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zalandeau
13 juillet 2023

Carlos BILONGO dégagé par des ÉMEUTIERS

 

GSM

Carlos Martens Bilongo1 né le 31 décembre 1990 à Villiers-le-Bel, est un homme politique français, membre de La France insoumise. Enseignant de profession et militant associatif, il est élu député le 19 juin 2022 dans la 8e circonscription du Val-d'Oise2,3, sous les couleurs de la NUPES

 

Légende : Le député du parti de gauche français La France Insoumise (LFI), Carlos Martens Bilongo, prend la parole lors d’une manifestation contre le racisme et les idées d’extrême droite sur la place de la République à Paris le 13 novembre 2022. | GEOFFROY VAN DER HASSELT / ARCHIVES AFP

 

Ouest-France Publié le 28/06/2023 à 19h15

« Trace ta route » : venu en soutien, le député LFI Carlos Martens Bilongo pris à partie à Nanterre

Insultes, coup de bâton de mortier sur la tête… Le député (LFI) Carlos Martens Bilongo a été pris à partie par des individus à Nanterre dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 juin. Il était venu « en soutien » après le meurtre, mardi, de Nahel, 17 ans, par un policier après un refus d’obtempérer.

 

 « Wallah arrête de parler je vais le démarrer ! » Carlos Martens Bilongo ne s’attendait sûrement pas à un tel accueil. Encerclé par plusieurs individus, le député LFI a été pris à partie mercredi 28 juin 2023 peu après minuit à Nanterre (Hauts-de-Seine), marquée par une nuit de violences urbaines après le meurtre la veille de Nahel, 17 ans, par un policier à la suite d’un refus d’obtempérer.

 

« On n’est pas là pour parler ! »

 

Dans une vidéo publiée sur Twitter ce mercredi, le député est interrogé par les individus sur les raisons de sa présence. « Moi je suis venu en soutien », leur répond-il. Une réponse qui ne satisfait pas tout le monde : « On n’est pas là pour parler ! », assène un homme, tandis qu’un autre lui donne, par-derrière, un petit coup sur la tête à l’aide d’un bâton de mortier. « Tu veux rester ici ? Wallah on va te piétiner ! Trace ta route frérot, merci. »

 

Bilongo quitte les lieux. La France Insoumise n’a jamais souhaité communiquer publiquement sur l’affaire. Il ne faudrait quand même pas se fâcher avec ses électeurs…

        

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11 octobre 2023

Enrico Macias appelle à « dégommer » LFI « physiquement » pour sa réaction à l’attaque du Hamas

 

GSM

Face à Pascal Praud, Enrico Macias s’en est pris aux députés LFI et Jean-Luc Mélenchon pour leur position vis-à-vis du Hamas, alors que l’on découvre de nouveaux massacres dans les kibboutz en Israël

 

Enrico Macias appelle à « dégommer » LFI « physiquement » pour sa réaction à l’attaque du Hamas

 

https://fr.news.yahoo.com/enrico-macias-appelle-%C3%A0-d%C3%A9gommer-230126080.html

Note de zalandeau : Alors, bien évidemment : Le député LFI Thomas Portes a annoncé sur Twitter son intention de saisir l’Arcom et le procureur de la République après ces propos. Les pauvres victimes LFI et leur allié le pauvre Hamas !!! J'espère bien qu'ils seront déboutés !!!

       

13 octobre 2023

Mémoires et radotages (501) – Israël / Hamas, la guerre de trop

 

 

GSM

Écrit le 11 octobre 2023 – Commentaire laissé sur un blog, mais pas publié par le destinataire

 

On a bien fait de quitter l’Afrique du nord, ce n'était pas chez nous, ce pays de sauvages... (on n'avait rien à y faire, les colons qui se comportent comme des colons, ce n'est jamais supporté très longtemps).

 

Mais nos politiciens les ont attirés en France, les sauvages, sans trier, portes grandes ouvertes... Mais ici, on est chez nous et c'est à eux de partir, de gré ou de force... Disons ceux qui ne respectent pas les lois, us et coutumes de la France...

 

J'ai vu l'Imam Chalghoumi à la télé et Franchement, lui, je le considère comme un frère, j'avais même envie de l'embrasser ! Voilà un Musulman que j'aimerai avoir pour ami !!! La religion importe peu pour les hommes de bonne volonté !!!

