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zalandeau

16 août 2023

COMMENT LES BOURGEOIS NOUS EMPOISONNENT LA VIE - Nicolas Framont

GSM


 

 

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15 août 2023

Fabien Bouglé : "L'Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF"

GSM


 

 

14 août 2023

TRAHISON DE NOS « ÉLITES » : UNE FRANCE VASSALISÉE PEUT-ELLE SURVIVRE ? - Arnaud Montebourg

GSM


 

 

13 août 2023

CETTE CASTE D’INCOMPÉTENTS IGNORE LA COLÈRE ET MULTIPLIE LES INJUSTICES ! - François Boulo

GSM


 

 

12 août 2023

Mémoires et radotages (493) – Mes conneries (à ne pas confondre avec « Ma connerie »)

 

 

GSM

Écrit le 12 août 2023

 

Dans le temps on racontait des blagues, genre devinettes, dans la cour de récréation de l’école primaire…

Évidemment celle ci-dessous que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, je dirais même les moins de quarante ans :

 

-Charles, Pierre et Sophie font la course… Qui va gagner ?

Tic tac, tic tac…

-Je ne vois pas ?

-C’est Sophie !

-Pourquoi ?

-Parce que Charles Trenet, Pierre Fresnay mais que Sophie Desmarets !!!

 

Dito pour celle-ci parodiant une chanson de Francis Lemarque, que nous chantions à tue-tête dans la cour de récré :

 

Un inconnu dans sa baignoire,

Se lavait l'cul au savon noir,

Il se frottait tant qu'il pouvait,

Pendant ce temps sa femme l'observait…

Marjolaine, toi si jolie,

Marjolaine le printemps fleurit…

 

Et puis une petite dernière pour la route, mais qui a germé dans mon cerveau dépravé il y a deux jours :

 

-Monsieur et Madame Pudlach ont une fille. Comment la prénomment-ils ?

Tic tac, tic tac…

-Je ne vois pas ?

-Agathe !... Pudlach Agathe !!!

 

Bon… Ok ! ça ne fait rire que moi, et ben tant pis !

 

En tout cas, la publication par canalblog sur les posts récents me censure

       

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11 août 2023

Mémoires et radotages (220) – Macron – Les étés meurtriers

GSM


Écrit le 16 juillet 2019

 

Eté 2018 : Alexandre Ben Bella…. Schlack !

 

Eté 2019 : François de Rugby…. Schlack !

 

Exit Benalla et Rugy… Merci Mediapart, (pour une fois) !...

        
10 août 2023

Petit cours d'histoire à méditer - Razzias Musulmanes

GSM


Même en paca
il n’y a pas une personne sur dix
qui sait l’origine de l’appellation :
« massif des Maures » 
sur la route de Saint-Tropez !
 
Un petit rappel d'histoire très intéressant, car jamais étudié à l'école dans sa continuité et sa totalité. 
 
C'est pourtant notre histoire !
Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était laFrance de l'époque.
 
Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques.
Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu'à Sens.
En721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d'Aquitaine.
 
Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes.
 
Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l'armée musulmane, qui se replia en désordre sur l'Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne.
 
On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu'Eudes était mérovingien.
 
Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France et n'avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne.
 
Les musulmans ont conclu alors qu'il était dangereux d'attaquer la Francee n contournant les Pyrénées par l'est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l'ouest desPyrénées.
 
15.000 cavaliers maures ont pris et détruitB ordeaux, puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés parCharles Martel et Eudesà vingt kilomètres au nord dePoitiers, en 732.
 
Les survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continué à ravager l'Aquitaine.
 
De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages.
 
Ces bandes n'ont finalement été éliminées qu'en808, parCharlemagne.
 
Les ravages à l'est ont continué jusqu'à ce qu'en 737 Charles Martel descende, au sud, avec une armée puissante, et reprenne successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et met le siège devant Narbonne.
 
Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France obligea Charles Martel à quitter la région.
 
En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs.
 
Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l'ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et lesfemmes pour les introduire dans les harems d'Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans.
 
