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zalandeau

29 octobre 2020

Mémoires et radotages (311) – Nouvel attentat terroriste à Nice, alors que le gouvernement s’occupe du covid !

 

GSM

Écrit le 29 octobre 2020

« Une attaque au couteau s'est produite ce jeudi 29 octobre matin à 9 heures à l'intérieur de la basilique Notre-Dame à Nice, a appris BFMTV de source policière. Selon un nouveau bilan, il y a trois morts, deux femmes et un homme.

Le gardien de l'église figure parmi les victimes. Deux victimes ont été découvertes à l'intérieur de l'église, une autre victime a réussi à se réfugier dans un bar en face du lieu de culte, où elle a succombé à ses blessures. Les victimes présentent des plaies profondes à la gorge.

Un périmètre de sécurité a été mis en place autour de cette basilique située dans le centre-ville de Nice au coeur d'un quartier commerçant. C'est un riverain qui a donné l'alerte. Les policiers du Raid et de la BRI procèdent à des levées de doute, notamment dans l'église. Le déminage est également sur place.

L'auteur neutralisé

L'auteur présumé a été interpellé rapidement dans l'église par des policiers municipaux et des policiers nationaux. Blessé lors de son interpellation, il a été transféré à l'hôpital. Il n'avait pas de papiers d'identité sur lui au moment de son interpellation. L'auteur présumé des faits s'est "grimé" avant de passer à l'acte, précise Laurent Martin de Frémont, du syndicat Unité SGP Police. Selon le maire de la ville, l'auteur des faits a crié à plusieurs reprises Allahou akbar au moment même de sa prise en charge par les services de secours.

Le parquet antiterroriste s'est saisi, alors que plusieurs sources parlent d'un mode opératoire connu des auteurs d'actes terroristes. Une enquête de flagrance a été ouverte pour "assassinat en relation avec une entreprise terroriste", "tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste criminelle". Les investigations ont été confiées à la direction générale de la sécurité intérieure et à la direction centrale de la police judiciaire. »

……….

J’avais précédemment dit que l’état baisserait son activité anti-extrémisme islamiste dès que le covid reviendrait sur l’avant scène, c’est fait !… Mais le terrorisme sait se rappeler à nous et au gouvernement.

Il serait plus que temps d’arrêter tous les gens qui sèment la haine islamiste en France et qui tuent nos Juifs, nos Catholiques, nos Curés, nos athées, nos musulmans, nos policiers, nos gendarmes, nos professeurs !

Il faut suspendre l’état de droit qui défend d’employer les méthodes drastiques nécessaires pour mettre hors d’état de nuire ces assassins sanguinaires enragés !

Bien évidemment le chef de l’état va se rendre à Nice… pour " soutenir "  et pour verser des larmes de crocodile… Il ferait mieux d’agir !!! Des actes, il faut des actes, sans discontinuer !!!

   

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28 octobre 2020

Mémoires et radotages (310) – Le comité d’éthique de Canal+ épingle les dérapages de Zemmour sur CNews

 

 

GSM

Info du 22 octobre 2020

Les propos d’Éric Zemmour sur CNews sont dénoncés par le comité d’éthique de Canal+, qui souhaite une refonte de l’émission « Face à l’info ».

« Propos susceptibles de tomber sous le coup de la loi », « manquement à l’honnêteté » : l’émission de CNews « Face à l’info », où intervient Éric Zemmour, ne « peut pas continuer à être diffusée dans sa forme actuelle », estime le comité d’éthique du groupe Canal+ dans une délibération consultée jeudi par l’AFP.

Fin septembre, Éric Zemmour, pilier de CNews, avait affirmé dans « Face à l’info » que « tous » les mineurs migrants sont « voleurs », « assassins » et « violeurs ». Il avait, selon le comité, atténué « ses propos en fin d’émission à la suite de la réaction de la présentatrice » Christine Kelly, dont l’attitude est jugée « irréprochable ». Mais sans « manifester de regret ». Le comité, qui avait été saisi dans la foulée par la direction du groupe Canal+, a dénoncé un « manquement à l’honnêteté » et « l’outrance » des déclarations du polémiste, qui « contreviennent à la charte déontologique du groupe », selon la délibération révélée par le Parisien.

Canal + entend garder Zemmour !

