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zalandeau

26 novembre 2020

Fiona

GSM



Écrit le 28 septembre 2013 :
 
Lorsque un enfant disparaît, enlevé, ou par accident ou maladie, il est très difficile à des parents "normaux" de reconstruire leur vie. Ils restent marqués à jamais, quand ils ne mettent pas fin à leur propre vie pour abréger leur souffrance...
 
Mais tuer un enfant... Cela dépasse tout ce que l'on peut imaginer. Cela dépasse mon entendement.
Je suis une fois de plus atterré et profondément ému. Mais par dessus tout, une profonde colère m'envahit ! Colère contre ces êtres immondes capables d'actes aussi horribles ! Colère contre la justice qui va donner quoi ? 100 heures de travail d'intérêt général comme peine à cet homme cruel, à cette bête immonde ! J'exagère à peine) ...
 
....................
 
Il est vrai que si on donnait un assassin aux parents des victimes, certains seraient capables de le tuer quelle que soit le degré de culpabilité...
C'est pour cela que l'on a inventé la police et l'institution judiciaire : Pour éviter la loi de la jungle et les règlements de comptes à OK-Coral.
Mais si la justice à le recul nécessaire, elle en a parfois trop. Elle en a tellement, qu'elle en oublie l'horreur de l'acte commis, la dangerosité du coupable et sa capacité à récidiver...
C'est un peu comme les crimes  qui ont lieu au bout de la terre : On s'en fout tous un peu, cela nous concerne beaucoup moins qu'un crime dans notre ville ou dans notre pays. Si, par exemple, les Chinois s'entretuaient, j'avoue même que je serais content de laisser faire...
 
Alors pour les juges de ce pays nommé la France, ne serions-nous pas des Chinois, nous, le peuple qui les nourrit ???
Ne sont-ils pas trop loin de ce peuple et trop absorbés par leur milieu, leurs intérêts ou leurs idéologies ???
 
Écrit le 26 novembre 2020 :
 
Cécile Bourgeon est condamnée à 5 ans de prison et Berkane Maklhouf à 20 ans. En appel, les deux protagonistes sont condamnés à 20 ans de prison. La cours de cassation annule la condamnation de Cécile Bourgeon. Un quatrième procès doit se tenir à Lyon à partir du 1er décembre.
 
Mon cœur saigne  à chaque fois que l'on massacre un enfant. Tant d'enfants ont été massacrés : Le petit Grégory dont le visage me hante, Philippe Bertrand, tant d'autres et cette petite Fiona que j'aurais tant voulu pouvoir sauver, elle aussi... Les décisions de justice me dégoûtent à chaque fois...
     
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25 novembre 2020

Mémoires et radotages (316) – Déconfinement commerces – Sécurité globale – Évacuation des clandestins

 

 

GSM

Écrit le 25 novembre 2020

En mai, j’avais compté le nombre de boutiques qui avaient fermé par chez moi… J’en étais arrivé à cinq ! Evidemment j’ignore combien d’entreprises n’ayant pas de vitrine en ville avaient pu fermer à l’occasion du premier confinement… Et combien tout cela a fait de gens sur le carreau…

J’avais même fait une estimation concernant ma boite, fermée en 2000… Si donc je l’avais eu encore cette année, avec sa bonne trésorerie, aurais-je pu m’en sortir ? J’avais refait les calculs en euros, bien sûr… J’en étais arrivé à la conclusion que ma trésorerie aurait été si mise à mal, par les traites, que je n’aurais jamais pu redémarrer, n’ayant plus les moyens d’avancer des payes et des charges. J’aurais perdu mes clients qui seraient allés vers mes concurrents plus résistants…

C’est pourquoi je suis à même de juger de ce qui se passe avec ce deuxième confinement.

Le second dé-confinement vient d’être annoncé hier par Macron… Il sera graduel à partir du 28 novembre et il n’est pas trop mal conçu pour une fois… Mais je crois que sa grande erreur a été de confiner les petits commerces le 30 octobre dernier… S’il les avait laissé ouverts, il aurait pu dégager davantage de fonds pour indemniser ceux qui ne rouvriront que graduellement : Restaus, cafés, cinémas, théâtres, sports, tourisme, etc…

……….

