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zalandeau
ecrit par autrui
11 octobre 2020

Il faut de tout pour faire un monde : Fallait pas commencer par Lio...

GSM

 

 

" Fallait pas commencer "

Classé par zalandeau "chanson la plus nulle", à laquelle il attribue une "défaite de la musique"

Paroles... Heuuu... non ! Je n'infligerais pas cela à mon lectorat... Les auditeurs ont bien assez dérouillé...

Pour mémoire, d'autres "chefs-d’œuvre" interprétés par la même artiste :

"Les brunes comptent pas pour des prunes"

"Banana split"

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4 octobre 2020

André Claveau - Cerisier rose et pommier blanc

GSM


 En préambule, je signalerai aux citadins que, selon les variétés,  les fleurs des cerisiers sont le plus souvent blanches, parfois roses et celles les pommiers le plus souvent roses, parfois blanches... Mais la licence poétique et la rime imposent l'exception  au détriment de la normalité !!!

 

Quand nous jouions à la marelle
Cerisier rose et pommier blanc
J'ai cru mourir d'amour pour elle
En l'embrassant.

Avec ses airs de demoiselle
Cerisier rose et pommier blanc
Elle avait attiré vers elle
Mon coeur d'enfant.

La branche d'un cerisier
De son jardin caressait
La branche d'un pommier
Qui dans le mien fleurissait.

De voir leurs fleurs enlacées
Comme un bosquet de printemps
Nous vint amours la pensée
D'en faire autant.

Et c'est ainsi qu'aux fleurs nouvelles
Cerisier rose et pommier blanc
On fait un soir la courte échelle
A nos quinze ans.

Non, non, ne dites pas qu'à son âge
Vous n'étiez pas si volage,
Non, non, quand deux lèvres vous attirent
J'en sais peu qui peuvent dire non.

Mais un beau jour les demoiselles,
Frimousse rose et voile blanc
Se font conduire à la chapelle
Par leur galant.

Ah ! quel bonheur pour chacun
Le cerisier tout fleuri
Et le pommier n'en font qu'un
Nous sommes femme et mari.

De voir les fruits de l'été
Naître des fleurs du printemps
L'amour nous a chuchoté
D'en faire autant.

Si cette histoire est éternelle
Pour en savoir le dénouement
Apprenez-en la ritournelle
Tout simplement.

Et dans deux ans deux bébé roses
Faisant la ronde gentiment
Vous chanteront cerisier rose
Et pommier blanc

Paroles de Jacques Larue. - Musique de Louiguy. - Date decomposition : 1950

1 octobre 2020

Mensonges des médias sur le nom des violeurs

 

GSM

 


 Nous le savions déjà... Et lorsqu'ils ne changent pas les noms, ils les cachent derrière le nom commun "jeune(s)" ou "homme(s)", ou bien "personne(s)"...

 

30 septembre 2020

Les mains qui gonflent durant la marche

GSM

Article accessible librement et gratuitement sur randoguide.com

 

Vous avez les mains qui gonflent lorsque vous marchez, notamment durant une randonnée? Ce phénomène naturel est le plus souvent sans gravité. Grâce à cet article de notre guide pratique sur la randonnée, vous allez comprendre pourquoi vous avez parfois les doigts enflés après votre journée de trekking.

 

Les symptômes des mains gonflées

Les symptômes sont souvent les mêmes. Vous avez les mains qui gonflent de façon modérée. Cela peut vous sembler anormal par rapport à ce que vous observez habituellement. Ce gonflement fait que vous remarquez par exemple que vous ne pouvez plus retirer vos bagues. Cela se prolonge au niveau du poignet et votre bracelet de montre laisse une marque plus importante qu’à l’accoutumée. Une mauvaise circulation sanguine va avoir un impact négatif sur vos performances lors de l’activité physique.

Les causes des mains qui gonflent

Les raisons de ce phénomène physiologique naturel sont multiples et pas toujours évidentes à identifier de manière certaine. Quand vous faites un effort physique important, la circulation sanguine s’active et a tendance se concentrer sur les organes. C’est le même phénomène qui se produit lorsque vous avez froid avec l’hypothermie. Du coup, les extrémités sont moins bien irriguées et vous pouvez observer un phénomène d’œdème liée à l’accumulation d’eau dans les tissus.

