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zalandeau
ecrit par autrui
27 septembre 2021

Les valeurs inversées de l’état Français

GSM

17/03/2019

Écrit par autrui
 
Le triste Radouane Lakdim n'est autre que l'assassin du gendarme colonel Arnaud Beltrame à Trèbes. C'est un Marocain né au Maroc et qui est devenu français.

Il est né au Maroc en 1992

 - En France, il a été condamné en 2011 pour détention d'armes ;

 - Au vu de ses activités, il a été fiché "S" en 2013 ;

 - Et aussi vite, condamné pour outrage envers la Force Publique la même année ;

 - Et on ne sait par quel miracle, il obtient la nationalité Française en 2015 !

- En 2016, un an après sa naturalisation, il retourne en prison  pour trafic de stupéfiants !

- Mieux : Il devient TERRORISTE en 2018 !

-         L'individu Radouane Lakdim avait une carte d’identité française  depuis 2015, alors qu'il était fiché "S" depuis 2013 !

-         Ce qui veut dire de manière très simple que l’État Français lui a octroyé la nationalité française sans tenir compte de sa radicalisation depuis 2013

-         Et en 2018, IL TUE !

Il y a combien de Radouane Lakdim autour de vous, et dans l’hexagone ?...

Il est radicalisé, il a côtoyé le tueur de Strasbourg pendant  6 mois en prison, on lui donne un appartement pour recevoir sa compagne en prison. Un appart tout payé par nous,  un séjour club med.

Note de Zalandeau : Elle n’est pas belle la vie ?

En France, il vaut mieux être terroriste que Gilet Jaune !
   
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17 septembre 2021

Maladie de La Peyronie

 

GSM

Sur Wikipédia en accès libre

La maladie de La Peyronie (aussi appelé Induratio penis plastica) est une sclérose des corps caverneux, responsable d'une déviation de la verge en érection.

La maladie de La Peyronie a été décrite par François de La Peyronie en 1743. Ce chirurgien du roi Louis XV a donné son nom à la maladie de La Peyronie mais aussi aux plaques de La Peyronie. Il s'agit d'une infiltration scléreuse du tissu conjonctif. Cette sclérose plus ou moins étendue en longueur voire en profondeur peut entraîner une déviation de la verge voire une dysfonction érectile. En effet l'érection va jusqu'à la plaque. Le plus souvent cette anomalie n'entraîne aucune gêne particulière. Cette maladie affecte environ 10 % des hommes.

Signes et symptômes

En général, la maladie survient vers la cinquantaine. Deux tiers des hommes atteints ont entre 40 et 60 ans, sont de type européen et plus spécialement les hommes ayant le groupe sanguin A+. Avant même la présence de la (ou les) plaques, l'érection peut être douloureuse. Une fois les plaques apparues, la douleur disparaît le plus souvent. Pour d'autres hommes, il n'existe pas de phases douloureuses, mais la verge se coude peu à peu vers le haut. À l'état flaccide, on palpe parfois des plaques indurées d'un ou des corps caverneux. Le plus souvent, les plaques se trouvent sur le dos de la verge qui se coude alors vers le haut.

La courbure de la verge doit inciter le malade à aller voir un médecin.

Physiopathologie

La sclérose d'une portion des corps caverneux est responsable lors de l'érection d'une déviation de la verge, secondaire à l'absence d'expansion d'un des corps caverneux.

Étiologie

Des recherches récentes avancent une hypothèse immunologique.

Pathologies associées

Variation

Les premiers symptômes sont une douleur intense provenant de l'intérieur du pénis lors de l'érection, et s'intensifiant avec le temps. Après quelques mois, la douleur diminue mais il y a un manque de rigidité sur le dessus de la partie du pénis, en avant du gland. La courbure se provoquera lors d'une mauvaise pénétration vaginale. Il en résultera en plus, une perte de longueur en érection, de plus ou moins 5 cm. Les comprimés "Viagra", "Cialis" et autres ne peuvent rien pour un tel cas. Les modes de relations sexuelles se trouvent diminuées. La méthode en ciseaux, la femme sur le dos et l'homme sur le côté, devient alors la plus appropriée[réf. nécessaire].

Diagnostic différentiel

Diagnostic étiologique

La maladie n'a aucune cause connue à ce jour, et donc aucun traitement à visée étiologique.

Évolution

Par poussées avec amélioration ou aggravation de la coudure en fonction du caractère symétrique ou asymétrique de l'atteinte des corps caverneux. Elle se stabilise après une période de quinze à vingt-quatre mois et souvent régresse légèrement.

Conséquences

La maladie de La Peyronie peut avoir des conséquences physiques et psychologiques dévastatrices. La plupart des hommes continueront à avoir des relations sexuelles, mais le degré de courbure de la verge et la dysfonction érectile peuvent entraîner des difficultés à avoir des rapports normaux. Il n'est pas rare de voir des hommes affligés de la maladie subir une dépression mais, la plupart du temps, la maladie est qualifiée de bénigne.

Traitement

Traitement oral

La vitamine E, à la dose de 200 mg trois fois par jour, a été proposée mais l'amélioration très modeste observée n'était pas supérieure au placebo1. Il est donc difficile d'en recommander l'utilisation. La procarbazine a aussi été essayée mais n'a pas été plus efficace que la vitamine E2. Pour le Potaba (para-aminobenzoate de potassium), une étude publiée en 2000 était aussi décevante3[réf. insuffisante].

Traitement local

Les injections locales de vérapamil dans les plaques (10 mg deux fois par semaine, pendant six à douze semaines) semblent une option raisonnable pour les déformations dépassant 30° (réduction du volume des plaques dans 57 % des cas4[réf. insuffisante]. Mais il n'est pas impossible que ce soit l'injection de produit localement qui améliore la situation quel que soit le produit5[réf. insuffisante]. Une étude qui comparait l'injection de placebo à l'injection d'interféron alpha-2b, a en effet montré que le placebo était efficace pour réduire la déformation objective (Elle est passée de 49° à 40° ±8,6 (et 36,8° avec l'interféron).