J’ai lu et relu ce fameux article 24 du projet de loi sur la sécurité globale qui froisse tant les gauchos et autres islamo-gauchistes :

Article 24

I. – Le paragraphe 3 du chapitre IV de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est complété par un article 35 quinquies ainsi rédigé :

« Art. 35 quinquies. – Est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique, l’image du visage ou tout autre élément

d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale lorsqu’il agit dans le cadre d’une opération de police. »

II. – L’article 35 quinquies de la loi du 28 juillet 1881 sur la liberté de la presse ne font pas obstacle à la communication, aux autorités administratives et judiciaires compétentes, dans le cadre des procédures qu’elles diligentent, d’images et éléments d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale.

Franchement, je ne vois rien que de très acceptable !

……….

Quant au « déménagement » le 23 novembre des migrants illégaux que les assoces ont installés sur la place de la République… Qui parle de violences ? Où y a-t-il eu des violences ? Un peu de brutalité, certes… mais c’est bien normal quand on sait que ceux que l’on veut évacuer ne veulent pas obtempérer et quand on voit que les assoces qui les manipulent viennent faire le coup de poing, pour discréditer la police et victimiser les clandestins…

Je suis désolé, mais si un Français commet un acte illégal, il n’est pas en position de faire le zouave et encore moins de résister à la force publique ! Il doit obtempérer ou bien, s’il résiste, subir quelques rudoiements et quelques brusqueries ! Certains gilets jaunes aux intentions pacifiques le savent bien eux, ce que c'est que la vraie violence policière totalement injuste !!!

Donc je ne vois pas la pertinence des récriminations infondées des islamogauchistes, qui comme toujours veulent rallier à leur cause tout ce qui passe à leur portée…

Il faudrait peut-être, qu’on leur apporte des croissants aux illégaux et qu’on leur dise « S’il vous plait, messieurs les clandestins illégaux, pourriez-vous avoir l’extrême obligeance de bien vouloir repartir dans votre pays et ceci quand vous le voudrez bien, naturellement, si c’était un effet de votre bonté »… Et bien non ! Le laxisme et la bonté n’ont aucun effet sur des gens qui croient avoir tous les droits, alors qu’ils n’en ont aucun et que leur seul devoir serait de repartir d’où ils viennent !

Alors le mieux c’est l’autre faux-cul, minist’ de l’intérieur… C’est lui qui donne l’ordre d’évacuer les clandestins et c’est lui qui, prêt à désavouer son personnel, joue le mec surpris par tant de violence…

Stop, ça suffit l’hypocrisie ! Le devoir de nos gouvernants, c’est de trouver les moyens de faire repartir ces gens que l’on ne désire pas sur notre sol ! Et en attendant, c’est leur devoir de ne pas les laisser traîner n’importe où, en les mettant dans des centres de rétention en attendant leur reconduite vers chez eux !

Mais encore faudrait-il construire des centres de rétention… Et cela n’en prend pas le chemin ! Preuve que notre gouvernement se hâte de ne rien faire !!!

    

24 novembre 2020

L’époque la plus extraordinairement con (swat) !

GSM

Ecrit début 2012, mais rien n'a changé
 
Nous vivons la période la plus con qu’on ait connue de mémoire d’homme…
Jamais les politiciens n’ont été aussi menteurs, d’aussi mauvaise foi, aussi peu clairvoyants…
Jamais ceux qui sont au sommet n’ont été aussi éloignés de ceux d’en bas, ceux de la vraie vie, ceux qui ont du mal à finir le mois et même à le commencer.
Il y a un fossé, que dis-je ? Un gouffre, un abîme, un trou noir entre ceux qui disent savoir et ceux qui subissent.
 
C’est un moment extraordinaire de l’histoire de France, où tout bascule. On rogne nos institutions, on bafoue notre république, on nie la réalité, on gouverne par la peur et par l’intérêt personnel.
Les valeurs que nous possédions ne sont plus que des principes périmés, que l’on foule aux pieds, dans le plus parfait cynisme.
La France a 15 fois plus de SDF qu’en 1954, mais en 2012, on s’en fout. On pisse sur notre drapeau, mais c’est normal. On fout le feu aux voitures, on pète la gueule aux policiers et c’est la relaxe. On dépasse les vitesses en auto et c’est le permis qui saute, le chômage au bout de la route. On tue une fois ou cinq, c’est le même tarif et on a le droit de recommencer après une remise de peine…
Il y a une inversion des valeurs telle, que nous croyons habiter dans un autre monde, un monde où le bien serait le mal et le mal serait le bien…
 