 

Mais on n’en est pas encore là, hélas !

 

Israël, c'est la guerre de trop ! Ça va porter préjudice à l'occident dont nous faisons partie... Directement, indirectement : Guerre civile possible en France avec les copains du Hamas, possibilité d'une attaque chinoise sur Taïwan, nous privant d'électronique, situation économique européenne devenant catastrophique, l'Ukraine sur nos bras européens parce que les US seront occupés par le moyen orient, et donc chute de l'Ukraine, qui perdra la guerre et fragilisation de l’Europe par son flan Est, en plus du danger intérieur terroriste...

 

Pas très gaie, cette guerre de trop !!!

       

 

 

4 novembre 2023

Face à Philippe de Villiers / 3 novembre 2023

GSM

 

 


 France Inter est-elle un parti politique ?

Si c'est le cas, peut-elle continuer à exercer la profession d'information impartiale qui est requise d'un service public ?

Je ne pense pas !

Que l'état me rende la partie de mes impôts qui finance France inter !

 

 

Mélenchon  devrait être fiché S a dit Karl Olive (pour une fois que je suis d'accord avec un député Renaissance !)

    

4 décembre 2023

Mémoires et radotages (512) – Assassins de Crépol

 

 

GSM

Écrit le 03 décembre 2023

On nous cache les noms des assassins de Crépol…

Le JDD les a obtenus (par la police) : Ilyes, Chaïd, Yasir, Mathys, Fayçal, Kouider et Yanis sont ceux des jeunes majeurs, dont six sur sept sont placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur le meurtre de Thomas Perotto. Eux n'ont pas été diffusés par la presse, jusqu'à maintenant, dans le JDD.

Ce qui fera peut-être fermer le clapet des journalistes vendus de BFM ! Continueront-ils à clamer un incident fortuit alors que les racailles étaient venus pour « planter du blanc »…

S’ils étaient venus pour « planter du noir », j’aurais personnellement tenu les mêmes propos envers ces assassins, quelques soient l’origine des victimes…

Mais on sait très bien que BFM, ainsi que les médias publics auraient été en effervescence seulement si un souchien égratignait un non-souchien… Comment réclamer une justice juste, lorsque même les médias sont partisans de l’ultragauche, complètement anti-Français et dénués de sentiment de justice objective ?

L’attitude du gouvernement et des médias sur cette affaire, fait ouvrir les yeux à un nombre croissants de Français… Puissent-ils faire les bons choix dans les urnes…

 

Dernière minute : Action terroriste à Paris, un mort et deux blessés... par un fiché S récidiviste et déjà condamné... Mais quand exécutera-t-on ces merdes extrémistes, au lieu d'un coup de taser qui leur permettra de recommencer... Au minimum enfermés à vie dans des culs de basses fosses... Pauvre touriste Germano-Philippin !!!

Nous n'avons plus le temps de nous exprimer sur un attentat odieux qu'un autre se produit... Est-ce ça la démocratie : L'insécurité permanente ?

        

 

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27 janvier 2024

Mémoires et radotages (520) – Loi immigration : Dans le fion du peuple Français !

 

 

GSM

Écrit le 26 janvier 2024

La loi immigration… Quelle arnaque ! C’est bien du « et en même temps » de l’autre usurpateur, d’ailleurs complètement illégitime, mais conforme à une constitution qui a des failles et qu’il faudra revoir à la prochaine occasion !

Quand la loi a été adoptée par sénateurs et députés, je me disais que finalement c’était un petit pas minuscule dans la bonne direction…

Mais quand Macron a littéralement donné le signal de la curée au conseil constitutionnel, j’ai compris instantanément que Macron coupait la corde qui retenait le filet au dessus de nos élus et de ce projet de loi. Le piège se refermait. Mais alors ce conseil-complice a tout censuré. Jamais je n’aurais pu penser qu’ils iraient si loin. C’est vraiment une entreprise de démolition réalisée par un organisme non élu, qui s’arroge des pouvoirs et des décisions contraires aux intérêts du peuple Français… Ce projet de loi, ainsi gribouillé deviendrait de fait, une loi pro-immigration !!!

