Mémoires et radotages (323) – Joies anciennes inoubliables
Écrit le 23 décembre 2020
Je me souviens de ces Noëls, de ces Noëls merveilleux, où nous vous regardions, joyeux, en train de déballer les paquets, où nous entendions vos cris de joie en découvrant les jouets que le « père Noël » vous avait apporté…
Et c’est encore ces scènes de sourires radieux, vieilles de deux à trois décennies que nous allons avoir à nouveau dans nos têtes dans deux jours à peine…
Motivations
Lâcheté, égoïsme, hypocrisie, cupidité, fainéantise, mensonges, mauvaise foi, jalousie, ingratitude, intolérance et dogmatisme sont le lot quotidien de tous et la difficulté de ceux qui voudraient croire en quelque chose et qui voudraient faire évoluer le monde, mais en vain.
Nous avons pourtant essayé la sincérité, l’équité, l’amitié, la protection pour manager les êtres.
Les « êtres » sont bien nommés : Ils sont ce qu’ils sont et on ne pourra les changer. Nous ne ferons adhérer certains d’entre eux que momentanément, simplement par intérêt personnel passager.
Il est facile à comprendre que devant la difficulté de traiter humainement les gens, les managers aient adopté pour méthodes la peur et l’indifférence.
Terminé les bons sentiments si complexes et si longs à mettre en œuvre ! On ne fait plus adhérer, on impose et on menace, c’est tellement plus simple.
On regrette de ne pas avoir choisi cette option. On prive la société d’une brillante carrière pour des gens auxquels on a du oublier de prodiguer des remerciements, à moins qu’il n’y ait jamais eu de telles intentions.
L’ingratitude des uns fait l’amertume des autres…
Entre cynisme et hypocrisie
Discours de Robert Menard - ancien président de Reporters sans Frontières
Son discours du Lundi 19 octobre 2020 à 12H30
Mesdames, Messieurs, Mes chers compatriotes,
Avant toute chose, je vous propose d’observer une minute de silence en mémoire de Samuel Paty et en soutien, en respect et en amitié pour sa famille et pour ses proches.
La tête tranchée. Un professeur d’histoire a eu la tête tranchée, en France, en 2020, parce qu’il a fait son travail. Parce qu’il a expliqué à ses élèves ce qu’est la liberté d’expression. La tête tranchée par un islamiste tchétchène qui bénéficiait du statut de réfugié, c’est-à-dire de la protection de la France !
Stupéfaits, nous l’avons tous été, vous comme moi, devant cette nouvelle, devant ce mot terrible, une « décapitation », surgie à la une de l’actualité, vendredi dernier. Cela, à quelques kilomètres de Paris, l’horreur à la sortie des classes.
Vendredi dernier, nous avons franchi un nouveau cap, une plongée dans l’obscurantisme. Vendredi dernier, un enseignant est devenu un martyr de la France.
J’ai envie de vous dire que rien ne sera plus comme avant, que rien ne doit plus être comme avant. Que nous devons nous réveiller ! Qu’il est vital pour notre pays que nous nous réveillions. Mais, comme vous, j’ai un peu de mémoire. Comme vous, je me souviens qu’on a égorgé un prêtre dans son église et qu’alors, déjà, nous avions eu les mêmes mots, les mêmes indignations. Et puis, rien. Nous continuons à avancer, tels des somnambules, vers un précipice.
Aujourd’hui, en France, vivent sur notre sol des barbares, des monstres, les pires des ayatollahs. Des dizaines sont déjà passés à l’acte. D’autres poursuivront cette macabre entreprise, au nom d’Allah.
Depuis plus de 40 ans, nous sommes anesthésiés par l’aveuglement, les mensonges, les lâchetés. Sous nos yeux, des enfants sont massacrés à bout portant dans leur école parce que juifs. Des policiers sont attaqués à longueur d’année, deux d’entre eux suppliciés devant leur propre fils. Des journalistes sont exécutés pour avoir dessiné Mahomet. Des jeunes filles sont égorgées dans une gare. Des familles sont écrasées alors qu’elles assistaient au feu d’artifice du 14 juillet. Toute une jeunesse est fauchée pendant un concert de rock. Un gendarme décide de se sacrifier pour sauver ses prochains. Les meilleurs de nos militaires sont abattus aux confins des montagnes afghanes et au Sahel...
Des centaines de vies anéanties, des centaines de familles détruites. Des années d’horreur, de drames, de larmes.
Contre cet enfer, que fait notre pays ? Un carnaval de bougies, de peluches, de fleurs, de dessins, de belles et solennelles déclarations, de chartes de la laïcité et des « valeurs de la République » ânonnées jusqu’à l’étourdissement.