Pour le comité d’éthique, notamment composé de magistrats, c’est « la conception même de cette émission » d’actualité, diffusée « quotidiennement à une heure de grande écoute », qui « doit être revue ». D’une part, pour l’ouvrir « davantage à la diversité des opinions » et à la contradiction, « ce que ne permet pas son organisation actuelle autour d’un éditorialiste vedette ». D’autre part, pour garantir qu’y seront « bannis les propos susceptibles de tomber sous le coup de la loi » ou « attentatoires au respect des personnes », ainsi que « les prises de position provocatrices ou délibérément contraires à la vérité ». Contactée par l’AFP, la direction du groupe Canal+, qui entend garder Éric Zemmour, a indiqué être dans « la réflexion quant à l’évolution du format », selon elle « pas remis en cause en tant que tel ».

« On ne veut plus de dérapages à l’antenne », a expliqué à l’AFP Laurent d’Auria, du syndicat autonome +Libres, première organisation syndicale du groupe Canal+ qui, comme la société des rédacteurs de CNews, avait condamné les propos du polémiste. « Ce qui pose problème, ce ne sont pas les opinions, c’est de tenir des propos qui sont contraires au droit », a-t-il ajouté, en saluant la délibération du comité et appelant au « pluralisme ».

Ciotti défend Zemmour

« On croit rêver », a pour sa part réagi le député LR Éric Ciotti, sur Twitter. « Les islamistes décapitent un professeur devant nos collèges, mais le danger c’est #Zemmour qui dénonce avec courage et lucidité le mal et ceux qui veulent nous détruire ! On est chez les fous », a-t-il écrit.

Il y a un an presque jour pour jour, le comité d’éthique avait recommandé à CNews de pré-enregistrer l’émission pour la diffuser avec un différé même léger, afin d’empêcher les dérapages en direct. Une mesure retenue par la chaîne, mais qui se révèle inefficace, la direction de CNews n’ayant pas supprimé les propos d’Éric Zemmour sur les mineurs isolés, souligne le comité. Plusieurs plaintes ont en outre été déposées contre le polémiste. Le parquet de Paris a décidé le 1er octobre d’ouvrir une enquête à son encontre, notamment pour « provocation à la haine raciale ».

………..

Note de zalandeau du 27 octobre 2010 :

Pour ma part, bien que je sois sur la même longueur d’onde que Zémmour, j’ai aussi hélas, très bien entendu le fameux propos : « tous » les mineurs migrants sont « voleurs », « assassins » et « violeurs ». Et je déplore cet excès qui me choque ! Tous les mineurs migrants ne sont pas forcément à qualifier de la sorte ! Certes il a rectifié à la fin sur l’intervention de Christine Kelly, mais c’est cela qui me désole chez lui : Cette propension à exagérer. Pourquoi n’a-t-il pas dit du premier coup, que « nombre de mineurs migrants deviennent… etc… ». Pourquoi ?

Il est dans l’outrance, même s’il a raison sur son diagnostic.

Zemmour est un personnage qui est dans une logique d’essentialisation des humains. Je pense pour ma part qu’il a partiellement tort ! L’humain est non seulement le résultat de ses gènes, mais aussi de son environnement, de son éducation, des circonstances, de l’influence des autres, de sa santé mentale, de son libre arbitre, de son caractère, de son niveau d'intelligence, etc… Et c’est pourquoi, ces migrants, mineurs ou majeurs, sont ce qu’ils sont ! Nous ne devons pas nous en satisfaire, certes, mais il faut être lucide et non dans l'exagération.

Et tant que ce flot migratoire ne sera pas suspendu, nous ne parviendrons pas à faire changer le logiciel de ces migrants parce que l’intégration, c’est les changer d’environnement et d’influence… Ce que la France n’est plus capable de faire… Ils sont trop nombreux ; et ça, ce n'est pas une exagération !!!

   

27 octobre 2020

Nous sommes complices du système

 

GSM

Écrit par zalandeau, probablement en octobre 2013
 
Nous avons souvent l'idée que la perversité de certains et la négligence d'autres ont à elles seules façonné la société, que nous ne parvenons plus à comprendre et dont nous n'admettons pas les dérives.
 
Cela est vrai, mais en partie seulement. Car nous nous excluons forcément de ce schéma ! La perversité, l'incurie, ce sont les autres ! Nous, nous sommes de petits saints, ou au pire des victimes. Tout le monde pensant ainsi, nous serions donc tous innocents...
 