Interventions chirurgicales

Trois interventions sont possibles :

  • intervention de Nesbit (en) ou redressement de la verge ou cavernoplastie6, éventuellement modifiée type Yachia7 ou Gholami8,9 ;
  • une exérèse de la plaque plus remplacement de celle-ci par une greffe veineuse ou tissu synthétique ;
  • mise en place d'un implant pénien, plus ou moins modeling ou corporoplastie en cas d'impuissance.

Les résultats sont bons notamment pour la première intervention. Celle-ci peut se pratiquer en chirurgie ambulatoire ou au cours d'une courte hospitalisation de 24 à 48 heures sous anesthésie locale ou générale.

Il existe un raccourcissement de la verge en post-opératoire de 1 à 2 cm dont il faut prévenir le patient

Un traitement anti-érection (cyprotérone : Androcur) est prescrit pendant un mois pour éviter une rupture des points sur les corps caverneux. L’exérèse de la plaque est plus délicate et peut entraîner une impuissance secondaire dont il faut prévenir le patient. La mise en place de prothèse donne de bons résultats en cas d'impuissance associée.

   

10 septembre 2021

Troubles de l’érection

GSM

https://www.vidal.fr/maladies/sexualite-contraception/troubles-erection.html

(Accès totalement libre et gratuit)

Longtemps considérés comme une maladie honteuse dont il était difficile de parler à son médecin, les troubles de l’érection (dysfonction érectile ou impuissance masculine) sont devenus plus faciles à aborder depuis la commercialisation de traitements spécifiques. Ces médicaments, dont l’efficacité a changé la vie de dizaines de milliers de personnes, nécessitent cependant d’être utilisés avec précaution.

 

QUAND PARLE-T-ON DE TROUBLES DE L’ERECTION ?

De très nombreux hommes de tous âges connaissent parfois des « pannes » liées à la fatigue, au stress, aux préoccupations diverses ou à des problèmes avec leur partenaire. Ces petites baisses de forme occasionnelles ne constituent pas des troubles de l’érection à proprement parler. Pour que les troubles érectiles soient avérés, il est nécessaire que les érections soient systématiquement instables (ou absentes) pendant les rapports sexuels.

 

QUELLES SONT LES CAUSES DES TROUBLES DE L’ERECTION ?

La dysfonction érectile peut avoir plusieurs causes.

  • Des causes psychologiques. La dépression, les problèmes relationnels ou une mauvaise image de soi peuvent suffire à provoquer des troubles de l'érection, ainsi que la crainte d’une baisse des performances sexuelles. Le dialogue avec sa partenaire, avec son médecin, un psychothérapeute ou un sexologue peut aider à débloquer la situation.
    Parfois les hommes qui ont souffert d'un infarctus craignent que l’excitation sexuelle ne provoque une nouvelle crise. Cette peur peut se manifester par une impuissance. Si vous maintenez une activité physique compatible avec vos problèmes cardiaques, l'activité sexuelle ne constitue pas un risque supplémentaire. Si vous ressentez des douleurs à la poitrine pendant les relations sexuelles, parlez-en avec votre médecin.
  • La chirurgie de la prostate. Certains patients ayant subi une intervention chirurgicale de la prostate (prostatectomie) peuvent rencontrer des problèmes d’érection. La chirurgie fait des progrès et ces cas sont devenus moins fréquents.
  • Une autre maladie. Des affections comme l'hypertension artérielle, le diabète ou l'athérosclérose s'accompagnent parfois d'un problème d’érection. Le diabète est la première cause d'impuissance chez l'homme de plus de 50 ans. Des troubles hormonaux (comme une baisse des taux de testostérone, par exemple) sont parfois en cause, ainsi que des problèmes de vaisseaux sanguins.
  • Le tabac et l’alcool. Fumer diminue les capacités sexuelles et peut devenir un facteur aggravant des troubles de l'érection, tout comme l'abus d'alcool.
  • Des médicaments. De très nombreux médicaments peuvent interférer avec la capacité à atteindre l'érection ou l'orgasme. Parmi les médicaments le plus souvent en cause, on trouve ceux prescrits contre l'hypertension, le cholestérol ou les problèmes cardiaques, contre la dépression, l'anxiété ou la maladie de Parkinson, contre les troubles de la prostate, mais aussi certains diurétiques. N'arrêtez jamais vos traitements de votre propre initiative en espérant retrouver de la vigueur ! Si des troubles de l'érection apparaissent quelques jours ou quelques semaines après avoir débuté un nouveau traitement, demandez conseil à votre médecin. Il pourra éventuellement modifier la posologie, prescrire un autre médicament à la place, vous donner des conseils d'hygiène de vie pour améliorer la situation ou parfois prescrire un traitement des troubles de l'érection pour compenser cet effet indésirable.

Depuis quelques années, plusieurs types de traitement contre l’impuissance masculine existent. Ils doivent être prescrits par un médecin après un examen médical complet.

LES MEDICAMENTS A PRENDRE AVANT UN RAPPORT SEXUEL

Disponibles sur ordonnance, les traitements oraux doivent être pris au plus tard entre 20 minutes et une heure avant le rapport sexuel. Ces médicaments ne sont actuellement pas remboursés par l’Assurance maladie. Attention, ces médicaments ne doivent jamais être utilisés en association les uns avec les autres dans l'espoir d'obtenir de meilleurs résultats.

Il existe également des traitements locaux qui s’utilisent juste avant un rapport sexuel. Ils sont administrés par le patient lui-même, en application sur le pénis ou directement dans la verge (par injection). La technique d’injection de ces derniers nécessite un apprentissage en milieu médical.

LES MEDICAMENTS ORAUX D’ACTION LOCALE

L’avanafil (SPREDA), le sildénafil (VIAGRA et ses génériques), le tadalafil (CIALIS et ses génériques, et le vardénafil (LEVITRA et ses génériques) sont des médicaments qui agissent en favorisant le remplissage du pénis par le sang. Ils agissent rapidement, mais uniquement en présence d'excitation sexuelle. Leur durée d’action est variable selon le médicament (de 12 à 36 heures). Ces médicaments ne peuvent être obtenus qu’avec une ordonnance. En effet, ils doivent être utilisés avec beaucoup de précautions chez les personnes présentant des troubles cardiaques. Un examen clinique de l'état du cœur et des vaisseaux sanguins est indispensable avant leur prescription. Seul votre médecin est à même de savoir si vous pouvez bénéficier de ce type de traitement. Il peut être dangereux de partager son médicament avec une autre personne.

