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zalandeau
20 septembre 2020

Je ne fais pourtant de tort à personne...


GSM

Ecrit le 12 février 2013
 
Je passe pour un "je-ne-sais-quoi", déjà par l'habillement avant tout autre chose.
Plus que jamais, l'habit fait le moine. C'est en partant de ce principe que le Français moyen cherche à s'habiller comme un passe muraille : le plus invisiblement possible...
 
Les habits d'aujourd'hui sont d'une non-qualité affligeante. Ma corpulence, ainsi que mon envie de qualité et d'esthétique m'excluent du standard. Alors que faire ?
 
Pour être habillé correctement il faut avoir le portefeuille de Crésus ou de Roland Dumas. Une autre solution, c'est de commander sur mesure en Chine. C'est moins cher, mais c'est pas donné quand-même et pour la qualité, c'est de toute façon, de la merde.
Alors, je m'habille exclusivement avec de l'occasion. C'est pas cher du tout, même avec les frais de transport. J'ai le choix et j'obtiens ainsi des habits solides, chauds, vieux de quelques années à 50 ans parfois, en état très acceptable. Je les modifie en enlevant un peu de tissu ici pour le recoudre là, afin de les mettre à ma 'circonférente' taille...
J'aime les vestes qui couvrent la poitrine et la braguette (ça cache le gourdin) et qui ont beaucoup de poches pour mettre mes papiers, j'ai donc une préférence pour la vareuse militaire.
On me critique, mais quand je vois Louis Bodin, avec sa veste étriquée qui ne couvre que le nombril exclusivement, je comprends pourquoi il débite la météo en deux minutes : Pour pouvoir reprendre sa respiration après. S'il le faisait pendant... On risquerait un œil crevé par projection de bouton...
 
Évidemment, la mode n'a pas rendez-vous avec moi, ni en formes, ni en couleurs...
 
Je passe pour quelqu'un d'aisé ou bien alors quelqu'un d’excentrique, enfin bref, les regards et les réflexions fusent. Cela explique d'ailleurs les remarques déplacées de mon kiné et de mon généraliste (Cela explique, mais ne justifie en rien)...
 
Enfin, ça me fait chier ! Comme si c'était amusant de ne pas avoir les moyens ! Il faut en plus que je me coltine le regard des imbéciles. Je les emmerde !!!
 
Dernièrement, je me suis fait un costume et j'ai fait un tailleur pour ma femme. Ça a mis beaucoup de temps, mais j'ai fini par y arriver, malgré mon habileté très diminuée.
J'ai fait des patrons maintenant très au point (à force de retouches).
J'ai donc l'intention de réaliser d'autres costumes et tailleurs. Ça m'occupera, en même temps que ça m'habillera, pour des sommes extrêmement modiques...
 
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19 septembre 2020

BREAKFAST AT TIFFANY´S (DIAMANTS SUR CANAPE) - MOON RIVER

GSM

 

 

MOON RIVER (1961)

Quel merveilleux souvenir que ce film et surtout cette chanson magnifiquement interprétée par Audrey Hepburn

 

18 septembre 2020

Covid-19 – L’Hypoxie heureuse (Information importante)

GSM


https://fr.style.yahoo.com/covid-19-qu-l-hypoxie-101205638.html

Paru sur Femme actuelle le 7 mai 2020 sur internet en accès libre et gratuit !

https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/covid-19-quest-ce-que-l-hypoxie-heureuse-ce-mysterieux-nouveau-symptome-de-la-maladie-2094973

Des médecins ont constaté que certains patients atteints de Covid-19 avaient une saturation en oxygène très basse, sans pour autant présenter, en apparence, les signes d'une détresse respiratoire. Un mystérieux phénomène qui ne serait pas sans conséquences sur la santé.

 
Toux, fièvre, maux de tête… Ces symptômes peuvent être évocateurs du coronavirus et évoluer, dans les cas les plus graves, vers une détresse respiratoire. Les patients présentent alors une hypoxie, autrement dit une saturation en oxygène - qui correspond à la quantité d’oxygène qui circule dans le sang - particulièrement basse, ce qui les rend généralement incohérents, comateux, voire inconscients. Leur état de santé est alors critique.
 
Mais dans certains cas, un phénomène mystérieux, mis notamment en lumière par la revue scientifique américaine Science, se produit : des patients atteints de Covid-19 ayant une saturation en oxygène très faible se présentent à l’hôpital en se plaignant simplement d’une gêne respiratoire. C’est ce que certains ont surnommé l’"hypoxie heureuse", une expression inappropriée au vu de la gravité de la situation. Le bon terme pour décrire ce phénomène est "hypoxie silencieuse".
 
