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zalandeau
radioscopie
23 mars 2023

Un message qui m'a ému en début d'année 2023. Merci à toi, Major !

 

GSM

Bonjour à tous, le major est en retard et bon dernier !

A peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir.

A peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi. ... et le mois est déjà fini... et l'année est presque écoulée

... et déjà 50 ans après l’eschoule

... et on se rend compte qu’on a perdu nos parents, des amis.
et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière ...

Alors... Essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qui nous reste...

N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent...

Mettons de la couleur dans notre grisaille ...

Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.
Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste en pensant à nos futures retrouvailles.

 

Bonne année à tous et surtout bonne santé.

A Bientôt

H et G

 

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6 mars 2023

Pourquoi m’occuper des autres ?

GSM

Écrit le 29 janvier 2009

Il serait tellement plus simple de ne penser qu’à ma gueule…

Après tout, mon seul problème dans le passé, c’était ma retraite hypothétique et son montant improbable…
La santé ? Qu’est-ce que j’en ai à foutre ? Plus vite crevé, plus vite débarrassé de voir tous ces cons et de constater lentement ma déchéance…
Le statut des fonctionnaires ? J’ai toujours été dans le privé, même mes missions risquées ne m’ont conféré aucun avantage. Qu’est-ce que j’en ai à foutre du statut des fonctionnaires ?

Donc, pourquoi prends-je fait et cause contre des présidents et leurs politiques de merde ?
Je ne devrais m’occuper que de mes petits intérêts mesquins comme fait tout le monde…

D’autant que le troupeau bêlant, bêle et continue son chemin sous les aboiements du roquet au pouvoir, puis sous les propos naïfs et lénifiants de son successeur…

Non, j’ai la bêtise, je dirais même l’énorme connerie, de penser que nos enfants, dont les miens, doivent avoir un avenir collectif dans la ligne de l’évolution et du progrès social que leurs ancêtres ont initiés…
J’ai même l’outrecuidance de ne pas me résigner à ces propos martelés et faux, que les gens font leurs, sans chercher à comprendre, du genre « Il faut revenir en arrière, c’est inévitable ».
Slogans non démontrés parce qu’indémontrables et surtout parce qu’ils sont faux !
Je me suis opposé au « Le marché régulera tout »… Les événements ainsi que les revirements des spécialistes m’ont donné raison… Mais il a fallu une crise (que j’avais prévue), pour que j’aie raison… Oh oui, j’aurais bien aimé avoir tort ! Mais hélas…

Pour la rétrogradation de notre modèle social, je persiste à dire que c’est une absurdité et un crime de la part :
- De ce fou furieux, dont je continue de dire (comme les Américains pour Bush) : Sarko est la plus grande catastrophe qu’il nous soit arrivé (depuis Napoléon) !
- De cet ahuri qui ne comprends rien à l'économie et tourne sa veste vers un libéralisme tyrannique (Hollande) !

Les moyens, nous les avons, pour maintenir notre système de vie collective et solidaire. Nous avons même les moyens de sortir les miséreux de la situation indigne qui leur est faite.

Il faut simplement, re-planifier les dépenses et l’attribution des moyens…
L’activité, ne se crée pas en supprimant des postes ni des services dont nous avons pourtant une nécessité absolue, mais en favorisant des grands travaux, en réindustrialisant notre pays, en protégeant nos travailleurs des importations low-cost.

Sarko et Flamby auraient du s’informer sur la manière dont Roosevelt à sorti l’Amérique de la crise en 100 jours…

Mais Roosevelt était un grand démocrate… Sarko et Hollande, ne sont  que des petits libéraux-capitalistes, vendus au mondialisme…
       
28 février 2023

Mémoires et radotages (455) – Il faut savoir dire « Je t’aime »

 

 

GSM

… quand il est encore temps.

