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zalandeau
26 novembre 2021

Convoqué chez le patron


GSM

Cela se passait : Première décennie du 21ème siècle (2008)...

Je ne regrette qu'une chose, c'est de ne pas avoir pensé à utiliser mon dictaphone, afin d'en garder le vivant souvenir...

Car je suis très fier de moi. C'est la fierté inutile de ceux qui ne possèdent que peu de choses à part la fierté de proclamer leur liberté et de montrer leur courage dérisoire. Cela donne la joute verbale dont je narre le déroulement...
 
En face de moi le Directeur d'affaire et le "patron" (c'est à dire le fils du vrai bon patron mort en 2004, fils, qu'on surnommait entre nous "le fils").
 
J'ai gueulé plus fort qu'eux.
Je leur ai fait le coup, comme je l'avais annoncé, de leur demander d'emblée de parler de mon augmentation.
Comme prévu, le patron s'est mis à hurler à la mort, comme si on lui arrachait son âme.
 
Son leitmotiv, c'était : Je vous ai donné une voiture de service, vous en connaissez beaucoup des patrons qui auraient fait ça ? Si vous n'êtes pas content, la porte est ouverte. (Il doit faire des opérations portes ouvertes)...
 
(Il m'avait "donné" une voiture parce que ça lui revenait moins cher que les indemnités kilométriques avec les nouvelles dispositions fiscales...). Manque de pot pour moi, l'investissement dans l'achat de mes véhicules n'était pas amorti. Je m'asseyais sur 36000 € (4000 €/an x 9 années).
Je le lui ai dit. Silence de mort. Ils étaient subitement sourds l'un comme l'autre...
 
Et dans la foulée j'ai poursuivi : " Puisque vous ne me donnez pas d'augmentation, vos reproches bidons, ne m'intéressent aucunement ".
Comme je me levais pour partir, le commercial m'a dit : " Vous êtes malpoli de partir. Je lui ai rétorqué : non je suis pas malpoli puisque je vous dis au revoir M XXX Au revoir M YYY ".
 
Je suis quand-même resté, (puisque j'avais droit à un rappel de la foule en délire), pour les agonir de vérités...
 
Mes propos furent (en vrac), car je ne me souviens pas dans quel ordre je les ai dit, mais disons que c'était à chaque fois pour en rajouter une couche en rebondissant sur leurs jérémiades :
 
" Vous avez un système de management de merde, basé sur la délation et l'épée de Damoclès et ce n'est pas comme cela que vous fidèliserez et motiverez vos équipes ".
 
" On peut faire 1000 choses bien, il n'y a jamais un compliment, par contre, vous cherchez la petite faille afin d'avoir un motif de refus d'augmentation, alors ne me chantez pas la messe, je la connais ".
 
" Vos véhicules ne durent que 120.000 km, parce que votre personnel vous baise les pieds par devant et vous crache dessus dans le dos et pour se venger, ils massacrent vos véhicules, c'est le seul moyen qu'ils ont de se venger en vous faisant perdre votre bien le plus précieux : le fric...
Mon véhicule tiendra 300.000 km, sauf accident, parce que moi, je ne sabote pas le matériel... "
 
" Vos reproches oiseux sont du niveau maternelle. "
 
" Savez-vous à qui vous parlez ? Vous avez embauché une bande de courtisans et de lèche-culs, mais des vrais hommes vous n'en avez pas vu beaucoup. Il y en a un devant vous, profitez-en ! Je n'ai pas peur de vous. J'ai été patron avant vous et votre cinéma, vous savez ce que j'en fais ? "
 
" Où j'habite ? Vous le saviez depuis mon embauche, c'est inscrit dans vos fiches. Alors épargnez-moi votre interrogatoire de police. Nous ne jouons pas dans la même cour. "
 
" Que je m'habille comme un ingénieur ? Tiens, vous vous rappelez que je suis ingénieur quand ça vous arrange ! Alors n'oubliez pas de le rajouter sur ma feuille de paye que je suis ingénieur, quand vous me vendez comme tel sur une mission, sinon je leur montrerai ma feuille de paye où vous avez omis ce mot. Je leur dirais que vous les avez escroqué... "
 
