Écrit le 14 février 2022

C’est l’histoire d’un con. C’est très banal, parce qu’il y a beaucoup de cons…

Il y pensait depuis samedi… mais il y avait tant de monde au supermarché qu’il remit son idée au lundi 14 février… « Je vais lui offrir un truc, pour la Saint Valentin », se disait-il… Alors il prétexta des courses à faire pour foncer chez Leclerc…

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La vendeuse lui dit « Faites pas la tête, elle va être contente ! »… Il lui répliqua avec une moue dubitative « Elle va peut-être me faire la gueule une heure de moins aujourd’hui ». « Vous exagérez…Tenez, vous lui donnerez cette rose c’est offert par Leclerc ! » répartit-elle… Il répondit « J’aurais peut-être une heure et demie sans la gueule, alors »…

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A la maison, il posa son sac dans une autre pièce. Il alla trouver sa femme dans la cuisine : « Bonne saint Valentin p'tit poussin » et lui tendit la rose…

Elle regarda la fleur, puis avec une moue de dédain et une voix haineuse, elle lui dit « C’est offert par Leclerc, hein ? Réponds ! Ben j’en veux pas ! Tu peux la jeter »…

Dépité, il tourna les talons et revint alors, avec le petit sac cadeau contenant le petit cœur pendentif en or et lui balança sur la table en disant « Tiens voilà ta merde ! »…

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« Hé bien », se dit-il en allant chez son garagiste chez lequel il avait rendez-vous, « J’avais prévu une heure voire une heure et demie sans la gueule… Et bien j’étais encore bien trop optimiste. Que je suis con, mais que je suis con ! Mauvaise Saint Valentin, sale p….. ! »

Écrit le 29 décembre 2021

" Si tu ne veux pas que ta femme t’emmerde, te marie pas, te marie pas… "

La chanson disait vrai, les chansons disent toujours vrai…

Les femmes passent tout le reste de leur vie à se venger sur leur conjoint de leur propre honte d’avoir dit oui… Elles vous mettent la corde au cou et après, vous en font baver des ronds de chapeaux…

Il faut certes, un crétin pour les entretenir, leur donner le confort et la sécurité… Mais en comparant autour d’elles, le crétin épousé devient un minable, alors que le mari des autres est bien plus intéressant financièrement, les fait davantage rêver… Parce qu’il faut toujours un prince charmant (charmant par le portefeuille)… mais le charme ne dure pas, il ne fait que changer d’identité…

Bosse, mon con, bosse dur ! Tu n’auras que hargne, harcèlement moral, fiel, mépris, pour toute récompense…

On rétorquera qu’il faut se marier pour faire des enfants…

Et pourquoi faire ? Il suffit de se mettre en concubinage et de rompre quand le charme est tombé, avant que la haine ne commence à miner nos vies… Il y a aussi la méthode des nazis : « Le Lebensborn » serait à mon avis une très bonne solution…compagnes d’un soir, naissances anonymes, prise en charge par l’état des procréatrices et des enfants et liberté pour les hommes, sans qu'ils aient une chape de plomb de méchanceté pour leur pourrir tout le reste de leur vie…

La plus idiote des femmes, peut devenir le pire des vecteurs de haine… Bête comme un cochon (expression inappropriée, car un cochon est intelligent), mais rusée comme un renard, et dangereuse comme une vipère à cause de sa langue et du poison qu’elle distille en vous…

D’ailleurs, les enfants, faut-il en faire ? A mon avis, dans ce système de couple lié par un bout de papier, dans une société sans avenir et sans travail : Non !

Par contre, dans le système « Lebensborn » : Oui, car c’est l’état qui aura la responsabilité de l’avenir des enfants… Et non tous les pauvres cons de pères qui s’en voudront toute leur vie parce que leurs enfants n’ont qu’un futur sans aucun avenir…

Évidemment, dans ce système, on se prive d’amour paternel et d’amour filial… Mais on échappe à coup sur à la haine d’une harpie, véritable bourreau moral de jours interminables que l’on aurait voulus heureux…

Écrit le 24 octobre 2021

Il faut attendre la fin de la vie, pour se rendre compte de la vacuité de certaines de nos certitudes. Il faut qu’une de nos facultés cesse, pour que certaines autres que l’on croyait immuables et indépendantes cessent d’exister et nous comprenons qu’elles étaient totalement dépendantes de celle perdue et surtout que nos sentiments n’étaient que des concepts totalement inexistants.

