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zalandeau

20 août 2021

Coluche - La pute

GSM

 

 


 

 

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20 août 2021

Hymne de l'Infanterie de Marine

GSM


 

 

19 août 2021

J'aurais voulu aimer toute une vie...

 

GSM

De ce court passage sur terre, que restera-t-il ?

Quelques mots jetés au ciel, quelques cris, quelques lamentations, beaucoup de désespérance et peu d’espoir.

Il n’y a pas d’autre alternative que la mort. Pourquoi chanter la vie au crépuscule ?

Il n’y a que cette sérénade au clair de lune, chant funèbre de toute destinée.

Aimer, c’est faire des trous minuscules dans le linceul qui nous mène de l’aube au couchant.

Comment dire des sentiments qui ne servent à rien ?

Pourquoi le destin reste-t-il une terrible banalité, où les êtres se cherchent mais ne se trouvent pas ?

Pourquoi ces mains n’ont-elles pas su écrire la symphonie la plus pure ?

Pourquoi cette bouche n’a-t-elle pas eu assez de voix pour convaincre l’univers ?

Comment vivre quand tout s’écroule ?

Les sentiments existent-ils vraiment ?

Rien ne dure sur cette terre, hormis, peut-être, la musique.

J’ai l’impression de communier avec Chopin à travers l’éternité.

Je crois ressentir sa tristesse en même temps que la mienne.

J’aurais tant voulu écrire cette langueur assassine, qui nous prend et nous broie.

J’aurai voulu composer cette valse triste des sentiments qui nous traînent dans cette vie sans espoir.

J’aurais voulu aimer toute une vie…

 zalandeau - Écrit le 18 août 2008 (encore jamais publié)

       

 

18 août 2021

Il ne restera rien

 

GSM

Que restera-t-il de nous que ces quelques phases ?

Des centaines de pages écrites sous l’émotion, quelle qu’elle soit.

Des sincérités successives dont, dit-on, nous sommes pétris, jusqu’aux propos de mauvaise foi qu’on aime parfois sadiquement distiller, toutes nos expressions resteront si quelqu’un les recueille.

Mais si d’aventure, les mains qui s'emparent de ces feuillets, n’aiment pas lire, nous disparaitrons une seconde fois en un autodafé, éclairant d’un feu ultime une nuit sans étoile...

Rien, plus rien, il ne restera rien…

© zalandeau, le lundi 29 juin 2009  

 

There will be nothing …

What will it remains of us except these some sentences?

Hundreds of pages written under the emotion whatever it was.

Successive sincerities among which, as it is said, we are molded, until the comments of bad faith which we sometimes sadistically like distilling, all our expressions will stay if somebody collects them.

But, if fate of the adventure, the hands, which seize these pages do not like reading, we shall disappear second time in an auto-da-fé, illuminating of an ultimate fire one night without star...

Nothing, anything more, there will be nothing …

© zalandeau, on Monday, June 29th, 2009

   

 

18 août 2021

Que restera-t-il ?

GSM


Que restera-t-il de nous ? Pas un ouvrage, pas un bouquin, pas une œuvre, pas une action, rien.
 
Je comprends que certains hommes à des postes de responsabilités élevés éprouvent, à un moment cardinal de leur vie, le désir irrépressible de laisser une empreinte dans le futur. Ils n'ont alors aucune peine à marquer leur présence par une loi à laquelle s'attache leur nom, par un bouquin rédigé par un nègre, par un bâtiment aussi prestigieux qu'inutile. Oui, c'est parfaitement humain, finalement.
 
Mais pour moi par exemple, dira-t-on : "Il a contribué au management pour la construction de tel et tel ensemble de bureaux" ?. Dira-t-on "Il a animé l'avant-garde nord-est de la drop-zone et repoussé l'assaillant" ?. Dira-t-on "Il a enseigné la technique de la progression invisible en territoire hostile (en pure perte d'ailleurs)" ?. Dira-t-on : "Il a rétabli la rentabilité de tel et tel service par un management juste et équitable" ?. Dira-t-on "Les clients voulaient travailler avec lui, parce qu'ils avaient confiance en lui" ?
 
