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zalandeau
catastrophe mondialiste
9 mars 2022

Ma chronique - Vers la 3ème guerre mondiale (2) ?

 

GSM

 zalandeau, le dimanche 21 juin 2009, complété le mercredi 9 mars 2022

 

 

 

 

                       EFFECTIFS en 2009                                                EFFECTIFS en 2022

 

Armée Chinoise            2,4   millions d’hommes            3,1     millions

Armée USA                 1,4   million  d’hommes              1,4     million +   442.000 réserv.

Armée Indienne            1,32 million  d’hommes            5,1     millions

Armée Russe              1,2   million  d’hommes              1,35   millions

Armée Corée du Nord  1,1   million  d’hommes           1,125 millions + 9,5 millions réserv. (2016)

Armée Française             239.000         hommes               207.000 hommes + 63.000 réserv.

Armée Royaume Uni             ???                                      231.000 hommes

Corée du sud                          ???                                   1,13  million  d’hommes

Pakistan                                 ???                                   1,64   million  d’hommes

 

BUDGETS


USA :      2009 :  450 milliards d’€ + Armes nucléaires et guerres et frais de personnels.  

Estim. :    2010 :  715 milliards d’€     (A été triplé en 10 ans entre 1998 et 2008
               2022 : 770 milliards de $     leader mondial en aéronautique, un nombre élevé de
                                                             porte-avions et 5 550 ogives  nucléaires

Chine :    2009     56 milliards d’€ + dévelop.et fabric. armes et missiles non comptés.
Total estimé       196 milliards d’€    (Augmentation de 100% entre 1990 et 2000,
                                                          De 17,8% en 2007, de 17,6 en 2008, de 14,8 en 2009)
                                                          A été triplé en 10 ans entre 1998 et 2008
                2022 : 250 milliards de $  40 000 véhicules terrestres, 3285 avions, 350 ogives
                                            nucléaires et elle en augmente son nombre chaque   
                                            année. Elle peut les lancer de plus de 180 différentes   
                                            méthodes   

Russie :   2008 :   25,55 milliards d’€   (Augmentation de 91%    entre 1998 et 2004,
                                                             de 19%en 2005, de 12% en 2006)
                                                             A été triplé en 10 ans entre 1998 et 2008
                                                             Et doit augmenter de 50% entre 2009 et 2011
                2022 : 154 milliards de $    L’armée russe se modernise et inquiète le monde
                                             entier plus que jamais. 6 255 ogives nucléaires

Corée du Nord :
                2022 :              ???               10.000 chars. 2.800 blindés. 8.300 canons. 1.500
                                             DCA. 2.200 lance-roquettes. 800 bombardiers. 540
                                             chasseurs. Possède l’arme nucléaire

Inde :      2009 :    28,9 milliards d’€     (Augmentation de 23,7% en 2009)
               2022 :   49,6 milliards de $   20 000 véhicules, dont plus de 4 000 tanks.
                                                              L’Inde possède l’arme nucléaire

France :   2009 :   37,4 milliards d’€      (29,65 Mds en 1991 augmentation de seulement
                                                              26% en dix-huit ans)
                2022 :   40,9 milliards de $   7 000 véhicules et 1 000 avions. 290 ogives nucléaires

Grande Bretagne :
                2022 :   68 milliards de $      693 avions, A peine 75 navires. 225 ogives nucléaires

Pakistan ;
                2022 :     7,7 milliards de $  3.000 chars. 7.000 véhicules. 1387 avions. 165 ogives
                                                      nucléaires

Corée du sud :
                2022 :   46,3 milliards de $   20.000 véhicules. 2.000 avions. 234 navires.

La Chine construit de nombreux navires, des missiles et des têtes nucléaires. La Russie arme de nombreux sous marins nucléaires...

Les Etats-Unis ont un déficit de 30.000 milliards de dollars. Leurs armées et leurs 600 bases dans le monde, sont partiellement financées par le trop-plein de liquidité-dollars en circulation dans les pays émergents qui les réinvestissent en créances auprès du trésor Américain, celui-ci n'ayant pas les moyens de rembourser…

Les Pays émergents cherchent à changer de monnaie de référence et à commercer à l’aide d’une autre devise…

La guerre pour la possession des richesses : minérales, fossiles, la terre, l’eau se poursuit sur l’ensemble de la planète, avec les moyens les plus vils… Mais c’est une guerre !

Les USA, la Chine, la Russie et maintenant la Turquie, s’arment pour la possession ou pour garder ces ressources…

Mais que se passerait-il si les pays émergents faisaient chuter le géant Américain ?

Nous Européens et Français en particulier, rattachés à l’Otan, organisation qui risque un jour d’être une baudruche dégonflée, face à deux puissances surarmées : La Chine et La Fédération Russe ?