Pourquoi faut-il subir les décisions totalement arbitraires des :

-Conseil constitutionnel

-Conseil d’état

-Cour des comptes (qui est d’ailleurs intervenue fort opportunément comme par hasard pendant le vote de cette loi pour en infléchir le résultat)

Pourquoi ? Ces trois organismes artificiels sont aux mains de la gauche, de la mauvaise gauche, celle qui est ultra-libérale et anti-France et pour laquelle la démocratie doit être remplacée par la dictature… Car enfin, tout ce qui se passe sous la Macronnie, c’est un dévoiement total de nos institutions : 49.3 à répétion, invalidation par conseil d’état ou constitutionnel, aucun référendum… Que des décisions imposées sans recours à la représentation nationale élue !!!

Je ne suis pas entièrement d’accord avec Zemmour… Il accuse députés LR et RN d’avoir contribué à cette farce consciemment en apportant leurs amendements…

Il est très possible qu’ils en aient été conscients ! Très possible ! Mais s’ils avaient voté contre, le peuple aurait pensé que pour une fois que LR et RN pouvaient changer les choses, ils ne l’ont pas tenté ! Pris entre deux feux, que faire ? Je crois qu’ils ont voulu prouver qu’ils étaient fidèles à leurs idées et qu’il valait mieux montrer de la bonne volonté, même s’ils savaient qu’ils entraient dans le piège Macroniste…

Encore une fois Macron et sa clique continuent à détruire la France par l’invasion incontrôlée de nos terres dans une atmosphère de décadence et de fin du monde propre à désespérer le peuple de France au point de le rendre résigné et prêt à une nouvelle shoah, à bas bruit et anti-Française cette fois…

La loi immigration est globalement devenue une loi encourageant un peu plus l'immigration.

Chassons le dictateur, ses alliés islamo-gauchistes ainsi que les conseils non élus par le peuple !

        

20 janvier 2024

Luc Ferry : Le bonheur, c'est d'aimer nos enfants dit-il...

GSM


 

 

 ... mais peut-on être heureux quand on les met dans un monde luciférien ? Luc Ferry a relativement raison, mais il voit le monde à travers son prisme qui est quand même celui d'un nanti... Alors, aimer ne rend-t-il pas malheureux plutôt ? zalandeau

Titre de la vidéo : Luc Ferry : "Marine Le Pen n’est pas nationaliste comme l’était Hitler, c’est absurde !". Ce n'est pas représentatif de l'ensemble de l'interview !

        

17 février 2024

Mémoires et radotages (529) – Infections urinaires

 

GSM

Écrit par autrui et moi-même, le 16 février 2024

Les femmes sont les principales victimes des cystites, ces inflammations de la vessie le plus souvent dues à une infection bactérienne. Les cystites, qui provoquent de fréquentes envies d’aller aux toilettes et des douleurs en urinant, comptent parmi les infections urinaires les plus courantes.

Quelles sont les causes des infections urinaires ?

Les infections urinaires sont le plus souvent des infections de la vessie, également appelées cystites. Dues à des bactéries, elles touchent plus souvent les femmes que les hommes car leur urètre, le canal qui relie la vessie à l’extérieur, est plus court. L’entrée de bactéries dans la vessie s’en trouve facilitée. Le plus souvent, on ne trouve aucune cause précise à la cystite chez les femmes. En revanche, lorsqu’une infection urinaire survient chez un homme, elle est souvent liée à une hypertrophie bénigne de la prostate ou à une inflammation de cet organe.

Quels sont les symptômes des infections urinaires ?

femme

Les symptômes d’une infection urinaire sont le besoin constant d’éliminer de très faibles quantités d’urine. Uriner s’accompagne de sensations de brûlure. L’urine peut être trouble et sentir mauvais. La cystite peut parfois s’accompagner d’une fièvre légère, moins de 38°C, et d’un sentiment de malaise. Dans la plupart des cas, les cystites n’entraînent pas de complications. Toutefois, l’infection peut remonter et atteindre le rein. L’apparition de fièvre doit inciter à la vigilance.

Quelles sont les complications éventuelles des infections urinaires ?

