Ils jouent notre vie sur un coup de dé
Jouer de sa propre vie n’est pas un jeu, quand la désespérance en est le prix… Par contre, jouer avec la mort des autres, c’est aussi jouer avec le malheur des autres qui n'ont rien demandé… Quel inquiétant sadisme recouvre tous ces actes de la violence humaine, qui impose la mort comme ultime chantage à ses semblables ?
Espèce prédatrice aux pouvoirs immenses, qui croit tout posséder, alors que nous n’avons rien, alors que nous ne sommes rien, à la merci d’un courant d’air de l’univers ou d’un coup de pied du créateur dans notre fourmilière…
Quelle folie meurtrière pousse une partie des bipèdes à asservir ceux de leur congénères qui se battent sans rien, contre l’arbitraire, contre l’injustice, contre l’exploitation, contre la spoliation, avec comme seule force, l’espérance que leur monde recouvrera la raison ?…
Je sais que le monde plonge vers le chaos, vers l’enfer victorieux des mauvaises intentions, enfonçant sans cesse les petits, les faibles, les démunis, vers plus de misère, plus d’iniquité, plus d’horreur…
Qui sont-ils ces exploiteurs lâches et perfides ? Pourquoi le destin favorise t-il leurs méfaits ?...
Simplement parce que dans leur égoïsme, ils ont compris que seule la solidarité de caste pouvait les rendre invincibles au détriment des moutons qu’ils égorgent, comme ces hordes de loups, qui ne sont forts qu’en meute.
Je sais les liens étroits qui unissent politiciens, dirigeants et financiers, issus des mêmes moules, écoles d’iniquité, de cynisme et de rapacité.
Dès lors, tous les trafics se poursuivront au détriment de ce que nous appelions autrefois le tiers état… Mais qui va devenir le quart monde…
Thomas Jefferson écrivait à peu près ceci il y a deux siècles : « Le jour où les banques privées se substitueront aux banques d’état pour contrôler la monnaie, le cortège de crises d’inflation et de récession dépossèdera nos enfants ce que nous leur aurons légués. Un jour, la terre où ils vivront ne leur appartiendra plus »…
Ce jour arrive… Il est déjà arrivé pour des millions de personnes dans le monde et cela continue…
L’île du bonheur
Sarkozy va-t-il trouver un caillou dans les Antilles ?
A part les atteintes quotidiennes à la vie sociale du citoyen, dont il est le champion incontesté (annonce sur la diminution du congé parental, dont on sait qu'il crée des emplois et qu'il a augmenté la natalité, mais que le monarque ignore superbement), qu'y a-t-il à espérer concernant le devenir de ce fou furieux non maîtrisable et surtout non maîtrisé ?
L’éloignement géographique des Antilles, dont notre Roy ignore superbement l’existence, (à croire qu’il considère ces îles comme propriétés coloniales privées), pourrait peut-être changer la donne…
Nous savons que la lâcheté est la vertu de notre pragmatique et charismatique Roy de France. Il réagit certes plus aux mouvements de foules proches de son auguste personne…
Mais, si… il arrivait que ce mouvement s’étende sur l’hexagone, relayé par la nombreuse communauté Antillaise de métropole ???...
Il lui faudrait bien faire semblant d’en tenir compte…
Personnellement, il m’arrangerait beaucoup, qu’une nouvelle tranche de population rejoigne la résistance contre un prétendu réformateur, qui ne sait que démanteler la fragile architecture sociale de la France…
zalandeau, le lundi 16 février 2009
Étant donné que mon souhait ne s'est pas réalisé en 2009, il y a peu de chance que cela réussisse en 2021 sous le règne de Macron...
zalandeau, le vendredi 26 novembre 2021
Convoqué chez le patron
Je ne regrette qu'une chose, c'est de ne pas avoir pensé à utiliser mon dictaphone, afin d'en garder le vivant souvenir...
Car je suis très fier de moi. C'est la fierté inutile de ceux qui ne possèdent que peu de choses à part la fierté de proclamer leur liberté et de montrer leur courage dérisoire. Cela donne la joute verbale dont je narre le déroulement...
Mon véhicule tiendra 300.000 km, sauf accident, parce que moi, je ne sabote pas le matériel... "
On croirait voir l'Avare de Molière, ou de Funès dans la folie des grandeurs.
Enfin... J'ai quand même dominé le set verbal en simple contre une équipe qui jouait en double... ( deux piètres joueurs)... Mais comme chacun sait : Le patron a toujours raison, puisque c'est lui qui tient les cordons de la bourse...