Écrit le 28 février 2023

Dans le temps, on envoyait nos vœux, nos nouvelles et notre amour à notre famille par lettres… Ainsi les PTT étaient les relais de nos échanges de bons sentiments. C’est plus difficile maintenant, à l’heure d’internet, à cause de l’immédiateté des échanges qui exacerbe notre pudeur et nous empêche de nous dévoiler… Combien mes parents nous ont envoyés de lettres et de cartes d’anniversaires ???… Auxquelles je répondais par un simple coup de fil… J’étais jeune, je n’avais pas encore compris…

Mais maintenant, lorsque je vois se dessiner le futur, si tant est que la fin prochaine soit un futur… je me dis qu’il n’est que temps de franchir les murs de cette pudeur imbécile, pour dire qu’on les aime à ceux que l’on aime… Parce qu’après, ce sera trop tard…

Alors, il faut dire notre amour… mais aussi, il ne faut pas trop dire ce que nos enfants n’ont pas envie d’entendre, parce que nous n’avons pas envie de les inquiéter alors même que leurs préoccupations professionnelles sont suffisamment stressantes comme ça…

Alors, je viens d’envoyer un courriel à mon bon Kikson, en gommant ce que je voulais lui dire sur moi, sur ce que je deviens à vitesse « Grand V »…

Objet : Je t'aime très fort

De : zalandeau

A : Kikson

Mon Kikson,

 

Tu sais que je pense très fort à toi et aussi à ces deux Noëls de rêve que nous avons passé tous ensemble...

 

J'ai perdu mon temps à tenter, en vain, de faire marcher mon GPS au moment où on devait partir... au lieu d'être avec tout le monde sur le trottoir autour de la voiture pour me mêler à vos discussions... (Discussions que je n'entends pas forcément, vu ma surdité... Mais ça va s'arranger en avril : j'ai rendez-vous chez l'ORL pour avoir une prescription pour des appareils auditifs)... J'aimerais qu'on puisse venir te voir prochainement, tant que je vois encore assez clair...

 

J'espère que vous resterez tous trois unis et que vous vous entraiderez plus tard, si besoin est...

 

J'espère que ça marche dans ton travail et je souhaite que tu gravisses les échelons par ton mérite et ton savoir-faire...

 

Je suis très fier de vous trois.

 

Je pense à toi (et à tes frères), très souvent...

Je t'aime mon bon fils

 

Et je t'embrasse très fort

 

Papa

 

Et que vole, vole, ce messager cybernétique, pour porter mon amour paternel à mon fils aîné...

        

 

14 février 2023

Mémoires et radotages (454) – Le " roi de l'emballage "

GSM

 Ecrit le 14 février 2023

 

Pour la Saint trucmachin... J'ai eu droit à ce compliment cette critique moqueuse... concernant l'emballage... Ma foi, je m'y attendais et je m'étais fait la même réflexion... Comme quoi, c'est davantage l'emballage qui compte plutôt que ce qu'il y a dedans...

       

8 février 2023

A penser en homme libre

GSM

Écrit le 3 mars 2014
 
A penser en homme libre, on est point écouté.
A dire des mots à soi, hors la pensée unique, on est ignoré. A aborder des sujets hors consensus, on est dans le désert au milieu de la foule. Si j'aime la meringue en 1er et le caramel en second, alors, là c'est intéressant, c'est primordial, c'est l'essentiel de la vie.
Et bien mes fils, continuez à être comme votre père. Continuez de nager contre les vagues. Je vous ai conté mon histoire. Elle est celle de quelques uns qui ont su dire non. De ceux qui ont traversé la foule à contresens. De ceux qui ont dit : "Non, à part en droit, un homme n'en a jamais valu un autre". Galilée ne peut être égal au grand inquisiteur. Guy Môquet n'est pas équivalent au chef de la gestapo. M'opposer à l'injustice m'a coûté très cher.
- Démontrer que j'avais seul la solution d'un problème, que le professeur et tous les autres élèves étaient dans l'erreur, est très dur.
Tous ont de la hargne contre vous. Mais quand vous apportez une démonstration imparable parce que mathématique, vous êtes porté au nues, jalousé. La victoire a souvent été amère, car la satisfaction n'est jamais à la mesure de l'épreuve psychologique qu'on a traversée.
Et là, vous vous rendez compte de la nature grégaire de beaucoup d'humains.
- Quand la question ne relève pas d'une démonstration avec des preuves, mais relève de l'affectif, donc du subjectif, vous n'aurez aucun moyen de faire valoir vos thèses. La bataille se livre contre des moulins à vents.
J'ai eu dans le passé, à soutenir un ami, parce que je le savais innocent de ce qu'on l'accusait. Ca m'a coûté ma place, on m'avait prévenu ! Quand j'y repense, je sais que je le referais encore s'il le fallait.
Ça coûte très cher, mais quand je me regarde dans une glace, je n'ai pas à baisser les yeux : l'homme qui me fait face est digne de mon estime.
 
