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zalandeau
liberation
2 juin 2021

Mémoires et radotages (350) – Tous unis contre Nikɔla Saʁkɔzi 1er le hutin…

 

 

GSM

Écrit le 31 mai 2021

Il y a tant de similitudes entre le pouvoir absolu de Nikolas Sarkozy de Nagy Bocsa et celui de Macron, qu’il est bon parfois de ressortir des textes datant d’une douzaine d’années…

@ 09 février 2009 – 12:11:28

Revenant sur les propos divers et variés du 5 février 2008, de notre monarque absolu Nikɔla le petit, je ne parlerai que de sa petite évocation des « trois tiers », concernant la répartition des bénéfices des entreprises :

 

Un tiers, pour les actionnaires et dirigeants, un tiers pour l’auto investissement, un tiers pour les salariés…

Voilà une idée qu’elle est bonne ! Pour tenter de ramener un peu d’électorat vers lui, y’a pas mieux !

Non seulement je suis d’accord sur l’idée, mais encore, c’est ce que je pratiquais dans ma petite boîte… (Sauf qu’il fallait remplacer les mots PDG par Gérant et Actionnaires par associés)…

Ces jours derniers, Serge Dassault s’est exclamé « Mais ça fait 25 ans que je pratique de la sorte »… De fait, ses salariés ont reçu des participations qui ont pu atteindre jusqu’à trois mois et demi de leur salaire… Par contre, comme dans les autres entreprises, en cas de perte et de manque d’activité « il était également obligé de licencier »…

Mais chez Dassault Industrie, nous n’avons jamais assisté à des conflits sociaux…

Pourquoi ? Parce que les salariés savaient que si on partageait le gâteau dans les périodes fastes, la contrepartie était de subir les avaries, pour que la boite ne coule pas…

Le problème c’est que cette proposition de Nikɔla, a été faite comme on lance des confettis… Une fois à terre on ne les ramasse pas, car quand le journaliste lui a demandé s’il était prêt à faire une loi, il a dit que non et qu’il préférait laisser leur liberté aux entreprises…

(C’est comme pour les banques : il leur donne notre fric et ne leur fait que des recommandations éthiques à respecter, sans aucun contrat)…

-         Alors, qui est dupe de ces effets d’annonce sans aucune suite ?

-         Qui ne voit pas que les seules actions tenues sont celles en faveur des riches ou celles dirigées contre les autres (classe moyenne, pauvre et miséreuse étant maintenant dans le même panier) ?

Il dit une chose et ses actes (ou non-actes) sont totalement inverses. Les Français le voient… Les Français commencent à se réveiller de l’hypnose que le grand maître de la prestidigitation leur a fait subir.

Un sondage récent, réalisé pour Libération, montre que 66 % des Français sont insatisfaits de l'action de Nikɔla Saʁkɔzi 1er le hutin, contre la crise…

Avant le règne de ce despote non éclairé, mes amis m’avaient classé plutôt à droite. Moi-même après son accession au trône, je ne savais plus où me cataloguer…

Je pense que bon nombre de Français, sont comme je suis : Ils ont perdu leurs repères…

Mais maintenant il faut tous nous ressaisir, comme je l’ai fait.

Laissons de coté nos petits égoïsmes de clan. Voyons plus loin que nos seuls intérêts catégoriels. Nous sommes 80% des Français dans la même galère, gouvernée par un maniaque irresponsable…

Que nous soyons de droite où de gauche, du public ou du privé, salarié ou petit artisan ou petit commerçant, nous avons  à souffrir des mêmes maux que nous inflige ce mégalomane du libéralisme. Et par solidarité avec tous les plus démunis d’entre nous (miséreux et SDF), unissons-nous !

Contre la casse de notre démocratie, tous unis contre Saʁkɔzi ! 

Retour en 2021… Les dirigeants changent, les pratiques sont les mêmes ! Demandons-nous pourquoi Sarko admire tant Macron ?… Et pourquoi Macron va-t-il parfois demander conseil à Sarko ?...

    

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19 mai 2021

Nouvelle tribune des militaires d’active parue le 9 mai 2021

GSM

Note de zalandeau : J’ai bien tardé à l’éditer, mais ce texte de nos camarades d’active, est si beau, si plein des sentiments de devoir et de service de la patrie, que je ne résisterai pas plus longtemps à l’afficher, tel un drapeau de la république…

    Monsieur le Président de la République,

    Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

    On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :

    « Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre »

    Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.

    Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

    Dans ces conditions, c’est à nous, qui sommes récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

    Nous sommes de ce que les journaux ont nommé « la génération du feu ». Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

    Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

    Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

    Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

    Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

    Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un « pronunciamiento militaire » mais d’une insurrection civile.

    Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

    Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.

    L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

    Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

    Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

    Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un État failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir ?

    Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois,  d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

   

10 novembre 2020

De Gaulle, la révolte permanente

GSM

Ecrit le 6 juillet 2008
 
J'ai eu la chance de grandir dans la lumière de deux grands hommes, mon père et De Gaulle.
 
Mon père m'a appris la rectitude, la loyauté, l'esprit de sacrifice, l'amour de ses enfants, la valeur du travail...
 
Le Général, j'ai entendu sa voix, je devais avoir huit ans, sur le vieux poste de TSF à diodes branché sur Paris Inter... J'ai compris que ses mots étaient ceux d'un grand homme. J'avais deviné que les évènements que j'écoutais étaient primordiaux, bien que je ne comprisse pas tout leur sens politique...
Je ne savais pas que je faisais partie des Français qui avaient la chance de reconstruire une société plus juste, plus humaine, plus fraternelle, sous l'égide de celui qui avait su dire NON...
Nous vivions la renaissance de notre Patrie, durement marquée par l'humiliation de la défaite. Cet homme que nous suivions, avait su nous donner le goût d'un destin commun, d'une ambition pour la France, ce pays des droits de l'homme et de la liberté.
J'ai cru alors, qu'il était normal que la société ait une morale du bien contre le mal, du progrès social, de l'enthousiasme pour l'intérêt collectif...
J'ai cru aussi, sous l'action de De Gaulle, homme de la révolte permanente, que notre pays avait vocation à libérer les peuples, à acquérir sa propre indépendance et à choisir une troisième voie, entre le capitalisme et le tout-communisme...
Aussi trouvais-je normal que notre état fut Jacobin et qu'il poursuivit une politique économique planifiée volontariste pourtant dans la droite ligne des créations de manufactures de l'ancien régime et sans considération pour les humeurs de la bourse. 
Je ne m'interrogeais point sur cet "état de vivre", qui était normal et si naturel...
 
Oh, j'avais bien tort, je m'en suis aperçu depuis...
Car après la disparition du Général, la patrie est partie en quenouille, la liberté s'est émiettée, la fraternité a disparu, l'égalité n'est même plus un rêve...
Notre souveraineté, si chèrement acquise, nous venons de la jeter aux orties constitutionnellement, politiquement, militairement, économiquement, menés que nous sommes, par un président, véritable fossoyeur de ce qui faisait la grandeur, le bonheur et la fierté des Français...
 
Non, je ne savais pas le bonheur que nous avions, du temps de ma jeunesse, de vivre les plus grandes aspirations qui amènent l'être au niveau du Divin : Le dépassement de soi-même au profit de tous, l'envie d'une vie plus humaine pour tous, du confort et du bien-être collectif...
 
Maintenant que nous sommes sous le règne de l'arbitraire, de l'égoïsme, de l'accaparation par une minorité, gouvernés successivement par un autocrate népotiste, puis par un européiste dogmatique mou, asseyant leur pouvoir fallacieux sur le mensonge, la division des Français et l'idée qu'il n'y a pas d'autre choix possible, je comprends mieux la chance que nous avions...
 
Il faudrait que la jeunesse connaisse son histoire. Elle y apprendrait que notre destin, pourrait être très différent du sort funeste qui nous attend...
Il suffit de le vouloir, il suffit de trouver l'homme qui saura dire NON, qui saura réconcilier les Français, qui saura faire passer le bien commun avant l'intérêt particulier...
 
Les Français sauront-ils trouver un nouveau De Gaulle pour sauver leur destin ?
  
8 novembre 2020

Coup de gueule de Zohra Bitan

GSM


 

 

5 novembre 2020

Chroniqueuse a RMC et Française Musulmane

GSM

 
 
 

 

 

 Bravo à Zohra !