Aimer quelqu’un du sexe opposé, dans une relation de couple, je crois bien que cela n’existe pas ! S’il n’y a pas de sexe, il n’y a pas d’amour ! S’il n’y a pas de désir il n’y a pas d’amour. S’il n’y a pas d’émoi érotique, il n’y a pas de désir ni d’amour.

Qu’y-a-t-il, si ce n’est éventuellement de la pitié, de la compassion, de la charité ? Mais est-ce que pitié, compassion et charité sont de l’amour ? C’est une question que je n’ai pas résolue. Je pense que les hormones qui les génèrent ne sont pas de même nature.

Par contre je crois encore à l’amour parental et à l’amour filial, même si ce dernier se décline le plus souvent à un degré moindre, ce qui est normal. Comment les humains évolueraient-ils dans leur vie d’adulte, si leurs liens avec leurs parents étaient les mêmes qu’à leur petite enfance ? Ils seraient prisonniers et n’accompliraient pas leur chemin de vie…

Je crois en l’amitié, qui est une forme d’amour atténuée, mais bien réelle.

Et la haine dans tout cela ? Certains disent que c’est encore de l’amour ! Je pense que non, ce n’est pas de l’amour, en aucune façon ! Quand on aime vraiment, on pardonne, on excuse, mais on ne haït pas… Et quand on reçoit trop de haine de la part d’un proche, j’ai bien peur qu’il nous faille nous interroger sur ceux dont on pense qu’ils nous aiment, car les preuves de haine qui nous harcèlent au quotidien créent le besoin d’avoir des preuves d’amour pour contrebalancer et rétablir un équilibre.

Nul ne peut supporter la haine qui s’exerce seule sur nous, sans autre apport de ce médicament qu’est l’amour. Sinon, soit il faut prendre de la distance avec le foyer de haine, afin de n’en plus percevoir les effets (divorces, départ pour ailleurs sans laisser d’adresse). Faute de quoi, supporter la haine se termine souvent en fait divers dans les journaux.

Comme je l’ai dit précédemment, dans le meilleur des cas, pour contrer la haine reçue chaque jour, nous cherchons les preuves d’amour de ceux qui sont censés nous aimer d’amour ou d’amitié en une sorte de quête… Les mendiants de l’amour… Mais ce n’est pas toujours facile, car tout le monde n’est pas forcément disponible au moment où l’on cherche le réconfort. Et puis, souvent il y a le doute que l’on se met à éprouver : Celui-ci ou celui-là nous aime-t-il ? N’était-ce pas une attitude de façade ? Car dans notre vie, souvent on a cru avoir des amis, qui en fait se sont révélés ne pas en être et n’être seulement que des gens intéressés par tel ou tel intérêt que nous pourrions représenter pour eux. Et c’est au moment où nous avions besoin d’eux qu’ils nous ont crachés sur la gueule… Cela fait toujours mal. La vraie haine et les faux-amis, sont à éviter… mais ce n’est pas facile.

Quand je vois la fidélité en amitié de mes enfants… J’ai bien peur pour eux. Ils sacrifient des week-end à aider leurs amis : déménagements, maçonnerie, démolition, défrichage ; Nono a même failli acheter une tondeuse pour aider un « ami » nécessiteux… Mais si je considère les actes en retour de leurs prétendus amis… Jamais rien ! Lesquels de leurs amis ont aidé Toto et Kikson à emménager ? Personne ! Qui de ses amis à aidé Nono en retour, après que mon fils ait contribué pendant des week-ends entiers à emménager une salle pour le mariage de l’un d’entre eux ? Personne ! Nono, a d’ailleurs été le seul à ne pas avoir été invité au-dit mariage ! Nono est le premier de mes trois fils à comprendre. Il vient de rayer plusieurs amis de sa liste.

Ceux qui ne vivent qu’entourés d’amour ont bien de la chance ! Je parle de l’amour ou de l’amitié vrais ! Parce que la fausseté dans les sentiments est beaucoup plus répandue que l’on ne le croit !