Mais quand une autorité morale connue vous apporte sa caution, là encore, la foule en délire ou en haine, ne vous apporte que peu de réconfort.
C'est à ce moment que vous comptez vos très rares amis.
L'amitié, comme le respect, ça se mérite.
 
Faites vous-même vos expériences mes enfants, cela vous endurcira, mais vous montrera combien la plupart du temps on est seul, au milieu de la foule...
 
Peu de gens ont compris la parabole de Don Quichotte de la Manche. Ils n'y voient que le coté ridicule et farce de cette œuvre.
Pour ma part, elle rouvre des blessures anciennes.
 
Avoir raison et parfois triompher est souvent infiniment beaucoup plus difficile à vivre que de se laisser perdre...
        
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16 janvier 2023

Mémoires et radotages (452) – Déglingué

 

 

GSM

Écrit le 16 janvier 2023

On ne raconte pas… Non ! Il n’y a rien à raconter. Rien d’intéressant. Ce sont des jours, des moments, des impressions, des sentiments, peut-être des prémonitions… Va savoir ?

Enfin, ils me refont des bisous… Cela a été dur de les obtenir, ces bisous après ce covid de merde et ces gestes barrière, qui nous ont éloignés… Mais maintenant double bisous… On dirait même que c’est comme une précaution à l’égard de celui qui va partir… Sale gueule dans le miroir… Probablement évoque-t-on les prémices du grand départ… Chacun son tour de lire sur les visages et les corps…

Les dégradations vont bon train… les jours s’emballent, les semaines et les années fuient à des cadences inédites… Seuls les hivers sont longs et porteurs d’interrogation et d’appréhension : Et si on ne passait pas l’hiver ?

La seule chose qui retient, c’est d’être aimé… Est-on aimé ? C’est l’une des deux grandes questions qui se posent… être aimé, c’est donner l’envie de jouer les prolongations, si toutefois la grande faucheuse tourne le dos un petit moment supplémentaire…

L’autre grande question, c’est : Comment ceux que j’aime vont-ils s’en sortir ? Auront-ils le gîte protecteur, auront-ils la nourriture ? Auront-ils le droit de vivre tout simplement ?

Sauront-ils survivre malgré les tentatives forcenées des élites pour les éliminer ? Comment dès lors, lorsque la fin pointe son museau de fouine, pouvoir être heureux alors que l’on ne sait ce qu’il adviendra de ceux qu’on aime ? Comment partir l’âme sereine, quand on porte un tel sentiment de culpabilité ?

Comment être courageux quand on est résigné ?

Comment vivre quand on a déjà un pied de l’autre côté ?

       

 

3 janvier 2023

Mémoires et radotages (255) – Bonne ânée, bonne sautée


GSM

Écrit le 30 décembre 2019
 
Il parait qu’il faut faire des souhaits… Alors je veux bien… Mais il faut dire qu’avant… Avant mon déraillement 'cerveautal'… comment on dit, déjà ?… du cerveau… J’avais de l’imagination, c’est à dire de la créativité… Maintenant ce n’est plus le cas… Je ne parviens plus à créer des images ni graphiquement ni par les mots que j’écris… N’ayant plus de ces idées flamboyantes, je suis très limité dans ces vœux que je souhaiterais très beaux et très chaleureux…
Où j’inviterais toute l’humanité à vivre en paix, le ventre plein et heureuse…
Où je souhaiterais les vœux les plus incroyables pour mes amis et surtout pour mes petits et mon frérot, qui sont tout ce qui me reste après le départ du reste de ma famille…
 
Alors que dirais-je de plus à tous ceux que je porte en haute considération, que ce que je vais dire à mes chers petits ? Rien de plus que :
 
Très bonne année 2023 et très bonne santé et l’accomplissement de tous vos vœux pour la nouvelle année pour les braves gens !
 
