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zalandeau
21 août 2023

LES RÉVÉLATIONS D'UNE DÉPUTÉE AU COEUR DU SYSTÈME MACRON (Déjà édité)

GSM

 

 


 

 

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En 2017, Frédérique Dumas a milité pour « En marche » et est devenue une députée LREM des Hauts de Seine, très proche d’Emmanuel Macron avec qui elle échangeait régulièrement sur de nombreux sujets en particuliers culturels. Productrice de cinéma et un temps pressentie pour devenir ministre de la culture, elle déchantera lentement mais sûrement de la Macronie puis de son leader maximo.
 
Elle quitte le mouvement en septembre 2018 mais continue à avoir des échanges épistolaires avec le président de la République jusqu’à la crise Covid où, c’est une des révélations de cet entretien tonitruant, elle montre qu’Emmanuel Macron savait les dangers mortels de l’épidémie lors des municipales de mars 2020 qu’il a maintenue malgré les risques encourus pour nombre d’élus et d’électeurs.
 
Cynique, calculateur, obsédé par les échéances électorales, inaffectif, déniant la réalité, le portrait brossé du président et de son homme lige Alexis Kolher est glaçant. « Il joue en permanence au poker avec nous, c’est un algorithme » glisse Frédérique Dumas qui en profite pour tailler des costumes trois pièces à toute l’élite de la Macronie.
 
D’Alexis Kolher manipulateur et pervers à Édouard Philippe qui ne « regarde jamais ses adversaires dans les yeux » à toute la clique d’opportunistes et de traine-mocassins qui encombrent les allées du pouvoir Gabriel Attal et roselyne Bachelot en tête. L’ex-députée LREM ne rate jamais sa cible car elle n’est à aucun moment rancunière ou belliqueuse. C’est ce qui donne une grande force à ce Zoom arrière de haut vol, mais aussi au livre servant de support à la conversation « Ce que l’on ne veut pas que je vous dise » (éditions Massot). 
 
François Bayrou ou Valérie Pécresse ainsi que plusieurs stars du cinéma en prennent aussi pour leur grade ici : « Il était temps pour moi de témoigner de ce que j’ai vu, entendu, vécu de l’intérieur qui mine notre vie démocratique et nos espérances et d’imaginer un nouveau chemin » énonce Frédérique Dumas. Le livre sort quelques jours avant le premier tour de la Présidentielle.
 
Si quelqu’un a dans son entourage un électeur hésitant ou vantant la sincérité d’Emmanuel Macron, il faut d’urgence lui passer cet entretien ou lui offrir le livre. Afin qu’il ne puisse pas dire ensuite qu’il ne savait pas et pour qu’il comprenne que nous sommes en train de livrer les clés du pays à un enfant de Machiavel dopé à l’adrénaline du pouvoir. Une sorte de robot humain programmé pour charmer les foules, mais dont le cœur est un algorithme au service d’un capitalisme de plus en plus sauvage.
 
Journaliste : Denis Robert 
Montage : Camille Chastrusse 
Images : Arthur Frainet 
Son : Baptiste Veilhan 
Graphisme : Adrien Colrat 
Diffusion : Maxime Hector 
Production : Thomas Bornot 
Direction des programmes : Mathias Enthoven 
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa 
        
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20 août 2023

Seul contre tous et fier de l'être


 
Pendant ce temps, les six poseurs Vosgiens, solides gaillards habituellement forts en gueule et roulant leur caisse, dont je défendais le droit programmé d'approvisionnement, baissaient les yeux, faisaient mine de ne rien voir. Les autres ouvriers Français passaient au loin en tournant la tête dans l'autre sens, pour ne rien voir (Je gueulais pourtant assez fort pour qu'ils n'ignorent rien de ce qui se passait). Quant aux Arabes, ils se tenaient en groupe à une trentaine de mètres et regardaient en coin, par curiosité...
 
Bref, j'aurais pu être agressé et zigouillé sans que personne n'intervienne, comme d'habitude...
 