" Profitez-en de l'ingénieur ! Parce que là non plus, il n'y en pas beaucoup autour de moi (J'ai senti un froid chez le patron qui n'est non seulement ni ingénieur, ni ingénieux, ni doué, ni même intelligent)... "
 
" Et à propos de paye, quand vous me payerez une vraie paye d'ingénieur, je m'habillerai comme un ingénieur. Avant d'entrer chez vous j'avais costume trois pièce laine et soie, cravate et chemise en soie.
Vous savez que je m'habille maintenant aux puces, pantalon 15 euros, chemise 5 euros. Je n'ai jamais été aussi mal habillé que maintenant. "
 
" J'ai perdu 0,55 smic de pouvoir d'achat en 7 ans.
Sans compter toutes les dépenses professionnelles que j'ai engagées pour WWWWWW et que vous ne m'avez jamais remboursées. Vous êtes le patron le plus pingre que j'ai rencontré. Vous faites pourtant coeff 2,5 sur le coût salarial chargé de ma mission. Alors hein ! "
 
Là il s'est calmé.
 
Et il a dit (le patron) : " Bon, faites ce qu'on vous dit et on verra... "
Et il s'est cassé...
 
C'est tout vu ! Il me l'a déjà fait plein de fois, y compris quand il m'a filé la voiture de service et où il m'avait promis une "petite augmentation" pour compenser, qu'il ne m'a bien sur jamais donné...
(C'est à dire que pour chacun d'entre nous "petite" à une signification quantitative variable, mais pour lui, ça doit valoir zéro Euro)
On croirait voir l'Avare de Molière, ou de Funès dans la folie des grandeurs.
 
Quand au grand ancien lieutenant colonel de mes deux, ci-devant responsable commercial également toujours de mes deux, dont les opérations militaires les plus spectaculaires ont été d'inviter à danser la fille de Madame la Générale de Brigade, au bal du "Génie", (dont il est d'ailleurs totalement dépouvu), il m'a dit qu'il allait m'envoyer une lettre sur ce rappel à l'ordre vestimentaire...
 
Je vais bien voir les termes de sa lettre...
Et suivant les termes, je vais lui balancer un de ces missiles littéraires en retour, car en matière épistolaire, je ne crains personne et surtout pas lui...
 
Affaire à suivre...

Enfin... J'ai quand même  dominé le set verbal en simple contre une équipe qui jouait en double... ( deux piètres joueurs)... Mais comme chacun sait : Le patron a toujours raison, puisque c'est lui qui tient les cordons de la bourse...

Quand je suis sorti, au bout du couloir tout le personnel était groupé pour écouter (La porte étant restée ouverte. J'ai été  félicité chaudement par tous ces gens qui rêvaient que quelqu'un fasse ce qu'eux mêmes n'osaient pas faire...
      
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20 novembre 2021

Cruel, impitoyable, malhonnête, rapace zélé

GSM

Je poursuis ma saga des ordures que j'ai rencontrées dans ma vie.
 
J'ai revécu cette nuit un de mes nombreux épisodes de vie type Zorro, à moins qu'ils ne fussent des luttes contre les moulins à vents, coiffé de mon plat à barbe, ou bien encore n'étais-je qu'un Sancho Pansa ou un Bernardo...
 
C'était dans les années 74 ou 75... Je vais dénoncer, après tout ! Je travaillais à la SMAC (filliale SCREG à l'époque, digérée par Bouygues et puis par Colas depuis lors). A l'agence de travaux de Rennes.
 
Nous avions un de nos porteurs de seaux d'asphalte qui à cause de l'usure de gants, avait les mains et les poignets brulés en de nombreux endroits. Il ne se plaignait pas. Il réclamait des gants mais nous n'avions pas le droit d'en donner. (Nous avons découvert ses blessures au moment où il nous tendait ses gants en lambeaux. Ses mains n'étaient que des plaies aux cloques suintantes et sanguinolentes)...
Ému et aussi très honteux de n'avoir rien remarqué, je suis allé en pharmacie acheter du tulle gras et tout ce qu'il fallait pour le soigner. Ce gamin qui ne devait avoir guère plus de 16 ans était soutien de famille nombreuse. Je lui rend aujourd'hui hommage pour son courage et son abnégation..
Nous avions, un certain Guillard et moi-même, (le troisième conducteur de travaux, Guillemeau, était avec nous par la pensée, mais s'abstenait prudemment d'intervenir), tenté de fléchir le Directeur d'agence, un certain CHAIRMANN, muté en Bretagne à partir de l'Alsace, ( petit homme cruel, manteau de cuir style Gestapo et mèche gominée de sinistre mémoire ; quand on le voyait on croyait être dans un documentaire des années 40, le salut Hitlérien en moins ), au sujet des gants de protection.
 
