Cruel, impitoyable, malhonnête, rapace zélé
Quant à ce Chairmann...
Je tiens à dire que tous ses actes de manager étaient aussi injustes, inéquitables, cruels. Il régnait sur son personnel par la terreur. Petit dictateur sans vergogne que la société et l'entreprise ont laissé perdurer, jusqu'à ce que...
Il n'a eu aucune réprimande pour sa cruauté. Par contre, il a été lourdé comme un malpropre à la suite de la chute vertigineuse de son activité "Asphalte". Pourquoi ? Il avait organisé le dumping de toutes les entreprises Bretonnes concurrentes et les donneurs d'ordres en réaction avaient opté pour des matériaux non-monopolisables, genre bitume armé.
C'est la course insatiable au fric qui l'a perdu. L'immoralité vengée par l'immoralité...
N'apprend-t-on pas en maths que moins multiplié par moins égal plus ???
Espèce humaine, espèce marchande ?
Quand on regarde aux informations télévisées pour la première fois, le 7 octobre 2009, les dégâts provoqués par les tempêtes tropicales en Afrique de l’ouest et du centre en date du 5 septembre, c'est-à-dire un mois après des évènements réels, qui font des dizaines de milliers de sans-abris, à la recherche de vivres et d’eau potable, à la merci d’épidémies et que, de plus, le traitement de cette « actualité » à retardement, prend moins de temps d’antenne que le reportage dédié au défilé de Louis Vuitton, ou même que celui de Karl Laggersfeld !!!… Dois-je finir ma phase ? On est soufflé, estomaqué, on reste sans voix !!!
Journalistes, directeurs de rédactions, propriétaires de médias, n’avez-vous pas honte ?... Je sais bien que non. Ce n’est pas la conscience qui vous étouffe…
Lorsque le mal-vivre est orchestré par des dirigeants sans âme, au point que les salariés ne trouvent de solution que dans la suppression de leur propre existence, qu’ils se sacrifient comme ils casseraient l’outil de travail, persuadés qu’ils ne sont plus considérés comme des êtres mais comme des rossignols mis au rebut sans recyclage…
Quand je vois à la tête d’une nation sensément démocratique, un petit malfaisant plein de tics d'épaules, sans carrure historique, complexé, dès sa plus tendre enfance, par ses frères, par ses collègues de classe et qui, toujours malade de ce complexe, se défoule en colères et anathèmes, sur ceux qui ont le malheur de lui déplaire, comme s’il voulait leur rendre ce qu’il a subit dans son enfance et l’a figé dans cette attitude d’enfant éternellement insatisfait des autres qu’il rend responsables de ses tourments… Quand je vois, qu’on ne peut chasser cet intrus et le faire enfermer dans un asile psychiatrique… J’ai honte pour notre pays, pour ses habitants et pour moi-même…
Écrit le 8 octobre 2009
Mémoires et radotages (384) – L’avenir n’existe plus
Écrit le 15 novembre 2021
Je ne saurais décrire le mal-être qui me tient… Je n’ai plus tous les mots pour décrire les maux psychologiques qui m’enserrent dans cette gangue de pensées moroses, de non joie, de regrets et de remords…
Est-ce que quelqu’un qui vous harcèle et vous envoie de la haine, de la jalousie, de la paranoïa et de la bêtise, peut entretenir en nous une sorte de champ d’ondes négatives qui nous maintient dans cet état de confusion, et de mélancolie neurasthénique ? Il n’y a pas selon moi, de causes infectieuses qui provoqueraient cela. Seulement des facteurs psychologiques…
Je tente de me soutenir en pensant à mes fils lorsqu’ils étaient petits et avaient tout l'avenir devant eux. Là, seulement, je me sens bien, mais cela ne dure pas assez. Je reviens hélas sur terre et le présent de mes petits garçons devenus grands est sombre, très sombre, très incertain, très précaire. Ils ne feront pas d’enfants, eux, parce qu’ils sont plus intelligents que moi, ils savent qu’il leur sera très difficile de survivre seuls et donc qu’il serait criminel d’entraîner des petits êtres dans un avenir infernal…
C’est aussi cela, le grand remplacement : l’enfer dissuade les pauvres Français de faire des enfants, mais pas les diaboliques envahisseurs barbares, dont la reproduction fait partie de leurs armes de conquête…
Zemmour a bien raison : Nous avons d’ores et déjà perdu le combat !
Pas d’avenir pour mes fils, de mauvaises ondes de la part de celle qui devrait me soutenir et qui préfère m’enfoncer en s’enfonçant elle-même…
Comme je l’ai déjà dit, mon passé vu par mon prisme actuel, est un verre totalement vide, dont je n’aurais bu que du sang et du poison toute ma vie durant…
Je ne suis pas psychiatre, je ne sais pas me défendre contre cela. C’est trop pour moi.
Survivre, il le faut, pour aider un tant soit peu mes fils et aussi cette mégère jusqu’à sa retraite quelle n’a pas encore. Que fera-t-elle ensuite ? Possible qu’elle m’envoie chier et se barre ! Ouf ! Ce serait bien la meilleure chose qui pourrait m’arriver… Enfin, je pourrais foutre une benne pleine de saloperies à la décharge, je pourrais faire le ménage et la vaisselle comme ça me chante et avoir une maison rangée et propre où je n’aurais pas honte d’accueillir mes amis !
Peut-être, si cela arrive, pourrais-je retrouver une sorte de joie, de liberté, et peut-être sans ces ondes négatives aurais-je un meilleur moral ?
Je n’ai pas de phrase de conclusion… juste des questionnements et des pensées noires…
De l’origine de l’indifférence
Ne croyons plus les menteurs qui nous gouvernent
Libéralisme soit disant fatal et bon ?