Il ne reste plus qu’à souhaiter que l’état Américain refuse de payer ses dettes afin d’éviter la banqueroute…

La Russie a beaucoup à perdre et la Chine beaucoup à gagner… La Russie s’allie à la Chine. L’intérêt de l’occident aurait été de faire alliance avec la Russie…

Quand les Européens, prendront-ils conscience qu’ils sont sans défense devant ces puissances hyper armées ? Peut-on compter sur les États-Unis ? A part la Grande Bretagne et la France aux armées insuffisantes, le reste de l’Europe est quasiment sans armée véritable…

Cette escalade de l’armement ressemble fort, aux prémices d’une conflagration plus large encore, pour la conquête de la planète…

         

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26 janvier 2022

Si on voulait contrôler la catastrophe mondialiste (5)

GSM

Écrit le 18 septembre 2016
 
En marge des mesures évoquées ci-avant, il faut éclaircir la ponction des richesses : Il faut comme je l'ai dit supprimer totalement l'impôt sur la fortune... Mais il faut augmenter à due concurrence l'impôt sur les hauts revenus, sauf bien entendu, la partie de ces hauts revenus réinvestis dans l'appareil productif !
 
D'autre part, il faut modifier la taxation des héritages. Aucune taxe sur l'héritage du patrimoine investi dans l'appareil productif et seulement une taxation sensiblement plus forte qu'actuellement des patrimoines privés. En effet la bonne logique est qu'il ne faut pas taxer deux fois celui qui gagne de l'argent, mais il faut taxer une seule et bonne fois ceux qui en héritent sans avoir eu le mérite de le gagner ! Le barème qui s'appliquerait serait calqué sur celui de l'impôt sur le revenu, c'est à dire qu'il exonérerait les bas héritages et serait progressif en courbe parabolique.
Ces mesures sont de nature à encourager l'investissement et donc l'activité économique motrice de toute croissance.
 
En supposant que les conditions énumérées précédemment viennent un jour à être réunies, la dette diminuant, avec le concours de réels gestionnaires à la place des dirigeants actuels plus épris de pouvoir et d’argent que de saine gestion de la France, nous devrions reconquérir une souveraineté réelle à défaut d’une complète autosuffisance industrielle, mais avec une balance commerciale en équilibre.
 
Que se passera-t-il alors ? Il faudra bien se rendre à l’évidence : Il n’y aura pas d’emploi pour tout le monde. Certes beaucoup moins de chômage sera à déplorer, mais nous n’atteindrons pas le plein emploi, parce que les progrès de la technologie se feront aux dépends de l’ouvrier…
 
Il faudra bien maîtriser les flux migratoires pour ne pas nous retrouver à payer des oisifs venus se faire entretenir au prix d'un endettement de l'état colossal comme c'est le cas actuellement !
 
Il faudra bien venir aussi, nonobstant ce qui précède, à cette notion de « Revenu universel »…
 
Alors que nous ne réunissons pas encore les conditions économiques évoquées ci avant, pour mettre en place ledit Revenu, les politiques s’en emparent d’une façon tout à fait malsaine…
Pour eux, il s’agit de faire un tour de passe-passe entre notre système social actuel (Chômage, Retraite, RSA, Allocations Familiales, I.J. accidentés du travail, I.J. maladie etc…) et un nouveau calcul qui tendrait à donner à tous les foyers, quelques soient leurs situations de fortune, un montant par adulte et un montant par enfant… Bien sur, les foyers ayant des revenus verraient amputer ce « revenu universel » à due concurrence de leurs gains…
 
Le but inavoué est bien entendu de faire en sorte que ce nouveau dispositif soit moins coûteux pour la collectivité… Et donc serait pire que le système actuel. Ce système n’est vu qu’avec un intérêt spéculatif par nos dirigeants et ne présente donc aucun intérêt, tant que l'intérêt du peuple n'y sera pas prépondérant… Tout dépend donc de l'honnêteté du pouvoir au moment où cela sera mis en œuvre...
 
La véritable question est : Comment redistribuer une partie des profits à partir des richesses créées, au-delà des mesures de taxation de patrimoine et de successions ci avant évoquées ?
 
Dans un système en équilibre commercial, financier (pas d’évasion de liquidités) et démographique (immigration stoppée), comment des centres de création de richesse peuvent-il :
-Vendre à une clientèle solvable,
-Payer de la main d’œuvre et des fournisseurs,
-Rémunérer des investisseurs,
-Et en plus contribuer suffisamment, par l’intermédiaire d’un organisme re-distributeur, à faire survivre, à un minimum acceptable, toute une population non laborieuse du fait du manque d’emplois, mais utile en tant que consommateurs ??? 
 
Comment gérer les formations, les carrières et surtout les motivations d’individus qui ne travailleront pas forcément, mais qui pourront être appelés à le faire ???
 