La règle était simple : une seule paire par semaine à condition de rendre l'ancienne paire trouée. Il ne fit aucune concession à notre demande...
Or, ce CHAIRMANN avait, par soucis d'économie maximale, opté pour des gants en coton qui ne duraient même pas la journée, alors que toutes les agences de France conservaient l'usage des gants en cuir...
 
Ecoeurés, nous avons comploté. J'ai piqué la clef du magasinier après qu'il soit parti, mon complice, le conducteur de travaux, est allé faire une copie minute et nous avons fauché des fagots de gants dans le magasin de l'agence. Nous avons répété ces prélèvements autant de fois que nécessaire, après la nuit tombée, cela va de soi...
 
Inutile de dire qu'en fin de mois, lors de l'inventaire, le mago (magasinier) s'est fait souffler dans les bronches. "Ah ben moi, Dame, j'en sais rin", répondait-il, tremblotant devant ce directeur "modèle" de toute la direction générale SMAC...
 
Ce CHAIRMANN était une ordure, mais il n'était pas fou... Il a bien compris que ma réclamation pour les gants et la disparition de ces derniers étaient liés...
 
Aussi quand je fus enfin muté dans l'agence de Vitry sur Seine, j'ai du recommencer une période probatoire, car le Directeur de cette agence avait sur ma personne, autant de renseignements flatteurs (agence de Reims) que calomnieux (Agence de Rennes)... Cela a différé d'autant ma promotion...
 
Cette histoire vraie, c'est, je peux le dire, l'histoire de ma vie. Cent fois, j'ai répété ce genre d'action, écoutant cette conscience de merde plutôt que mes intérêts...
 
Comment mes enfants peuvent-ils comprendre que leur père Ingénieur, ait une retraite si minable et puisse si peu les aider ? Ils ne savent pas que j'ai fusillé ma carrière de si nombreuses fois sur de simples considérations morales...
 
Vingt employeurs sans compter l'Assedic, voilà le résultat de mon attitude bornée de Robin des bois du pauvre...
 
Quant à ce Chairmann...
Je tiens à dire que tous ses actes de manager étaient aussi injustes, inéquitables, cruels. Il régnait sur son personnel par la terreur. Petit dictateur sans vergogne que la société et l'entreprise ont laissé perdurer, jusqu'à ce que...
  
Il n'a eu aucune réprimande pour sa cruauté. Par contre, il a été lourdé comme un malpropre à la suite de la chute vertigineuse de son activité "Asphalte". Pourquoi ? Il avait organisé le dumping de toutes les entreprises Bretonnes concurrentes et les donneurs d'ordres en réaction avaient opté pour des matériaux non-monopolisables, genre bitume armé.
 
C'est la course insatiable au fric qui l'a perdu.  L'immoralité vengée par l'immoralité...
 
N'apprend-t-on pas en maths que moins multiplié par moins égal plus ???
 
En tous cas, merci à Guillard, le seul conducteur de travaux résistant courageux que j'ai rencontré dans ma vie, et vive la Bretagne !
  
16 novembre 2021

Espèce humaine, espèce marchande ?



GSM

Comment espérer encore de l’espèce humaine ?... Comment ne pas sombrer dans la mélancolie, devant les préoccupations futiles de nos semblables ?
 
L’exemple, le mauvais exemple, vient d’en haut…
 
Quand on regarde aux informations télévisées pour la première fois, le 7 octobre 2009, les dégâts provoqués par les tempêtes tropicales en Afrique de l’ouest et du centre en date du 5 septembre, c'est-à-dire un mois après des évènements réels, qui font des dizaines de milliers de sans-abris, à la recherche de vivres et d’eau potable, à la merci d’épidémies et que, de plus, le traitement de cette « actualité » à retardement, prend moins de temps d’antenne que le reportage dédié au défilé de Louis Vuitton, ou même que celui de Karl Laggersfeld !!!… Dois-je finir ma phase ? On est soufflé, estomaqué, on reste sans voix !!!
 