En réalité, au-delà des perversités et du laxisme que les responsables du système entretiennent par pure convenance, nous sommes tous concernés par la dérive de la société. Quel petit chef n'écartera pas la candidature d'un chômeur au seul prétexte qu'il est chômeur ? Combien de petites lâchetés commettons-nous quotidiennement tout simplement par confort et égoïsme ? Combien de discriminations notre vanité nous fait-elle accomplir ?
 
La société s'est construite par nos qualités et surtout par nos défauts, grands ou petits. Notre faim de posséder nous écarte de l'égalité et de la fraternité. Notre fierté d'être ce que nous sommes par rapport à l'autre entrave la liberté de l'autre. Nous savons être aveugles et sourds sélectivement, afin de soulager notre conscience. Nous savons mettre des étiquettes afin de garder le monde uniquement pour nous.
 
Certes, nous avons besoin de nous protéger, mais cela n'exclut pas le fait de rester attentif à l'autre objectivement, afin de moins porter de jugements définitifs et erronés. Nous reprochons à l'institution judiciaire ses décisions injustes. Mais nous, combien de jugements injustes portons-nous tous les jours ?
 
Il sera difficile de revenir vers un destin collectif, dans le climat d'égoïsme qui règne actuellement. Cela va bien dans le sens de la perversité de nos élites pensantes, dont nous favorisons l'accomplissement des projets...
    
26 octobre 2020

Indifférence

GSM

Écrit le 26 septembre 2014
 
L'indifférence est un concept vaste qui recouvre des intentions très variées.
 
Il y a la vraie indifférence, celle de ceux très nombreux qui se fichent pas mal de certaines choses ou même de tout ce qui peut se passer autour d'eux. Ce sont des gens non-motivés, bien sur, mais qui comprend un sous groupe d'égoïstes, dont l'intérêt est tellement égocentrique, qu'il en exclut toute compassion ou toute empathie pour tout ce qui n'est pas soi. Pour ces derniers, l'autre n'est rien, sauf s'il rentre dans le jeu de leurs intérêts propres.
 
Il y a l'indifférence apparente, simple maîtrise de soi, voire même forme de pudeur ; on ne va pas aller tout casser dans la rue ou brailler par simple solidarité avec celui qui s'est fait décapiter en Algérie, au motif qu'il faut montrer une indignation alors qu'il n'y a pas de manif à portée de main permettant ce genre de défoulement. Mais cela n’empêche pas d'en parler, d'y penser et d'éprouver des sentiments vifs.
 
Il y a l'indifférence feinte, qui est de la peur déguisée, sorte de masque, sorte de surdité, de cécité bien commode pour ceux qui n'interviennent pas quand ils pourraient éviter un harcèlement, un viol, sauver quelqu'un.
 
Il y a enfin l'indifférence issue de la volonté d'adhésion à la pensée unique, voire au politiquement correct. Et cette indifférence là, englobe toutes les trois formes précédentes : égoïsme et intérêt, peur de se démarquer et la maitrise de soi qui en découle. Ce sont les gens qui veulent faire carrière sans vague, sans déplaire, en préservant l'entièreté de leur avenir. J’appellerai cela : L'indifférence courtisane... (Les lèche-culs, quoi !)...
 
Beaucoup d'entre nous se reconnaitront...
   
25 octobre 2020

Mon coeur te dit je t'aime - Frédéric François

GSM

1984

 

La maison a l'air plus grande,
Surtout la chambre,
Il ne reste rien de toi que ton parfum,
Je découvre en ton absence,
Un vide immense
En voyant s'ouvrir les roses du jardin,
Je vis près du téléphone,
Mais quand il sonne,
C'est jamais le coup de fil que j'espérais,
Tu m'oublies et moi je chante,
Mais si je chante,
C'est seulement pour me retenir de pleurer.

Mon cœur te dit je t'aime,
Il ne sait dire que ça,
Je ne veux pas te perdre,

J'ai trop besoin de toi,
Mon cœur te dit je t'aime,
Il est perdu sans toi,
Mon cœur te crie je t'aime,
A chaque fois qu'il bat.