C’est en arrivant dans la dernière ligne droite, que l’on finit par comprendre que nous n’avons jamais été le prince charmant d’une quelconque dulcinée. Et qu’à chaque fois, c’est l’intérêt, le confort, la convoitise qui ont présidé à cette vaste comédie que nous appelons l’amour…

Cela aboutit sur la souffrance, morale, bien entendu… Mais c’est une autre histoire…

par zalandeau @ Le 22 octobre 2009 – 16:41:50

Dans les champs de l’amour,

Où tu glisses tes pas,

Ta peau d’un blanc velours

Retarde mon trépas.

Le bonheur est ici,

Jouvence et jouvencelle ;

Je veux dormir ainsi,

Enlacés, toi si belle…

Ah, le doux souvenir

D’un amour qui a fui ;

Tu restes mon plaisir

D’avenir qui me suit…

Un parfum de pensée,

Doux soucis du passé,

D’un amour qui m’a plu

D’un amour qui n’est plus…

© zalandeau, le jeudi 22 octobre 2009

par zalandeau @ 2009-11-20 – 18:14:05

Ce matin, elle me dit (Oh, miracle !) :

- Comment fais-tu pour me supporter ; Je ne fais pas le ménage, tout traîne, la maison est sale…

Je lui ai répondu :

- C’est parce que je suis gentil. Je t’ai déjà proposé de le faire. Laisse-moi faire la vaisselle et ranger la maison.

- Il n’en est pas question !

- Je le faisais quand tu étais à l’hôpital !

- Oui, mais non ! Tu fais pas comme moi !

- Je fais pas comme toi, mais moi au moins c’était propre !

- Je te promets, ça va changer !

- Tu parles ! Depuis le temps !... Au revoir ma chérie… Je suis content que tu sois si mignonne (« pour une fois », ai-je pensé)…

Elle était presque au bord des larmes… J’étais content qu’elle prenne enfin conscience de la honte que j’ai… Et de sa propre honte...

..........

Et puis ce soir, elle m’appelle à l’interphone :

- Et si on allait faire les courses de la semaine après avoir cherché Nono ?

- Ben… Oui… Mais je ne peux pas, j’ai une enchère sur ebay à cette heure-là… Mais après, pourquoi pas...

- Ouais… Toi et ton internet ! Tu n’as qu’à coucher avec ! Si je t’avais demandé de venir au lit avec moi, t’aurais préféré internet !

- Surement pas ! Mais les courses on les fait le samedi d’habitude…

- Ca recommence ! T’es toujours sur internet, plutôt que de coucher avec moi !

- Attends ! Pendant plusieurs jours je t’ai demandé « tu veux ou tu veux pas ». A chaque fois ç’est non ! Alors je ne demande plus rien ! C’est vexant ! Si t’as envie, t’as qu’à demander ! Moi, ça me coupe la chique quand on me dit non ! Et puis d’abord, je ne suis pas sur internet le soir, je regarde la télé, tu le sais bien ! Si je comprends bien les ragnagnas sont terminés ? Ça te monte au cerveau !

- Tu n’as rien à faire de moi ! Tu cherches tout pour m’éviter !

- Putain ! Tu vas arrêter ta paranoïa ! Toujours la même scène répétée à l’infini ! Pourquoi faut-il que tu me foutes tout le temps en pétard ? Pourquoi tu me fais chier ?

Je n’ai même plus envie de divorcer pour l’épouser… Un devoir vis-à-vis des mes mouflets et de leur mère… Mais quel enfer m’attend !…

Une qui va me faire toutes les emmerdes pendant le divorce et une autre qui me fait chier depuis 21 ans avant même d’être mariée…

J’en ai plein le cul ! Pourquoi divorcer, avec toutes les emmerdes que je vais avoir ? Pourquoi m’enchainer à celle-là qui ne fais que me détruire à petit feu…

C’est vraiment un cas ! Elle n’aime que faire chier ! Alors que moi, je n’aime que la tranquillité…

Enfin, j’ai remporté mon enchère…

Mais je préfèrerais revenir vingt et un ans en arrière… Je me casserais au Chili sans laisser d’adresse et sans gonzesse pour empoisonner ma vie…

Je sens bien que ma tension a monté… Pour rien ! Quoique… Elle toucherait l’assurance décès…

Enfin, si elle pouvait me débarrasser le plancher…

Ça me permettrait de vivre tranquillement, sans contrariétés pluri-quotidiennes…

© zalandeau, le vendredi 20 novembre 2009

Écrit le 18 janvier 2021

Il faudrait parfois avoir un magnétophone prêt à démarrer automatiquement…

Lui : Oh j’ai oublié de souhaiter mes vœux à ta nièce… Elle m’a bien rendu service pour mes examens à Paris… Tu veux lui souhaiter de ton coté, ou alors j’écris le SMS pour nous deux ?