Face à cette pantomime hallucinée, ils sont des milliers à avoir d’ores et déjà déclaré la guerre à notre pays, à notre nation, à notre civilisation. Un État dans l’État ! Ils sont des centaines de milliers à dire qu’ils ne veulent pas de notre mode de vie. Arrêtons d’être étonnés. Il suffit de les écouter, de lire les enquêtes les concernant, de ne plus fermer les yeux sur leur menace grandissante : 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans – les trois quarts - affirment placer l’islam avant la République ! Petit à petit, jour après jour, le totalitarisme islamiste impose sa loi, ses règles et ses interdits, jalousement protégés par ceux qui imposent, qui nous imposent… le vivre-ensemble. Vivre-ensemble, la tête séparée du corps ? Vivre-ensemble quand, déjà, 40 % des enseignants reconnaissent qu’ils s’autocensurent sur certains sujets face à leurs élèves. On n’a pas de mal à imaginer lesquels…
Tout cela, je le refuse. Je dis non. Je ne veux pas me soumettre !
Aujourd’hui, ici, j’accuse, oui j’accuse ceux qui, au nom de la tolérance, cèdent et lâchent sur tout : le voile islamique, les activités non-mixtes, les repas de substitution, les mosquées radicales.
J’accuse ceux qui, prétextant le risque de « diviser les Français » - commode alibi pour tous les renoncements -, refusent de prendre les mesures qui s’imposent.
J’accuse ces élites qui se compromettent avec le séparatisme qui infeste les rues de nos villes, les terrasses de nos cafés, les commerces communautaires.
J’accuse ceux qui disent « Je suis Charlie mais… ». Mais quoi ?
J’accuse ceux qui, sur les plateaux télé ou dans les partis politiques, refusent tout débat, toute discussion sur l’islam, sur l’immigration, sur le mode de vie et sur notre identité au nom du « pas d’amalgame ».
J’accuse ceux des musulmans de France qui excusent les terroristes ou qui refusent de condamner leur barbarie.
J’accuse ceux qui hurlent au racisme systémique et à l’islamophobie chaque fois que l’on fait mine de résister aux fatwas des fous de Dieu.
J’accuse ces élus collabos qui consentent à sacrifier la France, prêts à toutes les compromissions pour gagner quelques voix lors d’une élection.
J’accuse les lâches qui ferment les yeux devant l’évidence, qui refusent de dire la réalité et d’utiliser les bons mots, les vrais mots.
J’accuse tous ces politiciens et ces éditorialistes qui, depuis plus de 40 ans, se mentent et nous mentent.
J’accuse tous ceux qui choisissent la lâcheté et la soumission au détriment du courage et de la résistance.
J’accuse ceux qui laissent la France devenir un enfer, une terre de décapitation.
J’appelle nos dirigeants à ne rien céder sur la liberté d’expression. Sur cette liberté de la presse que, durant plus de 20 ans à la tête de Reporters sans frontières, j’ai défendue avec mes confrères en France comme partout dans le monde. Aujourd’hui, ces caricatures sont devenues l’étendard de nos libertés.
J’appelle nos dirigeants à stopper l’immigration de masse, véritable terreau de l’islamisme politique, à déclarer la guerre – la vraie – au salafisme, à expulser la totalité des imams radicaux, à interdire le voile dans l’ensemble de l’espace public.
Cette barbarie ne s’arrêtera pas. Il faut lui déclarer la guerre. Et on ne fait pas la guerre à coups de marches blanches et de pancartes. L’heure n’est plus à l’indignation, l’heure est au combat.
Vive la liberté d’expression ! Vive la liberté ! Vive la France combattante !
La Marseillaise
Le diesel pollue-t-il vraiment plus que l’essence ?
Publié sur Ouest France en accès libre le 18 décembre 2020
Il émet davantage d’oxydes d’azote. Mais, selon une étude sur des véhicules récents, l’essence produit trois fois plus de particules fines. De quoi s’interroger sur les critères des vignettes Crit’Air…
L’IFP Énergies nouvelles a étudié les émissions polluantes de vingt-deux véhicules à la demande du gouvernement. Les résultats sont étonnants.
Pourquoi reparle-t-on du diesel ?
Parce qu’une étude de l’IFP Énergies nouvelles apporte un éclairage intéressant sur cette motorisation. Elle est contestée depuis le scandale des logiciels truqués de Volkswagen en 2015. Mais le diesel pollue-t-il vraiment plus que l’essence ? On en doute parfois à la lecture des résultats des recherches, menées sur vingt-deux véhicules récents, essence, diesel et hybrides.
Que conclut l’étude ?
Commandé par le gouvernement, ce rapport doit mesurer si les véhicules immatriculés après septembre 2019 respectent bien la norme entrée en vigueur à cette date, dite « Euro 6d ». La réponse est oui, à quelques exceptions près. Sont pointés du doigt certains véhicules diesel, non équipés d’injection d’urée (AdBlue) dans leur système de dépollution, ou des essence sans filtre à particules.