Faudra-t-il créer un système de bons de rationnement pour équilibrer les échanges vers chaque acteur économique, ou bien créer une autre monnaie non convertible dédiée à l’usage exclusif des « sans-revenus », pour que l’économie ne souffre d’aucun soubresaut de type épargne de précaution ???
 
Il y a beaucoup de questions et de problèmes à régler avant de mettre en place une nouveauté dont on ne connaît pas encore tous les tenants et aboutissants et alors même qu’aucune condition économique n’est encore réunie… Loin s’en faut !
    
25 janvier 2022

Si on voulait contrôler la catastrophe mondialiste (4)

GSM

Écrit le 09 avril 2014
 
Il faut considérer que l’Euro devrait être dévalué pour la France de 20%.
Autrement dit, si nous entrions aujourd’hui dans l’Euro, il faudrait l’échanger contre 8,19 Francs et non pas 6,55 comme cela avait été le cas en 2002…
Bien sur, cela renchérirait nos importations, mais rendrait notre valeur ajoutée plus compétitive. Cette solution serait efficace seulement vis-à-vis des pays membres de l’UE, mais pas par rapport aux pays low-cost où seules les taxes douanières différentielles auraient un impact.
 
Effets :
 
Dévaluation : Enchérissement des matières premières, dégradation du pouvoir d’achat, légère diminution des importations, augmentation des exportations, création d’emplois, augmentation de la valeurs de la dette, forte augmentation de nos capacité de remboursements de la dette et à terme diminution des prélèvements sociaux.
 
Taxes douanières : Enchérissement des produits finis importés, dégradation du pouvoir d’achat, forte diminution des importations low-cost, forte augmentation des créations d’emplois, augmentation du PIB, forte diminution de la dette et forte diminution des prélèvements sociaux.
 
Il y a une autre disposition légale qu'il faudrait abolir concernant les exilés fiscaux. Tout argent gagné en France doit être imposé en France. Il suffit de changer la loi. (Certains cantons Suisses pratiquent ainsi et imposent ainsi les travailleurs frontaliers qui résident en France. Ces derniers n'ont pas à s'en plaindre et l'état Français y gagne puisqu'il garde un foyer de consommation en France).
 
Il faut bien entendu, accompagner la mesure précédente, d'une autre qui est la simple justice de ne plus imposer deux fois le même revenu : Une fois en tant que revenu et une autre fois lorsqu'il est devenu patrimoine. Je veux bien entendu parler de supprimer l'ISF qui est une véritable escroquerie. Sans ISF, les fortunes resteront plus facilement en France, pour le plus grand bien de l'investissement, des recettes fiscales , de la consommation et in fine, de l'emploi... Mais allez raconter cela à un socialiste !... 
 
Tout ce qui précède est valable si on voulait contrôler notre destin.
Cela impliquerait des réactions vives de la part des ensembles « lésés » : Pays low-costs, Français pratiquant l’évaporation financière ou fiscale, Instances internationales sous l’influence de la Banque mondiale et néanmoins étasunienne… Et surtout l'ensemble de nos riches qui avec la complicité de l'état Français pratiquent la domiciliation étrangère plus ou moins bidonnée...
 
C’est pour cela que nos dirigeants, dont le courage et la volonté ne sont pas les qualités cardinales, renoncent et préfèrent adopter une attitude de renoncement et acceptent que notre pays rejoigne le niveau des pays émergents.
Certes, le niveau des pays émergents monte et un jour comme le Japon ou la Corée du sud, ne seront plus que des concurrents ordinaires.
 
Le problème c’est qu’il y a plus de trois cents pays qui seront un jour en émergence et nous feront à leur tour, une concurrence low-cost déloyale bien avant de devenir aussi aisés que nous, puis de nous dépasser, tandis que nous continuerons de reculer
 
Que deviendra la France d’ici-là, si on continue sur cette voie ? Un pays sous-développé ? Ce n'est pas impossible si on ne fait rien !
    
A suivre...
24 janvier 2022

Si on voulait contrôler la catastrophe mondialiste (3)


GSM

Écrit le 7 Avril 2014
 

D’où le recours à la régulation. Les états exercent bien un pouvoir régalien sur leur propre sol, pourquoi n’édicteraient-ils pas les règles d’une bienséante attitude financière ?
En matière de commerce extérieur : Négocier d’état à état des volumes d’échanges par catégories de produits, pour obtenir l’équilibre de la balance commerciale.
S’il y a refus, rétablir dans une optique stratégique, des taxes douanières ciblées par catégories de produits et par pays d’origine. (Ne pas oublier de dénoncer les accords de Schengen).
En matière d’évaporation financière : Déchirer le même traité de Schengen…
En matière de maîtrise du nombre de nos ayants-droits sociaux et donc de nos dépenses , il nous faut recouvrer la souveraineté sur nos frontières : Re-déchirer en quatre le même traité...
Rétablir le contrôle des changes. Rétablir le contrôle aux frontières. Établir une surveillance bancaire et une surveillance cybernétique des mouvements monétaires. Traquer les fraudeurs à l’évasion extérieure comme intérieure, avec les sanctions dissuasives qui vont bien. Veiller à une concurrence loyale (à coûts salariaux chargés égaux), sans monopole, ni entente sur les prix (qui sont autant de pompes à liquidités non réinjectées dans l’économie réelle)...
 