 

Le gonflement des mains peut également être dû à la pression exercée par votre sac de randonnée sur vos épaules. Vous ressentirez alors un engourdissement, des fourmillements ou encore des démangeaisons voire même des crampes. Les bretelles agissent comme un garrot qui entrave la bonne circulation du sang dans les bras. Dans ce cas, il faut décharger son sac pour qu’il soit moins lourd mais aussi utiliser la ceinture ventrale afin que le poids soit mieux réparti. Vous pouvez également bouger les bretelles sur vos épaules de façon régulière pour changer le point de pression.

 

Quand vous marchez, vos mains pendent le long de votre corps. Le sang peut s’accumuler dans les mains si vous avez un problème de retour veineux. Pour éviter cela, vous pouvez utiliser des battons de randonnée ou lever les bras de façon régulière. Ceci va contribuer à faciliter le retour veineux par gravité. Le sang va alors mieux circuler dans les vaisseaux sanguins.

 

Durant la randonnée, vous allez transpirer. Ceci va avoir pour effet d’éliminer de l’eau mais également du sodium de votre organisme. Pour compenser, il faut régulièrement s’hydrater avec une boisson suffisamment équilibrée en sel. A l’inverse, il faut également éviter de manger trop salé car cela peut entraîner de la rétention d’eau. Donc oubliez le paquet de chips pendant que vous marchez.

 

Les femmes peuvent également faire face à ce problème durant leur cycle menstruel ou durant la grossesse. C’est lié à un déséquilibre hormonal.

 

Est-ce qu’il faut s’inquiéter?

 

Non, dans la très grande majorité des cas, le phénomène est entièrement réversible en quelques heures après l’effort. Si le problème persiste, il faut bien entendu consulter un médecin pour un examen approfondi. Gardez à l’esprit que ce phénomène est souvent naturel. Votre corps s’adapte aux efforts que vous lui demandez.

 

N’oubliez pas ces conseils pour éviter et soulager le gonflement des mains :

 

- ne surchargez pas votre sac de randonnée

- hydratez vous de façon régulière (mais ne buvez pas trop non plus)

- utilisez des battons de randonnée ou levez les bras

- retirez tout ce qui pourrait entraver la circulation sanguine (bague, montre, bracelet)

 

La solution efficace pour les mains gonflées et la récupération

 

J’ai découvert une solution efficace contre les mains gonflées qui m’aide également dans la phase de récupération après une journée de marche. Il s’agit du tapis d’acupression Duvamat. Il permet de rétablir la circulation sanguine dans tout le corps. Il favorise également le drainage lymphatique au niveau des tissus ce qui contribue à réduire l’œdème. Une séance en fin de journée me permet de limiter l’apparition de courbatures et de soulager rapidement ce problème de mains gonflées. Je vous conseille donc chaudement cette méthode entièrement naturelle.

  

27 septembre 2020

Le lion, la blonde et le retraité

GSM

> Le propriétaire d'un cirque a passé une annonce pour trouver un nouveau dompteur de lion . 

> Deux personnes se présentent : un homme retraité, de plus de 70 ans,  et une blonde de 25 ans.

> Le patron du cirque reçoit les deux candidats et leur dit :   "Je n'irai pas par quatre chemins :

> Mon lion est très fort et a tué mes deux précédents dompteurs. Ou vous êtes vraiment très bon ou ça ne durera pas plus d’une minute !"

> "Voici l'équipement dont vous disposerez : le banc, le fouet et le pistolet. Qui veut commencer ?" 

> La blonde dit : "moi j'y vais."

> Elle fait fi de l'équipement, du fouet, du pistolet, et entre rapidement dans la cage. 

> Le lion rugit et se précipite vers la blonde.

> Quand il arrive à moins d'un mètre, elle se déshabille jusqu’à être complètement nue, dévoilant un corps superbe.

> Le lion s'immobilise immédiatement, se couche devant elle et lui lèche les pieds.

> Petit à petit, il se relève et lui lèche tout le corps pendant un long moment …

> Tout y passe, les cuisses, les fesses, l'entre-jambes, les seins, le cou, la nuque, etc.

> Le patron du cirque n'en revient pas et dit :  "   Je n'ai jamais vu ça de toute ma vie !"

