Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

zalandeau

4 août 2023

Pressing - arrêt de l'usage du perchloréthylène au 1er janvier 2022 en France

GSM

 

A l’origine de cette interdiction en France

 

Afin de répondre à un problème de santé publique, le Ministère de la Transition Écologique et Solidaire a publié un arrêté le 5 décembre 2012, visant à interdire l’usage du perchloroéthylène en France, en zones urbaines, à partir du 1er janvier 2022. Ainsi, « il est désormais interdit, depuis le 1er mars 2013, d'installer toute nouvelle machine de nettoyage à sec fonctionnant au Perchloroéthylène dans des locaux contigus à des locaux occupés par des tiers. », avait déclaré la Ministre de l’Ecologie, Delphine Batho. Les villes sont donc principalement ciblées. Les zones industrielles, quant à elles, ne sont pas encore concernées, mais doivent cependant suivre de nouvelles règles.

 

Ce solvant chloré, également appelé tétrachloroéthylène, est utilisé comme détachant et dégraissant par les professionnels pour le nettoyage à sec des textiles. Une de ses caractéristiques est qu’il est très volatil et s’évapore très facilement dans les locaux avoisinant l’activité. Il a été classé, dès 2012, probablement cancérigène par le CIRC et cancérigène possible par l’Union Européenne. Une exposition régulière et intense à ce solvant est toxique et peut provoquer des intoxications mortelles.

 

L’usage de solutions alternatives

 

Le perchloréthylène étant un solvant très efficace ayant toujours bénéficié d’une grande couverture en France, son remplacement s’est fait progressivement dans les pressings. Des solvants alternatifs ont donc été proposés pour remplacer son usage. Ils sont soit reliés aux propriétés chimiques du perchloroéthylène soit à celles des hydrocarbures.

 

Nettoyage professionnel à sec : les solvants alternatifs dont les hydrocarbures

 

  • Les hydrocarbures (dits aussi KWL) sont tous des solvants pétroliers, de la même famille. Ils sont connus et utilisés dans d’autres pays depuis plus de 25 ans, comme en Allemagne et aux Etats-Unis. Le KWL, comparativement au perchloroéthylène, est un solvant plus doux et de ce fait, un peu moins efficace. Il convient aux textiles fragiles, et préserve bien les garnitures. Il nécessite un pré-brossage et un détachage des vêtements en amont afin de renforcer l’action du nettoyage. La qualité de la finition est relativement bonne. C’est un solvant inodore, mais qui nécessite cependant une ventilation permanente des locaux.
  • Le solvant K4 qui est un hydrocarbure oxygéné plus récent, avec un pouvoir nettoyant accentué.
  • Le Décaméthylcyclopentasiloxane (D5) est un solvant siliconé. Il s’agit d’une molécule à part entière comportant du silicium (C10H30O5Si5).
  • On relève également de nouveaux solvants en matière de nettoyage à sec, tels que l’Arcaclean, l’Hi-Glo, l’Intense etc.

 

L’arrivée de ces solvants alternatifs ont entrainé certaines modifications au niveau de la norme de test ISO 3175, tout en conservant les symboles d’entretien professionnel P et F en usage pour ce procédé de nettoyage professionnel à sec.

 

  • Nettoyage professionnel à l’eau

 

Connu et pratiqué depuis vingt ans, ce procédé est très performant sur les salissures maigres et élimine les odeurs de transpiration. Une phase de pré-traitement est nécessaire, et la finition est souvent plus chronophage et génère, donc, des coûts plus importants. Il permet de traiter entre 60% et 80% des produits textiles. Il s’adapte très bien aux textiles synthétiques tels que le polyester.

 

Même si ce traitement reste intéressant et efficace dans certains cas, il est toutefois à proscrire pour certaines fibres sensibles ou ne supportant pas l’action de l’eau, telles la laine, la soie, etc. L’usage de tests selon la norme ISO 3175 restent hautement recommandés pour éviter tout problème aux consommateurs et aux pressings.

 

Quel impact sur l’étiquetage d’entretien des textiles ?

 

Cette nouvelle règlementation sur l’usage du perchloroéthylène en France prenant effet au 1 janvier 2022, n’a pas d’impact sur l’étiquetage d’entretien des produits textiles nécessitant un entretien par des professionnels. En effet, le symbole d’entretien professionnel P restera en vigueur et représentera les solvants de nettoyage à sec alternatifs (ainsi que le perchloroéthylène dans les pays où il peut encore être utilisé). Quant au symbole F, ce symbole autorise toujours le procédé de  nettoyage professionnel à sec à base d’hydrocarbures uniquement.

