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zalandeau
ecrit par autrui
22 novembre 2020

Georges Brassens - Il n'y a pas d'amour heureux

GSM

 

 

Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il veut serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux.
 
Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux.
 
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé

Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux.
 
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux.

 

Paroles Louis Aragon (1943, publié en 1946)

Musique Georges Brassens (1964 ou 65)

    

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21 novembre 2020

300 000 personnes vivent dans la rue en France

 

GSM

https://fr.news.yahoo.com/christophe-robert-fondation-abb%c3%a9-pierre-122520916.html

 

 

Christophe Robert (fondation Abbé Pierre) : "300 000 personnes vivent dans la rue en France. C’est choquant dans un pays comme le nôtre. J’ai honte"

Depuis 2012, le nombre de sans-domicile fixe a doublé, selon la Fondation Abbé-Pierre et s'élève désormais à 300.000, contre 141.500 lors de la dernière enquête officielle de l'Insee. Délégué général de la Fondation Abbé Pierre, Christophe Robert s’est exprimé au micro de Yahoo. Il dénonce une situation "honteuse" pour un pays comme la France. Ces chiffres, chocs, doivent selon lui réveiller les consciences.

20 novembre 2020

Guillaume Roquette sur LCI - On ne fait rien contre le terrorisme

GSM


15 novembre 2020

Femmes SDF en France *** Vivre dans la rue

GSM


Que pourraient dire des mots écrits à la hâte, pour traduire l'émotion qui nous étreint...
Macron avait promis "plus de SDF au bout d'un an" (de son mandat)... Je crois que "plus" voulait dire "davantage"...
8 novembre 2020

Coup de gueule de Zohra Bitan

GSM


 

 

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7 novembre 2020

"Monsieur, ils l'ont bien cherché..."

GSM

Note de zalandeau : Le texte se suffit à lui-même pour montrer la dérive séparatiste des jeunes musulmans scolarisés et ce, en 2015...
 
Écrit par Mohamed Kacimi. Edité sur Fesses de bouc en 2015.
 
Kacimi est écrivain et dramaturge. Auteur de la Confession d'Abraham, la Table d'éternité, Holy Land... 
Ecrivain et dramaturge, Mohamed Kacimi aurait du parler théâtre dans un lycée professionnel de Bondy. La discussion a dérivé sur les attentats. Il en est ressorti déboussolé. Juste de la "provoc" ou plus grave ? Témoignage de Mohamed Kacimi...
 
Je suis parti tôt de chez moi. Comme tous les auteurs dramatiques, je n’ai pas de permis, j’ai donc pris un RER puis deux bus pour rejoindre un lycée professionnel dans la Seine Saint Denis où je dois rencontrer deux classes de terminale pour leur parler de théâtre. J’ai fini par trouver l’établissement en question, planté dans une zone pavillonnaire plutôt jolie. J’ai poireauté un moment devant le portail cadenassé en raison du plan Vigipirate, avant d’être reçu par le proviseur. L’ambiance est tendue mais mon hôte est affable.
 
 « Vous savez, c’est un peu tendu en ce moment, mais moi, je m’en suis bien sorti. On a fait la minute de silence, j’ai baissé la tête, certains ont rigolé, mais tout le monde a applaudi. Je respire. A Bondy, il y a des profs qui ont refusé d’observer la minute de silence… Vous allez rencontrer nos classes, ils sont très gentils, vous verrez, je crois qu’ils vont parler de ce qui s’est passé, des… événements. Il faut juste faire attention aux mots, il faut bien choisir les mots. Ils sont gentils, les élèves, mais il faut faire attention.
– C’est-à-dire ?
– N’utilisez pas le mot “terroristes”. “Terrorisme”, ils ne comprennent pas.
– Pourquoi ?
– C’est des ados. Pour eux, “terroriste”, c’est positif, c’est guerrier ; dites plutôt “attaquants”…
– Je vois…
– Oui, il y a un autre mot qu’il ne faut pas utiliser, c’est “attentat”.
– Ah bon ?
– Oui, c’est la même chose. C’est quelque chose d’héroïque, vaut mieux dire “opération”.
– Je comprends.
– Une dernière chose, monsieur Kacimi, j’ai lu ce que vous écrivez, ne parlez pas d’islam, d’islamistes, ils trouvent ça stigmatisant.
– Qu’est-ce que je dois dire ?
– “Religieux, fondamentalistes”, et si vous parlez d’islam, n’oubliez pas de citer les deux autres religions, c’est ce que je fais à chaque fois. Quand je parle de l’islam, je cite obligatoirement les deux autres religions, le christianisme et le judaïsme. »

 
 Je m’installe au CDI où je suis reçu par la prof de français qui ressemble à toutes les profs de français du public, car elle a des cernes qui tombent jusqu’aux chevilles.
 