Sur CNN, le Dr Richard Levitan, un médecin urgentiste américain, explique qu’il a vu des patients se présenter avec des niveaux d'oxygène sanguin si bas qu'ils auraient dû être inconscients. La saturation normale en oxygène se situe entre 95% et 100 %. Lorsqu’elle est en deçà de 90%, elle est considérée comme anormale.
 
Certains des patients pris en charge par le Dr Richard Levitan avaient une saturation en oxygène à 50%. "Leurs radios des poumons étaient affreuses, leur (taux d') oxygène était terrible, et pourtant ils étaient complètement réveillés et alertes sur leur téléphone portable. Ils ont tous dit qu'ils étaient un peu malades depuis des jours et que ce n'est que récemment qu'ils avaient remarqué soit un essoufflement, soit de la fatigue, soit autre chose", a-t-il expliqué.
 
Comment expliquer que ces patients ne se rendent absolument pas compte que leur état de santé se soit autant dégradé ? "Nous n’observerions pas ce phénomène dans le cadre d’une grippe ou d’une pneumonie communautaire. C'est beaucoup plus profond et un exemple de mécanisme physiologique très anormal qui se déroule sous nos yeux (…) Nous ne comprenons tout simplement pas", explique le Dr Mike Charlesworth, anesthésiste à l'hôpital Wythenshawe de Manchester, au Guardian.
 
Certains médecins supposent que lorsque les patients atteints de Covid-19 développent une gêne respiratoire, le corps accélère la respiration pour compenser, tandis que les niveaux d’oxygène dans le sang continuent de baisser. L’organisme s’adapte alors à ce changement, comme il s’adapte à la haute altitude.
 
Bien qu’elle soit silencieuse, cette hypoxie peut créer des dégâts sur les poumons, mais aussi sur d’autres organes tels que le cœur, les reins et le cerveau. Comment l’éviter ? Certains médecins suggèrent que fournir un oxymètre de pouls - qui permet de prendre la saturation en oxygène sur le bout du doigt - aux patients testés positifs au Covid-19 pourrait être une solution. Mais elle a ses limites, car ils ne savent pas si une détection précoce de cette hypoxie suffirait à éviter les dégâts causés sur l’organisme.
  
17 septembre 2020

Je ne suis plus tricard

 

GSM

Aujourd'hui, 17 septembre 2020, je retrouve enfin 17 jours après la suppression de mon blog sur canalblog et la création du nouveau, après également 16 jours de placard, une place parmi :

les "Derniers blogs Actualités et Médias mis à jour",

"les Nouveaux messages d'actualités et médias",

et "les "Tops messages d'actualités et médias"...

Je suis content de ne plus être tricard !!! Merci.

  

17 septembre 2020

Mémoires et radotages (299) – Mes dernières réponses aux commentaires de blog

 

 

GSM

Recopié le 12 septembre 2020

 

A propos de l’immigration :

Le problème n'est pas une communauté dans son ensemble. Le problème est le manque de réaction de la justice plus prompte à taper sur les policiers que sur les ‘cailleras’. Le problème, c'est la quasi impunité dont ces délinquants et criminels jouissent et les font devenir chaque jour plus nombreux. Le problème, c'est cette opération porte ouverte permanente à une immigration non maîtrisée, parce qu’ "ON" ne veut pas la maîtriser... Il ne peut plus y avoir de liberté, d'égalité ni de fraternité, lorsque l'injustice, le désordre et l'insécurité prennent de telles proportions, au point d'empêcher les citoyens de se défendre légitimement sous peine d'être plus criminel que leurs agresseurs que l' "ON" protège...

Très bonne journée à toi

A propos de Moretti :

Quand un ultragauchiste parle d'illusion concernant le camp adverse, c'est qu'il est lui-même dans ses rêves chimériques émanant de ses œillères idéologiques... Ces gens là ne sont pas dans le réel ; ils sont dans l'irréel onirique d'une pensée théorique...Très bonne journée à toi

 

A propos des journalistes :

Une discordance de ma part : Tout dépend des médias : Entre médiapart et Blvoltaire, c'est le jour et la nuit. Cnews n'a rien à voir avec LCI ni la 27... Ils ne sont donc pas nécessairement tous de gauche ! Et puis même… il y a gauche et gauche…Fort heureusement on a des Zineb El Rhazoui, des Zemmour, des Rioufol etc... qui s'expriment... Et je sais faire la différence avec les obsédés de la langue de bois et du progressisme islamo-gauchiste... Très bonne journée à toi

 

Toujours à propos des journalistes :

Il y a quand même une certaine liberté d'expression : A preuve, pascal Praud qui de plus en plus se droitise, bien qu'il contrarie fréquemment Rioufol... On parvient quand même à un certain équilibre des expressions et ça c'est très important !!!