> Il se tourne vers le retraité et demande :  "Est-ce que vous pouvez en faire autant ?"

> Et le brave homme lui répond : 

> Bien sûr… mais d'abord, faites sortir le lion !

  

Merci à Jielleaime 

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26 septembre 2020

Melody Gardot - Worrisome Heart

GSM


 

 

 

23 septembre 2020

La Cataracte

GSM

Sur Wikipedia l’encyclopédie Libre (et gratuite) – Extraits

La cataracte est l'opacification partielle ou totale du cristallin, lentille convergente située à l'intérieur de l'œil. Cette opacification est responsable d'une baisse progressive de la vue, au début accompagnée de gêne à la lumière (photophobie). Cette baisse de la vision peut être rapide (quelques semaines) si elle est causée par un traumatisme.

Épidémiologie

La cataracte est la première cause de cécité dans les pays en voie de développement : elle explique près de 40 % des 37 millions d'aveugles dans le monde. Il s'agit donc d'un problème de santé publique majeur dans ces pays, d'autant que le traitement est connu et son application n'est limitée que par le problème de coût. Les facteurs favorisants en sont la dénutrition, la déshydratation, l'exposition au soleil. Elle survient alors chez le sujet relativement jeune.

 

Dans les pays développés, la cataracte est majoritairement observée chez la personne âgée, on la dénomme alors « forme sénile » : des petites opacités existent chez 50 % des personnes à l'âge de 60 ans, 70 % des personnes à l'âge de 70 ans. Néanmoins, elle débute généralement en même temps que la presbytie vers 45 ans et elle est favorisée par le tabagisme ou la forte myopie9. Il existe des cas de cataracte congénitale. Aux États-Unis, près de 20 millions d'adultes de plus de 40 ans en sont atteints (chiffres 2004).

 