Ce que nous espérons pour 2012, c’est que la justice judiciaire redevienne équitable, que la justice sociale soit rétablie, que nos soldats ne fassent plus de guerre néocoloniale, que nous recréions  une industrie suffisante sans concurrence déloyale, que chacun contribue justement au redressement de la France et à l’assainissement de nos dettes, que des règles et des contrôles assortis de sanctions appropriées mettent au pas les profiteurs en col blanc, les spéculateurs, les escrocs et enfin que nous nous débarrassions des politiciens corrompus et des lobbies qui les achètent…
 
Même s’il faut pour cela casser l’Euro, déchirer le traité de Lisbonne, pisser à la raie des technocrates esclavagistes de Bruxelles à qui nous ne reconnaissons aucun droit sur le cours de notre vie ; même s’il faut mettre en place une 6ème république dans laquelle nous pourrons contrôler le salarié de l’Elysée…
 
…Rétablissons la LIBERTÉ, l’ÉGALITÉ et la FRATERNITÉ pour les citoyens Français !
  
23 novembre 2020

«L’horreur du quotidien» à Barbès : le cri d’alarme de la réalisatrice Jeanne Labrune

22 novembre 2020

Georges Brassens - Il n'y a pas d'amour heureux

GSM

 

 

Rien n'est jamais acquis à l'homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il veut serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux.
 
Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu'on avait habillés pour un autre destin
A quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu'on retrouve au soir désarmés incertains
Dites ces mots Ma vie Et retenez vos larmes
Il n'y a pas d'amour heureux.
 
Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé

Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi les mots que j'ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent
Il n'y a pas d'amour heureux.
 
Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l'unisson
Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare
Il n'y a pas d'amour heureux.

 

Paroles Louis Aragon (1943, publié en 1946)

Musique Georges Brassens (1964 ou 65)

    

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21 novembre 2020

300 000 personnes vivent dans la rue en France

 

GSM

https://fr.news.yahoo.com/christophe-robert-fondation-abb%c3%a9-pierre-122520916.html

 

 

Christophe Robert (fondation Abbé Pierre) : "300 000 personnes vivent dans la rue en France. C’est choquant dans un pays comme le nôtre. J’ai honte"

Depuis 2012, le nombre de sans-domicile fixe a doublé, selon la Fondation Abbé-Pierre et s'élève désormais à 300.000, contre 141.500 lors de la dernière enquête officielle de l'Insee. Délégué général de la Fondation Abbé Pierre, Christophe Robert s’est exprimé au micro de Yahoo. Il dénonce une situation "honteuse" pour un pays comme la France. Ces chiffres, chocs, doivent selon lui réveiller les consciences.

20 novembre 2020

Guillaume Roquette sur LCI - On ne fait rien contre le terrorisme

GSM


19 novembre 2020

Mémoires et radotages (315) – Confinés par des cons finis

 

 

GSM

Écrit le 18 novembre 2020

Con-seil de défense

EM : -Viens ici toi ! C’est toi qui as dit que tu promettais un sapin aux Français pour Noël ? Tu vas faire rouvrir les marchands de sapins ? Lesquels vendent aussi des fleurs, n’oublie pas ça !

Un minist’ : -Ben oui, quoi, chef ! Mais, rassurez vous chef, j’interdirais aux fleuristes, de vendre autre chose que des sapins… Chuis pas con hein, chef ! Mais ils me disent tous « Mais un sapin sans guirlande, ça ne sert à rien »… Qu’est-ce que je leur réponds ?

-Heuuuu, t’as qu’à leur dire qu’on autorise la vente de boules et guirlandes !

-Bien chef ! Mais y disent aussi si on a pas de chaussons à mettre au dessous du sapin, ça ne va pas…

-Autorise la vente de chaussons, alors !

-D’accord chef ! Mais y’en a qui disent… On aimerait bien y mettre des jouets, dans ces chaussons… Alors j'chais pas quoi leur répondre, chef ???

-Rouvre les marchands de jouets, qu’est-ce que tu veux que je te dise…

-Bien chef ! Mais y’en a qui disent… Qu’en rouvrant comme ça à la dernière minute ils auront des queues dans leurs boutiques et que si on « n’aurait » pas fermé, ça ne s' « aurait » pas produit… Et que d’avoir tout fermé va faire encore plus de contaminations à retardement…

-Hé merde ! Je n’ai que des ministres à la con ! Vous n’auriez pas pu me le dire avant de re-confiner ? Vous n’êtes que des branquignols ! A quoi vous pensez, hein ? Je suis président, je ne vais pas m’occuper de tous les détails, quand même !... A quoi avez-vous pensé depuis que je vous ai mis au gouvernement ? Et  qu'avez vous fait au juste ?