La place forte des bandes se situait à Fraxinetum, l'actuelleGarde-Freinet(le massif des Maures). Une zone d'environ 10.000 kilomètres-carrés, dans lesMaures, fut totalement dépeuplée.
 
En 972, les bandes arabes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre.
 
Le retentissement fut immense.
 
Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes maures, petites ou grandes.
 
En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles. 
 
La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s'exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer.
 
Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes du Dar al islam, et les femmes d'âge nubile dans les harems.
 
Les repaires des pirates maures se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d'Espagne et celles de l'Afrique du Nord.
 
Toulona été totalement détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte.
 
Finalement, les maures ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l'Italie et de la partie nord de l'Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer par des actions de pirateries. 
 
Ce n'est qu'en 1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent à la tête, et à aller en Algérie détruire définitivement les dernières bases des pirates barbaresques.
 
Ce fut l’origine et la raison de notre présence
en Afrique du Nord.
 
Chacun sait ce qu'est devenue ensuite l'Algérie… etl'histoire ne s'est pas figée...
 
Ce qu'il y a de frappant,
c'est qu'entre 714, lapremière entrée, et 1830,
l'écrasement définitif des pirates barbaresques,
il s'est écoulé plus d'un millénaire,
ce qui montre qu'ils ne renonçaient jamais ...
 
Bien sur, tous les musulmans n'étaient pas barbaresques tout comme aujourd'hui tous ne sont pas terroristes...
 
La pensée correcte les décrit actuellement comme "modérés" !
 
Les exemples des "printemps arabes"qui se déroulent sous nos yeux en Tunisie, Libye, Égypte, montrent s'il en était besoin que les "modérés" se font toujours évincer par les enragés ! Ce n'est pas les modérés qu'il faut craindre !
 
Faut-il s'endormir sur nos lauriers, pendant que l'immigration massive continue et que Schengen permet tous les passages de frontières aux modérés comme aux extrémistes ? Alors qu'en même temps, cette présence massive sur notre territoire favorise le communautarisme  radical, sectaire et terroriste qui ne cesse de croître ?
        
9 août 2023

La traite par les rois Africains

GSM


Écrit par Philippe Delorme (Historien et journaliste)
 
« Doucement, majestueusement, il égorgea avec un large coutelas, au manche richement orné, les douze premiers captifs. Après lui, les grands dignitaires opérèrent de le même façon, avec des couteaux à lame d’argent, à lame de cuivre, ou à lame d’acier, selon leur rang… Les exécuteurs ordinaires firent ensuite leur œuvre et abattirent mille autres têtes ». C’est ainsi, selon la tradition des « grandes coutumes », que Béhanzin, onzième roi d’Abomey, ouvre les cérémonies de son avènement, le 30 mars 1890, marquées par une débauche de sacrifices humains.
 
Remontant au XVIIè siècle, l’Abomey, ou Dahomey – la partie méridionale du Bénin actuel – doit sa prospérité et son existence– à l’instar des autres royaumes d’Afrique Occidentale – au commerce de ce qu’on appelait le « bois d’ébène ». Le grand père de Béhanzin, Ghézo, l’avouait en 1840 : « La traite a constitué le principe directeur de mon peuple. C’est la source de sa gloire et de sa richesse. Ses chants célèbrent nos victoires et la mère endort son enfant avec des accents de triomphe en parlant de l’ennemi réduit en esclavage ».
 
Pratique commune à la plupart des sociétés traditionnelles, la servitude apparaît structurelle en Afrique, où l’autorité de quelqu’un se mesurait jadis à l’importance de son cheptel humain.
 
Elle connaîtra un premier essor au VIIIè siècle, avec la traite à destination du monde Musulman. A travers le Sahara d’une part, l’océan Indien et la mer Rouge de l’autre, 15 à 20 millions de captifs vont transiter jusqu’à l’orée de l’époque contemporaine, afin d’approvisionner les marchés du Maghreb, d’Egypte et d’Orient.
 