 

  • L’étiquetage d’entretien est de la responsabilité de la marque

 

Au niveau mondial, certaines régions des Etats-Unis comme la Californie et l’Allemagne ont déjà délaissé l’usage du perchloroéthylène au même titre que la France. Pour cette raison, le COFREET recommande de procéder préalablement à des tests, en pressing si possible, afin de s’assurer que les produits textiles supportent le ou les traitements d’entretien professionnel – à sec et/ou à l’eau. Ceci en prenant en compte les spécificités techniques des textiles et en incluant les informations techniques des fournisseurs de matières.

 

Note de zalandeau : Dans le temps le nettoyage à sec était réalisé avec du Perchloroéthylène, il sortait du pressing impeccable ! Maintenant il est réalisé avec un produit à base de produit pétrolier…

Résultat : J’ai donné mon pantalon qui était hourdé de deux auréoles… Quand je l’ai repris : Il y avait cinq auréoles !!! Et ça m’a coûté 7 euros, pour avoir un pantalon encore plus dégueulasse !!!

Bravo les écolos ! Bravo l’évolution régressive !!!

        

Publicité
Publicité
3 août 2023

Mémoires et radotages (490) – Exister : Et si c’était autre chose ?

 

GSM

Écrit le 03 août 2023

 

A défaut de trouver une justification, au présent que nous vivons, peut-on exister en revivant le passé ? Hier j’ai appliqué ma couche de fixateur… Les rafales de vent à 75 km/heure ont fait plusieurs fois tomber mes échelles alors je les ai encordées et attachées à des points fixes…

 

 

Ça fout les jetons quand même, lorsque le vent te secoue comme un prunier ? Il ne faut peindre que d’une main et surtout bien s’accrocher au barreau de l’autre. Mais quand tu changes de main, tu souhaites fortement qu’il n’y ait pas de bourrasque inopinée…

Cela ne m’a pas empêché de replonger dans mes souvenirs du temps où mes fils étaient petits… Et j’y ai trouvé une grande source de joie et de réconfort…

Je me suis alors demandé si cette joie intérieure basée sur des pensées, pouvait être considérée comme étant une des façons d’exister ? Une sorte d’existence virtuelle… Mais après tout, exister n’est-il pas un sentiment et donc un concept purement intellectuel, sans justification matérielle ?

        

1 août 2023

NON, MACRON NE « RÉINDUSTRIALISE » PAS LA FRANCE (C'EST MÊME LE CONTRAIRE !)

GSM

Écrit par Le Fil d'Actu :

A suivre bien attentivement (Soyez patients, c'est très instructif !) :

 


Macron ment, nous sommes en récession industrielle en réalité !

Les contrats subventionnés par l'état (alternance) sont comptés par Macron comme emplois à part entière, alors qu'ils sont précaires !!!

Et en plus, il diminue encore une fois les durées de chômage... Alors que les salariés privés d'emplois sont de plus en plus nombreux !

La situation se dégrade, il lui suffit de dire qu'elle s'améliore !!!

        

31 juillet 2023

Mémoires et radotages (489) – Exister ?

 

 

GSM

Écrit le 31 juillet 2023

 

Qu’est-ce donc, « exister » ? Il est difficile de répondre à cette question… Je crois que c’est d’aimer et d’être aimé… C’est séduire aussi…

 

Pour la séduction, j’ai été et je suis nul ! Pour l’amour heureusement qu’il y a mes trois fils ! J’ai encore un frère et une nièce… A un degré en dessous, j’ai l’amitié de mes deux amis…

 

Mais sinon combien de gens me détestèrent, par jalousie ou autre, je ne sais pas, alors que je ne leur avais jamais nui ??? Mais ça c’est de l’amour en négatif et donc qui est le contraire du sentiment d’exister. C’est exister en souffrance, en méfiance, en déception mais surtout pas en accomplissement satisfaisant de notre moi… L’enfer au lieu du Paradis…

 

Et puis il y a les limbes : C’est l’indifférence que l’on subit. Autant cela se comprend quand on traverse une foule de gens inconnus, autant cela est aussi traumatisant quand il s’agit de gens qui nous connaissent et que l’on a envie d’aimer (ou d’apprécier)…

 

Cela me fait souvenir de cette réunion il y a 13 mois… J’en ai gardé un traumatisme qui ne s’éteint pas… Il y a eu l’indifférence de la majorité, les propos peu amènes et même empreints d’agressivité de deux types… Heureusement le plus petit de la réunion a été très gentil avec moi, et là, pour lui j’ai vraiment existé et pour moi, il est le plus formidable, je l’estime et je l’aime, probablement parce qu’il fut le seul à me considérer, c’est possible !