Non, on ne dira rien. Comme pour mon père et mes aïeux venus de la perfide Albion pour conquérir un pays dont ils se sont épris et auquel ils ont donné leur patriotisme, nulle épitaphe ne subsistera. Ceux qui auraient pu les écrire eux aussi ne seront plus là, anonymes dans la disparition...
 
Je laisserai un souvenir dans la mémoire des vivants jusqu'à leur propre disparition.
 
Ma gloire est celle que je porte en moi, souvent remise en cause par le doute et la vacuité dont j'habille la destinée. C'est notre lot pour presque tous d'entre nous...
 
Rien ne sert à rien. On nait seul, on vit seul et on meurt seul, emportant nos joies, nos secrets, nos doutes et nos rancœurs dans (peut-être) un autre monde.
 
Probablement écrit le 02 août 2013
   
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17 août 2021

Mémoires et radotages (363) – « Plane-People », les sacrifiés d’Afghanistan

 

 

GSM

Ecrit le 17 août 2021

Cela fait mal… En tout cas, cela me fait très mal… Quand je vois ce qui se passe en Afghanistan, je revois ce qui se passait à Saïgon en 1975… Je revois ce qui s’est passé à Alger en 1962… Oui, vraiment je n’ai pas honte de le dire, je pleure… Bien sûr aux époques que je viens de citer j’étais adulte ou bien adolescent, et j’étais très en colère de voir que les américains et nous-mêmes, abandonnions à leur triste sort ceux qui nous avaient aidé… Les Viet-congs ont fait le nettoyage par le vide et pas tendrement du tout, les boat people ont été hyper nombreux. Que de morts fusillés et que de morts noyés… Les européens à la traîne, ainsi que tous les harkis que nous avons abandonnés, ont subi une fin atroce, massacrés, torturés

Les gens que je viens de citer croyaient en nous, croyaient en l’occident, ils ont eu tort : Ils n’étaient en fait que des collabos pour les Viets-congs ou pour le FLN…

De même, pour ces afghans qui depuis 20 ans s’étaient habitués à l’avènement de la liberté, du progrès, de la démocratie, de l’éducation, de la place des femmes dans la société… tous ces afghans, donc, vont soit mourir, soit tenter de se cacher, soit redevenir esclave d’un système théocratique totalitaire le plus barbare que le monde ait connu…

Et on revoit les mêmes scènes à Kaboul, bien sûr les avions, les hélicoptères, ont changés, mais les mêmes gens terrorisés tentent de s’accrocher désespérément à ces vaisseaux aériens pour sauver leur vie et celles de leurs familles…

Alors, à mon âge, dépassant en intensité ma colère, j’ai une immense émotion, une immense tristesse… Ceux qui ont cru en nous seront une nouvelle fois sacrifiés…

J’avais dit, que nous aurions du évacuer l’Afghanistan après avoir chassés et battus les Talibans, en 2006 au plus tard, en ne poursuivant la traque de Ben Laden que par le renseignement et les commandos, laissant les Talibans reprendre leur place en échange de la peau de Ben Laden… Mais non ! Nous avons voulu apporter la « civilisation » dans un monde qui n’y était pas prêt, dans un monde où la corruption pourrissait la pureté de nos intentions soi-disant progressistes, parce que nos envies elles mêmes, n’étaient en réalité qu’intérêts pour les ressources des sous-sols Afghans…

80.000 Talibans cruels, sanguinaires, volontaires, motivés par un endoctrinement aux relents barbares, vont triompher de cette armée Afghane de 300.000 hommes que nous avions eu tant de mal à former…