C'est surtout lorsque je rentre,
Que tu me manques,
Il faut dire que chaque soir, tu m'attendais,
Et malgré ma solitude,
Par habitude,
Hier encore je t'ai fais chauffer du café,
Je dois perdre un peu la tête,
Dans ma défaite,
Je t'invente et je ne sais plus où j'en suis,
A nouveau tes yeux m'éclairent,
J'ai ta lumière en couleur sur des photos,
Tu me souris.



Mon cœur te dit je t'aime,
Il ne sait dire que ça,
Je ne veux pas te perdre,
J'ai trop besoin de toi,
Mon cœur te dit je t'aime,
Il est perdu sans toi,
Mon cœur te crie je t'aime,
A chaque fois qu'il bat.
Mon cœur te dit je t'aime,
Il ne sait dire que ça,
Je ne veux pas te perdre,
J'ai trop besoin de toi,
Mon cœur te dit je t'aime,
Il est perdu sans toi,
Mon cœur te crie je t'aime,
A chaque fois qu'il bat.
Mon cœur te dit je t'aime,


La la la la ,la la,
La la la la la la, la
La la la la, la la
Mon cœur te dit je t'aime...

 Auteurs compositeurs : Santo Barracato - Frédéric François / M. Jourdan

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24 octobre 2020

PAS EN MON NOM !

GSM

Écrit en septembre 2014 
 
Au milieu des années 60, en France métropolitaine, nous avions de plus en plus d’immigrés Maghrébins, qui venaient faire le travail que nous avions en trop et comme par hasard le travail le plus pénible ou le moins valorisant. En général ils étaient manœuvres sur les chantiers. Quand parfois leurs épouses uniques étaient là, elles étaient habillées un peu comme les femmes corses, en noir, mais sans aucun signe ostentatoire, les cheveux au vent, comme tout le monde. Quand elles portaient un fichu, c’était à la manière des Vamps, c’était aussi comme le portait ma mère pour se protéger des coups de froid de l’hiver.
Les hommes étaient toujours habillés en costumes d’occasion, souvent défraichis, usés qui traduisaient leur envie de s’intégrer, même si leurs conditions de vie étaient très modestes.
 
Mon père avait des copains harkis, considérés comme traitres par leurs compatriotes et que la France a si peu considérés malgré les immenses services qu’ils lui avaient rendu. Ils aimaient la France, ils se considéraient comme Français d’un département d’outre-mer, ni plus ni moins. La génération de mon père et eux avaient souvent fait ensemble la guerre contre l’Allemagne, un sentiment d’estime mutuel les rapprochait.
 
Je faisais mes humanités sur les bancs de l’éducation nationale et pétri de Rousseau, Voltaire, Balzac, Zola, je considérais les Maghrébins comme des êtres humains semblables à moi. J’étais révolté lorsque des rapatriés tendance OAS brûlaient les bidonvilles autour de Nice.
 
Au milieu des années 60 il y avait une émission sur France Inter, le soir. La voix métallique du narrateur nous comptait des récits de voyages dans cette Afrique mystérieuse qui nous faisait rêver. Il rapportait les descriptions d’explorateurs, d’anthropologues, de missionnaires et aussi de romanciers indigènes. Tous décrivaient l’islam comme une culture de paix, d’accueil, d’hospitalité et de tolérance.
 
J’admirais également des moines du clergé catholique régulier et certains prêtres du clergé séculier, comme l’Abbé Pierre ou l’abbé Ferret de ma paroisse, qui disaient les mêmes choses, proclamaient les mêmes valeurs que l’Islam, sur la charité, sur la fraternité, sur la paix et l’amour de son prochain.
 
A tel point que je me demandais pourquoi il y avait deux religions, là où il y aurait pu n’y en avoir qu’une seule…
………..
Bien des années ont passé depuis. Les flux migratoires non maitrisés ont multiplié les provenances musulmanes des immigrés, venus pour ne pas faire le travail que nous n'avions plus et qui faute d’intégration, formèrent un communautarisme confessionnel, lequel par définition ne s'intègre pas, parce qu'aucune condition n'est réunie pour ce faire...
L’islam a vu naitre des renégats en son sein, qui prêchent la haine, le génocide, la cruauté, l’intolérance impitoyable, la suppression des libertés… Des gens qui se sont emparés d’une religion comme alibi à leurs mobiles personnels de pouvoir et de conquête…
 
