Julien Clerc - La Jupe En Laine
Des souliers noirs, une jupe en laine
Je ne dors plus, tu sais, je veille
Sur son sommeil
Et tout ce qui la blesse me tue
Je ne vis plus, tu sais, je brûle
Et tout ce qui la blesse me tue
Jalouse et belle
Tu sais, je veille sur son sommeil
Elle se penche
Elle se balance
Vous voyez bien que rien ne manque
Ni les silences
Ni les serments
Ni les rubans
Fidèles et bleus
Ni les querelles des amoureux
Des souliers noirs, une jupe en laine
Je ne dors plus, tu sais, je veille
Sur son sommeil
Et tout ce qui la blesse me tue
Quand vient le soir
N'allez pas croire
Qu'on fera l'amour dans le noir
Et dans la chambre
Elle rit, elle ment
Et moi, je meurs
D'amour pour elle
Les autres fois
Je pense à elle
Comme au bon Dieu, sans trop y croire
Le fol espoir de l'amour fou
Elle danse, elle chante
Et quand elle sort
J'attends, j'attends
Je prie sûrement
Des souliers noirs, une jupe en laine
Je ne dors plus, tu sais, je veille
Sur son sommeil
Et tout ce qui la blesse me tue
Elle se penche
Elle se balance
Vous voyez bien que rien ne manque
Elle change sa robe
Et l'eau des fleurs
Et moi, je meurs
D'amour pour elle
Les autres fois
Je pense à elle
Comme au bon Dieu, sans trop y croire
Les autres fois
Je pense à elle
Comme au bon Dieu, sans trop y croire
Le fol espoir de l'amour fou
Elle danse, elle rit
Et quand elle sort
J'attends, j'attends
Je prie sûrement
Des souliers noirs, une jupe en laine
Je ne dors plus, tu sais, je veille
Sur son sommeil
Et tout ce qui la blesse me tue
Auteurs-compositeurs : Gerard Duguet Grasser, Julien Clerc
Certains disent que...
Ecrit par autrui. Merci à Jielleaime pour son envoi
Alors, maintenant que les yeux s’ouvrent, et que les mensonges se dissipent, que va-t-on en conclure, et quelle sera notre action ?
Rien de rien !
On commande des rapports qui doivent établir que …, et pas le contraire… On interdit de parler de blanc, de noir, d’islamisme, de séparatisme, etc…, et pendant que la langue française est condamnée à s’appauvrir, on enseigne l’Arabe dans les collèges, grâce à des Tunisiens qui seront parfaitement libres d’enseigner sur le Coran directement…Vous noterez que le contraire n’a jamais été dit…
On ne ferme pas les frontières, surtout pas, car il y a des centaines de milliers d’immigrants musulmans à accueillir dans l’année, à loger, nourrir, soigner et chouchouter, pendant que des Français, pauvres, crèvent de froid et de désintérêt total, chaque année, et on nous fait payer des ONG pour qu’ils puissent continuer leur trafic d’immigrants sur notre propre dos. On continue à encourager les naissances par dizaines dans les foyers, ce qui ne concerne plus les Français, mais aide à encourager la polygamie en France, sans le dire, bien sûr. Il y a eu en France 165.000 naissances en excédent sur les décès en 2020, dont 191.000 pour les naissances musulmanes, et -26.000 pour les naissances de Français d’origine, ce qui signifie que la population d’origine est déjà en déclin, et que la solution de remplacement musulman est déjà largement en place et développée.
Va-t-on continuer à encourager ce grand remplacement ? Oui, bien sûr ! On va aussi accepter le voile pour les petites filles, et le voile de toutes les musulmanes islamistes, et il n’y aura pas d’acceptation des règles de laïcité par les associations musulmanes en France, mais seulement le recul de notre Président. C’est couru d’avance ! On sait parler…, on parle trop…, mais on n’a jamais appris à agir, et donc, on n’agit pas. On laisse l’action aux autres, et on nous envoie de beaux parleurs, qui disent chaque jour le contraire de ce qu’ils disaient la veille, mais c’est des bons copains, des copains surs, M. Veran le premier… A qui peut-on vraiment faire confiance, quand on change d’avis et de décisions, comme de chaussettes, chaque matin ? Quand on annonce des vaccinations et qu’on n’a ni masque, ni test, li seringue, ni aiguille, ni vaccin, ni usine pharmaceutique sur le terrain ? Et des médecins et infirmières non protégés, et eux-mêmes déjà atteints par la covid, alors qu’on les oblige à être présents à leur travail…, souvent sans masque, ou avec des masques qu’ils doivent eux-mêmes se procurer…
Comme dit la chanson : tout va bien, tout va bien ! Les gens se précipitent même dans la rue pour crier et chanter leur satisfaction… , par milliers …, avec pétards et mortiers pour faire la fête…, et les blousons noirs et autres bad boys de notre jeunesse sont même revenus pour l’occasion, et pour apporter un peu plus de chaleur à la chose… Mais, la fête passée, nous dormons tranquillement, sur nos deux oreilles en même temps, et dans un an, on pourra sans doute recommencer tout çà ! Pas de doute ni de problème !