En l’absence de traitement, l’infection peut remonter le long de l’uretère (le canal qui relie les reins à la vessie) et atteindre le rein : c’est la pyélonéphrite. Le risque de complication est plus important en cas de grossesse, de malformation des voies urinaires, de calculs dans les reins ou la vessie, ou de diabète.

Chez l’homme, les infections urinaires peuvent aussi se compliquer d’une infection générale sévère, d’un abcès de la prostate, de rechutes difficiles à traiter. Des symptômes invalidants, tels que des douleurs à l’éjaculation, peuvent également persister.

Qu’appelle-t-on cystite interstitielle ?

La cystite interstitielle est une inflammation chronique de la vessie relativement rare. D’origine inconnue, elle ne doit pas être confondue avec la cystite bactérienne. Cette maladie touche surtout les femmes jeunes (de 30 à 40 ans). Elle se traduit par des douleurs intenses du bas-ventre et le besoin fréquent d’uriner, de jour comme de nuit. La cystite interstitielle est à l’origine de véritables handicaps, les personnes atteintes n’osant plus s’éloigner des toilettes.

Les mesures d’hygiène

Le respect de règles hygiéniques simples semble diminuer le risque de survenue de cystite ainsi que leur récidive. Ces mesures n'ont pas fait l'objet d’une évaluation contrôlée par des études cliniques :

    Buvez plus d’un litre et demi d’eau par jour.

    Ne retenez pas un besoin d’uriner. Une vidange trop rare de la vessie favorise la prolifération des micro-organismes.

    Tenez propres les parties intimes de votre corps. Attention à l’usage excessif des produits de toilette qui irritent et facilitent la prolifération des micro-organismes. Utilisez un gel lavant doux, sans savon.

    Urinez rapidement après les rapports sexuels afin d’éliminer en partie les micro-organismes.

    Après avoir uriné ou être allée à la selle, essuyez-vous toujours d’avant en arrière, en direction de l’anus. Conseils pour les hommes : Bien des femmes passent le papier entre les cuisses et essuient d’arrière en avant. Ainsi Michael Douglass, Sans vouloir rentrer trop dans les détails... : « Lors d'une interview, Michael Douglas avait effectivement révélé au quotidien britannique The Guardian que son cancer "de la gorge" était liée à sa vie sexuelle - et non au tabac ou à l'alcool. "Sans vouloir rentrer trop dans les détails, ce cancer en particulier est causé par le HPV [Le papillomavirus, NDLR.] qui vient du cunnilingus, expliquait-il. », mais avant, du trou de balle !

https://www.purepeople.com/article/michael-douglas-un-cancer-lie-au-sexe-oral-l-acteur-avait-menti-a-propos-de-son-etat-de-sante_a514410/1

Les femmes sont parfois dégueulasses. Ne leur faites plus de cunnilingus et pour la pénétration sortez couverts… Pour la reproduction, choisissez l ‘insémination artificielle’

    Portez des sous-vêtements en coton.

    Évitez l’utilisation éventuelle de spermicides.

Les traitements préventifs

Le médecin peut proposer la prise de canneberge en prévention des cystites à répétition à Escherichia coli. Bactérie Cancérogène !!!

Des estrogènes en application locale sont parfois prescrits en cas de cystites récidivantes chez la femme ménopausée.

Si les épisodes de cystite se répètent au moins une fois par mois, le médecin pourra prescrire un traitement antibiotique à prendre tous les jours. Un ECBU doit être réalisé avant de débuter le traitement afin de s’assurer qu’il n’y a pas d’infection urinaire en cours. La nitrofurantoïne ne doit jamais être utilisés dans cette indication.

Il est possible de prendre les antibiotiques uniquement après les rapports sexuels lorsque ceux-ci sont en cause dans la survenue des cystites.