 

Toujours à propos des journalistes :

Joffrin est un personnage complexe... Tout comme Julien Dray d'ailleurs (faisant l'objet d'une enquête préliminaire pour abus de confiance), qui a commencé comme Trotskyste à la LCR et qui maintenant se rapprocherait insensiblement d'un certain souverainisme de gauche. Par bien des points il y a accord sur certains thèmes, parce que la vérité est obligée de leur sauter aux yeux inéluctablement (sur l'insécurité par exemple), au point de les faire évoluer... Mais bien entendu il y a des points de leur sensibilité politique qui ne changeront pas... Très bon samedi à toi

 

A propos des nouveaux conducteurs de berlines de luxe aux senteurs de cannabis :

Évidemment, nos dirigeants ont laissé notre pays régresser au point de favoriser l’émergence de véritables "cours des miracles" un peu partout dans nos banlieues... Des lieux où la police royale, comme jadis, n'a pas le droit de mettre les pieds... Et bien il y a des rois autoproclamés de ces cours des miracles un peu partout dans ces territoires délaissés de la république... En toute impunité ! Très bonne journée à toi

  

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16 septembre 2020

Hépatite C

GSM

Article en accès gratuit sur internet

La seule maladie virale chronique à pouvoir être guérie (Note de zalandeau : Seulement depuis quelques années).
 
L’hépatite C chronique concernerait moins de 200 000 personnes en France, un chiffre en constante diminution ces dernières années. Cette maladie du foie d'origine virale reste longtemps silencieuse : elle évolue pendant dix, vingt ou trente ans avant que de graves complications apparaissent. Désormais, l’enjeu est de parvenir à diagnostiquer et à traiter les personnes infectées avant ce stade. Des médicaments permettant de guérir plus de 95% des personnes traitées sont désormais disponibles. En cela, l’hépatite C chronique est unique : elle est aujourd’hui la seule maladie virale chronique à pouvoir être guérie.
 
 
L’hépatite C est une maladie du foie causée par un agent infectieux de la famille des flavivirus, le virus de l’hépatite C (VHC). Avec l’hépatite B, elle constitue l’une des formes les plus graves d’hépatite virale, capable d’engendrer une atteinte chronique du foie à risque de complications graves.
 
En 2011, on estimait à 345 000 le nombre de personnes ayant été en contact avec le VHC en France, et à 232 000 le nombre de porteurs chroniques du virus. Cependant, du fait de l’efficacité et de la prescription élargie des nouveaux traitements, ce dernier nombre est en constante diminution depuis 2014. Ainsi, en 2016, le nombre de porteurs chroniques était estimé à 193 000, dont seuls les deux tiers auraient connaissance de leur infection.
 
La France a adopté une politique de santé publique particulièrement proactive concernant le dépistage et la prise en charge de la maladie, ce qui explique la diminution récente et constante des chiffres de prévalenceprévalenceNombre de cas enregistrés à un temps T.. Ailleurs dans le monde, l’enjeu reste important : 70 millions de personnes seraient chroniquement infectées - soit 1% de la population du globe - et plus de 350 000 personnes décèderaient chaque année des suites de cette maladie.
 

Des modes de contamination parfois sous-estimés

 
Le VHC se transmet essentiellement par voie sanguine. Les cas de contamination par voie sexuelle sont rares et limités aux personnes qui ont des partenaires multiples, des pratiques sexuelles brutales et/ou sont co-infectées par le VIH. Le risque de transmission maternofœtal est de l’ordre de 5% si le VHC est détectable dans le sang de la mère au moment de la naissance. En pratique, la principale voie de contamination actuelle passe par le partage de matériel entre usagers de drogues (seringue, paille de sniff, compresse…).
 
Historiquement, le virus s’est largement propagé par le biais des transfusions sanguines. La découverte du VHC en 1989 a ensuite permis d’écarter définitivement ce risque, au moins dans les pays industrialisés. Le virus a également pu se transmettre à l’occasion de tatouages, de soins dentaires ou d’acupuncture réalisés avec du matériel mal stérilisé, mais cette voie de contamination est aujourd’hui anecdotique.
 