Les musulmans se réclamant de l’islam ne disaient rien. Peut-être n’en pensaient-ils pas moins en leur fort intérieur ? Nous, indigènes de France, de culture judéo-chrétienne et gréco-latine commencions à nous poser des questions sur la globalité du monde musulman, devant tant d’indifférence apparente, tant de silence…
……….
Et puis, il y a eu en septembre 2014 « PAS EN MON NOM », une levée en masse, une indignation immense qui déchirait le voile de son indifférence apparente, un cri de tout un peuple, musulmans de France, contre les exactions de l’état islamique, contre l’intolérance, contre la barbarie. Ce mouvement exprimait haut et fort, par de nombreux écrits dans les journaux, son envie de coexister pacifiquement dans cette nation multiconfessionnelle et surtout LAÏQUE… Ecrit par un collectif dans le Figaro :
« Nous, Français de France et de confession musulmane, tenons à exprimer avec force notre totale solidarité avec toutes les victimes de cette horde de barbares, soldats perdus d’un prétendu Etat islamique, et dénonçons avec la dernière énergie toutes les exactions commises au nom d’une idéologie meurtrière qui se cache derrière la religion islamique en confisquant son vocabulaire. »
 
Mais ce mouvement sera-t-il le plus fort et saura-t-il enrayer l'intégrisme qui continue à progresser inexorablement ?
 
Si Dieu le veut, Inch Allah… Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
..........
Ecrit en 2015 :
 
Hélas ! l'année d'après, en 2015, un rassemblement à dominante islamo-gauchiste avec pour nom "PAS EN NOTRE NOM", (un seul mot de différence), vient supplanter le précédent mouvement par un appel à l'immigration incontrôlée sans frontière, une victimisation des immigrés (même de ceux de longue date), affichant une communautarisation débridée qui ne dénonce plus la barbarie islamiste extrémiste, n'ayant plus rien à voir avec les "Français de France de confession musulmane", effaçant ainsi toute tentative d'intégration... Et pourtant, ce mouvement (Pas en notre nom), avait débuté en 2002, par une opposition à la guerre en Irak... Mais en 13 ans, il avait dégénéré en important en France les problématiques politiques des pays en guerre au moyen orient... Et cela, malgré le fait que nous ayons refusé de participer à la guerre en Irak... La France n'a pas fait la guerre en Irak, mais elle se retrouve en 2015 avec l'importation de cette guerre sur son territoire... L'islamogauchisme commence alors à prospérer...
  
23 octobre 2020

Mémoires et radotages (309) – Terrorisme : Un clou chasse l’autre : Covid, maintenant

 

 

GSM

Écrit le 22 octobre 2020

Ouf ! Le gouvernement qui n'aimait pas faire cela, va pouvoir arrêter d’arrêter des salafistes extrémistes ; le covid aura sauvé ces derniers de l’inculpation !!!

Maintenant que l’attention des Français est distraite par le couvre-feu, les mises en garde à vue, les fermetures d’associations et de mosquées extrémistes vont à coup sûr cesser vite fait bien fait !

Et pourtant… Réfléchissons…

Notre civilisation Judéo-Chrétienne s’est bâtie sur l’existence du bien et du mal… La révolution nous a délivrés de la religion mais s’est grandement inspirée de ces notions du bien et du mal pour fonder les principes de notre constitution et de notre droit pénal…

Certes on ne parle plus de Dieu et de diable… Mais entre nous… Il y a bien dans notre subconscient cette dualité qui nous emplit lorsque nous pensons au bien et au mal…

Alors, je pose la question : Comment peut-on admettre une secte islamiste radicale qui est complètement tournée vers le mal ? Comment peut-on tolérer ces éléments sataniques, même si le mot trop teinté de christianisme peut choquer les bobos progressistes pour lesquels tout se vaut ? Tuer les gens pour tenter de les asservir est-il la même chose que respecter la vie d’autrui ? Imposer des mœurs barbares est-il la même chose que respecter le mode de vie de chacun ? Ces terroristes ont-ils une notion du bien et du mal ? Le  mal serait-il dévoyé en bien, dans les enseignements de leur endoctrinement ?

Et pourtant, nos gouvernants ne font rien, alors qu’il faudrait non seulement rendre coup pour coup, mais extirper ce « mal » à la racine, afin que nous puissions vivre en paix… En tous cas, si tuer n’est pas une bonne action, nous avons le droit à la légitime défense, contre ceux qui veulent nous tuer ou bien nous asservir ! Tant que l'état ne considérera pas que nous sommes en état de siège, la situation empirera !