Qui pollue le plus, diesel ou essence ?
Ça dépend du polluant. L’essence consomme davantage de carburant (+1,5 litre aux 100 kilomètres) que le diesel. « Cela entraîne des émissions de CO2 (dioxyde de carbone) supérieures de 11 % » à celles du diesel, écrivent les chercheurs. L’essence a donc des répercussions plus marquées que le diesel sur le réchauffement climatique.
Et le diesel ?
Il produit, lui, quatre fois plus de NOx (oxydes d’azote) que l’essence. Or ils sont « néfastes pour la santé », soulignent les chercheurs. Pour protéger les citadins, le gouvernement maintient donc son refus de classer les diesel, même les moins polluants, en vignette Crit’Air 1. Ce sésame, qui permet notamment de circuler lors des pics de population, reste l’apanage des essence.
Quel est le problème ?
La lecture de l’étude montre que l’essence n’est pas moins nocive pour la santé des urbains. Elle émet trois fois plus de particules fines, de surcroît « plus petites que celles émises par les véhicules diesel ». Lesquels sont depuis 2011 obligatoirement équipés d’un filtre à particules.
Quant aux hybrides rechargeables, eux aussi classés Crit’Air 1, ils ne sont pas non plus la panacée. Ils produisent peu de dioxyde de carbone quand leurs batteries sont bien rechargées. Mais quand elles ne le sont plus, ils émettent presque autant qu’un véhicule thermique.
Diesel : Davantage d’émissions sur les trajets courts
Des différences notables entre les technologies subsistent toutefois. Les émissions d’oxydes d’azote (NOx) nocives et pour lesquelles la France est condamnée chaque année à une amende, sont 2,8 fois supérieures en diesel, à 57 mg/km en moyenne.
Les niveaux d’émissions sont plus importants sur des trajets courts (typiquement en usage urbain), du fait du fonctionnement à froid du moteur dans les premiers kilomètres.
Deux véhicules équipés d’un filtre moins récent, sans système de dépollution à l’urée (AdBlue), ont même été mesurés au-delà des normes, et seront examinés par l’autorité chargée de la surveillance du marché des véhicules.
Cependant, les émissions de particules fines sont largement supérieures en essence qu’en diesel, jusqu’à 2,6 fois supérieures sur les véhicules les plus lourds. Les émissions de monoxyde de carbone sont aussi supérieures en essence, à 434 mg/km, contre 83 mg/km en moyenne pour les véhicules diesels.
Véhicule hybride : il vaut mieux rouler à l’électricité
L’étude a également comparé les émissions des véhicules hybrides et hybrides rechargeables, poussés par les constructeurs mais très critiqués pour leurs niveaux d’émissions dans leur utilisation réelle, qui correspondent rarement aux chiffres affichés.
Pour polluer vraiment moins, un hybride rechargeable doit rouler à l’électricité, résume l’étude. Le Kia Niro testé "est aussi bien capable d’approcher le zéro émission (recharge systématique entre des trajets plus courts que l’autonomie électrique et conduite peu dynamique) ou ne faire qu’égaler son homologue non rechargeable (sans pour autant être pire)", expliquent les auteurs.
Pour une citadine comme la Toyota Yaris, le gain en matière d’émission de CO2 par rapport à la version essence est en effet de 33 % sur les parties urbaines, alors qu’il est nul sur les tronçons autoroutiers.
Merdier Centrafricain
Nostalgiques de César revenant à Rome sous les lauriers, au soleil de l'arc de triomphe, ils décident d'opérations extérieures dans le but avoué de l'intérêt supérieur du pays mais aussi dans le but inavoué d'une auréole de gloire éternelle...
Si nous ne choisissons pas un camp contre l'autre, c'est le désastre assuré pour nos troupes. Si nous choisissons, la France subira la vindicte de nombreux peuples.
L’apathie, un signe précurseur de démence ?
Publié sur Yahoo, accès libre et gratuit
Selon une étude de l’Université de Cambridge, l’apathie pourrait prédire l’apparition de certaines formes de démence.
Pour l’heure actuelle, il n’est pas possible de soigner les démences alors les chercheurs tentent d’anticiper au maximum leurs apparitions. Et une équipe de scientifiques, dirigée par le professeur James Rowe de l'Université de Cambridge (Royaume-Uni), a peut-être un nouvel élément de réponse. En effet, les chercheurs ont constaté que l'apathie pourrait prédire l'apparition de certaines formes de démence plusieurs années avant le début des symptômes.
Dépister la démence le plus rapidement possible permettrait de traiter la maladie à un stade précoce. Cette forme de maladie, la démence frontotemporale, représente une cause importante de démence chez les personnes plus jeunes. Elle modifie le comportement, le langage et la personnalité, conduisant à l'impulsivité, à des comportements socialement inappropriés, etc. Des études de scintigraphie cérébrale ont montré que cette démence est causée par un rétrécissement de certaines parties à l'avant du cerveau.
