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zalandeau

2 octobre 2023

Consultations de mon blog sur la semaine du 25 sept au 1er oct

GSM


 

 

 

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1 octobre 2023

Mémoires et radotages (499) – Bientôt... ça se rapproche…

 

 

GSM

Écrit le 1er octobre 2023

 

Je n’ai plus de mémoire, j’ai oublié mon savoir-faire, je perds mon vocabulaire, les adjectifs s’en vont de manière exponentielle… Je vais écrire, mais sans style, sans esprit, et peut-être sans orthographe… Je me lance…

 

Le 21 dernier, je suis allé voir Michel B. J’aurais du y aller en août, parce que les parigots sont en vacances et laissent ainsi les routes libre à « ma » circulation… Je n’avais pas la force, pas le courage, pas la volonté… Mais en septembre je me suis dit que je n’avais probablement plus de temps pour voir Michel B. mon ami depuis 41 ans en vie… Alors j'ai pris mon courage à deux mains...

 

La cata… Il a encore maigri et est encore plus voûté, il déambule (avec son déambulateur bien sûr) encore plus doucement qu’avant, il a oublié qu’il avait subi un double pontage coronarien il y a peu d’années… Je n’ai pas voulu lui faire montrer sa poitrine pour lui prouver que sa cicatrice en était la preuve… Il perd complètement la boule… Son cerveau invente des accusations infondées, il est entièrement dans la mythomanie, au point que son témoignage peut être dangereux pour autrui innocent… Il a même voulu me faire payer ma part du repas pris chez lui, comme si on était deux inconnus partageant la même table au resto… Je pense que bientôt il ne me reconnaitra plus… Quelle journée de merde, vraiment !!!

 

Le 28 je vais voir Mario, mon ami depuis 48 ans… Il a été opéré en urgence il y a deux mois, pour un double pontage lui aussi… Il y a deux ans, il avait eu un sten… Mais ce coup-ci, l’opération, bien plus lourde, le laisse très affaibli, sans force, très fatigué… Il n’a pas été très causant évidemment…

Pendant le trajet retour j’ai versé quelques larmes… Je suis en train de perdre mes deux amis à la vitesse grand V…

 

Nous qui étions forts, agiles, adroits, compétents, spirituels… Nous ne sommes plus que des vieilles merdes attendant la mort… Je suis leur ainé respectivement de deux et un an, mais malgré mon diabète déséquilibré, mon hypertension, mon anémie et mon épuisement… Je vais beaucoup mieux qu’eux… Suis-je condamné à les voir disparaître ? D’ailleurs, je pense que je ne les verrai pas disparaître, tout simplement parce que personne ne me convoquera pour leurs obsèques. La fille de l’un ne saura pas et l’autre vit seul… Simplement, un jour, ce sera le silence téléphonique… Si c’est moi qui part en premier, même si j’ai écrit à plusieurs endroits les noms de mes amis à prévenir… Personne de ma famille n’y pensera, ni ne cherchera ! Une amitié qui mourra dans l’anonymat…

 

La mort fait partie de la vie, parait-il… Mais c’est vraiment la partie la plus triste et désespérante !

        

 

26 septembre 2023

Mourir ou vivre ?



GSM Ecrit le 7 décembre 2014

Le choix vient d’être fait : Mon choix !
 
Après tout, si les raisons de mourir sont multiples et particulièrement l’absence de perspectives pour moi, comme pour ceux très proches que j’aime, il n’y a que deux solutions possibles : Le suicide collectif ou le "jusqu’au-boutisme" de la vie.
 
Je ne suis pas en mesure de décider pour les autres, même s’ils sont miens, donc le suicide devient seulement personnel. Ils n’appartiennent en fait qu’à eux-mêmes. Je l’ai su dès leur venue au monde. Ils étaient eux, pour eux-mêmes et je respectais leur être, même si j’éprouvais tant de bonheur de leur présence. Je ne leur ai pas fait autant de bisous et de câlins que j’aurais voulu en faire. Je ne voulais pas déranger leurs jeux de petits garçons, assis sur le sol, manipulant leurs jouets avec un imaginaire si loin de mon monde d’imbécile heureux, je les regardais, ravi et plein d’espoir pour leur avenir, empli d’énergie et de motivation pour les emmener jusqu’aux portes de leur futur monde d’adultes.
Je leur en ai donné les clés. Du moins, je l’ai cru.
 