 

Mais celui que je retiens (façon de parler), c’est celui qui s’est foutu de ma gueule en me faisant sentir le poids de mon insignifiance…

Pourquoi, oui, pourquoi, je ne lui ai pas mis dans la gueule ce que je savais sur lui ? Dans les années 80 ou 90, j’avais appris qu’il avait coulé sa boite artisanale et était parti carrément à la cloche de bois, laissant des ardoises à tout le monde, dont il avait trompé la confiance ! C’est vrai, quoi ! Pourquoi je ne lui ai pas mis ça dans la figure à cet escroc ? Probablement parce qu’il nous accueillait… Mais cela ne lui donnait pas le droit de me parler ainsi qu’il le fit !

 

Cela a été un des motifs qui m’ont fait annuler la réunion de cette année (les autres raisons étant les dépenses imprévues, la perte d'endurance pour conduire à cause de mon diabète et l’inflation (que ce putain de régime politique persiste à minimiser) ! J’ai ainsi équilibré avec difficulté mes comptes en n’y allant pas, mais surtout je n’ai pas pris le risque d’une autre expérience d’inexistence fantomatique et d’inutilité de ma présence…

 

Alors, il y a fort heureusement une autre façon d’exister : C’est « faire ».

Alors, je fais, avec la fatigue, la difficulté, mais aussi la satisfaction que je peux en retirer :

 

 

Je suis vanné : Mais content de moi… Et dans content il y a le mot con, je suis bien placé pour le savoir !

Mais « faire », (il faut en avoir conscience), c’est la façon d’exister des faibles, des petits, des exploités… Des pauvres cons, quoi ! J’en ai bavé (j’allais dire chié), pour parvenir à la retraite alors que des mecs comme celui dont j’ai parlé, fils à Papa, ont réussi terriblement mieux, mais avec rouerie, perversité, machination, vacheries et non par le travail qui use le corps, l’esprit et qui ne donne que le destin des sans grades… L’insignifiance, voilà ce que nous sommes par rapport à ceux qui savent exploiter les autres…

 

Lesquels existent ? Eux… ou nous… ? Les brillants ou les insignifiants ?

Je ne saurais répondre…

Dieu et Diable existent bien malgré leur position aux extrêmes !!!

        

30 juillet 2023

Mémoires et radotages (488) – Pauvre France, pauvres enfants dans l’enfer des technocrates vendus !

 

 

GSM

Écrit le 30 juillet 2023 – Un de mes Commentaires

 

Les Stones !!! L'époque où notre jeunesse était abondante (baby boom)... Où les Français faisaient la loi en France, où l'imagination et la créativité allaient dans le bon sens ! Que de musiques et de mélodies enchantaient nos journées !!! L’espoir en l’avenir était bien réel et surtout fondé, à l’époque, sur des bases solides !

 

Maintenant nous sommes dans un pays occupé ! Une démographie en berne... Quelques chanteurs blancs sans talent, plus de compositeurs ni d'auteurs ! Du chômage à donf, parce que la durée du chômage a diminué, alors qu'il y a prétendument moins de chômedu, selon les vantardises de ce gouvernement perfide et manipulateur !

 

Mais si on compte les demandeurs d'emploi sans indemnité, alors là, ce n'est plus le même topo !

 

Mon fils cadet sait que son usine va fermer en 2024... Et que le patron fera tout pour ne payer aucune indemnité et donc ce sera une "démission" pour refuser d'être muté en Allemagne... Et donc pas droit au chômedu... Le rsa commencera que quand mon Toto aura mangé tout son pognon (La CAF demande les relevés de tous les comptes et n'accorde le rsa que lorsque la personne n'a plus rien)...

 

Quant à mon benjamin, il a droit à 6 ans maximum comme pion ! Il a déjà fait 5 années...

 

Mon fils ainé... Sa boite est constamment rachetée par des fonds de pension différents... Et leur secret pour gagner du pognon c'est de dégraisser afin de faire monter les prix de vente... C'était la méthode Tapie, d'ailleurs... Mais lui, il sacrifiait des boites rentables, pour ses sociétés bidons qui assuraient son propre seul et unique train de vie.

 

Société de merde , où on veut nous endoctriner au soi disant besoin vital de migrants pour travailler, mais en fait pour venir nous assassiner ou bien nous réduire à leur merci !!!

 

Vive les Rolling Stones !!!

        

Publicité
Publicité
29 juillet 2023

Mon petit dernier a son BTS

GSM

 Écrit le 19 juillet 2014
 
Il y a un an, Je déplorais que mon benjamin n'ait pas obtenu son BTS.
 