Merci covid, grâce à toi, nos dirigeants vont échapper une nouvelle fois à leurs obligations régaliennes… Conférence de presse du 22 octobre : Castex et les ministres sont occupés par le sanitaire. La vraie guerre, ils la rangent dans le placard à balais.

Sera-t-on obligés de faire le boulot à leur place ? Ils devraient savoir que si le peuple se mêle de cela, plein d’innocents vont périr, alors que nous, ce que nous souhaitons, c’est seulement d’être débarrassés des malfaisants… J’allais dire des sataniques !

  

   

22 octobre 2020

Génocide

GSM



" Pour que le mal triomphe, seule suffit l'inaction des hommes de bien. "
EDMUND BURKE
 
 
Ecrit le 21 octobre 2020
Nous n'en sommes pas encore au génocide, mais au terrorisme. Il est intéressant de remarquer que la phrase de Edmund Burke, se vérifie aussi dans ce cas... Mais notre caste dirigeante est-elle envisageable sous l'appellation " hommes de bien " ? Ce n'est pas certain...
En tous cas, le mal triomphe de plus en plus, par l'inaction de nos responsables. Nous les tiendrons pour entièrement responsables des assassinats commis contre le peuple de France par une secte islamiste radicale que personne ne veut neutraliser...
21 octobre 2020

Silence, gêne, lâcheté, asservissement

GSM

Écrit le 16 décembre 2014

Il y a tant de choses que l’on ne dit pas, dont on ne parle pas.
Il y a les maladies, par exemple. Certaines sont des sujets tabous, comme si on devait avoir honte de les avoir contracté. Alors on n’en parle pas. Et si on le faisait, on écarterait de soi tous ceux que cela gênerait. Quasiment personne n’échappe à la règle. Le silence est la réponse à un grand désarroi, à une peur de laisser paraître que l’on a compris, une appréhension de se sentit obligé à quelque chose, une crainte d’avoir à dire ou faire ce qu’on ne sait pas dire ni faire. Alors on fait semblant de n’avoir rien entendu…
Il y a les gens qu’on ne fréquente plus. Pas parce qu’on ne veut plus les fréquenter, mais parce que cela déplairait à quelqu’un d’autre que l’on fréquente. Alors on sacrifie l’un des deux. On garde en général le chef de meute : Le plus flatteur, le plus menteur, mais aussi le plus courtisé, celui que l’on a le plus intérêt à fréquenter.
J’ai essayé d’aller à rebrousse poil de cette pratique en fréquentant des gens qui ne pouvaient pas se saquer… C’était génial. Je pensais pouvoir maintenir un dialogue constructif et amical en faisant attention de ne parler à ces gens que sur les points où j’étais en accord avec eux et de me taire sur les points de divergence…
Peine perdue ! Cela durait un moment, mais quand ces gens se rendaient compte que je fréquentais leur ennemi mortel, je perdais aussitôt leur écoute et leur contact.
A vouloir ne pas choisir un camp, on se retrouve seul. Je sais, je n’aurais pas fait un bon diplomate.
Dans la vie, il ne faut pas seulement parler avec les gens de ce sur quoi on est d’accord, mais encore faut-il ne parler qu’à ceux qui sont d’accord entre eux… Cela limite beaucoup la discussion, car dans un groupe ainsi structuré, une sorte de pensée unique s’installe et la discussion perd la spontanéité qui fait la raison d’être de la communication humaine.
Choisir son camp, encore et toujours, cela ne convient pas forcément à tout le monde et finalement on s’aperçoit de la vraie nature des gens qui se plient à ce rapport de force par lâcheté.
Les humains ont la fâcheuse tendance au clanisme, au regroupement derrière des meneurs. Je crois que ce ‘panurgisme’ est inhérent à la condition humaine. Il faut être bien sot pour avoir un quelconque espoir en l’humanité, davantage prête à l’asservissement qu’à la liberté…
20 octobre 2020

Charlie, Liberté, tolérance, laïcité, citoyenneté, civilité, respect

GSM

 
Écrit (par zalandeau bien évidemment) le 19 janvier 2015
 
Ce titre ? Parce que je considère que tous ces termes sont intimement liés et que l’on ne peut surestimer aucun d’entre eux au risque de sous-estimer les autres notions sus-citées…
 
Charlie hebdo a-t-il le droit de s’exprimer de cette manière sur le prophète de la religion musulmane ? Et pourquoi pas, puisqu’il fait pareil sur Jésus, ou Moïse ?
Le problème est en vérité que l’on ne peut rire de tout avec tout le monde. Chacun le sait.
Et ceci est valable même en politique. Allez faire une vanne sur les communistes à l’UMP, vous serez accueilli par un délire de rigolade. Allez faire la même, rue du Colonel Fabien… Vous avez intérêt à courir vite… Dans tous les domaines c’est ainsi !
 