Quand je suis sorti, au bout du couloir tout le personnel était groupé pour écouter (La porte étant restée ouverte. J'ai été félicité chaudement par tous ces gens qui rêvaient que quelqu'un fasse ce qu'eux mêmes n'osaient pas faire...
Depuis mon embauche on me fait faire un travail de comptable...
Écrit le 7 mars 2007
- Depuis mon embauche on me fait faire un travail de comptable - économiste, ce n’est pas mon métier. Ce n’est pas motivant de faire un travail qu’on exècre. Bon certes, c'est un travail d'expert et mieux payé que la seule coordination ou planification de chantier, puisque je viens en appui direct du Maitre de l'Ouvrage face à des requins comme Bouygues et compagnie. Et je suis le seul capable d'assumer cette fonction dans la boite... Mais bon, quand on n'aime pas, on n'aime pas...
- Je n’ai pas eu d’augmentation depuis mon embauche en 2002. Évidemment depuis la mort du patron en 2004 (qu'est-ce que je l'ai pleuré celui-là), le fils qui est très pingre, est difficile à persuader...
- Depuis que j’ai une voiture de service en guise de voiture de fonction, j’ai perdu du pouvoir d’achat (4000 € / an), parce que je ne peux plus amortir mes investissements automobiles faute de facturer des indemnités kilométriques. Je serai en déficit sur l’année 2007.
- M. PINARD (le fils donc) m’a promis une augmentation pour compenser. Rien n’est fait.
- M. PINARD m’a promis des responsabilités. Rien n’est fait.
- M. HAGUET m’a fait miroiter une mission sur une affaire de réhabilitation et l’a donné à un autre.
- On veut me faire retourner sur la Gare de l’Est que j’avais refusé 2 fois. Vu l’impossibilité de mener à bien cette mission, MP risque de perdre le client. Suis-je d’avance le coupable désigné ?
Conclusion : MP fait du harcèlement moral. C’est gagné ! Ma motivation est à zéro ! Si ma candidature extérieure pour de la maîtrise d'ouvrage aboutit... Comme je te les enverrais se faire foutre !!!
J’aurais du écrire mon histoire de cette bataille
Écrit le 18/02/2007, première publication
Il y a quelque temps, je faisais une liste de mes amis, j’arrivais à 40 environ.
Puis, en regard de cette liste j’ai fait des colonnes : « Je l’appelle », « Il m’appelle » etc..
Je me suis vite rendu compte que la colonne « Il m’appelle » était très souvent vide.
J’ai donc cessé d’appeler tout le monde. Très vite, je me suis aperçu que mes « amis » ne partageaient pas ce sentiment avec moi. Il n’en est resté que trois, sur cette liste.
Les autres avaient juste la correction de ne pas me dire franchement : « t’es pas mon pote, qu’est-ce que tu me fais chier à m’appeler, fous moi la paix ! ».
L’expérience que j’ai fait, me sert d’expérience. J’ai compris le message non-dit.
Je me découvre une envie d’écrire, et bien je vais me rabattre là-dessus, comme une sorte de repli sur soi...
J’aurais du écrire mon histoire de cette bataille bien avant, pour me débarrasser, en quelque sorte, d'un fardeau de plus de 28 ans.
Je crois que je vais l’écrire chapitre par chapitre dans le désordre, ou du moins dans l’ordre où mon cerveau y pensera.
Je vais aller faire ma marche à pied tout à l’heure. Et dire qu’en 2004, je parcourais 400 m avec difficulté. Je fais mes 14 km chaque dimanche en journée, et mes 4 à 5 km chaque matin du lundi au vendredi. L’été dernier, j’ai atteint le « record » de 28,5 km.
Ça n’a l’air de rien, à coté des marches de 100 km en 24h que nous faisions à l’armée, mais j’étais tombé si bas depuis, que chaque progrès sur moi-même me satisfait.
(12) Rupture
États-Unis : et si la gauche perdait la « guerre raciale » ?
Paru sur BV le 20 novembre 2021 en accès libre
La « guerre raciale » est de nouveau sur toutes les lèvres, outre-Atlantique. Mardi 16 novembre s’ouvrait le procès du jeune homme – blanc – Kyle Rittenhouse, accusé du meurtre de deux militants antiracistes, en août 2020 à Kenosha, ville de l’État du Wisconsin, en pleine euphorie Black Lives Matter. Encore une fois, l’affaire Rittenhouse a polarisé l’opinion entre légitime défense et suprémacisme blanc. Finalement, c’était bien la légitime défense, le jeune homme venant d’être acquitté.