Leurs effets indésirables les plus fréquents sont : des maux de tête, des rougeurs du visage, une sensation de nez bouché, des vertiges, des troubles de la digestion et de la vue (vision trouble ou modification de la perception des couleurs). Attention : ces médicaments sont incompatibles avec les traitements de l’angine de poitrine de la famille des vasodilatateurs (angor) et avec la prise de nitrite d’amyle (un stimulant sexuel également appelé « poppers », « boosters » ou « snappers »). Leur usage simultané peut provoquer une chute brutale de la pression sanguine (hypotension) pouvant entraîner la mort.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Traitements de l'impuissance par voie orale

CETINOR

CIALIS

KRONALIS

SILDÉNAFIL ACCORD

SILDÉNAFIL ARROW LAB

SILDÉNAFIL BIOGARAN

SILDÉNAFIL CRISTERS

SILDÉNAFIL EG

SILDÉNAFIL MYLAN

SILDÉNAFIL PFIZER

SILDENAFIL RANBAXY

SILDÉNAFIL SANDOZ

SILDÉNAFIL TEVA

SILDÉNAFIL ZENTIVA

SILDÉNAFIL ZYDUS

SPEDRA

TADALAFIL ACCORD

TADALAFIL ALTER

TADALAFIL ARROW

TADALAFIL BIOGARAN

TADALAFIL CRISTERS

TADALAFIL EG

TADALAFIL EVOLUGEN

TADALAFIL KRKA

TADALAFIL LILLY

TADALAFIL MYLAN

TADALAFIL SANDOZ

TADALAFIL TEVA

TADALAFIL ZENTIVA

TADALAFIL ZYDUS

VARDÉNAFIL ACCORD

VARDÉNAFIL BIOGARAN

VARDÉNAFIL KRKA

VARDÉNAFIL MYLAN

VARDÉNAFIL SANDOZ

VIAGRA

VIZARSIN

XYBILUN

Avis aux conducteurs !

Attention : les médicaments oraux contre les troubles de l’érection peuvent provoquer des vertiges et des troubles de la vue. Dans ce cas, leur usage peut être incompatible avec la conduite de véhicules ou l’usage de machines-outils.

LES MEDICAMENTS EN APPLICATION PENIENNE OU EN INJECTION INTRACAVERNEUSE

Il existe également des traitements des troubles de l'érection sous forme de crème à appliquer à l’extrémité du pénis ou à injecter dans le pénis. Ils contiennent une substance (alprostadil) qui agit localement en provoquant une dilatation des vaisseaux sanguins de la verge, permettant ainsi une érection. Ils ne sont pas douloureux, mais il est important de respecter la posologie prescrite par le médecin L’utilisation d'une trop forte dose peut provoquer une érection trop intense et trop longue (priapisme) qui est douloureuse et peut parfois endommager durablement le pénis.

Ces médicaments sont habituellement prescrits chez des personnes pour qui les traitements par voie orale sont contre-indiqués ou se sont révélés inefficaces. Ils sont pris en charge par l’Assurance maladie (à 15 % pour la crème et à 30 % pour les injections intracaverneuses) dans certains cas (sclérose en plaques, paraplégie, atteinte des nerfs liée au diabète, etc.) dans le cadre de la procédure des médicaments d'exception.

Le traitement sous forme de crème agit rapidement (en 5 à 30 minutes) en provoquant une érection pendant 1 à 2 heures selon les hommes. Il se présente sous forme de récipient unidose. La totalité du contenu du récipient unidose doit être appliquée à l’extrémité du pénis. Il ne doit pas être utilisé plus de 2 à 3 fois par semaine, ni plus d’une fois par 24 heures. Il peut provoquer des effets indésirables locaux, notamment des irritations vaginales chez la partenaire. L’utilisation de préservatifs est recommandée.

Application locale de prostaglandines

    VITAROS

Le traitement en injections intracaverneuses est contre-indiqué en cas de prédisposition au priapisme du fait de certaines maladies comme une drépanocytose ou une leucémie. Dans 90 % des cas, l'érection obtenue permet la pénétration pendant une durée allant jusqu'à une heure. L'auto-injection intracaverneuse qui consiste à s’injecter soi-même dans le pénis le médicament est possible après une formation à la technique d’injection. La première injection doit être réalisée par le médecin au cabinet médical pour déterminer la dose spécifique qui vous convient et vous apprendre le geste de l'injection, que vous pratiquerez ensuite chez vous. La dose de produit à injecter pour provoquer une érection est très variable d'une personne à l'autre et doit être ajustée progressivement par un médecin familier de cette technique.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Traitement de l'impuissance par voie intra-caverneuse

    CAVERJECT

    EDEX

LES TRAITEMENTS D'APPOINT

La yohimbine est une substance végétale utilisée depuis de nombreuses années dans le traitement d’appoint des troubles de l’érection. Son mécanisme d’action est mal connu et les données disponibles ne permettent pas d’évaluer son efficacité. Seul un médicament à base de yohimbine est encore disponible. Il doit être pris tous les jours et son effet peut n’apparaître qu’après 2 à 3 semaines de traitement. Depuis la commercialisation des médicaments par voie orale à prendre avant un rapport sexuel, son utilisation est plus rare.

Ses effets indésirables sont : anxiété, irritabilité, troubles digestifs, vertiges, maux de tête, rougeur cutanée, insomnie.

Liste des médicaments mise à jour : Jeudi 20 Mai 2021

Yohimbine

    YOCORAL

LES TRAITEMENTS NON MEDICAMENTEUX

Des solutions non médicamenteuses peuvent être proposées lorsque l'homme ne souhaite pas prendre de médicament ou lorsque celui-ci lui est contre-indiqué.