Plusieurs minist’ : -Heuuuu… Moi, j’ai vérifié ma paye, tous les mois… -Moi, j’ai acheté une maison en Californie, on ne sait jamais… -Moi, j’ai fait repeindre ma maison, puisque j’habite à l’appart de fonction du ministère. C’est fou le temps que ça prend de surveiller les travaux à 500 kilomètres !... –Moi je suis des cours de reconversion, pour après, faut être prudent…

EM : -Bon je vois… Vachement motivés les mecs ! Que des bons à rien ! Et j’en suis responsable… J'ai voulu prendre des ministres moins intelligents que moi... ça m'apprendra...

  

  

18 novembre 2020

L’irrespect, début de soulèvement ?

GSM

Écrit le 19 avril 2009
 
Ère Sarkozy. Rappel. 
 
Quelque temps avant avril 2009, nul n’avait osé protester, cloué par la peur du monarque, qui, dans sa superbe, avait imposé aux médias une censure silencieuse…
 
Ce temps était bien révolu à cette date.
Le Président-voyou qui cyniquement avait perverti l’exercice démocratique de son mandat, mettant en place une oligarchie perverse et inique, attisa la colère sourde des masses populaires.
Plus il tentait de réprimer, plus il forçait le trait de sa mégalomanie, plus il montrait son vrai visage méprisant d’ultralibéral et plus la masse des Français perdit ses valeurs de considération de la légalité, de non-violence et de respect des « gens d’en haut »…
 
Comment expliquer autrement, que chaque jour des avocats se mirent à contester publiquement des décisions de justice, alors qu’avant, ils s’abstenaient de tout commentaire ?
Pourquoi, les médias osèrent-ils monter les signes ostentatoires des dénis de démocratie du fossoyeur de la république ?
Pourquoi, des particuliers, qui n’abordaient jamais les problèmes de politique, en dehors de la sphère privée, s’exprimèrent-ils, indignés, avec force, conviction et colère contre la dérive totalitaire d’un exécutif arrogant et dictateur ?
Quelle autre circonstance peut-elle expliquer, le discrédit du pouvoir, au point que les Français rejetassent toutes formes de pouvoir et d’excès : Etat, justice, salaires des footballeurs, propos arriérés du Pape, etc… ?
Même les séquestrations de patrons, qui autrefois étaient libérés par les forces de police, trouvèrent soudain grâce aux yeux des Français. Ceux qui devraient y mettre fin, n’osaient même plus tenter quoi que ce fut, tant ils comprirent que cela pouvait mettre le feu aux poudres.
Les bagarres à Strasbourg n’avaient pratiquement soulevé aucune indignation de l’opinion publique.
Tout se passait comme si, devant la monstruosité du pouvoir exécutif, les Français considéraient la loi comme délégitimée, et toutes les autorités comme caduques.
Même la violence de mes propos, et mon irrespect envers les instances dirigeantes auraient été inconcevables début 2007 et pourtant je les exprimais avec véhémence en avril 2009.
 
Mais, comment pouvait-il en être autrement ?
 
Le Nihilisme vers lequel les Français s’acheminaient, n’était qu’une réaction, une révolte inconsciente, qui enflât peu à peu, devant l’irrespect de la démocratie que dévoilait le pouvoir de l'époque, un peu plus chaque jour, sans vergogne, arborant une morgue suffisante, qui écœurait chaque jour un peu plus un bon nombre de citoyens.
 
Plus l’exécutif persista dans son négationnisme de la réalité démocratique et plus le peuple nia toutes formes de pouvoir, prêt à sacrifier à la violence ce qu’on ne leur avait pas accordé dans la désespérance !
 
En rappel de ce souvenir, j'ajouterai qu'il n'est pas souhaitable que ce personnage revienne dans un nouveau mandat présidentiel.
 
Mais les Français perdent la mémoire rapidement. Qui vivra verra !
     
17 novembre 2020

Mémoires et radotages (314) – Les Français à l’épreuve de l’ « antiracisme »

 

 

GSM

Écrit le 17 novembre 2020

Je disais qu’avec les décisions complètement absurdes de ce gouvernement, il lui sera difficile d’obtenir une cohésion nationale sur d’autres sujets. Et pourtant, Macron aurait bien besoin d’une union nationale, sur plusieurs sujets :

-La souveraineté nationale,

-la lutte contre la conquête islamiste intérieure,

-l’agression de l’internationale islamiste extérieure,

-et la sécurité (sûreté) des citoyens y compris de nos forces de l’ordre, au quotidien…

Ces sujets méritent un développement important que je ne ferai pas dans cet écrit.