Tant de mal ? Et pour cause ! Peut-on parler d’armée Afghane, d’ailleurs ?... Les hommes qui s’y enrôlaient ne le faisaient que pour la solde, seul revenu pour faire vivre leur famille, sans aucune motivation pour sauver leur pays contre quelque ennemi que ce soit… un tiers d’entre eux désertaient emportant armes et munitions dérobées, et allaient grossir les rangs Talibanesques après avoir bénéficié de l’entraînement que nous leur avions dispensé… Je savais dès lors en 2008 que tout était perdu d’avance…

Et pourtant que de gens profondément humains j’y avais rencontré ! Ce ne sont jamais les plus humains qui gagnent, ce sont toujours les autres, hélas !

Démotivés, sans aucune possibilité d’emporter une quelconque victoire, parce que dans une guerre asymétrique, pour l’emporter, il faudrait une supériorité écrasante de moyens que l’armée régulière Afghane n’a pas, les soldats Afghans, n’ont pour seule envie que de fuir, de se terrer, d’enterrer uniformes et équipements et de se fondre dans la nature…

Que ce soit militaires, civils, corrompus, citoyens croyant au progrès et à la démocratie, ce sont eux qui tels les boat people tentent de s’accrocher aux avions, hélicoptères et autres moyens de transports pour fuir la mort…

Et oui, je pleure, non pas pour les pourris qui méritent ce sort, mais pour ceux très nombreux, qui ont cru en nous, en l’occident, en nos paroles de « sauveurs »… Nous, occidentaux, qui les abandonnons aussi vite que nous sommes venus les « délivrer »…

Et ce n’est pas parce que nous sauverons ceux qui nous ont servis et aidés que nous sauverons ceux bien plus nombreux qui ont cru pendant vingt ans en un avenir meilleur…

Les seuls à ne pas pâtir, seront les traditionnels fidèles aux préceptes moyenâgeux, au Coran, à la supériorité de l’homme, à l’enfermement de la femme, à la lapidation, à la charia…

On ne change pas une mentalité archaïque par la douceur, ni par le temps…

Et nous, occidentaux, comprendrons-nous enfin la leçon ?

    

15 août 2021

Edith Piaf - L'accordéoniste

GSM

 

La fille de joie est belle

Au coin de la rue là-bas

Elle a une clientèle

Qui lui remplit son bas

Quand son boulot s'achève

Elle s'en va à son tour

Chercher un peu de rêve

Dans un bal du faubourg

Son homme est un artiste

C'est un drôle de petit gars

Un accordéoniste

Qui sait jouer la java

 

Elle écoute la java

Mais elle ne la danse pas

Elle ne regarde même pas la piste

Et ses yeux amoureux

Suivent le jeu nerveux

Et les doigts secs et longs de l'artiste

Ça lui rentre dans la peau

Par le bas, par le haut

Elle a envie de chanter

C'est physique

Tout son être est tendu

Son souffle est suspendu

C'est une vraie tordue de la musique

 

La fille de joie est triste

Au coin de la rue là-bas

Son accordéoniste

Il est parti soldat

Quand y reviendra de la guerre

Ils prendront une maison

Elle sera la caissière

Et lui, sera le patron

Que la vie sera belle

Ils seront de vrais pachas

Et tous les soirs pour elle

Il jouera la java

 

Elle écoute la java

Qu'elle fredonne tout bas

Elle revoit son accordéoniste

Et ses yeux amoureux

Suivent le jeu nerveux

Et les doigts secs et longs de l'artiste

Ça lui rentre dans la peau

Par le bas, par le haut

Elle a envie de pleurer

C'est physique

Tout son être est tendu

Son souffle est suspendu

C'est une vraie tordue de la musique

 

La fille de joie est seule

Au coin de la rue là-bas

Les filles qui font la gueule

Les hommes n'en veulent pas

Et tant pis si elle crève

Son homme ne reviendra plus

Adieux tous les beaux rêves

Sa vie, elle est foutue

Pourtant ses jambes tristes

L'emmènent au boui-boui

Où y'a un autre artiste

Qui joue toute la nuit

 

Elle écoute la java...