Journalistes, directeurs de rédactions, propriétaires de médias, n’avez-vous pas honte ?... Je sais bien que non. Ce n’est pas la conscience qui vous étouffe…
 
Les petits « négs » qui souffrent, n’intéressent pas autant que ces monuments de futilité et d’inutilité dédiés à la gloire de l’argent-roi…
 
Lorsque le mal-vivre est orchestré par des dirigeants sans âme, au point que les salariés ne trouvent de solution que dans la suppression de leur propre existence, qu’ils se sacrifient comme ils casseraient l’outil de travail, persuadés qu’ils ne sont plus considérés comme des êtres mais comme des rossignols mis au rebut sans recyclage…
 
Je ne pose même pas la question de la honte présumée de ces casseurs de salariat, pour qui le montant de leur rémunération prévaut seul, sur le devenir de ceux qu’ils poussent hors de l’avion, sans parachute doré, sans parachute tout court…
 
Quand pour sauver la face le roi-président fait sauter le fusible, avant que la pression médiatique ne monte, saupoudrant la poudre aux yeux de son humanisme de façade… J’ai même honte pour lui, honte pour ceux qui l’ont élu, honte pour la mémoire des suicidés de France-Télécom…
 
Quand je vois à la tête d’une nation sensément démocratique, un petit malfaisant plein de tics d'épaules, sans carrure historique, complexé, dès sa plus tendre enfance, par ses frères, par ses collègues de classe et qui, toujours malade de ce complexe, se défoule en colères et anathèmes, sur ceux qui ont le malheur de lui déplaire, comme s’il voulait leur rendre ce qu’il a subit dans son enfance et l’a figé dans cette attitude d’enfant éternellement insatisfait des autres qu’il rend responsables de ses tourments… Quand je vois, qu’on ne peut chasser cet intrus et le faire enfermer dans un  asile psychiatrique… J’ai honte pour notre pays, pour ses habitants et pour moi-même…
 
Écrit le 8 octobre 2009
       
14 novembre 2021

De l’origine de l’indifférence

GSM

Écrit le 02 décembre 2007
 
Je crois que nos hussards de la république ne sont plus ce qu’ils étaient, ne sont pas ce qu’ils devraient être et ne font pas ce qu’ils devraient faire…
 
Ils se plaignent d’être malmenés, non respectés
Mais ils en sont la première des causes.
 
Les hussards noirs de la république avaient appris à nos grands parents et à nos parents, les devoirs du citoyen, ont inculqué le patriotisme.
Maintenant, ils n’enseignent plus l’hymne national, ni l’hymne européen, ni les chants révolutionnaire qui nous ont structuré.
Ils refusent de lire la lettre de Guy Môquet
 
Dans le passé, nos enseignants étaient déjà majoritairement de gauche, mais une gauche qui avait à cœur d’enseigner les valeurs de la république, les valeurs de notre destin national et ce, d'une manière la plus objective possible.
 
Maintenant, ils sont toujours de gauche. Mais la gauche a changé. Leurs valeurs sont davantage tournées vers la liberté individuelle, le laisser faire. Ils sont de plus, marqués par une idéologie déviante qui n'a plus rien d'objectif, mais qui marque une obsession à casser la société qu'ils exècrent au lieu de la consolider !
Ils n’enseignent pas la Marseillaise, parce que cela fait Nationaliste, Lepéniste, fasciste !
Être fier d’être Français, n’implique pas d’être nationaliste. Mais allez expliquer ça à des gens qui ont une idée toute faite sur la vie, à des gens qui sont imbus de leur métier et à l’abri des aléas de la vie de par leur fonctionnariat, à des gens qui trahissent et qui ont peur.
 
La seule façon d’unifier les Français, c’est dès la petite école, de leur réapprendre que nous appartenons à une Patrie au destin glorieux et de plus à l’Europe, qui est notre devenir collectif et fraternel, à condition toutefois que nous apprenions à l'Europe ce que sont les valeurs d'une patrie.
 
Il faut ré-enseigner, la morale, l’histoire, les hymnes patriotiques qui fondèrent notre République, si on veut commencer, à réduire la fracture sociale.
 