Depuis l’identification du virus, les mesures de prévention et de dépistage ont largement permis de réduire l’ampleur de l’infection en France : même si on ne dispose d'aucune évaluation précise récente du nombre annuel de nouveaux cas en France, on pense que quelques milliers de personnes contractent encore le virus chaque année, essentiellement parmi les usagers de drogues. L’évolution récente des traitements favorise une moindre circulation du virus et donc, potentiellement, une diminution des nouvelles infections.
 
Les usagers de drogues pratiquent pour la plupart des tests de dépistage réguliers pour le VHB, VHC et VIH. Ils sont donc souvent diagnostiqués. Restent que les personnes n’ayant pas le sentiment d’appartenir à un groupe à risque sont peu enclins à réaliser un dépistage : celles ignorant avoir reçu une transfusion sanguine avant 1992, celles ayant été infectées à l’occasion d’une unique consommation de drogue… Au total, on estime que près d’une personne concernée sur trois, ignore qu’elle est infectée par le VHC.
 
Zalandeau : C’était le cas de mon Papa ! Mon père a été contaminé, suite à une très grave brûlure dans les années 70, à l’hôpital Saint Roch à Nice lors de transfusion de produits sanguins. Comme le dit si bien le texte ci-dessus, l’hépatite C n’était pas recherchée dans le sang des donneurs à l’époque.
Et ce n’est que dans les années 90, à la retraite, que sa maladie a été diagnostiquée… Un des deux lobes de son foie était nécrosé et totalement mort… Etant donné son âge, il n’était pas question de lui faire une greffe de foie, ces organes étant destinés en priorité à des personnes plus jeunes, quand au médicament il n’est apparu qu’en 2013, bien après le décès de mon père et à un prix inabordable…
 
Ce qu’aucune littérature ne transcrit, c’est comment la maladie arrive à son terme… La mort !
 
Les derniers jours de mon père, j’étais à l’hôpital Saint Cyr de Villeneuve sur Lot et je m’enquis, auprès d’un médecin du service, des symptômes qui avaient successivement frappé mon père.
Il m’expliqua alors, que depuis des mois, mon père allait tous les quinze jours se faire retirer du liquide qui s’accumulait dans son abdomen et que le foie ne filtrait plus… Après la nécrose totale du deuxième lobe du foie, la maladie s’en prend à d’autres organes… Poumons, cœur et finalement le cerveau… Parallèlement le liquide envahit tout le corps… dont les poumons… Et le patient meurt en partie par noyade…
  
15 septembre 2020

La haine et l’amour : Deux voluptés !

GSM

Écrit le 27 juillet 2009
 
En deux jours consécutifs, j’ai éprouvé deux sentiments diamétralement différents, et même franchement opposés.
 
- Le premier jour, j’ai éprouvé la plus grande haine de ma vie contre ce pantin malfaisant qui était censé représenter la grandeur de la France et le service de tous les Français…
Non, ce n’était pas une haine genre jalousie… Il y a longtemps que j’avais donné et j’ai depuis abandonné ce genre de sentiment qui ne fait mal qu’à soi-même… C’était plutôt une haine, composée d’une joie sadique, dans laquelle j’espérais vraiment qu’il y passe, sans fausse honte, sans remords et bien sur, sans aucune charité chrétienne… Je sais on dit que ce n’est pas bien… Mais cette « chose », je la considérais (et la considère encore aujourd’hui) comme une créature nuisible, parasitaire… Alors je n’y vois aucun mal…
C’est la première fois que j’éprouvais pour quelqu’un ce genre de sentiment de haine sadique, qui sort à la fois de l’instinct le plus bestial et de la perversité humaine la plus forte…
J’ai participé à des actions militaires, mais je n’ai jamais éprouvé qu’un instinct de défense, une répulsion de tuer inutilement, et des souvenirs lourds à porter, tant ces actes sont difficiles à assumer et à surmonter…
Mais pour ce nabot diabolique et pathétique que la vulgate avait élue dans un grand élan de masochisme, je n’aurais eu aucun remord, aucun regret, j’aurais éprouvé une délivrance, un sentiment d’avoir accompli une bonne action.
Je n’ai plus de morale, je n’ai plus d’éthique quand il s’agit de ce diable tout droit sorti de l’enfer…
C’est terrible… Ce sentiment, cette répulsion éprouvée pour la première fois de ma vie, avec une telle volupté…
 