Une particularité Française est notre grande habitude à avoir un état Jacobin et un état providence. Il faut hélas en tenir compte, car cette propension nous a été très bénéfique dans l’histoire…
L’état doit initier le redémarrage de l’activité industrielle. Pour produire ce que nous avions laissé délocaliser ainsi que pour inventer les solutions aux grands problèmes de demain, tous liés à la pénurie des ressources quelles qu’elles soient.
Non seulement il doit y avoir (ce qui n’est vraiment pas le cas actuellement), concertation et négociation avec les professionnels et industriels, mais aussi planification et implication de l’état dans la capacité financière de développement des projets industriels auprès des banques et investisseurs Français et dans la coordination du besoin en ressources humaines (orientation des formations professionnelles). Enfin, il doit y avoir au cas par cas et non de manière générale, l'adaptation des mesures douanières précédemment citées, contrebalançant la concurrence déloyale des pays low-cost et d’autre part, l'établissement d'une taxation aux frontières en osmose avec le fisc et avec l’URSSAF des travailleurs détachés et autres chauffeurs d'entreprises étrangères cabotant en France lorsque leurs entreprises ne sont pas en règle avec le fisc, la sécu et le code du travail... 
 
Notre déséquilibre commercial, une des causes de notre déséquilibre budgétaire, provient d’une évolution indépendante de l’économie Française par rapport à nos voisins et au monde. Notre système social y est pour beaucoup. Soit nous supprimons notre système social (protection maladie, allocations familiales, retraites, chômage) et c’est ce que prônent les tenants du libéralisme, soit nous considérons que nous mettons une régulation efficace en place.
 
La seconde raison est que nous sommes trop chers parce que notre monnaie est trop chère, tout simplement parce que contrairement à d'autres pays, nous n'avons pas maitrisé l'inflation des salaires ni surtout l'incidence des mesures sociales de plus en plus délirantes que nos gouvernements ont prises, en cédant aux syndicats irresponsables, sans anticipation des conséquences.
 
Ainsi donc, le taux de change de l’euro est très défavorable pour la France, mais pas pour l’Allemagne. Comment réaliser une dévaluation de la monnaie Française alors que nous sommes prisonniers de ce même Euro, sauf à sortir de l’euro ? Je préconise de garder l'euro mais de rétablir le franc avec un change en euro pour les opérations internationales...
 
A suivre...
      
22 janvier 2022

Si on voulait contrôler la catastrophe mondialiste (2)

GSM

Écrit le 7 avril 2014
 
Et pourquoi la Chine ne donnerait-elle pas une partie de ses kilomètres cubes de devises excédentaires pour nous ré-équilibrer ? Non ! Elle préfère acheter la France par petits morceaux : Les bijoux de famille France au mont-de-piété pour assurer la pitance ! C’est ça la vérité : La maison France est hypothéquée à 100% (Rectification 2022 : 115%) !
Pourquoi les îles Caïman ne donneraient pas aussi une infirme partie de ce flux de profits évaporés de chez nous et atterris chez eux ??? Faut pas rêver…
 
Ce que je veux dire par là, c’est que la solidarité n’est que nationale. Si elle était mondiale, il n’y aurait plus aucun déficit, aucun déséquilibre budgétaire, aucune dette.
La dérégulation partielle (au niveau mondial, mais relayée par le « machin » Européen) a permis que s’accumulent des énormes sommes créditrices pour certains, pendant que d’autres accumulent les déficits.
  
En complément à la définition donnée plus haut sur le laisser faire du mondialisme en matière de déséquilibre, il faut préciser que, autant la permissivité pour les déséquilibres excédentaires est permise, autant les déséquilibres déficitaires sont interdits et diabolisés. Cela oblige constamment les ensembles déficitaires à se rééquilibrer, tout en subissant le pompage de leurs moyens par les ensembles excédentaires…
 
Ainsi les régulations nationales insuffisantes n’ont-elles que ralenti le phénomène sans pouvoir le stopper, d’autant plus que nos dirigeants apprentis sorciers modernes ont cru que déréguler un peu sur le sol national permettrait une meilleure régulation… Elle est bonne celle là ! Comme si la dérégulation pouvait réguler !
 
