été fait… Nous serons mis, à notre corps défendant, devant les faits accomplis : L’inaction partielle ou totale, abusant ainsi notre confiance dans une démocratie qui n’en est pas vraiment une…
 
Cette attitude laxiste de nos élites, devient préoccupante, car elle a déjà démobilisé beaucoup de citoyens et menace d’installer le chaos… Et le chaos, c’est ce dont a besoin le terrorisme ainsi que toutes sortes de factions extrémistes, pour prospérer…
 
A part ça, on n’est pas dans la merde ! Nous, le peuple, sommes censés gouverner notre pays (dé-mo-cra-tie)… Mais les gens que l’on élit pour le faire en notre nom, nous mentent et nous trahissent…
 
En fait, l’état d’urgence est un moyen de maintenir le bon peuple de France dans un état de dépendance entre peur et espoir d’être protégé par ceux qui ne font rien, mais veulent simplement garder ce pouvoir porteur de tant de privilèges…
 
Quelque petits bombardements en Syrie, quelques défonçages de portes et on ne pense plus à tous ces millions de chômeurs, tous ces licenciement dans l’indifférence générale, toute cette paupérisation de la France du bas au profit de la France du haut…
 
Je suis pour la lutte contre ce terrorisme barbare et contre cette implantation invasive de populations, aux comportements sociétaux arriérés et rétrogrades, qui ne veut pas s’intégrer à notre citoyenneté occidentale… Et j’avais même dit, il y a plus d’un an, que nous perdrions un peu de liberté, en prenant les mesures nécessaires pour la lutte anti-terroriste… Mais, ce n’est pas pour cela qu’il faut que nous supportions un mensonge et une inaction encore plus grands, concernant tous les problèmes que nos dirigeants ont laissés se développer dans leur complicité avec le libéralisme mondialiste…
 
Écrit le 21/11/2021 : Où avons-nous progressé ? Nulle part ! Nous avons régressé, encore et encore. La voyoucratie tient le haut du pavé. La justice, endoctrinée par une idéologie dévoyée, n'est plus impartiale, elle est injuste et de plus en plus gouverne à la place des gouvernants !
      
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20 novembre 2021

Cruel, impitoyable, malhonnête, rapace zélé

GSM

Je poursuis ma saga des ordures que j'ai rencontrées dans ma vie.
 
J'ai revécu cette nuit un de mes nombreux épisodes de vie type Zorro, à moins qu'ils ne fussent des luttes contre les moulins à vents, coiffé de mon plat à barbe, ou bien encore n'étais-je qu'un Sancho Pansa ou un Bernardo...
 
C'était dans les années 74 ou 75... Je vais dénoncer, après tout ! Je travaillais à la SMAC (filliale SCREG à l'époque, digérée par Bouygues et puis par Colas depuis lors). A l'agence de travaux de Rennes.
 
Nous avions un de nos porteurs de seaux d'asphalte qui à cause de l'usure de gants, avait les mains et les poignets brulés en de nombreux endroits. Il ne se plaignait pas. Il réclamait des gants mais nous n'avions pas le droit d'en donner. (Nous avons découvert ses blessures au moment où il nous tendait ses gants en lambeaux. Ses mains n'étaient que des plaies aux cloques suintantes et sanguinolentes)...
Ému et aussi très honteux de n'avoir rien remarqué, je suis allé en pharmacie acheter du tulle gras et tout ce qu'il fallait pour le soigner. Ce gamin qui ne devait avoir guère plus de 16 ans était soutien de famille nombreuse. Je lui rend aujourd'hui hommage pour son courage et son abnégation..
Nous avions, un certain Guillard et moi-même, (le troisième conducteur de travaux, Guillemeau, était avec nous par la pensée, mais s'abstenait prudemment d'intervenir), tenté de fléchir le Directeur d'agence, un certain CHAIRMANN, muté en Bretagne à partir de l'Alsace, ( petit homme cruel, manteau de cuir style Gestapo et mèche gominée de sinistre mémoire ; quand on le voyait on croyait être dans un documentaire des années 40, le salut Hitlérien en moins ), au sujet des gants de protection.
 