La pompe à vide (également appelée vacuum)

Il s’agit d’un dispositif comprenant un cylindre placé sur la verge et dans lequel le patient fait le vide à l'aide d'une pompe manuelle ou électrique. L'aspiration de l’air dans le dispositif permet un afflux de sang provoquant l’érection qui est maintenue, après avoir ôté le cylindre, grâce à un anneau élastique placé à la base de la verge. L’anneau ne doit pas être maintenu plus de 30 minutes. Les effets indésirables sont minimes, comprenant des douleurs, une sensation de pénis froid et des difficultés à l'éjaculation.

LES PROTHESES PENIENNES

Il s’agit d’une solution définitive nécessitant une intervention chirurgicale sous anesthésie générale ou locorégionale. Elle est habituellement réservée à des hommes qui ont des troubles sévères et irréversibles pour lesquels les autres traitements ont échoué ou ne peuvent être utilisés.

Les prothèses péniennes sont des dispositifs médicaux placés dans les corps caverneux de la verge. Elles sont de différents types: rigides, semi-rigides ou malléables et gonflables. Leur utilisation peut nécessiter un apprentissage. Les risques liés à la pose de ces prothèses péniennes sont principalement des défaillances mécaniques et des risques d’infection du matériel (1 à 5 % des cas) qui nécessitent souvent le retrait de la prothèse.

Pour savoir plus sur les implants péniens : fiche info-patient publiée sur urogrance.org.

LA CHIRURGIE DE REVASCULARISATION

La chirurgie de revascularisation de la verge consiste à réaliser des pontages artériels de façon à améliorer le flux sanguin et la pression dans les corps caverneux. Cette microchirurgie ne s’adresse qu’à certains patients, par exemple des patients jeunes qui ont des lésions suite à un traumatisme.

    

9 septembre 2021

La Bataille de Poitiers (732) - Causes et Conséquences Réelles

GSM


 

 

   

25 août 2021

Mon traiteur Vietnamien

GSM

 

 

Publié le 25/08/2021. Merci à Jielleaime pour son envoi

Je sors de chez mon traiteur vietnamien, toujours souriant dans sa boutique pour laquelle il paye ses impôts et où il reçoit avec une grande gentillesse ses clients. Il a pourtant vécu le drame des "boat people" fuyant le communisme, dans des conditions atroces, comme plus d'un million de ses compatriotes.

Il n'appelle pas à détruire les pyramides ni les bouddhas et même pas la pierre noire, il n'appelle pas à tuer les Français, les kouffars, les infidèles de tous les pays.

Il ne place pas de bombes et ne porte pas de ceinture d'explosifs, à ma connaissance.

Il n’ambitionne pas d'imposer sa religion.

Il ne demande pas au Maire de ma ville de lui construire un temple.

Il prie chez lui sans faire chier personne et sans appeler toute la ville à faire comme lui.

Sa femme ne porte pas de vêtements qui lui cachent le corps et le visage, ses enfants vont à l'école, et il parle avec une grande fierté de leurs résultats scolaires.

Ils ne fument pas de haschich, ne squattent pas les halls d'immeubles du quartier et ne roulent pas dans des Audi A4 quattro volées pour aller en Espagne pour ramener de la drogue.

Il n'oblige pas nos enfants à manger des nems à la cantine ni de la nourriture de son pays.

Il parle Français en public et dans sa boutique. Il ne passe pas de la musique du Tonkin à fond les manettes.

Il n'y a pas de groupes de barbus devant sa boutique où je vais sans avoir à craindre de me faire égorger.

Il ne parle jamais d'envahir le monde et d'y imposer sa loi, ni de couper des mains ou des têtes ni de traîner des corps démembrés derrière sa voiture pour les exposer sur la place de son village.

Voilà, je lui ai acheté 2 rouleaux de Printemps, un crabe farci, une barquette de porc au caramel, deux nems, deux samoussas poulet et des beignets de crevette, ça m'a coûté 12,70 € pour 2 repas et je me régale.

Alors, vous me direz, je peux aussi aller chez mon kébabiste… La plupart du temps il se conduira de manière tout aussi acceptable que mon traiteur Vietnamien…

Le problème ne vient pas de toute une communauté… Le problème est, que dans une certaine communauté (pas la Vietnamienne), une proportion d’individus de plus en plus importante ne respecte pas le pays qui l’a accueillie, mais est dans une logique de défi au nom d’un dieu maléfique, prétexte à une logique de conquête, de violence et d’asservissement.

Les problèmes de "vivre ensemble" que nous connaissons en France sont dus à l'intrusion dans notre pays de gens inassimilables dont l'objectif n'est pas de s' "intégrer", mais bien de nous imposer leurs comportements et leur culture, et, à terme, de nous supplanter dans notre propre pays.

      

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23 août 2021

Sur Jeune Afrique : France-Rwanda - Un ancien officier brise l’omerta malgré « des menaces émanant de services de l’État »

 

GSM

 

A la fin des années 90, un lieutenant de l’armée Française m’avait raconté ce qu’il avait vécu au Rwanda… Je l’avais rapporté sur mon premier blog en 2007… Je ne faisais pas de brouillon sur word à l’époque et le blog a disparu… Je tiens à dire que le récit plus récent d’un autre ancien officier publié ci-dessous est bien pire que ce que j’avais appris à l’époque sur la pitoyable mission ambigüe assignée à nos soldats au Rwanda…

Sur Jeune Afrique du 15 mars 2018 : Dans « Rwanda, la fin du silence », qui sort en librairie le 16 mars 2018, l’ancien officier français Guillaume Ancel lève le voile sur l’une des interventions les plus controversées conduites par la France en Afrique au cours des dernières décennies : l’opération Turquoise menée en plein génocide des Tutsis au Rwanda, en 1994.

« C’est se moquer des Français que de leur mentir sur la nature d’une opération qui a été menée en leur nom. Et c’est tout aussi indécent, vis-à-vis du million de victimes du génocide, d’occulter le rôle inquiétant que la France y a joué. En taisant cette réalité, on s’autorise à ce qu’une telle horreur puisse se répéter. » Longtemps, Guillaume Ancel fut un spécialiste du guidage au sol des frappes aériennes. Ancien TACP (prononcer : « TacPi », pour Tactical Air Control Party Specialist), ce lieutenant-colonel diplômé de Saint-Cyr guidait les avions de chasse de l’armée française vers leur cible, sur différents terrains d’opération.