Causes

  • la cataracte sénile : l'immense majorité des cataractes apparaît spontanément avec l'âge, après 70 ans, de façon très progressive, sans cause déclenchante particulière.
    Certains facteurs peuvent cependant jouer un rôle aggravant et précipiter l'apparition de la maladie : l'exposition prolongée aux ultraviolets, les rayonnements ionisants, le tabagisme, l'hérédité, certains traitements comme des corticothérapies prolongées, le diabète, certaines maladies métaboliques, certains antidépresseurs.
    Avec le passage du temps, les facteurs environnementaux entrainent la dénaturation des protéines du cristallin. Ce sont en particulier les toxines, les radiations et surtout les UV qui ont un effet cumulatif. Ces effets sont majorés par l'absence de protection et de mécanisme de restauration possible dans les cellules du cristallin qui sont énucléées19 ;
  • la cataracte traumatique est d'évolution le plus souvent rapide ; les traumatismes par objets émoussés causent des gonflements, des amincissements ou une opacification des fibres de la lentille. Alors que le gonflement se résorbe habituellement avec le temps, la coloration blanche peut rester. Lors des traumatismes sévères ou les plaies pénétrantes de l’œil, la capsule dans laquelle la lentille cristallinienne siège peut être endommagée. Ceci permet à l'eau contenue dans les autres compartiments d'entrer rapidement dans les fibres de la lentille entraînant le gonflement et l'obscurcissement qui gêne le passage de la lumière vers la rétine sur la face postérieure de l’œil. Suite à des décharges électriques, une cataracte peut se développer dans 7 à 8 % des cas ;
  • les radiations : la lumière ultraviolette, et en particulier les UV-B, est connue pour être la cause de cataractes et il existe des preuves que le port des lunettes de soleil dès le plus jeune âge peut ralentir le développement d'une cataracte du sujet âgé. Il faut noter que les fibres de la lentille cristallinienne filtrent la lumière UV, si bien qu'après son ablation chirurgicale, on devient capable de percevoir les rayons UV. Il a été reconnu sur des expérimentations animales et sur des études épidémiologiques chez l'humain, que les micro-ondes peuvent causer des cataractes. Le mécanisme n'est pas clair mais pourrait inclure des changements de la sensibilité des enzymes à la chaleur qui protège habituellement les protéines de la lentille. Un autre mécanisme qui a été avancé est un dommage direct à la lentille par la pression des ondes induites dans l'humeur aqueuse. Les cataractes ont aussi été associées à l'exposition aux radiations ionisantes et aux rayons X. En plus des mécanismes précédemment mentionnés, les dommages sur l'ADN des cellules germinatives du cristallin ont été pris en considération23. Finalement, qu'il s'agisse de traumatisme électrique ou thermique, on aboutit à une dénaturation des protéines qui conduisent la lumière avec une opacification de la lentille résultant d'un phénomène de coagulation des protéines. Ceci est le même processus que quand l'albumine de l’œuf devient blanche et opaque lors de la cuisson. Ces types de cataractes sont souvent rencontrées chez les souffleurs de verre et les travailleurs de fours. Les lasers d'une certaine puissance sont connus pour entraîner des dommages pour l’œil et la peau, d’où l'importance des mesures de sécurité (laser à fluorure de krypton) ;
  • la cataracte secondaire à des affections graves de l'œil (uvéites anciennes, décollement de la rétine ancien) ;
  • les cataractes héréditaires : la composante génétique est marquée dans le développement des cataractes, principalement à travers les mécanismes qui protègent et maintiennent l'intégrité du cristallin. La présence de cataractes dès l'enfance ou les premiers moments de la vie peuvent occasionnellement être à des syndromes particuliers (indication d'une intervention chirurgicale plus ou moins rapide selon l'importance de l'opacité du cristallin).
    Les exemples d'anomalies chromosomiques associées avec la survenue de cataractes comprennent : le 1q21.1 deletion syndrome (en), la maladie du cri du chat, le syndrome de Down ou trisomie 21, le syndrome de Patau ou trisomie 13, le syndrome d’Edwards ou trisomie 18 et le syndrome de Turner.
    Des exemples de désordre d'un seul gène comprennent : le syndrome d'Alport, le syndrome de Conradi-Hünermann ou chondrodystrophie calcifiante congénitale, la dystrophie myotonique de Steinert , le syndrome oculo-cérébro-rénal ou syndrome de Lowe ;
  • les maladies de la peau : du fait de la même origine embryologique de la peau et du cristallin, ils peuvent être affectés par des maladies identiques. La dermatite atopique et l'eczéma peuvent occasionnellement se compliquer de cataractes secondaires à des ulcères.
    L'ichtyose est une maladie autosomique récessive associée avec des cataractes cunéiformes et scléroses du noyau. Les névus basocellulaires et le pemphigus peuvent donner lieu aussi à de telles associations ;
  • l'utilisation des drogues : la fumée de cigarette entraîne une augmentation d'au moins deux fois le risque de sclérose du nucleus dans les cataractes fibreuse et multiplie par trois le risque de cataracte sous capsulaire postérieur. Il existe une évidence sur l'effet délétère de l'alcool. Quelques études ont montré un lien mais d'autres non chez des patients suivis au long cours.
  • la cataracte congénitale ou de l'enfant a été reliée à des facteurs de risques, dont :
    • une malformation de type persistance de la vascularisation fœtale ;
    • l'hérédité (étiologie estimée comme principale dans 29 % des cas dans les pays développés et 18 % dans les pays en voie de développement) ;
    • l'âge de la mère au moment de la fécondation (âge supérieur à 40 ans) : risque ratio = 2,27 (IC 95 % =1,36-3,77) (p=0,03) ;
    • le fait d’avoir subi une césarienne a également été associé à un risque élevé ;
    • un poids à la naissance de moins de 2 500 g, âge gestationnel de moins de 37 semaines et taille inférieure à 48 cm ; ce sont 3 facteurs associés à un risque très élevé de cataracte bilatérale ;
    • une exposition aux rayonnements ionisants via l'alimentation ; elle semble augmenter le risque de cataracte subcapsulaires du cristallin selon Day et al. sur la base des données médicales réunies après la catastrophe de Tchernobyl, ce qui pourrait aussi être une explication pour certains des cas non expliqués (50 % des cas) selon G. Landon (2008).

Signes cliniques observés évocateurs de la cataracte :

  • baisse de l'acuité visuelle d'évolution progressive, le plus souvent bilatérale ;
  • gonflement du cristallin et modification de son indice de réfraction aux longueurs d'ondes visibles, d'où apparition d'une myopie d'indice (elle n'est pas dû à une "malformation" de l'oeil, uniqement à un changement dans la réfraction des rayons lumineux) le plus souvent asymétrique ;
  • troubles du sommeil et du rythme circadien.