Comme la « solution » du don gracieux et amical par les entités créditrices vers les entités surendettées, n’est pas à envisager, (sauf de manière ponctuelle et insuffisante éventuellement), il faudrait que les états déficitaires envisagent les autres possibilités qui s’offrent à eux. Ce n’est pas dans le système européen où un pays endetté donne à un état plus endetté que lui, que les équilibres se rétabliront  de manière saine. C’est ce qui s’appelle « partager la misère ».
 
La politique de rigueur c’est : Quand l’état économise ou ponctionne 10 milliards, le PIB (l’activité) chute de 10 milliards et au mieux nous ralentissons la progression de la dette de 5 milliards, sans pour autant la diminuer. Ce n’est pas encore la bonne solution.
Exporter plus : OK c’est une solution, seulement dans la mesure où les produits que nous exportons répondent à une demande non satisfaite. Sinon, c’est une solution agressive, qui casse l'activité d'autrui pour s'en emparer le monopole exclusif. Parce qu'il faut considérer que le monde n’est pas infini. Le monde est un ensemble fini. Donc si j’exporte plus, j’appauvris les producteurs des pays importateurs, c'est de l'invasion, de l'impérialisme, de la colonisation économique. L’invasion de l’importation est inacceptable. Donc, exportation oui, mais dans une certaine mesure.
 
A suivre...
     
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21 janvier 2022

Si on voulait contrôler la catastrophe mondialiste (1)

GSM

Écrit le 07/04/2014
 
Comment aborder la catastrophe mondialiste ? Les opinions sont très divergentes, les effets sont parfois attribués à des causes qui n'en sont pas vraiment, les responsabilités sont rejetées sur des innocents parce qu'il est plus commode de trouver des boucs émissaires simples que d'aborder la complexité du phénomène.
 
Qu'est-ce que la mondialisation ? C'est un grand déséquilibre économique créé par la diffusion de la doctrine libérale (qui dit doctrine, dit non-démontré), utilisant comme outil la dérégulation.
 
Par définition aussi bien qu'expérimentalement :
A tout déséquilibre économique d'un ensemble donné, correspond un déséquilibre comptable dudit ensemble.
 
Par conséquent l'équilibre comptable peut décrire et servir de fil conducteur à la crise économique, directement liée à la crise de la dette.
 
Prenons une famille de Français pauvre. Si ses revenus sont inférieurs à ses dépenses, cette famille, considérée comme un ensemble, est en déficit. C'est-à-dire que les débits sont supérieurs aux crédits. Or, en général elle ne peut pas se permettre de déficit ! Elle accumule donc des dettes, qui sont quand-même un déficit... Triste cercle vicieux... Soit, elle peut réduire ses dépenses pour revenir à l'équilibre, quand elle parvient à supprimer des dépenses non vitales, soit, elle emprunte, transférant ses dettes d'achats à des dettes d'emprunts et se retrouve surendettée et au bord de la catastrophe, soit, elle ne le peut pas et c'est la rue comme solution finale... Heureusement dans un pays « social » comme le nôtre, elle reçoit des allocations, qui sont censées ramener l'ensemble à l'équilibre, mais bien sur, un équilibre très serré et bénéficie au moyen d'une procédure d'un régime de surendettement analogue aux entreprises en dépôt de bilan (Ce sont les fournisseurs qui y laissent des plumes, sorte de solidarité forcée). Des ensembles se portent au secours d'un sous-ensemble. Mais ces subventions ou allocations, ces effacement partiels (qui sont des dons en fait) déséquilibrent comptablement les organismes (autres ensembles) qui les ont versés, dans la période actuelle où l'activité génère moins d'encaissements que de décaissements. Ensuite, c'est la France (l'état) qui en plus de ses dépenses propres, assure le rééquilibrage des « ensembles sociaux »…
Alors l'état, qui est aussi un « ensemble », déséquilibré par trop de dépenses, peut réduire ses dépenses (au risque de déséquilibrer l'ensemble « famille Française pauvre »), augmenter ses recettes en ponctionnant les sous-ensembles (avec le même risque que précédemment si le ciblage est mal fait), emprunter (ce qui a été fait et qui nous a mené à la situation actuelle, c'est à dire au bord de la catastrophe).
 
Il manque une solution… Le don… Il a bien profité à la famille Française pauvre, alors pourquoi pas à plus grande échelle ?…
 
A suivre...
    
30 novembre 2021

2ème trimestre 2015 : Crise, la reprise ?



GSMEcrit en 2015 :

Je voulais écrire un article sur la situation politico-économique de notre pays aujourd’hui.
 