        

 

2 mars 2021

Le message clair des gilets jaunes à BHL


GSM

Écrit par Michel Onfray la semaine du 19 novembre 2018 (en accès libre sur son site)
   A l’heure où la France pauvre et modeste des Gilets jaunes fait savoir ses difficultés à se nourrir, à se loger, à se vêtir et son impossibilité d’offrir des sorties, des loisirs ou des vacances à ses enfants, Carlos Ghosn, grand patron français (mais aussi brésilien et libanais, il a la triple nationalité), se fait arrêter au Japon parce qu’il fraude le fisc… Pauvre chéri: il ne gagnait que 16 millions d’euros par an! Il lui fallait bien mettre un peu d’argent de côté s’il voulait survivre un peu…
   J’y vois un symbole de la paupérisation induite par ce libéralisme que Mitterrand fait entrer dans la bergerie française en 1983 avec les intellectuels médiatiques du moment, Nouveaux Philosophes en tête. Des pauvres de plus en plus pauvres et de plus en plus nombreux, puis des riches de plus en plus riches et de moins en moins nombreux: voilà ce qu’est la paupérisation. L’Empire maastrichtien est la créature des clones de Carlos Ghosn qui paupérisent à tour de bras. Macron est l’un d’entre eux.
   Les journalistes des médias dominants clament partout que le message des Gilets jaunes est confus, invisible, illisible, divers, diffus, multiple, contradictoire: non, il ne l’est pas. Il est même très clair: ce que dénoncent les Gilets jaunes, c’est tout simplement cela: la paupérisation.
   On le voit dans les reportages, ce peuple-là n’est pas doué pour la rhétorique et la sophistique, la dialectique et la parole. Il dit simplement et clairement des choses simples et claires que les diplômés des écoles de journalisme, de Science Po, de l’ENA ou de Normale Sup ne comprennent pas parce que ça dépasse leur entendement. Ils sont pauvres et l’engeance qui tient le pouvoir, politique, médiatique et économique,  ne sait pas ce que signifie faire manger une famille avec 5 euros par repas. Ils ne le savent pas…
   Il est facile de salir ces gens modestes comme le font Libération et Le Monde, L’Obs (avec un article dégoûtant d’un nommé Courage, probablement un pseudonyme…), voire l’inénarrable BHL. "Ces pauvres qui disent qu’ils le sont et qu’ils n’en peuvent plus de l’être, quelle beaufitude, quelle grossièreté, quel manque de manière!". Et ces journaux seraient des journaux de gauche? Qui peut encore le croire?
  "Salauds de pauvres!" disent Quatremer & Joffrin, Courage & Askolovitch (qui m’inonde de textos insultants en me disant que tout le monde "se fout" de ce que j’écris, sauf lui apparemment…), Xavier Gorce, dessinateur au quotidien du soir & BHL. Car tous souscrivent comme un seul homme à cette saillie qu’on entend dans la bouche de Gabin dans La Traversée de Paris, un film de Claude Autant-Lara, un ancien du Front national version Jean-Marie Le Pen: "Salauds de pauvres!" Le rideau se déchire enfin!
   BHL écrit: "Poujadisme des Gilets jaunes. Échec d’un mouvement qu’on nous annonçait massif. Irresponsabilité des chaînes d’info qui attisent et dramatisent. Soutien à Macron, à son combat contre les populismes et à la fiscalité écolo" (17 novembre 2018). Passons sur la rhétorique du personnage, il y a bien longtemps qu’il ne pense plus et qu’il ne fonctionne qu’aux anathèmes –peste brune, rouges-bruns, poujadistes, fascistes, nazis, staliniens, pétainistes, vichystes, maurrassiens sont ses arguties préférées pour clouer au pilori quiconque ne pense pas comme lui. BHL a le record mondial du point Godwin! Chez lui l’insulte a depuis longtemps remplacé toute argumentation digne de ce nom. Dans le registre des insultes, on l’a oublié, il y avait aussi: "saddamite"…
   C’est le néologisme créé par lui pour insulter Jean-Pierre Chevènement lors de la guerre du Golfe. A cette époque, BHL ne s’est pas fait traiter d’homophobe! Il est vrai que ses amis dans la presse sont nombreux et qu’il dispose d’un efficace pool qui nettoie le net de ses bêtises en les renvoyant dans les pages invisibles du net –vérifiez en tapant "BHL saddamite Chevènement" sur le net, plus rien, nettoyé… Étonnant! Car dans Bloc-Notes. Questions de principe cinq, page 141 de l’édition du Livre de poche, on peut encore y lire : "Chevènement saddamite et philoserbe". J’attends que, des Inrocks à Libération, du Monde à France-Inter, on dénonce cette homophobie qu’on m’a prêtée il y a peu parce que, moi, je ne souscrivais pas au doigt d’honneur antillais qui semblait ravir le président de la République, et que je l’ai fait savoir sur le mode ironique. Il est vrai que BHL et l’humour, ça fait deux…