Retarder l’apparition de la démence
L’apathie peut commencer des décennies avant les autres symptômes et être le signe de problèmes à venir. “L'apathie est l'un des symptômes les plus courants chez les patients atteints de démence frontotemporale. Elle est liée au déclin fonctionnel, à une qualité de vie diminuée, à une perte d'indépendance et à une survie plus faible”, a déclaré Maura Malpetti, scientifique cognitive au Département de neurosciences cliniques de l'Université de Cambridge. Avant d’ajouter : “Plus nous découvrons les premiers effets de la démence frontotemporale, lorsque les gens se sentent encore bien, mieux nous pouvons traiter les symptômes et retarder ou même prévenir la démence”.
Johanna Amselem
mar. 15 décembre 2020 à 10:4
Selon une étude de l’Université de Cambridge, l’apathie pourrait prédire l’apparition de certaines formes de démence.
Pour l’heure actuelle, il n’est pas possible de soigner les démences alors les chercheurs tentent d’anticiper au maximum leurs apparitions. Et une équipe de scientifiques, dirigée par le professeur James Rowe de l'Université de Cambridge (Royaume-Uni), a peut-être un nouvel élément de réponse. En effet, les chercheurs ont constaté que l'apathie pourrait prédire l'apparition de certaines formes de démence plusieurs années avant le début des symptômes.
Dépister la démence le plus rapidement possible permettrait de traiter la maladie à un stade précoce. Cette forme de maladie, la démence frontotemporale, représente une cause importante de démence chez les personnes plus jeunes. Elle modifie le comportement, le langage et la personnalité, conduisant à l'impulsivité, à des comportements socialement inappropriés, etc. Des études de scintigraphie cérébrale ont montré que cette démence est causée par un rétrécissement de certaines parties à l'avant du cerveau.
Retarder l’apparition de la démence
L’apathie peut commencer des décennies avant les autres symptômes et être le signe de problèmes à venir. “L'apathie est l'un des symptômes les plus courants chez les patients atteints de démence frontotemporale. Elle est liée au déclin fonctionnel, à une qualité de vie diminuée, à une perte d'indépendance et à une survie plus faible”, a déclaré Maura Malpetti, scientifique cognitive au Département de neurosciences cliniques de l'Université de Cambridge. Avant d’ajouter : “Plus nous découvrons les premiers effets de la démence frontotemporale, lorsque les gens se sentent encore bien, mieux nous pouvons traiter les symptômes et retarder ou même prévenir la démence”.
Dans une étude publiée dans Alzheimer's & Dementia : The Journal of the Alzheimer's Association, le professeur Rowe et ses collègues ont montré comment l'apathie prédit le déclin cognitif avant même que les symptômes de la démence n'apparaissent. Cette étude a regroupé 304 personnes en bonne santé porteuses d'un gène défectueux responsable de la démence frontotemporale et 296 de leurs proches avec des gènes normaux. Les participants ont été suivis pendant plusieurs années. Aucun n'avait de démence, et la plupart des personnes participant à l'étude ne savaient pas si elles portaient un gène défectueux ou non. Les chercheurs ont recherché des changements dans l'apathie et ont effectué des tests de mémoire et des IRM du cerveau.
Un lien entre démence et apathie
“En étudiant les gens au fil du temps, plutôt que de simplement prendre un instantané, nous avons révélé comment des changements même subtils dans l'apathie prédisaient un changement de cognition, mais pas l'inverse. Nous avons également constaté un rétrécissement local du cerveau dans les zones qui soutiennent la motivation et l'initiative, de nombreuses années avant l'apparition prévue des symptômes”, a expliqué Malpetti, le premier auteur de l'étude.
Les personnes atteintes de mutations génétiques avaient plus d'apathie que les autres membres de leur famille. L'apathie a prédit un déclin cognitif et cela s'est accéléré à mesure qu'ils approchaient de l'âge estimé d'apparition des symptômes. “L'apathie progresse beaucoup plus rapidement pour les personnes dont nous savons qu'elles courent un plus grand risque de développer une démence frontotemporale, et cela est lié à une plus grande atrophie dans le cerveau. Au début, même si les participants avec une mutation génétique se sentaient bien et n'avaient aucun symptôme, ils montraient des niveaux plus élevés d'apathie. La quantité d'apathie prédisait des problèmes cognitifs dans les années à venir”, a résumé le professeur Rogier Kievit du Donders Institute, du Radboud University Medical Center à Nimègue et de l'Unité des sciences de la cognition et du cerveau du MRC à Cambridge. Pour l’avenir, les chercheurs veulent également enquêter sur les raisons pour lesquelles une personne est apathique.