Je voulais dire l’énorme erreur de considérer que la conjoncture paraissait favorable à une reprise durable, comme une sortie de crise qu’espère le gouvernement dans ses vaines tentatives réduites à la méthode Coué…
 
Je voulais parler de cette baisse de l’euro favorable aux exportations et de cette baisse toute aussi inespérée du pétrole favorable à la baisse de notre déficit commercial…
 
Je voulais formuler que notre déficit commercial par rapport à la communauté européenne n’en trouvera aucune amélioration, étant donné que notre monnaie est commune et d’autre part, que la baisse du pétrole provoque l’effet pervers d’une reprise forte de la consommation ‘pour le plaisir’ des consommateurs et donc annulera les effets bénéfiques sur notre balance commerciale.
 
Je voulais expliquer l’envie de consommer des Français, qui bien loin de répondre à une confiance plutôt timide, exprime le besoin de renouveler des achats, longtemps reportés aux calendes grecques mais devenus plus que nécessaires. Envie momentanée, mais dont personne ne sait si elle peut perdurer. Et de toute façon ce supplément de consommation ira en quasi-totalité vers des produits importés, favorisant les pompes à fric des circuits commerciaux d’importation, mais si peu les créations d’emploi de notre activité propre.
 
Je voulais exprimer la portée réduite de cette reprise de nos exportations, limitée au monde situé hors de la sphère de l’U.E. et seulement à des pays sans force de travail, car la Chine par exemple ne se départira pas de son protectionnisme et avec 20% de baisse de notre devise européenne (notre devise malgré nous), nous sommes encore loin du compte.
Je voulais raconter les énormes effets pervers de cette baisse de 'notre' devise qui met davantage nos entreprises à la merci des ‘investisseurs’ étrangers. Car s’il y a de bons investisseurs, il y a surtout des prédateurs, qui s’empareront de notre savoir-faire devenu bon marché et de nos emplois après délocalisation. A la différence des pays protectionnistes, nous laissons les prédations s’effectuer et notre pays se paupériser, par manque total de patriotisme économique.
 
Je voulais exposer la non responsabilité totale de nos gouvernants actuels dans cette situation inespérée, qu'ils osent s'attribuer, laquelle situation aurait pu être favorable à l’enclenchement d’une reprise durable.
Je voulais démontrer l’absence totale de savoir-faire de ce même personnel politique qui ne saura pas profiter de ce hasard. Il aurait fallu que des mesures de protection soient prises, mais le règlement ‘l’interdit’…
Comme si, en cas de guerre, une coalition alliée (l'U.E.) interdisait à chacun de ses membres de protéger ses ressortissants et devait les laisser se faire tuer sans répliquer…
 
Je voulais donc, développer le fait que nous sommes dans une guerre où la règle est de se laisser tuer. Et ce n’est pas parce qu’une conjoncture est temporairement favorable que nous contre-attaquerons, parce que nos dirigeant ne comprennent pas ce qui se passe, préoccupés qu’ils sont par leur intérêts personnels situés à mille lieues des intérêts de la patrie.
Je voulais conclure que la France est toujours un corps qui perd son sang, certes moins vite pour le moment, mais puisque aucun chirurgien n’en a pansé les plaies, le pronostic vital est toujours engagé. Tant que nous n’aurons que des médecins de Molière à notre chevet, nous ne nous relèverons pas.
 
Je voulais écrire tout cela, mais je n’ai pas la concentration nécessaire ; mais j’ai de plus en plus de mal à rédiger, à mettre en forme et en ordre. Alors, je ne rédigerai pas… Je me contenterai de crier : Foutez-moi dehors ces bons à rien de politicards tocards !
    
29 novembre 2021

Ils jouent notre vie sur un coup de dé



GSM

A trop jouer avec la vie, on en a oublié la vie des autres. On a joué avec leur mort, dans l’égoïsme de notre vie. On sacrifie les êtres que l’on ne connaît pas, pour conforter notre existence. Parfois même, blasé de tout, on défie la mort pour le plaisir de la peur. Parfois on gagne… On gagne la désespérance de ceux qui nous aiment…
 
Jouer de sa propre vie n’est pas un jeu, quand la désespérance en est le prix… Par contre, jouer avec la mort des autres, c’est aussi jouer avec le malheur des autres qui n'ont rien demandé… Quel inquiétant sadisme recouvre tous ces actes de la violence humaine, qui impose la mort comme ultime chantage à ses semblables ?
 
Espèce prédatrice aux pouvoirs immenses, qui croit tout posséder, alors que nous n’avons rien, alors que nous ne sommes rien, à la merci d’un courant d’air de l’univers ou d’un coup de pied du créateur dans notre fourmilière…
Quelle folie meurtrière pousse une partie des bipèdes à asservir ceux de leur congénères qui se battent sans rien, contre l’arbitraire, contre l’injustice, contre l’exploitation, contre la spoliation, avec comme seule force, l’espérance que leur monde recouvrera la raison ?…
 
Je sais que le monde plonge vers le chaos, vers l’enfer victorieux des mauvaises intentions, enfonçant sans cesse les petits, les faibles, les démunis, vers plus de misère, plus d’iniquité, plus d’horreur…
 
Qui sont-ils ces exploiteurs lâches et perfides ? Pourquoi le destin favorise t-il leurs méfaits ?...
Simplement parce que dans leur égoïsme, ils ont compris que seule la solidarité de caste pouvait les rendre invincibles au détriment des moutons qu’ils égorgent, comme ces hordes de loups, qui ne sont forts qu’en meute.
 