(Et en plus ça pourra resservir pour les autres futures années, s’il y en a)…

Et pour les malfaisants qui nous pourrissent la vie : Allez brûler en enfer !
        
2 janvier 2023

Bonne Année 2006 voire 2023

GSM

Écrit le 30 décembre 2014

Et bien oui, 2006, c’est la dernière année vraiment bonne, en pleine santé, aucun souci familial, que du bon. Alors oui vraiment bonne année 2006…

Les autres années (2007, 2008… 2013,2014), c’était la merde. Alors je ne les souhaiterai pas…

Ah bon ? On serait censé souhaiter uniquement que la prochaine année soit bonne, ça serait cela la tradition ?...
Admettons.

Alors pour ceux qui sont dans le train, bonnes années à venir…
Pour ceux qui sont dans le fossé… Ça ne serait pas légèrement indécent d’hypocritement leur souhaiter une bonne année, des fois ? C’est histoire de se donner une bonne conscience… Tu vois un SDF et tu lui dis « Bonne Année »… Tu as de la chance qu’il soit engourdi par le froid et l’alcool… Sinon il te ferait la course à l’échalote, histoire que tu ne te foutes pas de sa gueule… Si tu veux lui souhaiter bonne année, commence par lui apporter des victuailles et de bonnes choses !

Soit-disant ça se souhaite à partir du début de l'année ? C'est con ! Si demain à 10 heures, tu souhaites une bonne année à un gonze qui vient de se casser une patte sur le verglas à 7 heures, il va te filer un de ces coups de béquille !

Pour moi, c'est aujourd'hui. Demain, j'ai d'autres choses à faire et à écrire...

Bon, ben, bonne année 2015 à ceux qui de toute façon passeront une bonne année parce que c’est programmé comme ça dans leur destin…

Je ne souhaite pas bonne fête aux enfoirés qui m'ont porté préjudice, qui ont chié dans mes bottes, qui m'ont entortillé, qui m'ont trahi, qui m'ont poignardé ? Des néfles ! Que dalle ! 

Bonne année à mon frère, ma nièce ? Je l'avais toujours fait auparavant, sauf la dernière fois... J'ai fait l'expérience le 1er janvier 2014 d'attendre qu'ils me la souhaite en premier (je suis le plus vieux ils me doivent le respect)... Et bien j'attends encore !... Vive la famille. Alors eux ? Je crois que je ne leur souhaiterais rien encore cette fois...

Sinon... Je souhaite une bonne année à mes enfants, qui sont humainement les plus formidables de la terre. J'espère qu'ils trouveront enfin un travail et que mon cadet sortira de cet état de désespoir et de honte que crée son manque d'avenir.
Sinon... je souhaite une bonne année 2015 à ceux que je connais et que j'apprécie, qui sont de braves mecs et méquesses, les gens de peu, les fidèles, les sincères...

Éventuellement, je souhaite également une bonne année à ceux que je ne connais pas, ils bénéficient d'une présomption de bienveillance à priori...

  
2023 : Bon, ben cette année, ça s'est arrangé... Ils m'ont souhaité bonne année en premier et donc tout est rentré dans l'ordre !!!
         
27 décembre 2022

Mémoires et radotages (450) – Question sans réponse ? Voici ma réponse !