Mais derrière la porte, triste constat, il n’y a rien. Chômage, précarité, misère. Qu’ai-je fait ? Que n’ai-je pas fait ? Dois-je faire contrition ? Avais-je le droit de les mettre au monde sur une terre stérile ? Malgré mes scrupules, n’ai-je pas été égoïste ? Je n’avais probablement pas le droit de donner la vie dans un monde sans espoir. Je n’ai certainement pas du orienter ma vie de façon à leur donner un futur. J’ai eu une trop courte vue. Je sais, du moins je le crois que je ne suis pas coupable, mais je suis quand même responsable…
 
Alors, il faut que j’assume. Il serait si simple de mourir pour ne pas voir la catastrophe qui se prépare pour mes enfants. Ce serait confortable de terminer après une vie de satisfactions sans goûter aux affres de la décrépitude de la vieillesse. Mais étant donné les responsabilité que j’ai eu la bêtise de prendre ce serait aussi de la lâcheté je pense. Tant pis si le reste du chemin est dépourvu d’espérance et si je chemine malgré moi. J’irai au plus loin que mes forces me permettront d’aller, pour eux. Parce que ces petits que j’aime tant, sont une raison de vivre plus forte que mes envies de mourir, j’irai jusqu’à ce que je ne puisse plus aller.
 
Le jour où je partirai, oh, non, bien sur je n’aurais pas la conscience tranquille, car je saurai que je n’ai pas su faire les bons choix ni prendre les bonnes décisions, mais je me dirai que j’ai fait le maximum, mon maximum à moi et tant pis si je n’ai pas réussi. Le tout aura été d’avoir essayé…
       
24 septembre 2023

PATRIMOINE DE MACRON, où sont passés les millions ?

GSM

 

 

 

 

23 septembre 2023

Macron termine de liquider nos institutions - Le Zoom - Alain Le Bihan - TVL

 

GSM

 

 

 

 Si je ne commente pas, c'est à chaque fois parce que je suis à 100% d'accord !

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J'appelle à résister à l’oppresseur actuellement au pouvoir  !

       

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22 septembre 2023

" Macron est un psychopathe " - Bob Azzam - C'est écrit dans le ciel

GSM

Ecrit le 22/09/2023

Je l'avais bien évaluée, la tapette perverse et narcissique, lorsque le capitaine de pédalo l'avait fait nommer ministre... J'ai été un des premiers à dire qu'il était psychopathe...

Ensuite, j'avais publié l'article du professeur Sagatori le 13 mai 2017...  alors que tout le monde était incrédule... Mais depuis, nombre de spécialistes (les plus courageux) se sont prononcé dans le même sens.

Ce qui me fait mal, c'est la bande de poissons rouges qui ne se souviennent pas de mes propos... Quand ça vient de zalandeau, c'est de la merde... Mais zalandeau sait voir les gens autrement que par les apparences. Les propos, les faits et les actes sont les éléments qui forgent mon jugement depuis fort longtemps !

Et j'emmerde tous ces poissons rouges qui ont laissé élire l'usurpateur...

« Macron est un psychopathe »

https://zalandeau.blogspot.com/2017/05/macron-est-un-psychopathe.html

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Bob Azzam...  On savait vivre et profiter en ce temps là, sans psychopathe

 C'est écrit dans le ciel

 


 

 

20 septembre 2023

Négationnistes : Défense d'entrer. Ici, est la vérité

GSM

Écrit le 1er mai 2015
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Les camps de concentrations, cela n'a jamais existé ?


L"extermination des juifs et autres minorités, cela n'a jamais existé.



Le génocide de masse, mais voyons, cela n'a jamais existé ?
Ce sont des fours à pains, peut-être.



Les visiteurs, laissaient quelques cadeaux en signe de remerciement, probablement.



Ces touristes n"étaient pas prudents de se promener nus.
Un coup à attraper la mort. Cela arrivait souvent, semble-t-il.


Ils leur avaient bien dit, les gentils SS : Ne venez pas, c'est dangereux !


Pourquoi des ossements dans ces fours ? Des barbecues ? Il fallait bien faire la fête !



- Pourquoi autant de fours ?
- Les touristes étaient nombreux ! C'est que ça mange des touristes !



Des douches à gaz mortel ? Vous n'y pensez pas !
Ils savaient recevoir, du coté hygiène, en ce temps-là ! Une bonne douche conservait la santé.


La preuve, ces boites à savons... Oui, oui, c'est cela... des cristaux qui en se vaporisant nettoyaient le corps des touristes... Cela faisait juste tousser un peu, bien sûr !


Ce n'est qu'une marque du savon distribué à l'époque par les GO (gentils organisateurs).


Les chambres à gaz n'existaient pas ?

Je hais les négationnistes !


Le génocide de masse, un détail de l'histoire ? Je hais les révisionnistes !



Les fours crématoires, légendes ? Ceux qui disent cela sont des êtres abjects,


qui veulent faire passer le régime nazi pour un bienfaiteur de l'humanité.