Depuis quelques années, revenu à la vie civile, il est passé aux « frappes littéraires ». Dans Rwanda, la fin du silence (Les Belles Lettres), qui sort en librairie le 16 mars, cet ancien artilleur lève le voile sur l’une des interventions les plus controversées conduites par la France en Afrique au cours des dernières décennies. En mai 2017, déjà, il décryptait, chez le même éditeur, les manquements de la politique française durant le conflit en ex-Yougoslavie, à travers un récit décapant : Vent glacial sur Sarajevo.

A la veille de la sortie de son ouvrage sur l’opération Turquoise, basé sur un témoignage dont Jeune Afrique a rendu compte dès 2014, Guillaume Ancel revient sur la culture du secret au sein de la Grande Muette, et sur le paravent humanitaire déployé autour d’une intervention militaire politiquement sensible.

Jeune Afrique : À quel moment avez-vous pris conscience des dissonances entre la version officielle française sur l’opération Turquoise et votre propre expérience sur le terrain ?

Guillaume Ancel : Comme je le raconte dans mon livre, l’ordre d’opération préparatoire que j’ai reçu dès mon arrivée sur place ne correspondait pas à l’opération humanitaire que les médias présentaient vers la fin juin 1994. Il s’agissait en réalité d’une opération de guerre classique, visant à remettre au pouvoir le gouvernement rwandais, alors en difficulté. Quand on déploie sur le terrain des avions de chasse et les meilleures unités de la Force d’action rapide, c’est rarement pour une mission humanitaire.

Ce que j’ai trouvé le plus gênant, c’est de constater que les forces gouvernementales – les militaires des ex-Forces armées rwandaises [FAR], les gendarmes, les miliciens hutus – ne se cachaient pas une seconde d’être les auteurs des massacres. Bien sûr, ils s’abstenaient de les commettre sous nos yeux, mais à aucun moment ils ne niaient avoir exterminé les Tutsis.

Comment l’armée française s’est-elle comportée vis-à-vis des forces gouvernementales ?

Avec une certaine bienveillance. Lorsque nous avons été amenés à créer une zone humanitaire sûre [ZHS], son effet consistait clairement à protéger leur fuite devant l’avancée du FPR [Front patriotique rwandais, la rébellion essentiellement tutsie commandée par Paul Kagame]. Au passage, on les a laissées organiser l’exode de la population vers l’ex-Zaïre, ce qui s’est traduit par une crise humanitaire dont le bilan s’est chiffré à près de 100 000 morts.

Durant la seconde quinzaine de juillet, dans un camp de réfugiés au Zaïre, j’ai par ailleurs assisté à une livraison d’armes par la France à ces mêmes forces gouvernementales, alors qu’on savait pertinemment qu’elles avaient commis le génocide.

Comment vos compagnons d’armes ressentaient-ils cette situation ? En parliez-vous entre vous ?

J’ai ressenti chez eux un profond malaise. Mais comme souvent dans l’armée, quand on est gêné par un sujet on s’abstient d’en parler. Je relate par exemple une discussion que j’ai eue avec un officier français qui avait été, par le passé, le conseiller militaire du gouvernement rwandais. Quand je lui ai demandé ce qu’il avait perçu des signes préparatoires du génocide, il s’est fermé comme une huître. J’ai bien senti qu’il ne fallait pas mettre ce sujet sur la table. Dès le début de l’opération Turquoise, on assistait à un véritable déni de réalité.

De nombreux militaires de Turquoise n’avaient jamais servi au Rwanda entre 1990 et 1993. Se sentaient-ils plus libres d’exprimer leur malaise ?

J’ai perçu une différence d’approche entre, d’un côté, certains camarades qui avaient soutenu les forces armées rwandaises durant cette période et qui ne comprenaient pas pourquoi on ne recommençait pas ; et, de l’autre, des militaires qui faisaient preuve de plus de discernement et qui leur rétorquaient que les choses avaient changé. Car entre-temps, l’armée rwandaise avait directement participé à un génocide.

Avez-vous un exemple précis d’une confrontation entre ces deux camps ?

Cela s’est manifesté, par exemple, quand nous avons dû parler du désarmement des forces hutues. Nous avions installé une zone humanitaire sûre, donc la question se posait avec acuité. Or, on sentait bien qu’une décision avait été prise en haut lieu et qu’il ne fallait surtout par désarmer les FAR.

Nos supérieurs nous expliquaient alors que cela serait pris par les militaires rwandais – qui étaient beaucoup plus nombreux que nous – comme une forme de défiance. Donc il ne fallait pas prendre le risque de les contrarier. Comme si un soldat armé était moins dangereux qu’un soldat désarmé !

Des tensions se sont manifestées du fait de cette ambiguïté permanente entre notre mission officielle – protéger les personnes menacées – et une mission occulte, non assumée, visant à soutenir jusqu’au bout les forces gouvernementales à l’origine du génocide.

Après le Rwanda, il vous faudra vingt ans avant de vous exprimer publiquement. Votre expérience à Sarajevo semble avoir représenté un premier déclic…

Là aussi, en ex-Yougoslavie, nous étions censés intervenir dans le cadre d’une mission humanitaire pour empêcher les canons serbes de tirer sur la ville. Mais la réalité, c’est que notre commandement nous a empêchés de nous en prendre aux agresseurs. Nous avons donc assisté au massacre de Srebrenica avec l’interdiction de nous interposer.

Avec les légionnaires qui m’entouraient, dont certains avaient, eux aussi, fait le Rwanda, nous en ressentions de la colère : accepter, au nom de la France, de mener des missions qui s’avèrent indécentes.

En 1998, vous envisagez de témoigner devant la Mission parlementaire d’information sur le rôle de la France au Rwanda…

Naïvement, j’ai alors fait savoir à mon commandement que je voulais expliquer aux parlementaires le malaise que nous avions ressenti pendant Turquoise. Le cabinet du ministre de la Défense de l’époque m’a alors envoyé une émissaire qui m’a dit, en substance : « D’abord, ce n’est pas à vous de décider si vous témoignerez devant les parlementaires. Et même si le ministre devait donner son accord, c’est lui qui déciderait de ce que vous devez leur dire. » On m’a donc clairement fait comprendre que les militaires français n’avaient pas à raconter la vérité devant les élus de la nation…

A quel moment avez-vous décidé de passer outre ?