La règle était simple : une seule paire par semaine à condition de rendre l'ancienne paire trouée. Il ne fit aucune concession à notre demande...
Or, ce CHAIRMANN avait, par soucis d'économie maximale, opté pour des gants en coton qui ne duraient même pas la journée, alors que toutes les agences de France conservaient l'usage des gants en cuir...
 
Ecoeurés, nous avons comploté. J'ai piqué la clef du magasinier après qu'il soit parti, mon complice, le conducteur de travaux, est allé faire une copie minute et nous avons fauché des fagots de gants dans le magasin de l'agence. Nous avons répété ces prélèvements autant de fois que nécessaire, après la nuit tombée, cela va de soi...
 
Inutile de dire qu'en fin de mois, lors de l'inventaire, le mago (magasinier) s'est fait souffler dans les bronches. "Ah ben moi, Dame, j'en sais rin", répondait-il, tremblotant devant ce directeur "modèle" de toute la direction générale SMAC...
 
Ce CHAIRMANN était une ordure, mais il n'était pas fou... Il a bien compris que ma réclamation pour les gants et la disparition de ces derniers étaient liés...
 
Aussi quand je fus enfin muté dans l'agence de Vitry sur Seine, j'ai du recommencer une période probatoire, car le Directeur de cette agence avait sur ma personne, autant de renseignements flatteurs (agence de Reims) que calomnieux (Agence de Rennes)... Cela a différé d'autant ma promotion...
 
Cette histoire vraie, c'est, je peux le dire, l'histoire de ma vie. Cent fois, j'ai répété ce genre d'action, écoutant cette conscience de merde plutôt que mes intérêts...
 
Comment mes enfants peuvent-ils comprendre que leur père Ingénieur, ait une retraite si minable et puisse si peu les aider ? Ils ne savent pas que j'ai fusillé ma carrière de si nombreuses fois sur de simples considérations morales...
 
Vingt employeurs sans compter l'Assedic, voilà le résultat de mon attitude bornée de Robin des bois du pauvre...
 
Quant à ce Chairmann...
Je tiens à dire que tous ses actes de manager étaient aussi injustes, inéquitables, cruels. Il régnait sur son personnel par la terreur. Petit dictateur sans vergogne que la société et l'entreprise ont laissé perdurer, jusqu'à ce que...
  
Il n'a eu aucune réprimande pour sa cruauté. Par contre, il a été lourdé comme un malpropre à la suite de la chute vertigineuse de son activité "Asphalte". Pourquoi ? Il avait organisé le dumping de toutes les entreprises Bretonnes concurrentes et les donneurs d'ordres en réaction avaient opté pour des matériaux non-monopolisables, genre bitume armé.
 
C'est la course insatiable au fric qui l'a perdu.  L'immoralité vengée par l'immoralité...
 
N'apprend-t-on pas en maths que moins multiplié par moins égal plus ???
 
En tous cas, merci à Guillard, le seul conducteur de travaux résistant courageux que j'ai rencontré dans ma vie, et vive la Bretagne !
  
16 novembre 2021

Espèce humaine, espèce marchande ?



GSM

Comment espérer encore de l’espèce humaine ?... Comment ne pas sombrer dans la mélancolie, devant les préoccupations futiles de nos semblables ?
 
L’exemple, le mauvais exemple, vient d’en haut…
 
Quand on regarde aux informations télévisées pour la première fois, le 7 octobre 2009, les dégâts provoqués par les tempêtes tropicales en Afrique de l’ouest et du centre en date du 5 septembre, c'est-à-dire un mois après des évènements réels, qui font des dizaines de milliers de sans-abris, à la recherche de vivres et d’eau potable, à la merci d’épidémies et que, de plus, le traitement de cette « actualité » à retardement, prend moins de temps d’antenne que le reportage dédié au défilé de Louis Vuitton, ou même que celui de Karl Laggersfeld !!!… Dois-je finir ma phase ? On est soufflé, estomaqué, on reste sans voix !!!
 