... elle entend la java

.. elle a fermé les yeux

...les doigts secs et nerveux ...

Ça lui rentre dans la peau

Par le bas, par le haut

Elle a envie de gueuler

C'est physique

Alors pour oublier

Elle s'est mise à danser, à tourner

Au son de la musique...

 

... ARRÊTEZ !

Arrêtez la musique ! ...

  

14 août 2021

Mémoires et radotages (362) – “Qui ?” : une pancarte soi-disant antisémite provoque l’indignation du pouvoir Macronien

 

 

GSM

Écrit le 13 août 2021

Lors d’une manifestation contre le passe sanitaire à Metz, samedi 7 août, des pancartes antisémites ont été brandies. Au lendemain des rassemblements, une photo montrant l’une d’elles fait le tour des réseaux sociaux.

Les noms de certains politiques sont cités. « (Emmanuel) Macron », « (Laurent) Fabius », « (Agnès) Buzyn », « (Gabriel) Attal », « (Olivier) Véran » ou encore « (Jérôme) Salomon » sont mentionnés sur une pancarte lors d’une manifestation anti-passe sanitaire à Metz (Lorraine). Si ces noms inscrits n’ont rien d’affolant, ce sont bien les mots « Qui ? » et « traîtres » écrits sur cette même affiche qui posent question.

Un slogan antisémite dans les rassemblements anti-passe sanitaire

En effet, le mot « Qui » serait un nouveau slogan antisémite en référence aux propos controversés du général Delawarde. A la mi-juin, le haut gradé avait dérapé sur le plateau de Morandini Live sur CNews. Il avait laissé entendre que les médias seraient « contrôlés », sans pour autant s’étaler sur le sujet. En direct, Claude Posternak, membre du bureau politique de LREM, avait alors tenté de l’interroger : « Qui ? Mais dites qui ? » Le général avait alors répondu : « La communauté que vous connaissez bien », il "faudrait" entendre par là, les Juifs. Depuis le début des manifestations il y a quatre semaines – pour contester l’entrée en vigueur du passe sanitaire dans la plupart des lieux publics – ce message aurait donc fait son apparition dans la foule : « Qui ? ».

Le quatrième samedi de mobilisation, le 7 août, une femme aurait ainsi brandi une pancarte avec ce fameux terme « Qui », suivi des noms de personnalités politiques ou du monde des affaires comme « BHL » – Bernard-Henri Lévy. Sur une photo relayée de nombreuses fois sur les réseaux sociaux, il est possible de la voir, le regard fier, vêtue d’un béret beige et d’un ‘trench coat’, tenir cette pancarte. Elle a été arrêtée et son domicile a été perquisitionné !

La Licra envisage de porter plainte

Il est maintenant judicieux de lire, ci-après, cet article plus ancien (2016), qui met un bémol concernant un des personnages inclus dans ce fouillis de noms écrits sur ladite pancarte…

Macron et les Juifs

http://www.kountrass.com/macron-et-les-juifs/

Même si Macron est un habitué à ce qu’on appelle déjà des « macronades », des prises de position discutables, celle-ci est plus que gênante pour la communauté juive : il se plaint « des écoles confessionnelles qui enseignent la haine de la République, professent des enseignements essentiellement en arabe ou, ailleurs, enseignent la Tora plus que les savoirs fondamentaux ».

Même le FSJU a réagi : « Ces propos sont profondément offensants, inexacts et caricaturaux », non sans rappeler « que l’accroissement du nombre d’élèves de confession juive dans les établissements confessionnels est principalement lié au choix de parents confrontés à l’augmentation de l’antisémitisme ces dernières années dans certaines écoles publiques ».