Les trafiquants Arabes peuvent compter sur la complicité active des chefs du « Soudan » - le « Pays des noirs ». C’est ainsi que se développeront les émirats du Kanem-Bordou, du Ghana, d’Ouaddaï, de Baguirmi, de Songhaï et plus tard, à l’est du continent, le sultanat de Zanzibar, plaque tournante des raids menés dans la région des grands lacs. Au sein des grands états du Sahel, fondés sur la traite négrière, jusqu’au deux tiers de la population sont de condition servile.
 
En 1324, l’empereur du Mali, Kandou Moussa, se rend en pèlerinage à la Mecque, avec deux milliers de serviteurs, la plupart esclaves…
 
Initiée dès le XVè siècle par les Portugais, la traite transatlantique va déplacer près de 11 millions d’individus. Mais là encore, rien n’aurait été possible, sans le concours des potentats locaux. En 1511, le roi Makoko du Congo est le premier à vendre une douzaine de prisonniers, expédiés vers l’Amérique. Jusqu’au XIXè siècle, les Européens se contenteront d’installer des fortins et des comptoirs sur le littoral, sans s’aventuer à l’intérieur. En échange d’armes à feu, de tissus, d’alcool, de lingots de fer – et non de « pacotille » comme le veut la légende -  les négriers blancs prennent livraison de leurs cargaisons humaines.
 
Les monarchies Yoruba, Koya, Khasso, les confédérations Fante et Achanti, l’imanat du Fouta-Djalon conduisent des guerres incessantes pour « s’approvisionner » dans le vivier inépuisable des populations animistes. En 1750, par exemple, le roi d’Abomey, Tegbessou, fournit un contingent annuel de 9000 esclaves, ce qui lui assure un revenu de 250.000 livres.
 
Le courant abolitionniste, né dans le sillage des lumières et de la révolution Française, remet en cause ce négoce. Face à la perspective d’une ruine de leur économie, essentiellement fondée sur la traite, les royautés côtières se livrent d’abord à la contrebande, avant de devoir s’incliner devant la détermination occidentale.
 
Fer de lance de la lutte contre le trafic négrier, le Royaume Uni s’essaie à la « diplomatie financière ». Ainsi le roi de Madagascar, Radama, renonce en 1817 à la vente aux trafiquants européens, moyennant une allocation de 10.000 dollars durant trois ans. En 1842, des chefs du Nigéria et du Cameroun concluent des accords similaires. Plus tard George Oruigbiji Pepple, souverain de Bonny, un état esclavagiste du delta du Niger, acceptera une transaction similaire… avant de reprendre ses activités illicites !
 
Paradoxalement, l’éradication complète de la traite et de l’esclavage constituera le moteur humaniste – le prétexte, diront certains – de l’entreprise coloniale, pendant la seconde moitié du XIXè siècle. En plaçant les territoires conquis sous l’administration directe de la métropole, le Royaume Uni et la France vont libérer aussi de nombreuses ethnies de la menace séculaire et de la cruauté de leurs voisins, comme la rapacité des razzieurs musulmans. Ce qui explique sans doute la facilité relative avec laquelle ces deux puissances européennes ont pu étendre leur domination, en quelques décennies sur la majeure partie du continent noir.
 
Le cas du royaume d’Abomey illustre ce processus. Les Britaniques tenteront à maintes reprises d’y user de persuasion. Importuné par leur insistance, le roi Ghézo propose, afin d’avoir la paix, « d’offrir deux jeunes esclaves pour laver le linge de la Reine Victoria » ! Son fils et successeur, Da-Da-Glélé, continuera de camper sur ses positions : « Aucune somme ne m’achètera […] Il n’y a que deux rois en Afrique, Achanti et Dahomey, je suis le roi de tous les noirs […] Si je ne peux pas vendre les prisonniers de guerre, je dois les tuer, et ce n’est certainement pas la volonté des Anglais. »
 
A partir de 1850, le nombre des esclaves capturés devient très supérieurs à celui des « exportations » vers le nouveau monde. Trente ans plus tard, la quasi-totalité d’entre eux demeurent en Afrique, employés sur des plantations de palmiers à huile, ou condamnés à périr.
 