La baisse d'acuité visuelle est chiffrée par les échelles de Monoyer et de Parinaud pour chaque œil. Ces mesures permettent une évaluation objective de la gêne, même si la prise en charge sera majoritairement dépendante de la gêne ressentie.

 

Des signes moins fréquents peuvent être observés :

L'examen du cristallin à la lampe à fente pose le diagnostic et précise le type de la cataracte : sous-capsulaire, corticale, nucléaire voire cortico-nucléaire, polaire, zonulaire. Celui-ci oriente vers les causes à l'origine de la cataracte.

 

Traitement

Le seul traitement efficace de la cataracte est la chirurgie. L'intervention consiste à enlever le cristallin opaque, et le remplacer par un cristallin artificiel (implant intra-oculaire) qui prend place dans l'« enveloppe » du cristallin (appelée capsule) laissée partiellement en place pendant l'intervention (extraction extra-capsulaire). Cette intervention se fait classiquement sous anesthésie de contact ou locale. L'anesthésie générale est réservée aux très rares cas où l'anesthésie locale n'est pas possible (patient agité, démence, sujet psychiatrique, enfant...). L'intervention dure une dizaine de minutes, est indolore, et la vue revient très rapidement, sous réserve de la normalité des autres structures oculaires.

 

L'intervention se fait le plus souvent en ambulatoire, c'est-à-dire sans hospitalisation, ou alors avec une hospitalisation très courte, selon les cas.

 

L'implant peut être à focales multiples permettant une vision correcte de près comme de loin30. Il peut être jaune, bleu ou depuis quelques années photochromique.

 

La complication la plus fréquente de l'intervention est la cataracte secondaire qui peut apparaître quelques jours à quelques années après l'intervention. Elle correspond à une opacification de la capsule. Cette opacification se traite par capsulotomie, le plus souvent au laser Nd-YAG. Des impacts focalisés sur la capsule vont la déchirer et rendre immédiatement une vue normale. Il arrive également que l'un des points de suture sur la cornée ne soit plus parfaitement étanche. Le chirurgien observe alors le signe de Seidel, qui traduit la fuite d'humeur aqueuse à travers la perforation. La prise en charge doit être rapide et adaptée, l'œil étant exposé à un grand risque septique.

 

La prudence veut qu'on ne traite jamais les deux yeux au cours de la même séance.

 

Dans les pays les moins avancés, l'intervention préférentielle (pour des raisons de coût) reste l'extraction intra-capsulaire du cristallin, où l'enveloppe (la capsule) est retirée en même temps que ce dernier. Les résultats sont moins bons que l'extraction extra-capsulaire.

 

Traitement médicamenteux

Depuis les années 1990, un biochimiste russe propose l'utilisation de la N-acétylcarnosine (en) en collyre, en raison des propriétés anti-oxydatives de cet acide aminé, comme traitement préventif et curatif.

  

19 septembre 2020

BREAKFAST AT TIFFANY´S (DIAMANTS SUR CANAPE) - MOON RIVER

GSM

 

 

MOON RIVER (1961)

Quel merveilleux souvenir que ce film et surtout cette chanson magnifiquement interprétée par Audrey Hepburn

 

18 septembre 2020

Covid-19 – L’Hypoxie heureuse (Information importante)

GSM


https://fr.style.yahoo.com/covid-19-qu-l-hypoxie-101205638.html

Paru sur Femme actuelle le 7 mai 2020 sur internet en accès libre et gratuit !

https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/covid-19-quest-ce-que-l-hypoxie-heureuse-ce-mysterieux-nouveau-symptome-de-la-maladie-2094973

Des médecins ont constaté que certains patients atteints de Covid-19 avaient une saturation en oxygène très basse, sans pour autant présenter, en apparence, les signes d'une détresse respiratoire. Un mystérieux phénomène qui ne serait pas sans conséquences sur la santé.