En 2012, sept ans après avoir quitté l’armée, je me suis trouvé en phase de transition professionnelle, ce qui m’a laissé le temps d’écrire un roman tiré de mon expérience au Rwanda. Début 2014, à quelques semaines de la 20e commémoration du génocide,  j’ai été invité à un colloque destiné à faire le point sur le rôle de la France au Rwanda, réunissant diplomates, historiens, hommes politiques, juristes… Il était organisé par un grand parti français et présidé par un homme politique qui avait participé très activement à la Mission parlementaire d’information, en 1998 – je ne peux donner davantage de précisions car cet événement faisait l’objet de règles de confidentialité. [Organisé par le parti socialiste, le colloque était présidé par un ancien ministre de la Défense de François Mitterrand, Paul Quilès, par ailleurs ancien président de la Mission parlementaire sur le Rwanda.]

Lorsque j’ai livré mon témoignage, j’ai vu, aux quarante mâchoires qui se décrochaient autour de la table, que mon témoignage n’arrangeait pas du tout la plupart des participants.

Comment ont-ils réagi ?

Le président du colloque s’est levé, il a pointé son index dans ma direction et m’a dit d’un ton comminatoire : « Je vous demande de ne pas témoigner sur ce sujet car vous risqueriez de créer de la confusion quant à l’image que se font les Français du rôle qu’a joué leur pays dans le génocide du Rwanda ! » C’est à ce moment-là que j’ai compris que j’avais bien trop attendu et que mon témoignage aurait dû être mis sur la place publique depuis longtemps.

À partir d’avril 2014, vous allez donc témoigner dans plusieurs médias ou lors de conférences. Pourquoi ce livre, quatre ans plus tard ?

Parce que j’ai  constaté que ces témoignages oraux n’étaient pas suffisants. Avec Rwanda, la fin du silence, je voulais être sûr que mon témoignage serait intégralement retranscrit et qu’il ne serait plus jamais effaçable.

En agissant ainsi, vous avez rompu l’omerta qu’on vous intimait l’ordre de respecter. À quelles réactions avez-vous été confronté ?

Du côté de mes compagnons d’armes, la plupart restent emmurés dans la culture du silence propre à l’armée française. Ils n’ont donc réagi ni positivement ni négativement, mais j’imagine que beaucoup ont été choqués que je rompe cette servitude institutionnalisée qui est pourtant, selon moi, en totale contradiction avec l’exigence démocratique d’une société comme la nôtre.

D’autres militaires, qui ont quitté l’armée, ont répandu publiquement, notamment dans des livres, la fable officielle d’une opération Turquoise humanitaire. Lorsque j’ai livré ma version, ils se sont retrouvés en porte-à-faux et ont cherché à me discréditer. Enfin, les décideurs politiques de l’époque, qui sont toujours dans le déni, font de leur mieux pour m’empêcher de témoigner.

Y compris en vous menaçant ?

Ils ont exercé sur moi, via des intermédiaires, des pressions d’un autre âge. J’ai, par exemple, été menacé dans mon boulot en des termes qui rappelaient étrangement ceux prononcés par le président du colloque que j’évoquais précédemment. Si je n’avais pas bénéficié du soutien de réseaux soucieux de la transparence démocratique, il est clair que j’aurais alors perdu mon emploi.

J’ai aussi été menacé par quelqu’un qui m’a été envoyé par un ancien lieutenant-colonel de la Légion étrangère, qui est intervenu au Rwanda – l’un des défenseurs du “village Potemkine” que je viens de mentionner. Cette fois, il s’agissait de menaces physiques. Enfin, j’ai reçu des menaces très claires émanant de services de l’État, que je préfère ne pas détailler.

Avez-vous violé l’obligation de réserve ou le secret-défense en livrant ainsi votre récit ?

Lorsqu’on a eu accès à des informations ou qu’on a participé à des interventions classifiées, le fait de quitter l’armée ne change rien à l’obligation de confidentialité, qui continue de s’exercer. Ce qui veut dire que si l’opération Turquoise avait été classifiée « secret défense » ou « très secret défense », je ne pourrais pas en parler aujourd’hui sous peine de commettre un délit, voire un crime.

Le problème, c’est qu’en alimentant cette fable d’une opération humanitaire, les autorités de l’époque ont oublié de classifier toute une partie de cette opération. C’est ce qui me donne la possibilité légale d’en parler sans trahir un secret.

Pourquoi, dans ce cas, êtes-vous le seul à oser le faire ?

L’un de mes camarades, qui appartenait à l’armée de l’air, a voulu s’exprimer, en appui de mon témoignage, sur les opérations qu’il a menées en coordination avec moi durant Turquoise. Mais il a été rattrapé par l’armée de l’air. On lui a assuré que toutes les opérations aériennes étaient désormais classifiées confidentiel défense, y compris rétroactivement, et que par conséquent il ne pouvait en parler sans une autorisation du ministre de la Défense. Y compris quand un juge français l’a convoqué pour l’auditionner dans une procédure relative à l’opération Turquoise. En contrepartie, il a été assuré de périodes de réserve dont il avait financièrement besoin. C’est en procédant ainsi que le silence devient amnésie…

https://www.jeuneafrique.com/542435/politique/france-rwanda-un-ancien-officier-brise-lomerta-malgre-des-menaces-emanant-de-services-de-letat/

     

 

13 août 2021

Covid 19 : est-il vrai que la majorité des personnes hospitalisées en Israël sont vaccinées ?

 

GSM

Je rappelle : Israël au lundi 9 août 2021 : 5.400.236 personnes entièrement vaccinées et 3.255.305 non vaccinés ou en cours.

Sur MSN :

Question posée le 06/08/2021.