Le procès intervient dans un climat déjà très tendu aux États-Unis, où la théorie critique de la race (critical race theory ou CRT) exacerbe un pays divisé politiquement. Rappelons que cette théorie utilise la sémantique et la théorie critique marxiste, appliquée aux races, pour justifier les inégalités sociales et phénomènes sociaux. En découlent les concepts de « racisme systémique », « suprémacisme blanc », etc. D’abord réservé aux campus et universités, le phénomène a gangrené toutes les strates de la société : le monde de l’entreprise, les médias et, désormais, les écoles élémentaires.
Aussi, dès son arrivée à la Maison-Blanche, Joe Biden s’est empressé de défaire les mesures prises par son prédécesseur visant à limiter l’introduction de cette théorie dangereuse dans les programmes scolaires et les administrations… Loin de se laisser faire face à la plaie woke, l’opposition a fait preuve de diverses initiatives très encourageantes. On mesure les efforts quand on sait qu’en France, il est quasiment impossible de remettre en question les méthodes de l’Éducation nationale. Ainsi, par exemple, le média Education Week explique que, depuis fin 2020, vingt-huit États américains ont pris des mesures visant à restreindre la promotion de l’idéologie CRT à l’école ; douze l’ont fait par voie législative désormais en application.
Dans ce sens, le sénateur républicain du Missouri Josh Hawley présentait, ce mardi 16 novembre, un projet de loi intitulé « Loi sur la déclaration des droits des parents » (Parents’ Bill of rights). Il y énonce huit droits fondamentaux concernant l’éducation des enfants au sein des établissements scolaires, notamment liés à la nécessaire transparence quant au matériel utilisé, aux programmes étudiés et aux intervenants sollicités. Les écoles qui violeraient ces principes risqueraient des poursuites et des coupes dans le financement fédéral. Pour le sénateur Hawley, « il est temps de redonner le contrôle aux parents ».
Autre initiative à souligner, la création d’une université libre anti-cancel culture au Texas, l’université d’Austin, promue par la journaliste Bari Weiss. Devise de l’institution ? « La poursuite courageuse de la vérité ». Pour le président de l’université d’Austin, Pano Kanelos, « on ne peut pas attendre que les grandes universités se redressent. Il faut recréer du neuf. » Repartir de zéro, recréer les corps intermédiaires qui n’assurent plus leur rôle.
Le plus inattendu reste que le jeu de la gauche progressiste sur la question raciale pourrait même finalement jouer en sa défaveur. En Virginie, récemment, la théorie critique de la race aurait ainsi profité au candidat républicain Glenn Yougkin dans sa victoire au poste de gouverneur, faisant passer l’État de démocrate à républicain (Joe Biden y avait gagné par dix points d’avance).
C’est en tout cas l’analyse faite par la société de conseil en stratégie politique Anvil Strategies. Cette dernière a mené une étude via de longs entretiens auprès d’une centaine de femmes de l’État de Virginie ayant voté démocrate en 2017, pour le gouverneur Ralph Northam, puis encore démocrate en 2020 pour le président Biden mais ayant voté républicain en 2021. L’objet était de comprendre les raisons de ce retournement soudain. Les entretiens révèlent que l’élément déclencheur fut vraisemblablement l’impossibilité de choix des parents dans les décisions scolaires (fermeture des écoles, port du masque obligatoire, enseignement de la CRT). Tout n’est donc pas perdu.
Dalida - Histoire d'un amour
C'est l'histoire d'un amour
Ma complainte
C'est la plainte de deux coeurs
Un roman comme tant d'autres
Qui pourrait être le vôtre
Gens d'ici ou bien d'ailleurs
Qui enflamme sans brûler
C'est le rêve
Que l'on rêve sans dormir
Un grand arbre qui se dresse
Plein de forces et de tendresse
Vers le jour qui va venir
Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal
Avec la roue l'on s'enlace
Celle où l'on se dit adieu
Avec les soirées d'angoisse
Et les matins merveilleux
C'est l'histoire qu'on connaît
Ceux qui s'aiment
Jouent la même, je le sais
Mais naive ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde
Qui ne finira jamais
C'est l'histoire d'un amour
Qui apporte chaque jour tout le bien tout le mal
Avec la roue l'on s'enlace
Celle où l'on se dit adieu
Avec les soirées d'angoisse
Et les matins merveilleux
Mon histoire
C'est l'histoire qu'on connaît
Ceux qui s'aiment
Jouent la même, je le sais
Mais naive ou bien profonde
C'est la seule chanson du monde
Qui ne finira jamais