Il y a cependant des évolutions politiques inquiétantes qui actuellement sapent notre pays dans sa profondeur et le rendent inopérant et surtout passif, face à ces sujets précédemment évoqués ! Il s’agit d’une dérive tiers-mondiste qui ne porte plus sur la politique, mais qui vient à discriminer la race.

Cette déviance nous vient comme toujours des états unis, pays de la discrimination et du communautarisme et prend racine fort mal à propos, dans notre pays qui est laïc et sans discrimination raciale.

A la suite de l’effondrement de la gauche classique, la social-démocratie et sa lutte des classes, se sont vues remplacer par le combat des races, des genres et des identités…

Les minorités ont ainsi remplacé la classe ouvrière…

Nous sommes maintenant en but à des théories féministes, antiracistes et décoloniales. Une sorte de ressentiment est né parmi des peuples qui vivent en France et qui sont nourris de haine par un prosélytisme malintentionné, envers les autochtones de notre pays. (Je précise que cette tendance s'étend à toute la partie de l'occident qui est minée par une immigration massive). C’est ainsi que la France est tenue pour responsable de tous les malheurs de ces peuples inassimilables parce que trop nombreux et trop regroupés… De Gaulle disait s’agissant d’immigration de civilisations très différentes de la nôtre : « Il est possible d’intégrer quelques individus, voire quelques familles, mais jamais tout un peuple ».

C’est ainsi que le Français de souche devient l’accusé, et comme il est majoritairement blanc, c’est le Français blanc qui devient le responsable des mécontentements d’un certain type de population immigrée. Ceci dit l’homme blanc Français se porte souvent volontaire pour être accusé de tous les maux de la terre. Il n’est qu’à voir Macron, au début de son mandat, lorsqu’il battait sa coulpe en notre nom en nous accusant de génocide. Ces blancs prêts au martyr sont des progressistes qui croient bon de céder à cette mode de l’auto flagellation…

Mais ce genre d’aplatissement ne dégonfle pas la vindicte immigrée qui au contraire, se rengorge davantage en se disant que ses accusations étaient fondées…

Ainsi, nous incarnons par notre laisser faire et laisser dire, le summum de l’infamie. Nous serions les barbares exclusifs et universels dont il faudrait se débarrasser, sur le seul critère de notre peau blanche…

L’homme blanc, dans le discours indigéniste, antiraciste et même néo-féministe est la cible unique qui permet la cohésion de ces minorités. Or, haïr le blanc, ce n’est plus une lutte des classes, mais c’est bel et bien du racisme… Ainsi, l’antiracisme est bel et bien du racisme à l’état pur et cela nous renvoie à l’époque des années trente où les persécutions racistes étaient perpétrées par les nazis… Comme le dit Pascal Bruckner « L’anti-racisme est un racisme à l’envers » et « La seule chose qui fédère toutes ces communautés est l’idée que le blanc est responsable de tout ».

Les antifas ont les mêmes préjugés que ceux des années trente, dont la haine des juifs rebaptisée « antisionisme ». Tout ce sur quoi ils sont en désaccord, (une autre religion que la leur, des traditions folkloriques françaises, des habitudes culinaires), est systématiquement qualifié de fasciste !

Nous sommes donc à la merci de gens qui viennent s’installer chez nous pour nous expliquer que nous sommes des criminels et que nous devons expier jusqu’à la fin des temps.

Ce n‘est certes pas en prêtant le flan ni en entrant dans le jeu de ces minorités, comme l’a fait Macron, que nous rétablirons la réalité des choses, puisque c’est notre faiblesse à répondre qui nous cantonne dans le rôle de bouc émissaire. C’est en réaffirmant le rôle de notre république, en assurant l’ordre et la sécurité, au besoin par la force, que les indigénistes réapprendront ce que sont la liberté et l’égalité, dans notre pays.

Actuellement nous punissons en faisant des régimes de faveur aux populations qui nous crachent leur venin. Ne faisons plus de laxisme ciblé, cela nous montre faibles et soumis. Il ne faut plus rien laisser faire de criminel et il faut punir, sans exception d’origine.

  

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