« À l’instar de l’enseignement privé catholique dont Emmanuel Macron est issu, l’enseignement privé juif respecte scrupuleusement les programmes scolaires définis par le ministère de l’Éducation nationale », souligne par ailleurs Ariel Goldmann, président du FSJU, en faisant valoir que 90 % de ses élèves sont scolarisés dans des établissements sous contrat.

« Les établissements de l’enseignement privé juif et les élèves qui les fréquentent ne sauraient faire l’objet d’amalgames douteux et dangereux », prévient le FSJU, qui appelle « dans le climat préélectoral actuel, au maintien d’un débat public apaisé dans lequel les établissements de l’enseignement privé juif et les élèves qui les fréquentent ne sauraient faire l’objet d’amalgames douteux et dangereux ».

Nous voyons donc que Macron n’était pas en odeur de sainteté avec les instances représentatives Juives ! En conséquence, son nom parmi les autres sur la pancarte  ne peut désigner un ensemble communautaire cohérent !

Alors que conclure de ce genre de plainte portée contre la manifestante du 7 août ? Avec beaucoup de sous-entendus, la pancarte est jugée antisémite… Cette accusation à mon avis, ne peut être formée que si et seulement si, tous les noms de la liste étaient de la même confession juive, ce qui n’est pas le cas… Or, par exemple, Macron ne l’est pas, même si comme beaucoup de Français, il peut avoir par mariage des ascendants de ladite religion…

Je veux donc dire que l’accusation d’antisémitisme n’est peut-être pas infondée, en fait, mais elle n’est pas prouvée ni soutenable juridiquement, à mon avis ! Parce que si l’on peut maintenant émettre des jugements définitifs sur des sous-entendus et des présomptions, c'est-à-dire des faits non avérés, nous ne pourrons plus dire que nous sommes en démocratie !

Je pense donc, que le procès en toute impartialité (si tant est que l’impartialité soit encore en France, du domaine de la justice), devrait se terminer en non-lieu ! Il n’y a plus qu’à croiser les doigts !

Mais il en restera quelque chose : Comment une arrestation, puis une perquisition, peuvent-ils ne laisser aucune trace ? Ce genre d’agissement correspond davantage à ce nous voyons depuis toujours en union soviétique et dans tous les régimes totalitaires. Peut-on ou ne peut-on pas qualifier des politiciens de traîtres ? Est-ce raciste ? Non ! Il s’agit en fait, d’un délit d’opinion politique, chose qui n’existe bien évidemment pas dans une véritable démocratie !

Cela pose la question cruciale : Sommes-nous encore dans une démocratie ?

Déjà, le résultat de notre référendum sur le ‘traité de Rome II’ de 2005 avait été foulé aux pieds par Sarkozy, en faisant signer le traité de Lisbonne en 2007 qui annulait notre refus d’une constitution européenne, sans aucune consultation populaire, chacun s’en souvient.

Si maintenant en plus, la chasse aux sorcières est faite sur de simples manifestants, au seul motif qu’ils n’ont pas la bonne opinion politique, alors même qu’on ne leur reproche aucune violence, aucune dégradation, il faut bien évidemment faire l’amer constat, qu’une majorité minoritaire qui a divisé, fracturé et trompé l’électorat afin de prendre le pouvoir en 2017, profitant d’une règle électorale complaisante, (un coup d’état sans avoir l’air de faire un coup d’état), est bien actuellement en position de dicter sa politique envers et contre tous les opposants, au mépris de tous usages démocratiques ! Il s’agit donc bien d’un état de dictature qui peu à peu s’est instauré en France !

Tout le monde aura compris que la manœuvre autoritaire, en plus de créer un délit d’opinion, a bien pour but de salir un parti qui, soi-disant, serait antisémite, afin de renouveler en 2022 le coup d’état de 2017 : Émietter, diviser, manipuler, diaboliser, prendre à nouveau le pouvoir à l’aide d’une minorité de privilégiés ! Encore de la dictature déguisée !