Alors, je dois reconnaitre qu'après cette année redoublée, il l'a obtenu et avec une très brillante moyenne. C'est mérité, car j'ai bien remarqué les efforts inhabituels qu'il a consentis.
Je suis très satisfait, il faut bien le dire. Je l'écris, c'est encore mieux.
 
Cela fait une douzaine de jours que je connais ce résultat. Pourquoi n'en parlé-je que maintenant ?
Tout simplement parce qu'après une courte euphorie, j'ai réalisé que s'il avait maintenant la clé pour ouvrir la porte des emplois, cela n’empêchait pas que cette porte s'ouvre sur un vide sidéral. Il n'y a pas d'emploi. Et il y a gros à parier qu'il sera sans emploi comme mon cadet. Alors, succès, oui ! Mais si amer !
 
L'avenir ? Trois ans à ma charge sans l'être pour le fisc ! Des impôts sur le revenu pour moi. Ensuite le RSA pour lui, comme ses deux grands-frères, si cela existe encore.
 
La ceinture resserrée pour nous, la misère pour eux et la détresse absolue pour toute la famille. Avenir bouché, espoir vain...
 
Merci à nos gouvernants qui ont réussi ce tour de force en si peu de temps...
        
28 juillet 2023

Comment croire à la justice quand on voit des juges pervers ???

GSM

Sur BFMTV

 

 

 


 

27 juillet 2023

Mémoires et radotages (487) – Façade, façade, ma che fatigue !

GSM

 

Écrit le 26 juillet 2023

 

Ça c’était le 21 :

 

 

Et ça, le 25… entre les deux, dimanche bruit interdit, lundi et mardi pluies intermittentes :

 

Mais nonnnn, ce n'est pas du Picasso !!!
        
 

26 juillet 2023

Mémoires et radotages (486) – Interview TF1 / Macron à Nouméa

GSM

 

Ecrit le 25 juillet 2023

 

TF1 : Monsieur le Président les émeutes terribles…. Quelle est votre position ?

 

Macron :



 

 

 

TF1 : La décision du juge de mettre en prison le policier… N’est-elle pas surprenante ?

 

Macron :

 

 

 

 

TF1 : Que vous ont appris les récents évènement dramatiques et quelles actions vont être envisagées ?

 

Macron :

 

 

 

" LORD, LORD, LORD ! "

(L'ordre, l'ordre, l'ordre, il a beau le répéter ce sera toujours le désordre)

 

Commentaire de zalandeau : Action zéro, mais que de brassage de vent...

A part attraper un courant d'air, le Français moyen n'aura que les yeux pour pleurer et la facture à payer... comme d'habitude !

        

 

25 juillet 2023

Imbécile heureux


 
Depuis une journée, l'équipe de deux gars équipée de MON marteau-piqueur, (quel est l'imbécile qui prêterait SON propre marteau-piqueur à des ouvriers de son employeur ? Moi !), n'avait décapé qu'un mètre carré d'étanchéité collée sur le sol en béton.
 
Ils me baratinent : Trop dur, mission impossible, patin couffin, il y en aurait pour des semaines...
 
Je leur prends le marteau piqueur des mains et leur dis que je vais leur montrer. En costard, en chronométrant ostensiblement j'officie. Puis :
 
"Bon les gars, en un quart d'heure, j'ai fait tant. Donc en une heure on fait tant, ce qui fait Telle surface en huit heures ! OK ?... L'un pique, l'autre fout dans la benne, puis vous échangez de rôle quand vous êtes fatigués ! OK ?... A ce rythme, ce n'est pas des semaines qu'il faut, comme vous le prétendez. Vous aurez fini demain soir ! C'est compris ?"
 
Le soir même (au lieu du lendemain, comme je l'avais ordonné), le décapage était fini !
 
Et j'ai pu leur donner une grosse prime de rendement pour ce boulot... Le chantier est sorti avec une marge bien meilleure que prévu... Et moi, je n'ai même pas gagné un sou de location de MON marteau-piqueur et en plus il m'a fallu mettre mon costard au pressing...
 
L'efficacité professionnelle, le management... Bla, bla, bla. J'étais content. Les marges de mes chantiers pulvérisaient celles des autres conducteurs de travaux du service ainsi des autres services... Aucune prime, aucune promotion, et la lourde quand il leur seyait de me lourder... C'était à la SPAPA de Gennevilliers...
 
Je sais, j'étais con, mais content ! C'est ça, être un imbécile heureux...

        
Publicité
Publicité
zalandeau
Publicité
zalandeau
Archives
Derniers commentaires
Newsletter
3 abonnés
Visiteurs
Depuis la création 25 716
Publicité