Journalistes, directeurs de rédactions, propriétaires de médias, n’avez-vous pas honte ?... Je sais bien que non. Ce n’est pas la conscience qui vous étouffe…
 
Les petits « négs » qui souffrent, n’intéressent pas autant que ces monuments de futilité et d’inutilité dédiés à la gloire de l’argent-roi…
 
Lorsque le mal-vivre est orchestré par des dirigeants sans âme, au point que les salariés ne trouvent de solution que dans la suppression de leur propre existence, qu’ils se sacrifient comme ils casseraient l’outil de travail, persuadés qu’ils ne sont plus considérés comme des êtres mais comme des rossignols mis au rebut sans recyclage…
 
Je ne pose même pas la question de la honte présumée de ces casseurs de salariat, pour qui le montant de leur rémunération prévaut seul, sur le devenir de ceux qu’ils poussent hors de l’avion, sans parachute doré, sans parachute tout court…
 
Quand pour sauver la face le roi-président fait sauter le fusible, avant que la pression médiatique ne monte, saupoudrant la poudre aux yeux de son humanisme de façade… J’ai même honte pour lui, honte pour ceux qui l’ont élu, honte pour la mémoire des suicidés de France-Télécom…
 
Quand je vois à la tête d’une nation sensément démocratique, un petit malfaisant plein de tics d'épaules, sans carrure historique, complexé, dès sa plus tendre enfance, par ses frères, par ses collègues de classe et qui, toujours malade de ce complexe, se défoule en colères et anathèmes, sur ceux qui ont le malheur de lui déplaire, comme s’il voulait leur rendre ce qu’il a subit dans son enfance et l’a figé dans cette attitude d’enfant éternellement insatisfait des autres qu’il rend responsables de ses tourments… Quand je vois, qu’on ne peut chasser cet intrus et le faire enfermer dans un  asile psychiatrique… J’ai honte pour notre pays, pour ses habitants et pour moi-même…
 
Écrit le 8 octobre 2009
       
15 novembre 2021

Mémoires et radotages (384) – L’avenir n’existe plus

 

 

GSM

Écrit le 15 novembre 2021

Je ne saurais décrire le mal-être qui me tient… Je n’ai plus tous les mots pour décrire les maux psychologiques qui m’enserrent dans cette gangue de pensées moroses, de non joie, de regrets et de remords…

Est-ce que quelqu’un qui vous harcèle et vous envoie de la haine, de la jalousie, de la paranoïa et de la bêtise, peut entretenir en nous une sorte de champ d’ondes négatives qui nous maintient dans cet état de confusion, et de mélancolie neurasthénique ? Il n’y a pas selon moi, de causes infectieuses qui provoqueraient cela. Seulement des facteurs psychologiques…

Je tente de me soutenir en pensant à mes fils lorsqu’ils étaient petits et avaient tout l'avenir devant eux. Là, seulement, je me sens bien, mais cela ne dure pas assez. Je reviens hélas sur terre et le présent de mes petits garçons devenus grands est sombre, très sombre, très incertain, très précaire. Ils ne feront pas d’enfants, eux, parce qu’ils sont plus intelligents que moi, ils savent qu’il leur sera très difficile de survivre seuls et donc qu’il serait criminel d’entraîner des petits êtres dans un avenir infernal…

C’est aussi cela, le grand remplacement : l’enfer dissuade les pauvres Français de faire des enfants, mais pas les diaboliques envahisseurs barbares, dont la reproduction fait partie de leurs armes de conquête…

Zemmour a bien raison : Nous avons d’ores et déjà perdu le combat !

Pas d’avenir pour mes fils, de mauvaises ondes de la part de celle qui devrait me soutenir et qui préfère m’enfoncer en s’enfonçant elle-même…

Comme je l’ai déjà dit, mon passé vu par mon prisme actuel, est un verre totalement vide, dont je n’aurais bu que du sang et du poison toute ma vie durant…

Je ne suis pas psychiatre, je ne sais pas me défendre contre cela. C’est trop pour moi.