Crève donc charogne, le plus vite possible !
 _________
 
- Le lendemain, la découverte de cette chanteuse de Jazz, Melody Gardot, bouleversa ma vie…
Elle chantait divinement. Et non seulement son interprétation était exceptionnelle, mais en plus elle était auteur-compositeur… Son style d’écriture était le Jazz que j’aimais, car je n’aime pas tous les morceaux de Jazz, loin de là… Il y avait tant d’années que le genre musical n’avait ni queue ni tête, ni mélodie… Et là on avait tout… Le Folk, le Blues et le Jazz… Fantastique… Melody, tu portais bien ton prénom...
Oui, c’était de la volupté pure, de la tendresse, du vécu (et elle en a, avec l’accident dont elle est sortie polytraumatisée à 19 ans)…  Il y a toutes les couleurs de la vie dans les morceaux ou chansons de cette magnifique artiste…
Et j’en suis bien heureux…
 
Qu’elle vive longtemps, pour son bonheur et pour le nôtre !
  
14 septembre 2020

Mémoires et radotages (300) – Les Gilets jaunes ne sont plus ce qu’ils étaient !

 

 

GSM

Écrit le 13 septembre 2020

Samedi 12 septembre 2020, les Gilets Jaunes ont remis ça… Façon de parler…

Car enfin, des gens revêtus du fameux gilet, il n’y avait que 1 à 2 %...

Leur nombre ? Seulement 8.500 dont 2.500 à Paris.

En 2018, les gilets jaunes fort nombreux, regroupaient des gens qui manifestaient pour leur niveau de vie amputé semaine après semaine par l’état Macronien ainsi que des individus qui étaient contre tout et n’importe quoi. Mais il régnait dans les manifs, une tolérance entre les différentes motivations des participants. 

Samedi dernier, les manifestants étaient composés majoritairement de gens qui sont contre tout et n’importe quoi et encore, seulement les plus politisés et les plus radicaux et intolérants, comme le prouve le ‘chahutage’ et les insultes envers Bigard au motif de son respect des institutions policières. Vas soutenir des cons pareil !

En 2018, les manifestants n’étaient mus que par un mécontentement spontané mis en place à l’aide des réseaux sociaux, prenant au dépourvu toutes les organisations syndicales.

Samedi dernier, l’ultra-gauche, la France Insoumise, les groupes minoritaires et la CGT ont fomenté cette manifestation politique essentiellement destinée à emmerder le gouvernement, les institutions et à abattre le fonctionnement de la France. Ils aiment bien prendre la France en otage !

Cela fait une sacrée différence.

Dans les deux cas, les blackblocks étaient au rendez-vous, avides de démolir le système.

« Le mouvement est mort, je le dis clairement. C’est un peu un baroud d’honneur » dit un manifestant un peu plus lucide…

Je me demande combien de nouveaux cas contacts, combien de nouveaux infectés seront générés par ceux qui ne portaient pas de masque et ne gardaient pas les distances physiques appropriées ?

Je me demande s’ils comprennent que Macron ne va pas sortir indéfiniment des milliards en plus pour combler les trous dans l’économie que ces imbéciles peuvent générer alors que nous tâchons de sortir très difficilement d’un marasme économique sans précèdent ?

Je me demande si ces gens ont le sens des responsabilités ? Il y a un moment pour tout. Mais en ce moment, la situation est trop fragile.

Certes, ce sont les blackblocks qui cassent tout, mais les manifestants ordinaires savent qu’inévitablement les casseurs seront à l’œuvre… Et devraient savoir que ce n’est pas le moment de casser alors que nous sommes en pleine reconstruction très aléatoire.

Comme je l’ai dit, les slogans, les motivations de ces manifestants, sont moins nobles que ceux des Gilets Jaunes de 2018 :

« No masques, No vaccins », « Black Lives Matter » et bien d’autres fariboles issues de rumeurs complotistes dominaient des aspirations plus sérieuses comme : « le changement de Constitution par référendum », « la justice sociale et fiscale », « dissolution de l’assemblée nationale », « la démocratie directe » ou « pouvoir remplir son frigo dignement ».

Heureusement la forte présence policière a empêché qu’il y ait trop de casse et trop de violence. Je pense (sans en être certain) que ce coup-ci, les casseurs ont été davantage ciblés que les Gilets Jaunes, contrairement à 2018-2019 !