Le jour où les enfants auront pleine conscience de ce que signifient : Amour de la patrie, Liberté, Égalité et Fraternité, je crois que l’on pourra enfin songer à un avenir commun collectif, à une volonté d’entraide, à une générosité spontanée, à une ouverture vers l’autre…
 
Mesdames et Messieurs les enseignants, vous faites fausse route, en croyant qu’abandonner ces vieilles valeurs va améliorer la société. C’est tout le contraire.
Votre négationnisme, votre anarchisme, votre progressisme venu d'outre-atlantique tout à fait déplacé dans notre pays, vos préjugés imbéciles, votre indolence conduisent à l’égoïsme, l’individualisme, l’indifférence, au communautarisme et au libéralisme.
 
Par votre attitude, vous faites le lit de ce libéralisme qui est une forme extrême du capitalisme, que vous refusiez, pourtant, naguère.
 
Vous êtes par votre quasi absence en classe, les collaborateurs de cette mondialisation financière et de cet envahissement barbare, qui va tous nous broyer…
 
Professeurs, je ne vous fais pas mes compliments…
   
3 novembre 2021

Mémoires et radotages (382) – En France, on peut laisser construire une maison qui s'écroulera

GSM

Ecrit le 03 novembre 2021

Il y a des gens, probablement des gens très peu fortunés, qui construisent une maison en bois sur ma commune. Cela fait longtemps qu'elle est commencée...

Mais au fur et à mesure de cette construction, je suis horrifié par les malfaçons qui sont commises...

-Effondrement des terrassements de fondation avec les pluies diluviennes (ces gens construisent en fonction de leurs disponibilité financières). Ont-ils purgé avant de couler les semelles ?

-A part la semelle de fondation, aucun fer en attente pour liaisonner les piédroits en parpaings. Les chainages sont minimalistes...

-L'ossature en bois reste pendant des mois aux intempéries fort nombreuses cette année, alors que le bois n'est pas traité.

-Aucune triangulation n'a été effectuée (croix de saint-André), sur la structure verticale... 

-L'habillage du parement extérieur vient de commencer récemment avec des panneaux de particules d'OSB seconde catégorie non traités.

-Par conséquent, la partie verticale de l'ossature, très insuffisante pour porter un toit quel qu'il soit, ne sera pas renforcée, du fait de ce début d'habillage empêchant la pose ultérieure de poteaux porteurs conséquents.

-Les porteurs de couverture constitués par les fermes sont beaucoup trop fragiles.

Alors j'ai rencontré le Maire. Je lui en ai parlé. Ce n'est pas son problème. Le permis a été accepté avec des plans mentionnant toutes ces insuffisances ? Il n'en sais rien et s'en fout !

Il faudrait que je parle à ces gens, mais je ne passe pas par là aux rares moments où ils sont en train de travailler... Peut-être m'enverront-ils bouler, en disant "De quoi j'me mêle ?"... Mais bon, ce n'est pas évident de faire ce qu'il faut pour avoir la conscience tranquille...

Putain de monde à la con ! Personne pour alerter ces gens que leur maison leur tombera sur la figure à la première tempête, s'ils poursuivent leur construction inadéquate !!!

 

 

Pour ne pas être dans l'obligation de faire appel à un Architecte (Maître d'oeuvre), depuis le 7 juillet 2016 et la loi LCAP, un projet doit impérativement avoir une surface de plancher inférieure à 150 m², toutes surfaces cumulées (surface existante plus la surface de l'extension, plus la surface de surélévation...). L'architecte fait alors appel, si besoin, à un bureau d'étude technique et à un bureau de contrôle...

Dans le cas où l'opération est de moins de 150 m2 (ce qui est le cas ci-dessus), nul maître d'œuvre n'est requis, donc nul calcul n'est fait, nulle vérification n'est pratiquée et surtout nulle compétence n'est exigée, ni aucune assurance de responsabilité du constructeur quant le maitre d'ouvrage exécute lui-même ses propres travaux.

Que se passera-t-il lors de l'assurance de l'habitation ? Sera-t-il demandé un certificat de conformité ? En cas de sinistre, par contre, il est certain que l'expert nommé par l'assurance refusera l'indemnisation !

C'est dans ce type de cas, que l'on s'aperçoit qu'il y a un  gros trou dans la raquette !