La vérité scientifique
Et dire que j'ai aimé
@ 7 juin 2008 – 18:21:22
Et dire que j'ai aimé, d'un espace fidèle,
Aimé comme tous les hommes, aux cœurs trop généreux,
D'un amour très ardent, accordant ma confiance,
Et me perdant ainsi, dans un amour trompé.
Et dire que celles-là même, dont je baisais les pas,
M'enivrèrent de mots, mais elles ne m'aimaient pas.
Il m'a fallu longtemps, pour ouvrir les yeux,
Enfin réaliser, que la confiance est celle,
Des qualités qu'on nomme, comme de grande importance,
Et que la perdre aussi, dépasse tous les maux.
Maintenant lorsque j'aime, je veux être adoré
Puisque l'on s'est trouvé, nous allons nous aimer.
J'oublierai déception, trahison, infamie,
Et nous nous aimerons, ô toi ma douce amie.
Mais pour combien de temps ?
© zalandeau, samedi 7 juin 2008
La conseillère bancaire
Blague envoyée par Jielleaime
> > J'avais rendez-vous à la banque hier matin.
> > Une nouvelle conseillère (ça change tout l'temps) me reçoit pour faire le point au sujet de mes comptes...
> > L'entretien se déroule parfaitement ..tout est nickel...
> > Je me lève pour partir une fois que tout est réglé....et là elle me tend un sachet ... un tout petit sachet qu'elle a sorti de son tiroir...
> > Elle me le donne avec un sourire qui, à mes yeux respirait la malice....
> > J'ouvre ledit sachet et quelle ne fut pas ma surprise de trouver deux mini pseudos préservatifs pour Stroumphs en manque de parties coquines...
> > Je lui dis d'un air surpris :
> > Primo..on s'connait pas...Et deuxio...c'est pas pour dire mais là.....c'est pas du tout la taille hein ???
> > Faut pas déconner non plus ...
> > Et là....elle me regarde, l'air abasourdie....Euuhhh...non....c'est pour les doigts quand vous allez au distributeur.....anti covid.....ben
> > Jusqu'au bout, ce putain d'virus me fera passer pour un con...d'abord le masque...Puis la buée sur mes verres....Et là,...la capote à doigts.....putain d'vie de con...
Déconnexions neuronales
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{C'est embrouillé ce qu'elle dit, bon sang}
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{Surtout qu'elle fait des digressions telles que je ne sais pas où elle en est]
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{Ça y est : Je suis paumé, je sais plus de quoi elle parle}
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{Ah, oui ! Là, faut que j'lui demande un truc pour éclaircir un point...}
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{Faut que j'lui demande... Quoi donc au juste ? Fallait que j'lui demande un truc, mais quoi ? J'ai oublié. Elle me vrille tellement le cerveau !}
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{Du coup, je sais même plus de quoi elle parle}
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{Je suis paumé, les chats ? la voisine ? sa sœur ? Laquelle de ses sœurs ?}
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
{Merde ! J'vois vraiment pas. Je vais lui demander}
- Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla....
- Heuuu... Comment elle va ta sœur ? Est-ce qu'elle bat le beurre ? Quand elle battra la merde tu lécheras le bâton ?
- Tu n'écoutes même pas ce que je te dis. Ça fait une demi-heure que je te dis...
- Une demi-heure, ça je le certifie !
-Ouiii, c'est ça, dis que je suis bavarde pendant que tu y es et bla bla bla bla bla bla...
{You know what ? Je suis fatiguéééé...}