 Entre la première classe de terminale qui ressemble à toutes les classes de terminale des lycées professionnels, dans la mesure où elle compte 22 Blacks et deux Blancs que l’on dirait égarés. Les 22 Blacks sont habillés comme tous les Blacks, Nike, jeans et doudoune avec capuche. Et les deux Blancs égarés sont habillés comme les Blacks sauf qu’ils portent de lourdes chaînes en argent.
 
Entre la deuxième classe des filles, pareille à toutes les classes de lycée professionnel de France, car elle compte 16 Blacks et 6 Arabes, toutes habillées en Gap. La prof se lance dans de grandes questions sur Beckett, le théâtre de l’absurde et l’incarnation. Les garçons regardent leurs baskets et les filles, leurs ongles. Comme dans tous les lycées de ce genre, il n’y a aucun contact entre les deux sexes et les deux « races ». Les filles d’un côté, les garçons de l’autre ; les Arabes d’un côté, les Blacks de l’autre. Il y a une thèse à rédiger sur ce phénomène : « Ce que cachent aux adultes les ongles des jeunes filles ». Il faudrait que je revende ce titre à Yasmina Khadra.
 
Sentant mon auditoire peu passionné par la dramaturgie, j’ai décidé de mettre les pieds dans le plat.
 
« Bon, je vois que le théâtre ne vous passionne pas beaucoup. Pouvez-vous me dire comment vous avez vécu les… événements du journal… satirique ? »
 
Un frisson parcourt les deux classes.
 
« Vous parlez de Charlie ? – Oui, c’est ça.
Vous l’avez vécu comment, vous, monsieur ?
– Je dois vous avouer que j’ai eu beaucoup de peine.
Ah, s’esclaffent certains, pas nous.
– Pourquoi ?
Ils l’ont bien cherché.
– Ils l’ont voulu.
– Ils ont eu ce qu’ils voulaient.
– On n’insulte pas les gens comme ça.
– Surtout notre Prophète. Personne ne l’a vu, personne ne lui a serré la main, comment peuvent-ils le dessiner ? »

 
J’essaye de calmer le jeu.
 
« Croyez-vous que l’assassinat soit la meilleure réponse ? Ne vaut-il pas mieux répondre à la critique par la critique ?
– Vous rigolez. Si on critique, ils risquent de recommencer.
– Comme ça, on n’en parle plus. »

 
Je calme un peu le brouhaha.
 
« Vous vous rendez compte que vous vivez dans un pays démocratique et qui a une longue tradition anticléricale qu’il faut connaître et respecter. »
 
Le propos, loin d’apaiser les élèves, jette de l’huile sur le feu.
 
« Oui, démocratique pour les uns, pas pour les autres. – Tu fais une quenelle, tu te retrouves en garde à vue.
– Tu dis “Allah akbar”, tu te reçois une balle dans la tête.
– Et Dieudonné, lui n’a pas le droit de déconner, comme vous dites.
– Y a que les juifs qui ont droit à l’humour ?
– Oui, nous, comme on n’a pas le droit de rigoler, on tire dans le tas.
– On se marre comme on peut. »

 
Au fond de la salle, un grand Black lève la main.
 
« Monsieur, faut que je vous dise une chose, c’est la guerre. Ça va être la guerre, nous les musulmans et les autres, les juifs et les chrétiens, la guerre à mort.
Tu es musulman ?
– Non, je suis chrétien.
Pourquoi tu dis que tu es musulman ?
– Je dis ça parce que j’aime Anelka, il est musulman, tout le monde le déteste, lui déteste tout le monde, et nous on l’aime… Je vais me convertir juste pour Anelka, monsieur. Ce sera la guerre, monsieur, comme avec Anelka. »

 



5 novembre 2020

Chroniqueuse a RMC et Française Musulmane

GSM

 
 
 

 

 

 Bravo à Zohra !

2 novembre 2020

L’incompréhension face à “l’insistance” française sur les caricatures

 

GSM

Vu du monde arabe. (Une opinion mesurée quoique légèrement différente)

Publié le 31 octobre 2010 sur Yahoo. Accès libre et gratuit !