    

13 août 2021

Covid 19 : est-il vrai que la majorité des personnes hospitalisées en Israël sont vaccinées ?

 

GSM

Je rappelle : Israël au lundi 9 août 2021 : 5.400.236 personnes entièrement vaccinées et 3.255.305 non vaccinés ou en cours.

Sur MSN :

Question posée le 06/08/2021.

Selon les chiffres les plus récents du ministère de la Santé israélien, relayés par la presse nationale durant la première semaine du mois août, la vaccination diminuerait le risque d’hospitalisations de 93 % pour le variant Delta (contre 97,5 % pour la variante Alpha). Dans le même temps, divers médias ont relayé des données – apparemment contradictoires – selon lesquelles la majorité des israéliens hospitalisés pour Covid étaient pleinement vaccinés. Mi-juillet, les chiffres de la presse nationale renvoyaient ainsi à une proportion de 3 vaccinés pour 5 patients hospitalisés pour forme grave. D’autres chiffres, plus récents, font état de taux de vaccinés encore plus élevés dans certains hôpitaux.

Illusion statistique

Le paradoxe (qui n’en est pas un) s’explique simplement. Dans la population à risque de formes graves de Covid, l’immense majorité des personnes est vaccinée – 90 % des plus de 60 ans ont en effet déjà reçu deux doses de vaccins. Bien qu’une très faible proportion de vaccinés développent une forme grave de la maladie s’ils sont exposés au virus, le nombre absolu d’individus concernés est grand, puisque celui des vaccinés est grand.

Les non-vaccinés sont, proportionnellement, plus nombreux à développer des formes graves de la maladie. Mais la part de personnes à risque non-vaccinées (qui n’a reçu aucune dose ou une seule dose de vaccin) étant très faible en Israël, le nombre absolu d’individus concerné est également faible.

De façon générale, pour déterminer si un vaccin diminue efficacement un risque (développer une forme symptomatique du Covid, être hospitalisé, décéder…), il est nécessaire de comparer la proportion de personnes touchées dans une population vaccinée avec la proportion touchée dans une population non-vaccinée. Pour que cette comparaison soit pertinente, ces populations doivent être d’âge comparable, et leur niveau d’exposition au virus doit être similaire.

Surtout, comparer en valeur absolue le nombre de personnes touchées n’a de sens que s’il y a autant de vaccinés que de non-vaccinés dans les deux groupes considérés, ce qui n’est plus le cas en Israël depuis déjà plusieurs mois.

44 décès au mois d’août

Mi-juillet, la chaîne israélienne Channel 12 News Israel notait que 61 personnes étaient hospitalisées dans un état grave. Parmi les personnes âgées de plus de 60 ans, près d’une sur cinq (8/44) était non-vaccinée, alors que les non-vaccinés représentent moins d’une personne sur dix dans la population de cette classe d’âge. Par ailleurs, parmi les 17 personnes de moins de 60 ans hospitalisées dans un état grave, seule une était vaccinée.

Selon les derniers chiffres communiqués par le ministère, 618 patients sont actuellement hospitalisés en Israël des suites d’une infection au Covid-19, parmi lesquels 360 «dans un état grave», dont 57 sous respirateur. Pour l’ensemble du mois de juillet, 44 décès auraient été recensés. Ce 9 août, Sharon Alroy-Preis, responsable des services de santé publique au sein du ministère de la Santé israélien, a déclaré à la presse qu’«il n’y avait [actuellement] pas de patients de moins de 60 ans vaccinés hospitalisés», mais qu’il y avait bien des «personnes de moins de 60 ans non-vaccinées», sans détailler le nombre de cas concernés. Contacté par Libération, le ministère ne nous avait pas transmis ces informations à l’heure de la publication de cet article.