Je sais les liens étroits qui unissent politiciens, dirigeants et financiers, issus des mêmes moules, écoles d’iniquité, de cynisme et de rapacité.
Dès lors, tous les trafics se poursuivront au détriment de ce que nous appelions autrefois le tiers état… Mais qui va devenir le quart monde…
 
Thomas Jefferson écrivait à peu près ceci il y a deux siècles : « Le jour où les banques privées se substitueront aux banques d’état pour contrôler la monnaie, le cortège de crises d’inflation et de récession dépossèdera nos enfants ce que nous leur aurons légués. Un jour, la terre où ils vivront ne leur appartiendra plus »…
 
Ce jour arrive… Il est déjà arrivé pour des millions de personnes dans le monde et cela continue…
 
Par zalandeau le 17/11/2013
       
13 novembre 2021

Ne croyons plus les menteurs qui nous gouvernent

GSM

Nos hommes politiques de droite ou de gauche ne connaissent qu'une recette pour combler le déficit de la dette : Réduire les dépenses et lever des impôts.
 
Lorsque l'on calcule les effets de semblables mesures, on s'aperçoit que réduire notre déficit annuel qui est actuellement de 150 milliards d'euros, impliquera une baisse de notre PIB de 300 milliards d'euros. Soit une baisse de 15%... Et ce quel que soit la proportion entre économies et recettes d'impôts...
 
Cela impliquerait un effet boule de neige parce que les réductions ne seraient pas équitablement partagées et que beaucoup de citoyens passeraient de la pauvreté à la misère entrainant des effets secondaires (comme des répliques de séismes)...
 
En fait, c'est en empêchant l'argent de partir que l'on pourrait redresser  nos comptes.
- En taxant l'importation depuis les pays low-cost. (Il est évident que le choix des produits à taxer doit se faire en fonction de ce que nous voulons relocaliser ou bien protéger. Il n'est pas question de tout taxer aveuglément).
- En faisant la chasse à l'évasion fiscale et en durcissant les peines afin qu'elles soient dissuasives.
 
En effet, la mondialisation permet aux plus riches de transmuter la masse salariale Française en bénéfice colossaux, qu'ils sont tentés de thésauriser et de cacher au fisc, tandis que des colonnes de chômeurs se créent. Les taxes douanières relocaliseraient cette masse monétaire en créant des emplois, qui par voie de conséquence allègeraient nos charges sociales parce que supportées par davantage de travailleurs. Il est bien entendu qu'il faut cibler les produits que l'on veut taxer (pas tous à la fois), en menant parallèlement une négociation avec les pays concernés et une mettant en place une incitation hexagonale de relocalisation de production...
 
Notre monnaie est trop forte, alors qu'en Allemagne elle est trop faible. Mais eux et nous, avons la même monnaie. L’Europe qui devait nous protéger est devenue un marché captif de l'Allemagne, une colonie de l'Allemagne, une chasse gardée de l'Allemagne. L'évolution des coûts n'a pas été amortie par notre intégration à la communauté européenne parce qu'aucune harmonisation n'a été faite sur aucun plan (social, défense,  politique...). La seule intégration a été monétaire. Le résultat est que pour dévaluer notre monnaie, il faut que nous sortions de l'euro, il faut que nous recréions notre monnaie.
 
Pour mettre des taxes douanières et reprendre notre monnaie, il faut bien entendu déchirer un certain nombre de traités que nos élites ont signés sans demander notre accord (notamment la traité de Schengen). Nous devrons également au préalable, déclarer le traité de Lisbonne illégal, car il contrevient au résultat du référendum du 29 mai 2005 concernant le refus du traité de Rome de 2004, afin d'abroger cette constitution européenne qui nous prive de notre souveraineté. Nous rétablirions le contrôle des changes.
 
Il faut changer la loi sur la résidence des personnes physiques et morales imposables. Si le revenu ou le bénéfice est réalisé en France, il doit être imposé en France.
 
Par contre, les revenus des étrangers et gagnés hors de France doivent être attirés sur notre sol par des taxations très faibles.
L'impôt sur la fortune doit être démantelé et ne servir à taxer que les contribuables dissimulateurs dont on n'a pas réussi à cerner les revenus...
 