Azmi Bichara, intellectuel palestinien vivant au Qatar, explique pourquoi les musulmans doivent comprendre le cadre intellectuel français. Et comment les Français devraient appréhender la façon dont ils sont regardés de l’extérieur.

“Débattre de la liberté d’expression, de la tolérance et de la laïcité malgré un climat de démagogie.” C’est ce que se propose de faire Azmi Bichara, intellectuel palestinien installé au Qatar, où il dirige le puissant Centre arabe de recherches et études politiques, dans un long article publié à la fois par Al-Araby Al-Jadid, qui dépend de ce même Centre, et par le site libanais Al-Modon.

 

Alors que les discours extrêmes, les réactions à fleur de peau et les surenchères démagogiques fleurissent dans la presse arabe, il essaie de prendre du recul historique et théorique.

 

Condamner le meurtre sans ‘mais’

 

D’emblée, il souligne que “la liberté d’expression est un des fondements de la démocratie”. Il ajoute même que “la provocation délibérée peut être considérée comme acceptable dans les arts et la littérature.” Et de souligner :

 

L’assassinat d’un professeur d’histoire est un crime qu’il faut condamner sans fausses pudeurs et sans ajouter de ‘mais’. Car ce qui suit le ‘mais’ consiste généralement à justifier le crime.

 

“Par ailleurs, il n’est pas admissible de justifier un meurtre en arguant qu’il y a des musulmans qui souffrent à tel ou tel endroit. […] À une parole, on répond par une parole, et à un quolibet par un quolibet”, poursuit-il.

 

Il ajoute néanmoins des réflexions sur l’état du débat “difficile entre le Nord et le Sud de la Méditerranée” “Il est généralement permis dans les démocraties libérales de s’en prendre aux symboles du sacré et de heurter la sensibilité religieuse d’autrui, parce qu’il est difficile de définir légalement les limites d’une sensibilité et que cela pourrait être utilisé de manière arbitraire pour faire taire des idées. […] Cela ne veut pas dire pour autant que la liberté d’expression consiste forcément à le faire.”

 

Selon lui, “l’insulte par des canaux médiatiques ou officiels n’est pas quelque chose de normal. […] La tolérance peut parfois exiger de ne pas tout dire.”

 

Le tact, élément de la tolérance

 

“L’immense majorité des musulmans rejettent l’extrémisme, la violence comme moyen de répondre à un discours et la violence politique en général. Mais ils ne comprennent pas pourquoi il faudrait délibérément offenser des symboles religieux. Ils ont l’impression qu’on fait exprès de les insulter quand [une caricature] est accrochée à un bâtiment officiel”, conclut-il.

 

L’article a reçu un certain écho dans le monde arabe. Même s’il parle d’une conception “extrême” de la laïcité à la française et même s’il critique Emmanuel Macron pour avoir “confondu la crise de certains musulmans avec une crise générale de l’islam”, il se tient plutôt à l’écart des polémiques épidermiques.

   

25 octobre 2020

Mon coeur te dit je t'aime - Frédéric François

GSM

1984

 

La maison a l'air plus grande,
Surtout la chambre,
Il ne reste rien de toi que ton parfum,
Je découvre en ton absence,
Un vide immense
En voyant s'ouvrir les roses du jardin,
Je vis près du téléphone,
Mais quand il sonne,
C'est jamais le coup de fil que j'espérais,
Tu m'oublies et moi je chante,
Mais si je chante,
C'est seulement pour me retenir de pleurer.

Mon cœur te dit je t'aime,
Il ne sait dire que ça,
Je ne veux pas te perdre,

J'ai trop besoin de toi,
Mon cœur te dit je t'aime,
Il est perdu sans toi,
Mon cœur te crie je t'aime,
A chaque fois qu'il bat.

C'est surtout lorsque je rentre,
Que tu me manques,
Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais,
Et malgré ma solitude,
Par habitude,
Hier encore je t'ai fais chauffer du café,
Je dois perdre un peu la tête,
Dans ma défaite,
Je t'invente et je ne sais plus où j'en suis,
A nouveau tes yeux m'éclairent,
J'ai ta lumière en couleur sur des photos,
Tu me souris.