Selon les chiffres les plus récents du ministère de la Santé israélien, relayés par la presse nationale durant la première semaine du mois août, la vaccination diminuerait le risque d’hospitalisations de 93 % pour le variant Delta (contre 97,5 % pour la variante Alpha). Dans le même temps, divers médias ont relayé des données – apparemment contradictoires – selon lesquelles la majorité des israéliens hospitalisés pour Covid étaient pleinement vaccinés. Mi-juillet, les chiffres de la presse nationale renvoyaient ainsi à une proportion de 3 vaccinés pour 5 patients hospitalisés pour forme grave. D’autres chiffres, plus récents, font état de taux de vaccinés encore plus élevés dans certains hôpitaux.

Illusion statistique

Le paradoxe (qui n’en est pas un) s’explique simplement. Dans la population à risque de formes graves de Covid, l’immense majorité des personnes est vaccinée – 90 % des plus de 60 ans ont en effet déjà reçu deux doses de vaccins. Bien qu’une très faible proportion de vaccinés développent une forme grave de la maladie s’ils sont exposés au virus, le nombre absolu d’individus concernés est grand, puisque celui des vaccinés est grand.

Les non-vaccinés sont, proportionnellement, plus nombreux à développer des formes graves de la maladie. Mais la part de personnes à risque non-vaccinées (qui n’a reçu aucune dose ou une seule dose de vaccin) étant très faible en Israël, le nombre absolu d’individus concerné est également faible.

De façon générale, pour déterminer si un vaccin diminue efficacement un risque (développer une forme symptomatique du Covid, être hospitalisé, décéder…), il est nécessaire de comparer la proportion de personnes touchées dans une population vaccinée avec la proportion touchée dans une population non-vaccinée. Pour que cette comparaison soit pertinente, ces populations doivent être d’âge comparable, et leur niveau d’exposition au virus doit être similaire.

Surtout, comparer en valeur absolue le nombre de personnes touchées n’a de sens que s’il y a autant de vaccinés que de non-vaccinés dans les deux groupes considérés, ce qui n’est plus le cas en Israël depuis déjà plusieurs mois.

44 décès au mois d’août

Mi-juillet, la chaîne israélienne Channel 12 News Israel notait que 61 personnes étaient hospitalisées dans un état grave. Parmi les personnes âgées de plus de 60 ans, près d’une sur cinq (8/44) était non-vaccinée, alors que les non-vaccinés représentent moins d’une personne sur dix dans la population de cette classe d’âge. Par ailleurs, parmi les 17 personnes de moins de 60 ans hospitalisées dans un état grave, seule une était vaccinée.

Selon les derniers chiffres communiqués par le ministère, 618 patients sont actuellement hospitalisés en Israël des suites d’une infection au Covid-19, parmi lesquels 360 «dans un état grave», dont 57 sous respirateur. Pour l’ensemble du mois de juillet, 44 décès auraient été recensés. Ce 9 août, Sharon Alroy-Preis, responsable des services de santé publique au sein du ministère de la Santé israélien, a déclaré à la presse qu’«il n’y avait [actuellement] pas de patients de moins de 60 ans vaccinés hospitalisés», mais qu’il y avait bien des «personnes de moins de 60 ans non-vaccinées», sans détailler le nombre de cas concernés. Contacté par Libération, le ministère ne nous avait pas transmis ces informations à l’heure de la publication de cet article.

Notons que la semaine passée, le directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem a déclaré à l’antenne d’une chaîne nationale que «85 à 90 % des hospitalisés [dans cet hôpital] sont complètement vaccinés». Interpréter cette déclaration est toutefois difficile sans disposer d’informations sur l’âge des patients, et surtout sur le taux de vaccination dans cette même classe d’âge dans la ville de Jérusalem, zone urbaine la plus peuplée du pays.

Un effet du variant Delta ?

En soi, l’importante proportion de personnes vaccinées dans les hôpitaux n’est donc nullement un indice de l’inefficacité du vaccin. Elle est seulement la traduction logique de la très forte couverture vaccinale dans le pays. Toutefois, si la proportion de vaccinés hospitalisés augmentait plus vite que la part des vaccinés dans la population, cela pourrait signifier que la protection conférée par le vaccin diminue dans le contexte épidémique actuel. La moindre sensibilité du vaccin au variant Delta pourrait être une piste d’explication. Toutefois, des indices d’une diminution de l’efficacité du vaccin plusieurs mois après l’administration de la seconde dose sont également avancés.

Les autorités sanitaires israéliennes ont débuté une campagne d’injection d’une troisième dose auprès de populations à risque – l’OMS appelant de son côté à un moratoire sur de telles «troisièmes doses», considérant que de nombreux pays touchés par la pandémie peinent à s’approvisionner pour leurs premières et secondes doses.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-est-il-vrai-que-la-majorit-c3-a9-des-personnes-hospitalis-c3-a9es-en-isra-c3-abl-sont-vaccin-c3-a9es/ar-AAN7bYf?ocid=uxbndlbing

    

12 août 2021

Covid-19: content d'avoir été infecté, cet anti-vaccin est mort 8 jours après

GSM

 

BFM le 10 août 2021

Cet avocat britannique de 58 ans se disait "content d'avoir le Covid-19", qu'il préférait à l'injection "d'un vaccin expérimental".

Le destin de Leslie Lawrenson est devenu viral. Opposé au vaccin, cet avocat britannique contracte le Covid-19 en juin dernier. Sur sa page Facebook, il se filme alors en selfie pour montrer à ses amis que le virus n'est qu'une simple grippe et décrit ses symptômes.

Atteint de fièvre et d'une forte toux, il écrit : "aussi horribles qu'aient pu être ces dernières vingt-quatre heures, je suis heureux d'avoir le Covid-19. Je préfère avoir des anticorps dans mon sang et développer une immunité naturelle que de faire un vaccin expérimental", écrit Leslie Lawrenson en anglais sur sa page Facebook, le 24 juin dernier.

Dans ses posts suivants, il explique avoir dû rester 6 heures en position fœtale pour lutter contre la douleur. Le 2 juillet, il décède à son domicile, soit 8 jours après la publication de son message dans lequel il se réjouissait d'avoir eu le Covid-19.