Survivre, il le faut, pour aider un tant soit peu mes fils et aussi cette mégère jusqu’à sa retraite quelle n’a pas encore. Que fera-t-elle ensuite ? Possible qu’elle m’envoie chier et se barre ! Ouf ! Ce serait bien la meilleure chose qui pourrait m’arriver… Enfin, je pourrais foutre une benne pleine de saloperies à la décharge, je pourrais faire le ménage et la vaisselle comme ça me chante et avoir une maison rangée et propre où je n’aurais pas honte d’accueillir mes amis !

Peut-être, si cela arrive, pourrais-je retrouver une sorte de joie, de liberté, et peut-être sans ces ondes négatives aurais-je un meilleur moral ?

Je n’ai pas de phrase de conclusion… juste des questionnements et des pensées noires…

      

14 novembre 2021

De l’origine de l’indifférence

GSM

Écrit le 02 décembre 2007
 
Je crois que nos hussards de la république ne sont plus ce qu’ils étaient, ne sont pas ce qu’ils devraient être et ne font pas ce qu’ils devraient faire…
 
Ils se plaignent d’être malmenés, non respectés
Mais ils en sont la première des causes.
 
Les hussards noirs de la république avaient appris à nos grands parents et à nos parents, les devoirs du citoyen, ont inculqué le patriotisme.
Maintenant, ils n’enseignent plus l’hymne national, ni l’hymne européen, ni les chants révolutionnaire qui nous ont structuré.
Ils refusent de lire la lettre de Guy Môquet
 
Dans le passé, nos enseignants étaient déjà majoritairement de gauche, mais une gauche qui avait à cœur d’enseigner les valeurs de la république, les valeurs de notre destin national et ce, d'une manière la plus objective possible.
 
Maintenant, ils sont toujours de gauche. Mais la gauche a changé. Leurs valeurs sont davantage tournées vers la liberté individuelle, le laisser faire. Ils sont de plus, marqués par une idéologie déviante qui n'a plus rien d'objectif, mais qui marque une obsession à casser la société qu'ils exècrent au lieu de la consolider !
Ils n’enseignent pas la Marseillaise, parce que cela fait Nationaliste, Lepéniste, fasciste !
Être fier d’être Français, n’implique pas d’être nationaliste. Mais allez expliquer ça à des gens qui ont une idée toute faite sur la vie, à des gens qui sont imbus de leur métier et à l’abri des aléas de la vie de par leur fonctionnariat, à des gens qui trahissent et qui ont peur.
 
La seule façon d’unifier les Français, c’est dès la petite école, de leur réapprendre que nous appartenons à une Patrie au destin glorieux et de plus à l’Europe, qui est notre devenir collectif et fraternel, à condition toutefois que nous apprenions à l'Europe ce que sont les valeurs d'une patrie.
 
Il faut ré-enseigner, la morale, l’histoire, les hymnes patriotiques qui fondèrent notre République, si on veut commencer, à réduire la fracture sociale.
 
Le jour où les enfants auront pleine conscience de ce que signifient : Amour de la patrie, Liberté, Égalité et Fraternité, je crois que l’on pourra enfin songer à un avenir commun collectif, à une volonté d’entraide, à une générosité spontanée, à une ouverture vers l’autre…
 
Mesdames et Messieurs les enseignants, vous faites fausse route, en croyant qu’abandonner ces vieilles valeurs va améliorer la société. C’est tout le contraire.
Votre négationnisme, votre anarchisme, votre progressisme venu d'outre-atlantique tout à fait déplacé dans notre pays, vos préjugés imbéciles, votre indolence conduisent à l’égoïsme, l’individualisme, l’indifférence, au communautarisme et au libéralisme.
 
Par votre attitude, vous faites le lit de ce libéralisme qui est une forme extrême du capitalisme, que vous refusiez, pourtant, naguère.
 
Vous êtes par votre quasi absence en classe, les collaborateurs de cette mondialisation financière et de cet envahissement barbare, qui va tous nous broyer…
 
Professeurs, je ne vous fais pas mes compliments…
   
13 novembre 2021

Ne croyons plus les menteurs qui nous gouvernent

GSM

Nos hommes politiques de droite ou de gauche ne connaissent qu'une recette pour combler le déficit de la dette : Réduire les dépenses et lever des impôts.
 