      

 

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9 octobre 2021

Nouvelle arnaque de Hacker escroc : Attention ils vous pillent tout si vous tombez dans le piège !!!

 

GSM

 

NE REPONDEZ JAMAIS !


 

 

27 juillet 2021

Acharnement thérapeutique ou financier ?


Je prends le cas de ma belle-doche.
 
Entre décembre 2012 et janvier 2013, elle a été opérée d'une valve cardiaque... On vient de recevoir le décompte sécu sur Ameli : Cela dépasse allègrement les 50.000 €uros !!!
 
La machine était bien huilée. Tout était prévu. Aucun pognon à donner (à part la location de la télé). Ils ont fait croire à un examen et l'ont envoyée sur Parly II. On verrait ensuite. Puis ils ont dit qu'ils passeraient par l'artère fémorale. Finalement ils ont charcuté à la méthode classique : Ouverture de la poitrine, du coeur et tout le bordel...
La belle-doche a 82 piges. Et pour un simple rétrécissement valvulaire qui ne la dérangeait pas, elle est revenue complètement à plat, vidée, sans force, dotée d'un épanchement pleural en prime. Elle ne parvient pas à se remettre de cette opération beaucoup trop lourde pour quelqu'un de son âge. Elle est complètement diminuée, affaiblie, de manière définitive...
 
Arrivé à un certain âge, vaut-il mieux laisser les gens vivre leur vie peinarde jusqu'à leur mort, ou sauver leur vie, au risque de précipiter leur mort par un épuisement définitif du à l'opération ?
 
La réponse va de soi, bien sur.
 
Mais on veut faire du fric, du fric et du fric... Et la sécu plonge, plonge et replonge dans son trou (le trou de la sécu)... Mais les seigneurs de la chirurgie pendant ce temps-là font leur petit business juteux, où ils sont juges et parties. Ils décident de l'utilité de l'opération et donc de leurs salaires, sans qu'aucun organisme n'ait quelque chose à dire, ils persuadent avec des argument rassurants et mensongers et à eux les dollars !!!...
 
Ce serait maintenant, elle dirait NON, la belle-doche ! Sa vie était tellement plus agréable avant l'opération...
   
13 juillet 2021

Mémoires et radotages (87) – Candidats à jeter carrément à la poubelle !

GSM

Écrit le 2 février 2017

« Chérie ! Tu peux prendre 100 euros dans la caisse pour aller faire tes courses ! »…
 « D’accord ! », lui répondit-elle… Combien de fois par jour, dans toute la France, un petit commerçant ou un travailleur indépendant procède-t-il de la sorte ? C’est très fréquent ! 
 
 « Pénélope et les gamins, je vous accorde à chacun un faux emploi »
 « Merci François, Merci Papa ! » répondent-ils en cœur ! Il s’agit de 900.000 euros ou plus ? Et alors ? Il y en a pour qui, un million d’euros, c’est comme 100 euros pour le petit commerçant !
Qu’est-ce que c’est qu’un million d’euros quand on tutoie de semblables sommes au quotidien ? Une broutille, un « détail de l’histoire » comme dirait l’autre, une peccadille sur laquelle il ne convient pas de s’étendre… On a le droit de puiser dans la caisse, c’est prévu, parce que l’on est les chefs ! On est élus, alors quoi de plus normal, puisque la caisse est à nous… Et combien d'élus font cela ? Il est loin d'être le seul ! Les emplois fictifs et en plus en famille, ça court les rues des quartiers riches où nos élus font leurs nids... Mais c'est le coup de se faire dévoiler en pleine campagne qui le fait chier.... 
 