Mon cœur te dit je t'aime,
Il ne sait dire que ça,
Je ne veux pas te perdre,
J'ai trop besoin de toi,
Mon cœur te dit je t'aime,
Il est perdu sans toi,
Mon cœur te crie je t'aime,
A chaque fois qu'il bat.
Mon cœur te dit je t'aime,
Il ne sait dire que ça,
Je ne veux pas te perdre,
J'ai trop besoin de toi,
Mon cœur te dit je t'aime,
Il est perdu sans toi,
Mon cœur te crie je t'aime,
A chaque fois qu'il bat.
Mon cœur te dit je t'aime,


La la la la ,la la,
La la la la la la, la
La la la la, la la
Mon cœur te dit je t'aime...

 Auteurs compositeurs : Santo Barracato - Frédéric François / M. Jourdan

13 octobre 2020

4 leçons de vie

GSM

Envoyé par Jielleaime
 
Pour une vie réussie méditez ces 4 leçons:
- Communication
- Procédures
- Hiérarchie
- Gestion des affaires

1°) Communication :
Un homme entre dans la douche au moment précis où sa femme en sort, lorsque la sonnerie retentit à la porte de leur maison.
La femme s'enroule dans une serviette de toilette, descend les escaliers en courant et va ouvrir la porte d'entrée.
C'est Laurent, le voisin de palier. Avant qu'elle n'ait pu dire un mot, il lui lance :
"Je te donne 500 EUR immédiatement si tu laisses tomber ta serviette".
Elle réfléchit à toute vitesse et décide de laisser choir la serviette.
Il l'admire un bon moment, puis lui tend un billet de 500 EUR.
Un peu étonnée, mais contente de la petite fortune qu'elle vient de se faire en un clin d'oeil, elle remonte dans la salle de bain.
Son mari, encore sous la douche, lui demande :
"C'était qui ?"
"C'était Laurent "
"Super, il t'a rendu les 500 EUR qu'il me devait ?"
Morale n°1 :
Si vous travaillez en équipe, partagez rapidement les informations concernant les dossiers communs, vous éviterez ainsi bien des malentendus désagréables.

2°) Procédures :
Au volant de la 2 CV, un prêtre raccompagne une nonne au couvent.
Le prêtre ne peut s'empêcher de regarder ses superbes jambes croisées.
Il pose subitement la main droite sur la cuisse de la nonne.
Elle le regarde et lui dit :"Mon père, vous souvenez-vous du Psaume 129 ?"
Penaud, le prêtre : Psaume 129 ?"
Il rougit une fois de plus et retire sa main, balbutiant une excuse.
Les voilà arrivés au couvent.
La nonne descend de la voiture sans dire un mot.
Le prêtre pris de remords pour son geste déplacé se précipite sur la Bible, à la recherche du Psaume 129.
Psaume 129: "Allez de l'avant, cherchez toujours plus haut, vous trouverez la gloire"
Morale n°2 : Au travail, une bonne connaissance des procédures est recommandée pour atteindre les objectifs ...

3°) Hiérarchie :
Un commercial, une secrétaire et un DRH sortent du bureau à midi
et marchent vers un petit restaurant lorsqu'ils trouvent, sur un banc, une vieille lampe à huile.
Ils la frottent et un génie s'en échappe.
"D'habitude, j'accorde trois souhaits, mais comme vous êtes trois, vous n'en aurez qu'un chacun".
La secrétaire bouscule les deux autres en gesticulant : " A moi, à moi ! Je veux être sur une plage des Bahamas, en vacances perpétuelles, sans aucun des soucis qui pourraient empêcher de profiter de la vie"
Et pouf, elle disparaît.
Le commercial s'avance à son tour : "A moi, à moi ! Je veux siroter une pina Colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves !"
Et pouf, il disparaît.
"C'est à toi" dit le génie en regardant le directeur du personnel.
"Je veux que ces deux cons soient de retour au bureau après la pause déjeuner...."
Morale n°3 : En règle générale, laissez toujours les chefs s'exprimer en premier.

4°) Gestion des affaires :
A la ferme, le cheval est malade.
Le vétérinaire dit au paysan :" Je lui injecte un remède, si dans trois jours il n'est pas remis, il faudra l'abattre."
Le cochon qui a tout entendu, dit au cheval: "Lève toi !"
Mais le cheval est trop fatigué.
Le deuxième jour le cochon dit : "Lève toi vite !"
Le cheval est toujours aussi fatigué.
Le troisième jour le cochon dit : "Lève toi sinon ils vont t'abattre !"
Alors dans un dernier effort, le cheval se lève.
Heureux, le paysan dit : "Faut fêter ça: on tue le cochon !
Morale n°4 : Il faut toujours s'occuper de ses affaires  et surtout ... fermer sa gueule !
 
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