La création de telles "écluses" autour de la France, loin d'être une catastrophe comme l'annoncent nos imbéciles heureux de la politique, serait attractive et ferait repartir le PIB tout en diminuant la dette.
30 milliards de diminution des importations des pays low-cost créeraient 90 milliards de PIB supplémentaires, mais créeraient une  baisse du pouvoir d'achat des ménages.
 
Mais par contre, créant des emplois, cela permettrait d'amoindrir le chômage ainsi que la charge du fardeau social sur chaque salarié, c'est à dire sur la main d’œuvre, ce qui contribuerait à baisser nos coûts de production dans un premier temps de 30 milliards, ce qui contrebalancerait partiellement l'augmentation des prix engendrée par les taxes douanières... Les prix de nos produits baissant, nous vendrons plus facilement à l'exportation (vers les pays non low-cost), ce qui contribuera à l'emploi, au PIB et au pouvoir d'achat.
 
Ainsi les sacrifices des Français ne seraient pas vains.
 
Écrit le 14 novembre 2013
     
 
7 novembre 2021

Fermeture de Fessenheim - le prix de l'électricité s'envole au gré de l'incurie de NOS gouvernants et de leur "Europe" de M....

 

GSM

Écrit par autrui. Merci à Jiellehaime

Électricité : les Français condamnés à payer pour un marché européen de dupes

Il est à espérer que les Français vont enfin comprendre dans quelle impasse les a menés la pantomime du tarif de l'électricité à laquelle ont souscrit les dirigeants français, ces dirigeants parfaitement incompétents qui ne comprennent rien au marché de cette énergie.

Il était autrefois l'EDF. Créée au lendemain de la guerre, elle était un État dans l'État, mais aussi une entreprise dont les ingénieurs dirigeants avaient compris que l'énergie disponible est le facteur fondamental qui permet le développement économique d'un pays. Force est de constater qu'elle a accompli sa mission de façon remarquable, d'abord par ses aménagements hydrauliques (2.300 barrage, dont 433 exploités par EDF), et ensuite par la construction de 19 centrales nucléaires regroupant 58 réacteurs (18 et 56 aujourd'hui, hélas).

L'EDF était une entreprise une et indivisible qui fonctionnait selon un monopole, et qui a permis à la France d'avoir en abondance et sans la moindre panne (sauf intempéries) l'électricité la moins chère du monde.

Cette situation ne pouvait pas convenir aux gnomes de Bruxelles. Mon Dieu, un monopole ! disaient les Bruxellois. Mon Dieu, ces Français font mieux que nous ! disaient les Allemands. Mon Dieu, le nucléaire ! disaient les imbéciles !

On va donc faire un marché unique de l'électricité dans lequel les Français sont obligés d'introduire la concurrence ! Pire : M. Macron, petit garçon obéissant, en profite pour fermer Fessenheim et ses deux réacteurs nucléaires.

Marché unique : le prix de l'électricité sera désormais indexé sur le coût marginal, c'est-à-dire le coût du dernier kilowatt produit. Autrement dit, quand la demande oblige à démarrer les centrales les moins rentables, celles qu'on garde en secours, le prix de vente de toute l'électricité s'aligne sur le prix de revient des centrales les plus chères. C'est la vente au coût marginal, chère aux économistes de Bruxelles, la seule qui peut fonctionner dans une économie de libre concurrence (sinon, les dernières centrales s'arrêtent).

Or, l'électricité la plus chère est celle qui provient des centrales à gaz, en raison du coût exorbitant de cette énergie. Voilà pourquoi le prix du kWh, en France, est indexé sur le prix du gaz, alors que notre électricité est nucléaire.

L'alignement sur le prix des centrales les plus chères en Europe est le résultat mécanique 1) de la disparition du monopole et 2) de la concurrence obligatoire imposée par Bruxelles.

Ainsi Bruxelles, par ses attaques répétées contre notre système électrique – probablement le meilleur en Europe – et par l'obsession antinucléaire pilotée par les Allemands, est parvenue à affaiblir dangereusement la production électrique française.

Au point que la France va devoir importer de plus en plus. Ainsi, peu de temps après la fermeture de Fessenheim, on passait commande à l'Allemand Siemens de la construction d'une centrale au gaz à Landivisiau, avec contrat de maintenance sur vingt ans et fourniture du gaz venant de Russie par les Allemands. Donc, des importations au prix fort et le risque de chantage du fournisseur en prime.

Mais ce n'est pas tout. RTE, devant l'affaiblissement de notre réseau, a préparé un plan de coupures électriques qui sera appliqué cet hiver en cas de grand froid. Ce sont des coupures tournantes de deux heures par paquets de 200.000 foyers (soit environ 450.000 personnes).

Tel est le résultat de la gestion lamentable de nos illustres édiles, plus prompts à obéir à des injonctions imbéciles qu'à prendre des décisions par eux-mêmes !!!
A-t-on besoin de ces "responsables" qui sont de fait, totalement irresponsables ?
        
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