Notons que la semaine passée, le directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem a déclaré à l’antenne d’une chaîne nationale que «85 à 90 % des hospitalisés [dans cet hôpital] sont complètement vaccinés». Interpréter cette déclaration est toutefois difficile sans disposer d’informations sur l’âge des patients, et surtout sur le taux de vaccination dans cette même classe d’âge dans la ville de Jérusalem, zone urbaine la plus peuplée du pays.

Un effet du variant Delta ?

En soi, l’importante proportion de personnes vaccinées dans les hôpitaux n’est donc nullement un indice de l’inefficacité du vaccin. Elle est seulement la traduction logique de la très forte couverture vaccinale dans le pays. Toutefois, si la proportion de vaccinés hospitalisés augmentait plus vite que la part des vaccinés dans la population, cela pourrait signifier que la protection conférée par le vaccin diminue dans le contexte épidémique actuel. La moindre sensibilité du vaccin au variant Delta pourrait être une piste d’explication. Toutefois, des indices d’une diminution de l’efficacité du vaccin plusieurs mois après l’administration de la seconde dose sont également avancés.

Les autorités sanitaires israéliennes ont débuté une campagne d’injection d’une troisième dose auprès de populations à risque – l’OMS appelant de son côté à un moratoire sur de telles «troisièmes doses», considérant que de nombreux pays touchés par la pandémie peinent à s’approvisionner pour leurs premières et secondes doses.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-est-il-vrai-que-la-majorit-c3-a9-des-personnes-hospitalis-c3-a9es-en-isra-c3-abl-sont-vaccin-c3-a9es/ar-AAN7bYf?ocid=uxbndlbing

    

12 août 2021

Covid-19: content d'avoir été infecté, cet anti-vaccin est mort 8 jours après

GSM

 

BFM le 10 août 2021

Cet avocat britannique de 58 ans se disait "content d'avoir le Covid-19", qu'il préférait à l'injection "d'un vaccin expérimental".

Le destin de Leslie Lawrenson est devenu viral. Opposé au vaccin, cet avocat britannique contracte le Covid-19 en juin dernier. Sur sa page Facebook, il se filme alors en selfie pour montrer à ses amis que le virus n'est qu'une simple grippe et décrit ses symptômes.

Atteint de fièvre et d'une forte toux, il écrit : "aussi horribles qu'aient pu être ces dernières vingt-quatre heures, je suis heureux d'avoir le Covid-19. Je préfère avoir des anticorps dans mon sang et développer une immunité naturelle que de faire un vaccin expérimental", écrit Leslie Lawrenson en anglais sur sa page Facebook, le 24 juin dernier.

Dans ses posts suivants, il explique avoir dû rester 6 heures en position fœtale pour lutter contre la douleur. Le 2 juillet, il décède à son domicile, soit 8 jours après la publication de son message dans lequel il se réjouissait d'avoir eu le Covid-19.

Leslie Lawrenson a également contaminé sa femme, atteinte de diabète de d'hypertension, qui a dû être hospitalisée, mais a pu être soignée. Interrogée par la radio BBC 5 sur les choix de son mari, elle confie qu'il avait fait "une erreur terrible" et en avait payé "le prix ultime". "Il était très instruit... Alors quand il me disait quelque chose, j'avais tendance à le croire", a-t-elle ajouté, rapportent plusieurs médias britanniques.

Note de zalandeau : Comment les gens interpréteront ce fait ?  Les antivax diront que s'il avait été vacciné il serait quand même mort... Les pros vaccin diront, comme je le dis, qu'il aurait probablement survécu... Mais je rajoute que s'il avait daigné aller à l'hôpital... Il serait probablement encore de ce monde... Comme quoi aucune science même celle de la médecine, qui est imparfaite, ne peut résister aux opinions toutes faites des gens... Mais cet homme, avocat Anglais, aura été puni par trop de croyance irrationnelle aveugle...

    

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