Leslie Lawrenson a également contaminé sa femme, atteinte de diabète de d'hypertension, qui a dû être hospitalisée, mais a pu être soignée. Interrogée par la radio BBC 5 sur les choix de son mari, elle confie qu'il avait fait "une erreur terrible" et en avait payé "le prix ultime". "Il était très instruit... Alors quand il me disait quelque chose, j'avais tendance à le croire", a-t-elle ajouté, rapportent plusieurs médias britanniques.

Note de zalandeau : Comment les gens interpréteront ce fait ?  Les antivax diront que s'il avait été vacciné il serait quand même mort... Les pros vaccin diront, comme je le dis, qu'il aurait probablement survécu... Mais je rajoute que s'il avait daigné aller à l'hôpital... Il serait probablement encore de ce monde... Comme quoi aucune science même celle de la médecine, qui est imparfaite, ne peut résister aux opinions toutes faites des gens... Mais cet homme, avocat Anglais, aura été puni par trop de croyance irrationnelle aveugle...

    

11 août 2021

Covid 19 : pourquoi Mediapart a été obligé de dépublier le sociologue Laurent Mucchielli ?

GSM

 

Sur MSN :

Dans un billet de blog publié sur le site de Mediapart, le directeur de recherche au CNRS a tenté de démonter la dangerosité des vaccins anti-Covid-19.

Mediapart n'a pas eu d'autre choix que d'agir. Le site d'investigation a annoncé mercredi retirer de son espace blog, où tous ses abonnés peuvent publier des articles sans vérification, un billet du sociologue Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS, car il "contrevenait à [sa] Charte de participation qui prohibe la diffusion de fausses nouvelles".

Dans ce long texte intitulé "La vaccination Covid à l'épreuve des faits. Deuxième partie : une mortalité inédite", coécrit avec plusieurs auteurs, dont des pharmaciens et un médecin généraliste, Laurent Mucchielli tente de démontrer, chiffres à l'appui, la dangerosité des vaccins anti-Covid-19 et l'absence de prise en compte des effets indésirables. Des données mal interprétées et détournées pour porter atteinte à la campagne de vaccination.

En conclusion, il écrit notamment : "La question des effets indésirables graves des vaccins anti-Covid fait l'objet d'un déni et d'un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires". Selon lui, "l'approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d'urgence la campagne vaccinale". Supprimé de Mediapart, l'article a été republié par le média FranceSoir, connu pour ses prises position complotistes depuis le début de l'épidémie de coronavirus.

Mediapart conteste "la légitimité scientifique de la démonstration"

Pour justifier sa décision, Mediapart a publié ce même jour un article d'explication. "Notre équipe chargée du Club a été saisie par près d'une centaine d'alertes venues notamment de professionnels de la santé, de médecins, de chercheurs, d'épidémiologistes, etc., qui contestent radicalement la légitimité scientifique de la démonstration du sociologue et de ses quatre coauteurs", écrit le site d'information.

Ce n'est pas la première fois que Mediapart se fait épingler pour avoir hébergé un article polémique sur son blog. Intitulé "Le Club", ce site distinct de Mediapart est "un espace de libre contribution des abonnés de Mediapart dont les contenus n'engagent pas la rédaction". Ce blog fait l'objet de plusieurs critiques, notamment le manque de distinction avec le site d'investigation. En effet, seul un code couleur les différencie et un article du blog est bien souvent pris comme un article du site.

Lancé en 2008, Mediapart est l'un des derniers sites d'information à proposer ce type de format. Jusqu'en 2019, le journal Le Monde offrait une place d'expression similaire sur ses propres blogs, mais ces derniers ont été supprimés, comme ce fut le cas à L'Obs auparavant.

Laurent Mucchielli dénonce une "censure"

Mercredi, le CNRS a tenu à prendre aussi ses distances avec les propos de Laurent Mucchielli. "Laurent Mucchielli s'exprime à titre personnel sur le sujet. Le CNRS se dissocie de cette prise de position", a publié l'organisme public sur son compte officiel. Problème : Laurent Mucchielli affichait ouvertement son affiliation au CNRS sur le billet mis en ligne sur le blog de Mediapart.

Après la dépublication, le sociologue a dénoncé une forme de "censure". "Certains de mes collègues le redoutaient, je ne voulais pas y croire. Mediapart qui me censure ! C'est un choc. Sachant que je tente depuis des mois d'avoir une vraie discussion avec ses journalistes, qui ne m'ont jamais répondu", a-t-il lancé sur Twitter.

Au Figaro, Laurent Mucchielli se défend de toute prise de position antivaccin. "Sûrement pas, ces termes servent à nous disqualifier", assure-t-il. Il estime être en droit de ne pas être en phase avec "la religion officielle". Pour lui, "l'ampleur" qu'a prise cette affaire "ne m'étonne pas, je mets le doigt où ça fait mal".

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-pourquoi-mediapart-a-%C3%A9t%C3%A9-oblig%C3%A9-de-d%C3%A9publier-le-sociologue-laurent-mucchielli/ar-AAN1fdm

    

5 août 2021

Covid - Avis d'un scientifique

 

GSM

Pour mémoire (14 avril 2021 sur RTL) :

« Pour les gens qui n'ont pas de facteurs de risque, il vaut mieux attendre un vaccin à l’ARN messager », déclare Steve Pascolo immunologue et cofondateur du laboratoire Curevac, au micro d’Europe 1. Avant d'ajouter : « on est sûrs que vous serez protégés et qu'il n'y a aucune possibilité de risque ». Ce pionnier de l'ARN messager explique que l'une de ses motivations lors de la création de cette technologie était « justement d'éviter ces constructions à ADN » impliquées par les méthodes adénovirus (comme AstraZeneca et Johnson & Johnson par exemple). Pour Steve Pascolo, cette technologie reste « moins sûre » que celle de l'ARN messager.

 

L’immunologue de l’hôpital de Zurich recommande toutefois aux personnes à risque de se faire vacciner avec n’importe quel vaccin approuvé. « Ils sont sûrs, efficaces et vous protégeront contre une maladie qui peut être vraiment dangereuse », assure-t-il. Steve Pascolo conseille à ces personnes de « se faire vacciner au plus tôt ».

   

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