Il y a quelque temps tous les technocrates, politiques et économistes, disaient "qu'il ne pouvait y avoir de démocratie sans libéralisme", "ni de libéralisme sans démocratie"...
Quand on considère la Chine, la Russie et bien d'autres, ont voit bien que la deuxième assertion est complètement fausse.
Il se trouve maintenant quelques économistes et quelques politiques pas plus doués, pour avouer qu'ils se sont trompés et qu'effectivement il peut y avoir du libéralisme débridé, sans pour autant qu'un pays soit démocrate (tyrannie de gauche ou de droite)... Ils y ont mis le temps, comme quoi les idéologies ont la peau dure.
En effet les dirigeants des pays marxistes, et il faut relire le "capital", s'accommodent fort bien des ravages du capital, pour peu que cette perversion de leur dogme, leur permette de se maintenir au pouvoir et par la même occasion de s'en mettre plein les fouilles...
Bon, il reste l'autre assertion de nos "grosses têtes" pleines de vide de l'ENA et autres technocrates élevés à la tétine de l'égoïsme aveugle : "il ne pouvait y avoir de démocratie sans libéralisme"...
Ils font un amalgame entre les échanges d'objets qui ont eu lieu de tous temps et le libéralisme...
Depuis les premiers hommes, il y a eu deux types d'activités concomitantes : l'entraide et le troc.
Ces messieurs veulent gommer l'entraide et assimilent le troc au libéralisme. Non ! Un homme des cavernes échangeait un objet contre une contrepartie qui se définissait à l'usage et non pas par rapport à la "loi de l'offre et de la demande" ni au "prix du marché".
Alors je dis : Oui, la démocratie existe, si elle autorise la libre entreprise, mais avec des garde-fous sociaux, économiques, législatifs, fiscaux...
Laisser faire sans rien dire n'est pas du tout l'apanage d'une démocratie.
Si les puissances de l'argent dictent leurs lois, ce n'est plus le peuple qui tient son destin. On a affaire dans ce cas à une "capitalocratie".
Donc, la seule et dernière assertion de ces messieurs bien pensants est également fausse.
Souvenirs enfantins
Dur d'être un parent
Parce qu'on les aime. Parce que leur vie est la nôtre par procuration. Parce qu'ils sont tout pour nous; nous avons placé tous nos espoirs en eux. J'ai mal, peut-être davantage que s'il s'agissait d'un de mes propres échecs.
Comme si souffrir avec eux pouvait les aider à se reconstruire...
Fermeture de Fessenheim - le prix de l'électricité s'envole au gré de l'incurie de NOS gouvernants et de leur "Europe" de M....
Écrit par autrui. Merci à Jiellehaime
Électricité : les Français condamnés à payer pour un marché européen de dupes
Il est à espérer que les Français vont enfin comprendre dans quelle impasse les a menés la pantomime du tarif de l'électricité à laquelle ont souscrit les dirigeants français, ces dirigeants parfaitement incompétents qui ne comprennent rien au marché de cette énergie.
Il était autrefois l'EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l'État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l'énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d'un pays. Force est de constater qu'elle a accompli sa mission de façon remarquable, d'abord par ses aménagements hydrauliques (2.300 barrage, dont 433 exploités par EDF), et ensuite par la construction de 19 centrales nucléaires regroupant 58 réacteurs (18 et 56 aujourd'hui, hélas).
L'EDF était une entreprise une et indivisible qui fonctionnait selon un monopole, et qui a permis à la France d'avoir en abondance et sans la moindre panne (sauf intempéries) l'électricité la moins chère du monde.
Cette situation ne pouvait pas convenir aux gnomes de Bruxelles. Mon Dieu, un monopole ! disaient les Bruxellois. Mon Dieu, ces Français font mieux que nous ! disaient les Allemands. Mon Dieu, le nucléaire ! disaient les imbéciles !
On va donc faire un marché unique de l'électricité dans lequel les Français sont obligés d'introduire la concurrence ! Pire : M. Macron, petit garçon obéissant, en profite pour fermer Fessenheim et ses deux réacteurs nucléaires.
Marché unique : le prix de l'électricité sera désormais indexé sur le coût marginal, c'est-à-dire le coût du dernier kilowatt produit. Autrement dit, quand la demande oblige à démarrer les centrales les moins rentables, celles qu'on garde en secours, le prix de vente de toute l'électricité s'aligne sur le prix de revient des centrales les plus chères. C'est la vente au coût marginal, chère aux économistes de Bruxelles, la seule qui peut fonctionner dans une économie de libre concurrence (sinon, les dernières centrales s'arrêtent).
L'alignement sur le prix des centrales les plus chères en Europe est le résultat mécanique 1) de la disparition du monopole et 2) de la concurrence obligatoire imposée par Bruxelles.
Ainsi Bruxelles, par ses attaques répétées contre notre système électrique – probablement le meilleur en Europe – et par l'obsession antinucléaire pilotée par les Allemands, est parvenue à affaiblir dangereusement la production électrique française.
Au point que la France va devoir importer de plus en plus. Ainsi, peu de temps après la fermeture de Fessenheim, on passait commande à l'Allemand Siemens de la construction d'une centrale au gaz à Landivisiau, avec contrat de maintenance sur vingt ans et fourniture du gaz venant de Russie par les Allemands. Donc, des importations au prix fort et le risque de chantage du fournisseur en prime.
Mais ce n'est pas tout. RTE, devant l'affaiblissement de notre réseau, a préparé un plan de coupures électriques qui sera appliqué cet hiver en cas de grand froid. Ce sont des coupures tournantes de deux heures par paquets de 200.000 foyers (soit environ 450.000 personnes).