Vous avez la liberté, mais la tolérance est à sens unique. C’est pourquoi la liberté n’est pas infinie, car elle s’arrête où commence la liberté de l’autre… Dire du mal des croyances de quelqu’un (n’importe quelle croyance : la rotation de la terre, la théorie des cordes, l’origine de la dégradation climatique), devant lui, en se moquant de lui, c’est d’une certaine manière lui manquer de respect.
 
Il faut rigoler des autres seulement avec ceux qui pensent comme vous. C’est ce que fait Charlie hebdo, en fait. Ce canard satirique tire à 60.000 exemplaires ! En quoi un milliard de Musulmans qui n’achètent pas Charlie peuvent-il s’affecter de ce que les autres lisent et évidemment pensent ? Alors on n’aurait pas non plus le droit de penser ?
On en revient à la presse. La médiatisation (que ce soit les placards devant les kiosques à journaux, les exploitations télévisuelles, etc…) rend publique ces satires qui choquent un certain public… Personne n'oblige les extrémistes à acheter Charlie Hebdo ou toute autre publication !!! S'ils n'ont pas le droit de représenter leur prophète, ils n'ont pas le droit de nous en empêcher, d'autant que le déli de blasphème n'existe pas en France !
 
On a rendu beaucoup d’hommage à la presse, ces derniers jours. On ne se souvient plus des scandales créés par les médias dont les rédacteurs montent en épingle des petites phrases sorties de leur contexte. Faut-il informer ? Certes ! Faut-il à tous prix choquer ? Je ne pense pas. Où s’arrête l’information et où commence la provocation ?
L’information doit être courageuse, mais aussi honnête, impartiale. Ce qu’elle n’est pas toujours. Pour autant doit-on lui imposer l’autocensure ? Elle la pratique déjà bien trop souvent, lorsqu’elle ne laisse l’accès qu’à une pensée « politiquement correcte », en gommant certaines informations… Cette désinformation a participé à l’état délabré de la citoyenneté que nous constatons à ce jour.
Les attentats ont délié un peu les langues, mais si peu desserré la langue de bois et nullement écorné le sensationnalisme.
 
Revenant sur l’intolérance extrême qui se manifeste dans le monde musulman extrémiste, au détriment de chacun des Français, tout simplement par la publication de petits dessins drôles et impertinents mais plus spirituels que méchants, on perçoit que l’intolérance, l’obscurantisme et la bêtise sont les plus répandus dans le monde, y compris en France. Il existe bien un monde d’avant le siècle des lumières qui subsiste à nos portes et même chez nous, un monde de l’endoctrinement, du non-savoir, du non-penser et de la tyrannie… N’est-il pas possible de se poser des questions sur la pertinence de certaines remises en causes ? N’est-il pas possible de dialoguer pour exprimer son désaccord, au lieu d’imposer par la violence un point de vue, qui n’a aucun fondement rationnel ?... Votre liberté de pratiquer votre religion s’arrête aux règles du vivre ensemble dans la république Française. Vous pensez avoir des droits, vous oubliez que vous avez des devoirs. Il serait bon que l’état vous le rappelle en vous l'enseignant, dès l'école primaire. Vous avez le droit d’expression, vous n’avez pas le devoir de provocation ni d’agression.
 
Nos dirigeants au cours des décennies ont su laisser faire les mouvements migratoires, au nom de valeurs purement éthérées et théoriques, mais pratiquement, ils n’ont rien fait pour imposer la laïcité afin que tous les impétrants deviennent citoyens et respectueux des règles de notre démocratie.
Que ceux qui veulent garder un mode de vie non-compatible avec la France, partent dans les pays où ils pourront s’adonner à leurs désirs de ténèbres. Les autres, qu’ils restent, puisque nous sommes si bien ensemble…
  
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