« Moué, j’suis qu’un pauvre paysan ! Quand je prends 100 euros dans la caisse, alors, après y manque des sous et bobonne, elle me met un coup de rouleau à pâtisserie sur la tête… Comment qu’on va-t-y payer les traites du tracteur ?
Alors comment qu’y fait le gars pour piquer dans la caisse ? Ça va manquer ? » 
 
« Ben non Mimile, ça marche point comme ça ! Ça va pas manquer parce que les patrons des z'hommes politiques, c'est à dire toué et moué et tous les z'aut', y z’ont pas les clés de la comptabilité ! Y’a abus de biens sociaux, mais les citoyens Français y z’ont l’habitude de se faire plumer sans qu’y disent rin du tout, bondiou ! Y manquera jamais rin dans la caisse, pisqu’on emprunte sur le marché pour finir les fins de mois ! »
 
« Ben ça par exemple, t’en as d’bonnes ! Moué, quand j’vas su’l’marché y’a point d’gars qui m’prète des sous, vindiou ! Si j’veux des sous, j’ai qu’à vendre des œufs ou un poulet ! »
 
A force d’avoir l’habitude des privilèges, certains ne savent plus que certaines limites ne doivent pas être franchies ! « L’argent des autres n’est pas le mien et je ne peux pas en faire un usage autre que celui qui est légal et moral » : Voilà ce que devraient se dire les candidats à la présidentielle quand ils se présentent comme étant les derniers des incorruptibles ! Le masque est tombé… Fillon a été le compagnon de route de Sarkozy, et le bon peuple n’ayant pas l’air de s’en souvenir… rappelons que « Qui se ressemblent s’assemblent ! » ou « Qui s’assemblent se ressemblent ! »… C’est comme on veut…
 
-Nikola 1er était le Robin des bois qui prenait aux pauvres pour donner aux riches.
-Fion est le Thierry la fronde qui prend aux pauvres pour donner à sa famille.
 
Le despotisme va souvent de pair avec le népotisme ! On n’est plus à ça près… Et bien si, nous sommes à ça près !
Parce que nous, on ferait bien pareil : Tout donner à nos enfants… Tout donner ce qu’on a… Mais pas tout donner ce qu’on n’a pas… Sinon, pour nous, ça s’appelle voler ! Comment cela s’appelle pour ces messieurs pleins d’arrogance et de morgue niaise ?
 
Alors, puisque nous n’avons pas le droit, pourquoi l’auraient-ils ? Il paraitrait que lui n’aurait pas fait exprès de mettre les doigts dans le pot de confiture… Moi, je veux bien : On verra ! Mais il en restera toujours quelque chose ! « Il n’y a pas de fumée sans feu », dit l’adage populaire… Pauvres déçus du LR : Fion n’était qu’un trou du cul !
 
Le problème maintenant… C’est le candidat du libéralisme mondial et de la démagogie sociétale : Micron (Je traduis : Macron) ! Ouille-ouille-ouille !
 
Qu’est-ce qu’on est mal barrés : Que des nuls à chier, cette année !
    
3 mai 2021

Ecologistes de mes deux !