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12 octobre 2020

Mémoires et radotages (219) – Nouvelle loi anti-haine, mais en fait anti-liberté d’expression


GSM

Écrit le 10 juillet 2019 par zalandeau
 
La loi qui est proposée ordonne aux GAFA, sous peine de lourdes sanctions financières, de faire la censure sur leurs sites.
 
Il existe pourtant déjà des lois contre le racisme et l’antisémitisme et contre l’incitation à la violence et au terrorisme…
 
Alors, pourquoi proposer une nouvelle loi ?
 
Le but recherché est difficilement contestable : mieux lutter contre la publication et le partage de contenus insultants voire haineux sur les plateformes numériques. Mais la proposition de loi contre la cyberhaine, qui sera votée ce mardi à l'Assemblée nationale, s'attire de nombreuses critiques.
 
Ce texte, porté par la députée LREM Laetitia Avia, prévoit plusieurs mesures. Parmi elles : la création d'un parquet spécialisé ou la mise en place d'un bouton de signalement unique et reconnaissable sur tous les sites. Mais l'idée la plus critiquée est l'obligation pour les plateformes de supprimer dans un délai de 24 heures les contenus « manifestement haineux ». Facebook, Twitter et autre YouTube risquent d'importantes amendes, allant jusqu'à 4 % de leur chiffre d'affaires annuel mondial.
 
Que faut-il entendre par « manifestement haineux » ? Le texte de loi liste une « incitation à la haine ou une injure discriminatoire à raison de la race, de la religion, du sexe, de l'orientation sexuelle ou du handicap ». Ce sont des « critères objectifs », argue Laetitia Avia. Plusieurs députés ont déposé des amendements pour introduire un autre critère de « haine » : « activités agricoles », « apparence physique », « existence de l'État d'Israël », etc. Tous ont été rejetés lors des débats parlementaires, la semaine dernière.
 

 
Laetitia Avia Députée LaREM
 
Mais cette logique de sanctionner les plateformes au portefeuille pourrait entraîner un effet pervers, dénoncent certains. « Avec cette injonction de retirer les contenus en 24 heures sous peine d'amende, les plateformes vont avoir tendance à supprimer et à censurer beaucoup plus de messages », met en garde Romain Badouard, maître de conférences à Assas et spécialiste du numérique. « Il vaudra alors mieux supprimer une publication sur laquelle un doute existe ou qui serait susceptible de pour éviter toute amende et tout ennui judiciaire », argumente pour sa part la France insoumise.
 
Tout ce qui critique fermement une certaine politique pourrait bien se voir ainsi retiré, pour un simple détail de mot employé, et ceci afin de maintenir les propos dans le politiquement correct, dans l’intérêt du pouvoir actuel de se débarrasser des oppositions virulentes qui se coagulent sur internet.
 
Ainsi, celui qui critiquera ouvertement tel ou tel aspect de la mouvance islamiste pourra se voir taxer « d’islamophobie » et ainsi censuré.
 
Cela laissera ainsi le champ libre à ceux qui font progresser l’entrisme des communautés minoritaires agissantes, sans critique, ni opposition notables !
 
Alors à moins d’en être réduit à coller des affiches clandestinement la nuit, la liberté d’expression risque d’être gravement compromise…
 
Note de l'auteur du 12 octobre 2020 : Heureusement ce projet de loi issu d'une députée appartenant à une minorité aux visées troubles, n'a pas été retenu et c'est tant mieux ! Le régime est aux mains de minorités factieuses et cet épisode de 2019, le prouve...
   
1 septembre 2020

Pourquoi ?

GSMEcrit le 1er septembre 2020 par zalandeau. Non mais !

Le 31 août, vers 18 heures alors que j'allais mettre en ligne un nouvel article sur mon blog, celui-ci, en cliquant sur la page nouveau message, avait totalemnt disparu avec les quelques 1600 articles déjà écrits depuis le 16 juillet 2015 !!! Aucun avertissement d'aucune sorte n'avait été prodigué. Par qui et pourquoi a-t-on supprimé : http://zalandeau1.canalblog.com/   ? Est-ce cela la liberté d'expression ?

 

Canalblog offre la possiblité de questionner le support technique, ce que je fis ! Hélas ce matin je vis sur ma boite email que cette question n'avait pas été remise à son destinataire. Je réitérais, en vain !

 

Est-ce cela la liberté d'expression ?

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