Remettons l’économie en marche ! Recréons du travail pour nos jeunes ! Sortons les gens du chômage ! Consommons !... Et ensuite on verra pour le reste !

Samedi dernier, il y avait des manifestants, mais ils n’étaient plus véritablement des Gilets Jaunes.

  

13 septembre 2020

Covid-19 : dans quel ordre les symptômes apparaissent-ils ?

GSM


Par Ingrid Bernard – Yahoo actualités – 18 aôut 2020 – En accès gratuit totalement libre

Des chercheurs de l’Université de Californie du Sud aux États-Unis ont établi l’ordre d’apparition des symptômes dans le cadre du Covid-19. Un moyen de distinguer le virus à celui de la grippe, du MERS ou du SRAS-1.

 
Fièvre, toux, perte du goût et de l’odorat, gênes respiratoires, nausées, éruptions cutanées… Les manifestations du Covid-19 sont nombreuses. Il n’est d’ailleurs pas évident de détecter la maladie tant ses symptômes sont communs à d’autres pathologies. Des chercheurs de l’Université de Californie du Sud aux États-Unis ont toutefois cherché à déterminer l’ordre d’apparition des symptômes du coronavirus afin “d’aider les patients et les professionnels de la santé à diagnostiquer et distinguer le plus rapidement la Covid-19 des autres maladies respiratoires”.
 
Les scientifiques ont examiné des données collectées par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) entre le 16 et 24 février 2020 en Chine. Ils ont étudié plus de 55 000 cas confirmés du nouveau coronavirus. Ce qui leur a permis de comparer l’évolution des symptômes du Covid-19 à ceux de la grippe, du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) ou le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-1).
 

La fièvre avant la toux

 
L’étude publiée dans la revue Frontiers in Public Health révèle que les personnes atteintes du Covid-19 auraient, dans un premier temps, de la fièvre. Ils présenteraient ensuite de la toux, des douleurs musculaires, puis des nausées et éventuellement de la diarrhée. À noter que dans le cas de la grippe, la toux apparait avant la fièvre. Le Covid-19 diffère du SRAS et du MERS dans l’ordre d’apparition des symptômes gastro-intestinaux. “Le tractus gastro-intestinal supérieur (c'est-à-dire les nausées/vomissements) semble être affecté avant le tractus gastro-intestinal inférieur (c'est-à-dire la diarrhée) dans la Covid-19, ce qui est le contraire du MERS et du SRAS”, ont constaté les scientifiques.
 
Pour les chercheurs, ces données sont précieuses. "Cet ordre pourrait s’avérer être particulièrement important quand des maladies cycliques comme la grippe vont chevaucher les infections à la Covid-19", a déclaré Peter Kuhn, professeur de médecine à l’USC. "Étant donné qu’il existe maintenant de meilleures approches pour les traitements de la Covid-19, l’identification précoce des patients pourrait réduire le temps d’hospitalisation”, ont indiqué les auteurs de l’étude.
 
Des informations à prendre toutefois avec quelques précautions sachant que bon nombre de personnes se révèlent être asymptomatiques ou développer des formes atypiques de la maladie.
  
12 septembre 2020

Exister intensément, c’est vivre !

GSM


Oui… Il y a quelque chose qui change… Comme une acceptation de soi, comme une évidence qui s’impose, définitive et sans contours…
Alors, on se dit que l’on ne peut pas être et avoir été… La force pure, qu’elle soit physique ou bien raison s’éteint, mais il reste autre chose…
 
Après s’être réfugié grâce au recours d’une parole écrite sous l’emprise d’une muse irrationnelle, on en vient à sortir et retrouver ce monde dont nous ne nous sentions plus digne… On reprend confiance sur de nouvelles bases… Les réflexes sont les mêmes, les envies d’aventures sont semblables, l’appel des émotions fortes existe encore tapi au plus profond de nous…
 
Oui le grand frisson de la course automobile, l’émoi de l’accélération qui vous colle au siège, l’adrénaline des courbes  et des dépassements à la limite du raisonnable, si tant est que nous sachions toujours où est cette limite…
 
Pas de force physique, pas de raisonnement, seulement un mental de fer et une expérience avérée…
 
Oui, je vais revivre, au volant de ce bolide… Une boule dans l'estomac et des sueurs froides...  Je vais exister à nouveau, d’une façon nouvelle, dans un nouvel avenir…
 
Exister intensément, c’est vivre, mais c'est aussi risquer !
 
© zalandeau, le mardi 6 octobre 2009
   
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