GSM


Écrit le 16 avril 2015

Nos dirigeants n’ont qu’une idée en tête : Éradiquer l’automobile.
-Que ce soit au niveau du permis de conduire, pour lequel toutes les difficultés possibles et imaginables sont dressées pour faire baisser le nombre de ceux qui atteignent le petit papier rose magique (questions pièges du genre que posait Lawrence Riesner à Jean Yanne dans le sketch du ‘permis de conduire’), manque d’examinateurs, délais de représentation interminables)
-Que ce soit au sujet de l’assurance, véritable fardeau financier pour notre jeunesse
-Que ce soit sur la question du stationnement drastiquement diminué par des mobiliers urbains dont la fonction n’est que de tuer la circulation automobile, sur les parcmètres, véritable racket dont les dépassements sont lourdement sanctionnés en signe de culpabilisation de ceux dont on ne veut plus voir les véhicules dans les rues de nos cités…
Le résultat est un effondrement progressif de l’industrie automobile.
Que les cadors de l’écologie soient conscients de leurs responsabilités dans la stagnation de notre PIB et dans ‘l’inemployabilité’ des compétences !
Car ils sont de plus, responsables du fait que de nombreux jeunes n’aient plus le permis.
Pas grave ? Non, si ce n’était que ces mêmes jeunes sont la plupart du temps sans emploi, parce que les gisements d’emplois sont situés dans les grandes villes et qu’ils n’y résident pas, parce qu’il n’y a pas moyen d’y stationner et parce que les loyers y sont rares et hors de prix…
Messieurs et dames écologistes de mes deux, pourquoi sacrifiez-vous nos enfants ? Sacrifiez donc les vôtres, si toutefois votre idéologie passe avant votre amour parental…
Pendant ce temps, vous polluez la planète en roulant dans des 4x4, en filmant la planète en hélicoptère. Votre idée imbécile est « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais ».
Sachez que si certains ont les moyens ou la chance d’avoir un emploi pas loin de leur domicile, ou du moins, accessible facilement par des transports en commun existants, beaucoup d’autres n’ont pas cette chance !
La plupart du temps, rien n’existe ! De plus, vous continuez à laisser fermer des lignes de transport en commun au lieu d’en créer et ce n’est pas la loi Macron (qui donc a eu l'idée d'embaucher un ministre aussi con ?) qui va arranger les choses, tout au contraire.
Vous ne créez aucun parking périphérique. Les parkings souterrains dans les métropoles régionales, concédés à Vinci, sont à des prix prohibitifs (prix à la journée atteignant le salaire gagné par le travailleur), créant ainsi un impôt sur le droit à travailler, véritable taille et gabelle des temps modernes…
Tout cela, vous le laissez faire, parce que la dignité du droit à l’emploi pour le peuple périphérique, n’est pas votre soucis. Seule votre idéologie est importante pour vous, dans la mesure où vous échappez à ce que vous faites subir aux autres…
« Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais » : Je hais les écologistes qui veulent préserver tout, sauf l’humain… Vous recréez des classes sociales en dressant des barrières, mais en restant du bon coté. Quand on déconstruit la société, il faut penser d'abord à créer les moyens de remplacement, sans égoïsme, mais avec humanité.
On sauve le loup et on tue l’homme ! La véritable écologie est de préserver l’homme à long terme. A quoi servirait une terre intacte sans humains ? Si bien sûr, cela vous servirait si vous faisiez partie des survivants ; c’est votre rêve inavoué et égoïste…
On ne protège pas la nature pour elle-même. On protège la nature pour protéger l’homme. Pas plus !
 
zalandeau
  
16 avril 2021

Mémoires et radotages (345) – Assassinat de Sarah Halimi : le déni de justice

 

 

GSM

Écrit le 15 avril 2021

La Cour de cassation a confirmé mercredi 14 avril 2021, l'irresponsabilité pénale du meurtrier de Sarah Halimi, une sexagénaire juive tuée en 2017 à Paris. Kobili Traoré, 27 ans au moment des faits, ne sera donc pas jugé. Le caractère antisémite du crime n'est pas remis en question.

France24 le 14/04/21 :

« Il n'y aura pas de procès dans l'affaire Sarah Halimi. Cette sexagénaire juive était morte en 2017 après avoir été rouée de coup puis jetée de son balcon à Paris. La Cour de cassation, tout en entérinant le caractère antisémite du crime, a confirmé mercredi 14 avril l'irresponsabilité pénale du meurtrier, pris d'une "bouffée délirante" lors des faits.

Cette nuit-là, le 4 avril 2017, Kobili Traoré, 27 ans, fait irruption chez sa voisine de 65 ans, Lucie Attal, également appelée Sarah Halimi. Aux cris de "Allah Akbar", il la roue de coups en récitant des versets du Coran, avant de la jeter par-dessus le balcon de leur HLM de Belleville, dans l'est de Paris. »

Jusqu’à présent, l’emprise de substances était une circonstance aggravante en matière criminelle. Depuis hier, je considère que la justice de notre pays vient de légaliser l’assassinat. Pourra-t-on dorénavant en toute impunité absorber alcool ou drogue et massacrer sans condamnation et même sans procès ?

Ce type de mansuétude laxiste est-il réservé aux seuls criminels islamistes ?

Les magistrats qui ont, aussi bien en première instance, qu'en appel et qu'en cassation, prononcé ce « non-lieu » qui ne dit pas son nom, sont-ils dans la mouvance islamo gauchiste ? En tous cas, ils viennent de légaliser l’antisémitisme et la barbarie… Collaborent-ils avec un envahisseur contre le peuple Français ?

La justice Française me dégoûte… Macron ne devrait pas laisser faire cela… Les magistrats devraient être démis. Le garde des sceaux devrait être démissionné… Des sanctions exceptionnelles devraient être prises…

Kobili Traoré (encore un Traoré !), pas assez fou pour être interné à vie, sera libre de recommencer en toute impunité…

La décadence continue ! La plongée vers la honte s’accentue !

   

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