Je savais cela. Mais quand on est au milieu d'une meute, il faut leur montrer qu'on a pas peur d'eux. Alors, plus je gueulais, plus je m'énervais, plus j'oubliais ma peur et plus je continuais... C'est une technique que je connaissais et qu'on utilise au combat : l'auto-excitation, la colère, la haine, pour neutraliser la trouille...
 
Ma mission fut remplie sans défaillance.
 
plus tard, un des poseurs Vosgiens me dit en loucedé : "Je comprends maintenant la très grande difficulté de votre travail et je vous remercie pour votre intervention. Je ne pourrais pas être à votre place".
 
Et moi, magnanime et faussement superbe "Ce n'est rien, c'est mon boulot, alors je le fais". Mais je voulais leur montrer ce que c'était que d'être un vrai Français, un vrai homme, pas un trouillard qui regarde ses godasses. C'est pas les blacks qui vont faire la loi sur un chantier Français, merde !!!
 
Durant cette période, tous les camions sans exception étaient livrés. Efficacité : 100% !
 
Je suis parti une semaine en vacances ( en fait chez moi pour me reposer, car j'étais épuisé )...
 
Quand je suis revenu, j'ai appris que cela avait été le bordel pendant une semaine. La plupart des camions étaient repartis chargés. Les réunions de chantiers avaient été houleuses, paraît-il...
 
J'avais beaucoup plus de boulot. Je terminais mes journées très tard...
 
On ne m'avait rien demandé, la hiérarchie ne m'a même pas félicité (D'ailleurs, était-elle au courant ? Pour cafter dans mon dos ça fonctionnait, mais pour mes exploits, ça devait être silence radio, je pense). J'étais épuisé. Je risquais souvent ma peau...
 
Pour la gloire, comme on dit... Mais une gloire seulement personnelle : La satisfaction de soi et du travail bien fait... Pour l'honneur, comme on dit...
 
Pour rien, quoi... L'exploit d'un con... Qui en aurait pris plein la gueule si cela s'était mal passé...
 
C'est le résumé de ma vie, finalement, ce chantier... Un imbécile heureux et fier de l'être...
       
19 août 2023

Le führer autoproclamé


 
Bouygues avait imposé une règle de sens unique de livraison sur le chantier.
 
Un collègue avait initié une demande de livraison de la part des entreprises. Certaines déposaient cette demande, d'autres pas. De toute façon ces demandes n'étaient pas exploitées et restaient empilées...
 
Résultat : Les deux tiers des camions repartaient non-vidés. Les ouvriers et les chauffeurs se battaient, les conducteurs de travaux gueulaient, mais personne ne faisait ni ne disait rien. Il aurait fallu savoir si on voulait, ou pas, que le chantier se déroule bien ? Il aurait fallu savoir si nous étions là, ou non, pour coordonner la conduite des travaux, c'est à dire pour que cela se passe au mieux ?
 
Ah, mais non ! Nous étions là pour piloter les travaux, mais pas l'organisation des livraisons. Les livraisons se déroulent sur le chantier, pourtant... Incroyable, mais vrai !!!
 
Aucun de ces jeunes collègues (38 et 48 ans) ne voulait mettre les mains dans le cambouis ! Les chochottes !
 
Un jour la moutarde m'est montée au nez ! J'ai pris tout le problème à bras le corps (en plus de mon travail habituel).
 
J'ai décrété en rendez-vous de coordination, que toute entreprise ne m'ayant pas demandé d'autorisation de livraison aura l'accès refusé !
 
Peu à peu, même les plus fières et les plus réticentes des entreprises sont passées par moi. J'ai coordonné ces demandes afin que la capacité de livraison soit optimale. Chaque jour, je faisais la circulation, les bottes dans la poussière ou la boue, vociférant et faisant obtempérer les plus récalcitrants, parce qu'évidemment, les conducteurs de travaux ne répercutaient pas les consignes données.
 