Les soldats nazis seraient venus visiter l’Europe pour mettre de l'ambiance, donner des spectacles de midinette et auraient invités 6 millions de personnes dans de gentils camps de vacances : Chelmno, Belzec, Sobibor, Treblinka ?
 
Cela suffit ! les plus grandes horreurs en matière d'extermination y ont été commises !



Rien qu'en France, Pétain, traitre notoire, acoquiné à Darlan, Laval et bien d'autres, ont tué des Français, ont déporté par dizaine de milliers des compatriotes (sans compter ceux encore plus nombreux qui ne l'étaient pas et s'étaient réfugiés chez nous), au seul motif qu'ils n'avaient pas la bonne ethnie ou les bonnes idées fascistes . Ils ne sont jamais revenus, exterminés par la barbarie nazie.



Que les négationnistes puissent encore parler en toute liberté et mentir en niant tous ces crimes est une des aberrations de la démocratie, qui permet à des ordures de perpétuer  à l'infini la possibilité des actes les plus barbares dont est capable leur nature criminelle.
       
19 septembre 2023

A VEOLIA – Direction des Ressources humaines (22 février 2012)




GSM

NDLA : Les médias annoncèrent que  Borloo  allait entrer au conseil de surveillance dudit groupe international, retour d'ascenseur et cadeau habituels dans un certain monde qui plane sur nos têtes... Qu'avait-il donc de plus que moi ? Je tentais donc ma chance...

Monsieur le Directeur des ressources humaines de Véolia,

J’ai l’honneur de vous présenter ma candidature au poste de président du conseil de surveillance de votre entreprise.

En effet, j’ai fondé et dirigé une entreprise de taille internationale intercommunale de taille respectable (4 personnes), j’ai surmonté victorieusement deux crises successives et je pense être l’homme de la situation…

Je tiens à vous informer que mon collègue Baloo, Borloo, lui, à part avoir fondé un petit cabinet d'avocats poussif, n’a jamais dirigé la moindre entreprise et n’a jamais pu accéder qu’à des fonctions sans responsabilités, comme ministre par exemple.

(On dit par ailleurs qu’il sent l’alcool dès le matin et s’endort dans les conseils des ministres).

Je pense que vous tiendrez à muscler votre groupe international en choisissant ma candidature, la plus apte à adapter vos processus financiers aux exigences de demain.

Je suis à votre disposition pour tout entretien avec les actionnaires importants, que vous voudrez bien solliciter.

(Je tiens à préciser que j'ai beaucoup de relations et pourrais jouer de mon influence afin qu'un homme de valeur comme vous obtienne enfin le poste qu'il mérite)...

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur des ressources humaines…

NDLA : J'attends encore la réponse. Je crois que c'est mort... Quoiqu'il soit bien entendu, que je n'attendais absolument aucune offre de poste en réponse à mon pamphlet... Et de plus, je sais bien que les larbins dépouilleurs de courrier ont filtré et jeté ma missive avant qu'elle atteigne son but... J'ai dépensé un timbre pour que dalle , mais je me suis tant fait plaisir !!!
        
18 septembre 2023

cinquantitude270 - Aujourd'hui


GSM

Écrit le 4 juin 2007 vers 20 heures... exhumé le 25/09/19

Il y a 1 dizaine de jour j'ai été contacté par un chasseur de tête qui a trouvé mon CV sur le web.
 

La description du poste n'était pas fournie. J'ai vu le site du client. Je me suis dit c'est pas pour moi, monter une opération, je sais que je saurais le faire, bien que ne l'ayant jamais fait directement mais j'ai tellement aidé les clients à le faire, je suis un peu culotté, etc...
Il était trop tard pour annuler le Rendez vous. J'y suis allé à reculons.
 

Levé à 4h40. Départ 5h30. Stationnement auto à Saint Denis à 7h30. 2 h de repos dans la bagnole (l'entretien est à 16h00), j'ai le temps. Métro, je descend à l'école militaire. Laisser passer.
 

J'arrive au "magasin cession cadres" : Fermé pour cause d'inventaire le lundi 04/06/07. Je tombe "le" jour de l'inventaire, et avec ça sous la flotte...
 

Je récupère mes papiers à la sortie. Métro. Les puces. Je vais voir les potes, j'achète 2 bricoles. Je retourne à la tour Pleyel à pied (il ne pleuvait plus).
Je glande. Métro, 25 °C dehors avec le costard, j'ai perdu deux kg de transpiration. Terrasse de café : 5 Euros la bière pression près de la Madeleine !!!.
 