 
Toux, fièvre, maux de tête… Ces symptômes peuvent être évocateurs du coronavirus et évoluer, dans les cas les plus graves, vers une détresse respiratoire. Les patients présentent alors une hypoxie, autrement dit une saturation en oxygène - qui correspond à la quantité d’oxygène qui circule dans le sang - particulièrement basse, ce qui les rend généralement incohérents, comateux, voire inconscients. Leur état de santé est alors critique.
 
Mais dans certains cas, un phénomène mystérieux, mis notamment en lumière par la revue scientifique américaine Science, se produit : des patients atteints de Covid-19 ayant une saturation en oxygène très faible se présentent à l’hôpital en se plaignant simplement d’une gêne respiratoire. C’est ce que certains ont surnommé l’"hypoxie heureuse", une expression inappropriée au vu de la gravité de la situation. Le bon terme pour décrire ce phénomène est "hypoxie silencieuse".
 
Sur CNN, le Dr Richard Levitan, un médecin urgentiste américain, explique qu’il a vu des patients se présenter avec des niveaux d'oxygène sanguin si bas qu'ils auraient dû être inconscients. La saturation normale en oxygène se situe entre 95% et 100 %. Lorsqu’elle est en deçà de 90%, elle est considérée comme anormale.
 
Certains des patients pris en charge par le Dr Richard Levitan avaient une saturation en oxygène à 50%. "Leurs radios des poumons étaient affreuses, leur (taux d') oxygène était terrible, et pourtant ils étaient complètement réveillés et alertes sur leur téléphone portable. Ils ont tous dit qu'ils étaient un peu malades depuis des jours et que ce n'est que récemment qu'ils avaient remarqué soit un essoufflement, soit de la fatigue, soit autre chose", a-t-il expliqué.
 
Comment expliquer que ces patients ne se rendent absolument pas compte que leur état de santé se soit autant dégradé ? "Nous n’observerions pas ce phénomène dans le cadre d’une grippe ou d’une pneumonie communautaire. C'est beaucoup plus profond et un exemple de mécanisme physiologique très anormal qui se déroule sous nos yeux (…) Nous ne comprenons tout simplement pas", explique le Dr Mike Charlesworth, anesthésiste à l'hôpital Wythenshawe de Manchester, au Guardian.
 
Certains médecins supposent que lorsque les patients atteints de Covid-19 développent une gêne respiratoire, le corps accélère la respiration pour compenser, tandis que les niveaux d’oxygène dans le sang continuent de baisser. L’organisme s’adapte alors à ce changement, comme il s’adapte à la haute altitude.
 
Bien qu’elle soit silencieuse, cette hypoxie peut créer des dégâts sur les poumons, mais aussi sur d’autres organes tels que le cœur, les reins et le cerveau. Comment l’éviter ? Certains médecins suggèrent que fournir un oxymètre de pouls - qui permet de prendre la saturation en oxygène sur le bout du doigt - aux patients testés positifs au Covid-19 pourrait être une solution. Mais elle a ses limites, car ils ne savent pas si une détection précoce de cette hypoxie suffirait à éviter les dégâts causés sur l’organisme.
  
16 septembre 2020

Hépatite C

GSM

Article en accès gratuit sur internet

La seule maladie virale chronique à pouvoir être guérie (Note de zalandeau : Seulement depuis quelques années).
 
L’hépatite C chronique concernerait moins de 200 000 personnes en France, un chiffre en constante diminution ces dernières années. Cette maladie du foie d'origine virale reste longtemps silencieuse : elle évolue pendant dix, vingt ou trente ans avant que de graves complications apparaissent. Désormais, l’enjeu est de parvenir à diagnostiquer et à traiter les personnes infectées avant ce stade. Des médicaments permettant de guérir plus de 95% des personnes traitées sont désormais disponibles. En cela, l’hépatite C chronique est unique : elle est aujourd’hui la seule maladie virale chronique à pouvoir être guérie.
 
 
L’hépatite C est une maladie du foie causée par un agent infectieux de la famille des flavivirus, le virus de l’hépatite C (VHC). Avec l’hépatite B, elle constitue l’une des formes les plus graves d’hépatite virale, capable d’engendrer une atteinte chronique du foie à risque de complications graves.
 