Même les vigiles du chantier ont relayés mes ordres verbaux, que j’accompagnais d'un ordre écrit revêtu du cachet de mon employeur et de ma signature qui seule (leur avais-je ordonné), ferait foi...
 
Certes j'y suis allé au culot, mais ça a marché. Avec beaucoup de cris et de coups de gueule, de colères vraies ou simulées, de contextes humains parfois dangereux... Beaucoup d'énergie, de volonté et surtout de fatigue.

 

(A suivre)...

       
18 août 2023

Un riressou


 
... Rien qu'un sourire. Entrevu à la sauvette, un sourire de madone qui ne m'était pas destiné, mais un sourire à faire pâmer un saint, à ressusciter un mort, à faire bander un châtré.
 
Ah, si j'avais 40 ans de moins !...
Si j'avais 40 ans de moins, je serais intimidé, je balbutierais, je n'oserais même pas l'aborder...
Mais supposons... Je serais tombé éperdument amoureux, on se serait marié, on aurait fait plein de petits. Et puis quarante ans après, j'aurais une pétasse hargneuse, chiante comme la pluie, qui me bouffe la vie parce qu'il n'y a plus rien à tondre. Je penserais sans cesse au suicide.
 
Alors ?... Ouf ! Heureusement que je ne l'ai pas rencontrée il y a 40 ans, cette caissière au sourire si enjôleur.
 
Quelle vie pourrie j'ai évité...
 
Dire qu'il existe probablement quelque part, un autre con, qui se fera baiser par le sourire de cette maudite saleté !!!
 
Vade retro satanas !
       
17 août 2023

Pourquoi la France est-elle chassée d'Afrique ? - François Asselineau

GSM

 

 


 

Note de zalandeau : Une grande connaissance du sujet par François Asselineau, contrairement à l'équipe de nullards Macronistes !!!

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16 août 2023

COMMENT LES BOURGEOIS NOUS EMPOISONNENT LA VIE - Nicolas Framont

GSM


 

 

15 août 2023

Fabien Bouglé : "L'Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF"

GSM


 

 

14 août 2023

TRAHISON DE NOS « ÉLITES » : UNE FRANCE VASSALISÉE PEUT-ELLE SURVIVRE ? - Arnaud Montebourg

GSM


 

 

13 août 2023

CETTE CASTE D’INCOMPÉTENTS IGNORE LA COLÈRE ET MULTIPLIE LES INJUSTICES ! - François Boulo

GSM


 

 

12 août 2023

Mémoires et radotages (493) – Mes conneries (à ne pas confondre avec « Ma connerie »)

 

 

GSM

Écrit le 12 août 2023

 

Dans le temps on racontait des blagues, genre devinettes, dans la cour de récréation de l’école primaire…

Évidemment celle ci-dessous que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, je dirais même les moins de quarante ans :

 

-Charles, Pierre et Sophie font la course… Qui va gagner ?

Tic tac, tic tac…

-Je ne vois pas ?

-C’est Sophie !

-Pourquoi ?

-Parce que Charles Trenet, Pierre Fresnay mais que Sophie Desmarets !!!

 

Dito pour celle-ci parodiant une chanson de Francis Lemarque, que nous chantions à tue-tête dans la cour de récré :

 

Un inconnu dans sa baignoire,

Se lavait l'cul au savon noir,

Il se frottait tant qu'il pouvait,

Pendant ce temps sa femme l'observait…

Marjolaine, toi si jolie,

Marjolaine le printemps fleurit…

 

Et puis une petite dernière pour la route, mais qui a germé dans mon cerveau dépravé il y a deux jours :

 

-Monsieur et Madame Pudlach ont une fille. Comment la prénomment-ils ?

Tic tac, tic tac…

-Je ne vois pas ?

-Agathe !... Pudlach Agathe !!!

 

Bon… Ok ! ça ne fait rire que moi, et ben tant pis !

 

En tout cas, la publication par canalblog sur les posts récents me censure

       

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