Puis arrive l'entretien à 16 h00. Je me fait décrire la mission ; " Maître d'Ouvrage en phase exécution ". Ah, si c'est en exécution, je conviendrais très bien, me disais-je en mon for intérieur... Je remplis un dossier. Ils vont me proposer au Maître d'ouvrage recruteur...
 

Et dire que j'ai failli ne pas y aller...
 

Avant de partir, je commence : "si je n'étais pas recruté, je compte sur vous pour me proposer d'autre...". On me coupe la parole : "Non! C'est mon seul client qui accepte la candidature de personnes de votre âge!".
 

"Mais n'est-je donc tant vécu que pour cette infamie", pensais-je.
Je ne me suis pas vu vieillir. C'est bien ça mon handicap : un nombre supérieur à 50 suivi de "ans". Mes compétences ne sont pas en cause...
 

Affaire à suivre...
         
17 septembre 2023

Le jour où nous ne sommes plus rien

GSM

Écrit le 24 mars 2015... Souvenirs vieux de 2007
 
Un jour, c’était en 2007, quelques temps après ma reprise de travail, sur ce qui serait mon dernier chantier, le plus gros chantier de bureaux de France à l'époque (65.000 m2). Nous faisions une pause café dans notre baraque de chantier et les discussions se font par groupe, les jeunots entre eux et mon ami Didier R. et moi en aparté…
 
Je lui dis « Tu sais, c’est bizarre depuis que je suis sur ce chantier, c’est la première fois que je n’apprends rien. Je n’ai strictement rien appris ! »
Il me rétorque « Quelle coïncidence que tu me parles de cela, c’est aussi ce à quoi je pense depuis un certain temps ! »
 
En fait nous tombâmes d’accord sur le fait que nous retrouvions sur ce chantier toutes les vicissitudes, toutes les erreurs, toutes les conneries que nous avions connus dans notre passé. Aucun ‘ingrédient’ nouveau, aucune nouvelle procédure, nouveau procédé, nouvelle déviance de chantier, nouvelle arnaque. Non, rien n’était nouveau !
 
Pour la première fois, nous n’avions pas à imaginer des solutions, puisque nous les avions déjà toutes, contrairement aux petits jeunots de notre équipe, qui savaient soit-disant tout, mais qui tombaient dans tous les pièges.
Heureusement que nous étions là pour les remettre dans le droit chemin. Ce qu’ils admettaient difficilement, imbus qu’ils étaient de leurs personnes…
 
Car c’est bien ce qui nous distinguait Didier et moi d'eux : Nous avons appris auprès de nos anciens, puis par nous-mêmes, tâchant de bien comprendre, sans forfanterie, avec humilité, en progressant vers la compétence.
Toute notre vie nous avions appris. Ainsi nous avions également appris à traiter ces nouveaux éléments de connaissances, de comportements, de procédures, de matériaux nouveaux et à leur apporter des solutions.
Apprendre était le signe de notre capacité de progresser, de nous améliorer, de nous montrer à nous-mêmes que nous étions plus efficace que la veille ; en fait que nous ‘étions’ tout simplement.
 
Lui comme moi, nous nous étions persuadés qu’apprendre c’était exister…
 
Ce jour-là, devant cette machine à café, nous n’avons pas constaté que nous étions les rois du monde ni les cadors de la compétence en projets de bâtiment, non !
Ce jour-là, nous nous sommes interrogés sur ce que nous étions. Après avoir été tant de choses, pouvait-on encore être quelqu’un, dans cette posture de connaissances figées ?
 
Étions-nous dans l’incapacité de détecter des problèmes nouveaux ? Ou bien n'y avait-il tout simplement pas de problèmes nouveaux pour nous ?
Personnellement j’arguais que mes problèmes cognitifs du à l’AVC étaient peut-être à l’origine de cette ‘anomalie'. Didier R. me rétorqua que lui-même n’avait pas eu de problème de santé et que pourtant il était dans la même posture que moi : Ce chantier était si prévisible !
 
Nous avons donc mené la coordination et la planification de ce chantier avec tout notre savoir, suppléant ainsi aux carences des uns et des autres : Une Maîtrise d’œuvre d’exécution complètement bidon, un Archi qui partait dans tous les sens, une incurie quasi générale des conducteurs de travaux des corps d'état et nous assurions une assistance au maître de l’ouvrage, alors que rien de cela n’était dans nos attributions, etc… Perso je coordonnais, en sus de mon énorme charge de travail, les livraisons en amont et sur le terrain, avec des gus parfois violents mais souvent hargneux...
 
On faisait tout, automatiquement, on n'était surpris de rien, blasés.
Mais, bon sang, que s’était-il donc passé ???
        
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