 

 

GSM

Écrit le 26 décembre 2022

Mon petit freuze, tu m’as demandé il y a quelque temps, pourquoi j’écrivais tout cela et à quoi cela servait…

J’avoue que je n’ai pas su te répondre… Mais à la réflexion, il y a sans doute une cause ou des causes qui me poussent à le faire…

Il est probable que certaines mésaventures remontent à la surface et créent un besoin d’exorciser leur souvenir en en parlant… Et dans l’autre sens, j’ai besoin d’évoquer les souvenirs soit merveilleux, soit jubilatoires qui aident à exorciser les mauvais souvenirs, afin de les neutraliser…

Car, même si on a supporté comme on a pu les vacheries de la vie, dont l’origine est toujours humaine… en prenant de l’âge, alors qu’on croyait les avoir évacués, les traumatismes reviennent comme des cicatrices non refermées…

Alors si cela ne sert pas à grand-chose pour les tiers qui lisent ou écoutent, cela sert pour soi-même d’écrire ou bien de dire…

Le problème est plutôt dans l’expression orale que dans celle écrite ! En effet, avec l’âge, la narration verbale devient plus souvent une sorte de radotage (d’où le titre de chaque chronique). Ces propos gênent l’interlocuteur qui est lui, dans le présent immédiat et n’a que faire de ces évocations totalement hors de propos, puisqu’elles n’ont trait à rien de la situation présente… Ceci, sans compter les redondances de la narration verbale qui se crée au fur et à mesure, sans construction, sans correction…

Par contre lorsque les évocations sont écrites, elles sont plus construites, plus réfléchies et n’interfèrent jamais avec les propos d’autrui, puisqu’il n’y a pas de dialogue, d’autant que autrui n’est pas obligé de lire ni de répondre, ni même d’avoir une opinion…

Voilà mon petit freuze ma réponse telle que j’aurais pu te la faire si j’avais été un brillant homme de lettres, un personnage politique, ou un philosophe à l’esprit affûté et rapide dans l’élaboration de sa réponse…

Bisous, mon petit freuze.

       

 

20 décembre 2022

Mémoires et radotages (449) – Amitié, inimitié, le fossé est bien mince

 

 

GSM

Écrit le 20 décembre 2022

Dans l’amitié, il y a le mot amour, disais-je il y a encore peu d’années… Mais "à-mitié", c'est-à-dire à moitié, dirais-je aujourd’hui… Qu’est-ce que l’amitié ? Existe-t-elle vraiment ou bien est-ce un piège ?

Il y a des gens auxquels on se raccroche, par sympathie… Il y a le sourire commercial dans le magasin, mais qui n’existe plus une fois dans la rue… L’amitié est souvent très décevante…

Elle est comme l’amour, qui ne dure pas forcément non plus…

Et un jour, l’ami présomptif disparaît, parfois en prévenant, parfois en ne prévenant pas et là, on ne comprend pas… On se dit que quelqu’un a peut-être médit et inventé quelque "menterie" afin de nuire, par jalousie, ou par méchanceté, à une amitié qui le dérange…

Et cela peut-être tant d’autres raisons diverses et variées… Après tout la tromperie est partout dans ce monde…

Il ne faut pas s’en alarmer, même si c’est dur à digérer… Un de perdu, dix de retrouvés dit la sagesse populaire, pas très regardante sur les exagérations !

Nous continuons notre chemin… après tout les amitiés ne sont pas garanties et nous ne pouvons pas déposer de réclamation !

Alors, favori un jour, chassé de la cour le lendemain, il nous suffit de ne pas trop prendre au sérieux des amitiés dont on ne sait pas si elles en sont vraiment…

Rabattons-nous sur les vrais amis ! Ils sont certes rares et c’est pourquoi ils ont tant de valeur !

Après tout, les vrais amis sont faciles à reconnaître, alors je me demande pourquoi les faux amis sont si difficiles eux, à identifier ?

C’est peut-être parce que notre subconscient cherche à tout prix à voir le meilleur dans l’autre, situation qui est des plus confortables et des plus rassurantes… mais des plus "piégeantes" !

Mettons nos œillères et poursuivons notre chemin sans regarder les sourires ni les grimaces de tous les Pierrots et Arlequins !

Pauvre Rutebeuf

         

 

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