Blocus naval et tarissement de la demande entraînent en effet, une « surproduction » dont la conséquence la plus funeste sera sans doute la recrudescence des meurtres rituels lors des « coutumes » qui ensanglantent périodiquement le royaume, monstrueux culte aux ancêtres de la dynastie régnante d’Abomey.
 
Les tueries perpétrées à l’occasion de l’accession au pouvoir de Béhanzin, en 1890, seront dépeintes dans la presse Parisienne, avec un luxe de détails formant ainsi l’opinion à la conquête civilisatrice. « Pendant ces deux dernières nuits, relate l’Universel Illustré du 5 avril 1890, il est tombé plus de 500 têtes. On les sortait du palais à pleins paniers, accompagnées de grandes calebasses dans lesquelles on avait recueilli le sang pour en arroser la tombe du roi défunt. Les corps étaient traînés par les pieds et jetés dans les fossés de la ville où les vautours, les corbeaux et les loups s’en disputent les lambeaux qu’ils dispersent un peu partout […]. »
 
Béhanzin ne tarde pas à adresser un défi aux Français. Il commande 15.000 guerriers et 4.000 amazones, il les arme de machettes et de fusils fournis par les Allemands. En face, le colonel Alfred Dodds ne dispose alors que de 800 hommes, mais bientôt renforcés par des légionnaires et des spahis. Malgré une résistance farouche, Béhanzin que les soldats Français surnomment « Bec-en-zinc » est battu au mois de novembre 1892.
 
Le roi déchu cherche à négocier, mais les vainqueurs exigent sa reddition pure et simple.
 
D’abord déporté à la Martinique avec quatre de ses douze femmes et d’autres membres de sa famille, il demeure assis sur un banc, taciturne, fumant sa pipe et scrutant sans cesse l’océan. « Son œil, témoigne un contemporain, a quelque chose d’aigu et de perçant qui vous pénètre et vous devine. Son torse nu, large et noueux, à demi caché sous un pagne, révèle une force peu commune. »
 
Par la suite Béhanzin est transféré en Algérie, où il succombe à une pneumonie le 10 décembre 1906. Sa dépouille ne sera rapatriée à Cotonou qu’en 1928. Malgré les restrictions des autorités coloniales, ses fidèles lui feront des obsèques splendides.
        
7 août 2023

Mémoires et radotages (492) – Terminado (pour cette année) !

 

GSM

Écrit le 07 août 2023

Les autres façades seront pour l’année prochaine… A prévoir dans le budget 2024 !


 

 

 

5 août 2023

Mémoires et radotages (491) – Putain de temps !

 

 

GSM

Écrit le 05 août 2023

 

 

 

 

 

Bien bossé ce 4 août : 1 couche de monocouche et démonté échafaudage. A croire que j’ai recouvré des forces… La fonction crée l’organe dit-on !

Oui mais les fabricants de peinture comme tous les autres fabricants d’ailleurs, sont toujours aussi vantards sur leurs produits !!!

Voilà ce que ça donne de près avec ponctuellement une deuxième couche de "monocouche" :

 

 



Autrement dit, il me faudra 3 couches de monocouche pour parvenir à couvrir mes jointoiements !!!

 

Ils étaient déjà escrocs il y a un demi siècle… Ils le sont toujours !

La loi devrait punir les escroqueries de ce genre !!! Mais non, les industriels ont le droit de mentir !!!

Aujourd’hui 5 août pluie puis rafales à 90 km/h… Encore de repos !!! On s'est mis à trois pour renforcer l'amarrage des échelles qui menaçaient de tomber, ça a été très difficile sous cette tempête...

En deux semaines et demie, je n’ai réellement pu travailler que 5 journées au maximum…

J’ai mis l’anorak d’hiver : C’est ça le réchauffement climatique ?

        

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