En 2011, on estimait à 345 000 le nombre de personnes ayant été en contact avec le VHC en France, et à 232 000 le nombre de porteurs chroniques du virus. Cependant, du fait de l’efficacité et de la prescription élargie des nouveaux traitements, ce dernier nombre est en constante diminution depuis 2014. Ainsi, en 2016, le nombre de porteurs chroniques était estimé à 193 000, dont seuls les deux tiers auraient connaissance de leur infection.
 
La France a adopté une politique de santé publique particulièrement proactive concernant le dépistage et la prise en charge de la maladie, ce qui explique la diminution récente et constante des chiffres de prévalenceprévalenceNombre de cas enregistrés à un temps T.. Ailleurs dans le monde, l’enjeu reste important : 70 millions de personnes seraient chroniquement infectées - soit 1% de la population du globe - et plus de 350 000 personnes décèderaient chaque année des suites de cette maladie.
 

Des modes de contamination parfois sous-estimés

 
Le VHC se transmet essentiellement par voie sanguine. Les cas de contamination par voie sexuelle sont rares et limités aux personnes qui ont des partenaires multiples, des pratiques sexuelles brutales et/ou sont co-infectées par le VIH. Le risque de transmission maternofœtal est de l’ordre de 5% si le VHC est détectable dans le sang de la mère au moment de la naissance. En pratique, la principale voie de contamination actuelle passe par le partage de matériel entre usagers de drogues (seringue, paille de sniff, compresse…).
 
Historiquement, le virus s’est largement propagé par le biais des transfusions sanguines. La découverte du VHC en 1989 a ensuite permis d’écarter définitivement ce risque, au moins dans les pays industrialisés. Le virus a également pu se transmettre à l’occasion de tatouages, de soins dentaires ou d’acupuncture réalisés avec du matériel mal stérilisé, mais cette voie de contamination est aujourd’hui anecdotique.
 
Depuis l’identification du virus, les mesures de prévention et de dépistage ont largement permis de réduire l’ampleur de l’infection en France : même si on ne dispose d'aucune évaluation précise récente du nombre annuel de nouveaux cas en France, on pense que quelques milliers de personnes contractent encore le virus chaque année, essentiellement parmi les usagers de drogues. L’évolution récente des traitements favorise une moindre circulation du virus et donc, potentiellement, une diminution des nouvelles infections.
 
Les usagers de drogues pratiquent pour la plupart des tests de dépistage réguliers pour le VHB, VHC et VIH. Ils sont donc souvent diagnostiqués. Restent que les personnes n’ayant pas le sentiment d’appartenir à un groupe à risque sont peu enclins à réaliser un dépistage : celles ignorant avoir reçu une transfusion sanguine avant 1992, celles ayant été infectées à l’occasion d’une unique consommation de drogue… Au total, on estime que près d’une personne concernée sur trois, ignore qu’elle est infectée par le VHC.
 
Zalandeau : C’était le cas de mon Papa ! Mon père a été contaminé, suite à une très grave brûlure dans les années 70, à l’hôpital Saint Roch à Nice lors de transfusion de produits sanguins. Comme le dit si bien le texte ci-dessus, l’hépatite C n’était pas recherchée dans le sang des donneurs à l’époque.
Et ce n’est que dans les années 90, à la retraite, que sa maladie a été diagnostiquée… Un des deux lobes de son foie était nécrosé et totalement mort… Etant donné son âge, il n’était pas question de lui faire une greffe de foie, ces organes étant destinés en priorité à des personnes plus jeunes, quand au médicament il n’est apparu qu’en 2013, bien après le décès de mon père et à un prix inabordable…
 
Ce qu’aucune littérature ne transcrit, c’est comment la maladie arrive à son terme… La mort !
 
Les derniers jours de mon père, j’étais à l’hôpital Saint Cyr de Villeneuve sur Lot et je m’enquis, auprès d’un médecin du service, des symptômes qui avaient successivement frappé mon père.
Il m’expliqua alors, que depuis des mois, mon père allait tous les quinze jours se faire retirer du liquide qui s’accumulait dans son abdomen et que le foie ne filtrait plus… Après la nécrose totale du deuxième lobe du foie, la maladie s’en prend à d’autres organes… Poumons, cœur et finalement le cerveau… Parallèlement le liquide envahit tout le corps… dont les poumons… Et le patient meurt en partie par noyade…
  
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