Lorsque l'on calcule les effets de semblables mesures, on s'aperçoit que réduire notre déficit annuel qui est actuellement de 150 milliards d'euros, impliquera une baisse de notre PIB de 300 milliards d'euros. Soit une baisse de 15%... Et ce quel que soit la proportion entre économies et recettes d'impôts...
 
Cela impliquerait un effet boule de neige parce que les réductions ne seraient pas équitablement partagées et que beaucoup de citoyens passeraient de la pauvreté à la misère entrainant des effets secondaires (comme des répliques de séismes)...
 
En fait, c'est en empêchant l'argent de partir que l'on pourrait redresser  nos comptes.
- En taxant l'importation depuis les pays low-cost. (Il est évident que le choix des produits à taxer doit se faire en fonction de ce que nous voulons relocaliser ou bien protéger. Il n'est pas question de tout taxer aveuglément).
- En faisant la chasse à l'évasion fiscale et en durcissant les peines afin qu'elles soient dissuasives.
 
En effet, la mondialisation permet aux plus riches de transmuter la masse salariale Française en bénéfice colossaux, qu'ils sont tentés de thésauriser et de cacher au fisc, tandis que des colonnes de chômeurs se créent. Les taxes douanières relocaliseraient cette masse monétaire en créant des emplois, qui par voie de conséquence allègeraient nos charges sociales parce que supportées par davantage de travailleurs. Il est bien entendu qu'il faut cibler les produits que l'on veut taxer (pas tous à la fois), en menant parallèlement une négociation avec les pays concernés et une mettant en place une incitation hexagonale de relocalisation de production...
 
Notre monnaie est trop forte, alors qu'en Allemagne elle est trop faible. Mais eux et nous, avons la même monnaie. L’Europe qui devait nous protéger est devenue un marché captif de l'Allemagne, une colonie de l'Allemagne, une chasse gardée de l'Allemagne. L'évolution des coûts n'a pas été amortie par notre intégration à la communauté européenne parce qu'aucune harmonisation n'a été faite sur aucun plan (social, défense,  politique...). La seule intégration a été monétaire. Le résultat est que pour dévaluer notre monnaie, il faut que nous sortions de l'euro, il faut que nous recréions notre monnaie.
 
Pour mettre des taxes douanières et reprendre notre monnaie, il faut bien entendu déchirer un certain nombre de traités que nos élites ont signés sans demander notre accord (notamment la traité de Schengen). Nous devrons également au préalable, déclarer le traité de Lisbonne illégal, car il contrevient au résultat du référendum du 29 mai 2005 concernant le refus du traité de Rome de 2004, afin d'abroger cette constitution européenne qui nous prive de notre souveraineté. Nous rétablirions le contrôle des changes.
 
Il faut changer la loi sur la résidence des personnes physiques et morales imposables. Si le revenu ou le bénéfice est réalisé en France, il doit être imposé en France.
 
Par contre, les revenus des étrangers et gagnés hors de France doivent être attirés sur notre sol par des taxations très faibles.
L'impôt sur la fortune doit être démantelé et ne servir à taxer que les contribuables dissimulateurs dont on n'a pas réussi à cerner les revenus...
 
La création de telles "écluses" autour de la France, loin d'être une catastrophe comme l'annoncent nos imbéciles heureux de la politique, serait attractive et ferait repartir le PIB tout en diminuant la dette.
30 milliards de diminution des importations des pays low-cost créeraient 90 milliards de PIB supplémentaires, mais créeraient une  baisse du pouvoir d'achat des ménages.
 
Mais par contre, créant des emplois, cela permettrait d'amoindrir le chômage ainsi que la charge du fardeau social sur chaque salarié, c'est à dire sur la main d’œuvre, ce qui contribuerait à baisser nos coûts de production dans un premier temps de 30 milliards, ce qui contrebalancerait partiellement l'augmentation des prix engendrée par les taxes douanières... Les prix de nos produits baissant, nous vendrons plus facilement à l'exportation (vers les pays non low-cost), ce qui contribuera à l'emploi, au PIB et au pouvoir d'achat.
 
Ainsi les sacrifices des Français ne seraient pas vains.
 
Écrit le 14 novembre 2013
     
 
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