Elle : Je ne sais pas. C’est mieux que je lui souhaite…

Lui : Bon alors je mets « nous », ou « je » ?

Elle : T’occupe pas de moi. J’en enverrai un…

Lui : C’est promis ? Bon ! Toi aussi tu dois la remercier pour son intervention pour Toto, alors c’est la moindre des choses que tu lui souhaites tes vœux. Bon OK, je n’insiste pas…

Il tape son message à la première personne du singulier et l’envoie…

Lui : Ça y est c’est fait ! Tu n’auras plus qu’à le faire de ton coté !

Elle, d’un ton haineux et hargneux : C’est bien toi, ça ! Toujours « je, je, je », tu ne penses qu’à toi. Tu aurais pu le faire à notre nom… Du coup je n’en enverrai pas j’ai trop honte, je vais passer pour la retardataire ! Tu m’humilies encore une fois !

Lui : …….. Ben ça alors ! Je t’ai demandé par deux fois si j’écrivais « je » ou « nous »… Tu te fous de ma gueule ou quoi ?

Elle : Voilà ! C’est comme ça que tu le prends ! Tu ne peux pas t’empêcher de m’agresser ! et patati et patata…

Lui : J’en ai marre de toi… Tu fais tes coups en douce… Tu m’as donné ton accord et maintenant tu me fais des reproches !

Elle : Tu ne changeras pas ! Ça ne durera pas comme ça !

Lui : Elle est bien bonne celle-là ! Tu inverses les rôles ! C’est toi qui ne changeras pas ! Tu sais retourner les situations à ton avantage. J’en ai plein le cul de toi !

Il serre les poings et a un rictus de haine… Sa tension a fait un bond et son coeur bat à tout rompre !

Et il pense : « La sale garce ! Quelle sale pourriture de merde ! Si elle pouvait crever, celle-là… Un jour, je ne me contrôlerai plus et je lui défoncerai la gueule… C’est sans arrêt, sa mauvaise foi, sans arrêt… ; et après elle joue l’innocente victime devant les enfants… Et elle recommence tous les jours et tous les jours !!!

Qu’elle crève ou bien que je crève !!! J’en ai plein le cul de cette vie avec cette saleté… C’est sans arrêt, ce n’est plus une vie, c’est un enfer… L’un de nous est de trop dans cette maison… »

Cela fait des années, qu’il supporte sa haine, sa jalousie, ses harcèlements, sa mauvaise foi ! La langue d’une femme est la pire des armes… Il faudrait la leur couper !!!... Ou bien les zigouiller une fois qu'elles ont fini de fabriquer nos enfants !!!

Cela fait des années qu’il se retient de lui taper dessus, ou de l'étrangler… des années qu’il a la tension qui monte très haut et qu’il ressort fatigué pour le reste de la journée… Ah, si seulement il la frappait… ça lui ferait moins mal, plutôt que de se retenir le temps que la colère redescende… Il est possible qu’elle le fasse exprès, pour qu’il claque d’une crise cardiaque… Mais bon Dieu, qu’elle vienne donc, cette crise cardiaque… Il ne peut plus supporter la haine, la jalousie, le harcèlement, qu’il reçoit quotidiennement…

Les gens voient d’un œil mauvais ceux qui battent leur femme… Lui, il sait pourquoi certains hommes peuvent craquer à tous moments… Et il sait aussi qu’il irait en taule s’il craquait, parce qu’il n’y aurait aucune preuve du harcèlement quotidien dont il est victime et peut-être même y aurait-il des témoignages contre lui, quand il sort de ses gonds et monte le ton alors qu'il y a des témoins auditifs… Alors que si elle, lui provoque une crise cardiaque fatale, elle ne sera même pas inquiétée...

Mais quand donc son calvaire va-t-il finir ?