   BHL qui fait tant pour qu’on parle de ses livres à chacune de ses parutions voudrait qu’on ne parle pas des Gilets jaunes dans les médias! Comme si c’étaient les journalistes qui créaient l’actualité…
La pauvreté existe parce qu’on la montre.
Ne la montrons pas,
De cette manière elle n’existera plus.
    C’est ainsi qu’on apprend à penser à l’Ecole normale supérieure! Censurons ces Gilets jaunes à la télévision, demandons à France-Culture comment on s’y prend pour interdire de parole sur les radios du service public, et faisons taire cette racaille populiste, crypto-fasciste, lepeniste, vichyste, pétainiste, nazie –ne nous interdisons rien! Car quiconque demande du pain pour ses enfants est une ordure populiste bien sûr…
   Que BHL soutienne Macron, il n’y a rien là que de très normal. Avec Stéphane Bern et les Bogdanoff, Line Renaud et Philippe Besson, ce qui se faisait de mieux chacun dans son domaine a offert ses courbettes au Prince. Il y en eut de plus malins qui vinrent manger la soupe payée par le contribuable à Bercy, qui servait à préparer la présidentielle. On n’y mangeait pas des repas à cinq euros…  
  Enfin, que BHL soutienne "la fiscalité écolo", comme son ami Cohn-Bendit, n’est pas non plus étonnant: il reprend l’élément de langage qui voudrait que ces taxes aillent à la fiscalité verte alors qu’elles vont majoritairement dans les caisses de l’Etat. La revue Que choisir l’a récemment montré dans l’un de ses articles [1].
   Pour salir les Gilets jaunes, des journalistes et des éditorialistes affirment qu’ils refusent la fiscalité, qu’ils sont contre les taxes, qu’ils refusent les impôts, qu’ils rechignent à payer des taxes écologiques. C’est faux. C’est Carlos Ghosn qui refuse de payer ses impôts, ainsi que les riches qui ont placé leur argent dans les paradis fiscaux avec l’assentiment de l’Etat français, pas les Gilets jaunes qui, eux, veulent bien payer des impôts directs et indirects, mais s’insurgent que ces impôts, qui doivent servir à payer le salaire des fonctionnaires, à faire fonctionner les écoles, les hôpitaux, les commissariats, les gendarmeries, soient accompagnés en province de suppressions de fonctionnaires et de fermetures d’écoles, d’hôpitaux, de commissariats, de gendarmeries.
  Revenons à BHL: s’il est tellement soucieux de l’état de la planète qu’il estime que l’Etat maastrichtien doive faire payer les pauvres avec leurs voitures de travail afin que les riches puissent polluer en se déplaçant en avion, alors qu’il cesse de passer son temps entre deux aéroports lui qui disait sans vergogne qu’il avait trop de maisons…
   On peut lire en effet dans L’Obs (5 juillet 2017): "J’ai trop de maisons dans le monde": Bernard-Henri Lévy se résout à vendre une de ses villas pour 6 millions d’euros. Lisons cet article: "Trop d’argent, pas assez de temps. Bernard-Henri Lévy a confié à Bloomberg dans un article publié ce lundi qu’il était contraint de vendre une de ses villas au Maroc, à Tanger, faute de pouvoir en profiter suffisamment: "Je partage mon temps entre Paris, New York et Marrakech. J’ai trop de maisons dans le monde et hélas, l’année ne dure que 52 semaines". Prix de la demeure sacrifiée: 6 millions d’euros, en vente sur le site de Christie’s International Real Estate, pour 600 mètres carrés situés "au sommet d’une falaise, face à Gibraltar, au point précis où se côtoient l’Atlantique et la Méditerranée", affirme BHL, bon vendeur. Bonjour la trace carbone du philosophe!
   On comprend que cet homme-là ignore quelle misère signifie un trou de cinquante euros dans le budget d’une famille vivant avec moins de mille euros par mois… "Salauds de pauvres!", en effet.
Michel Onfray
13 avril 2021

La vaccination (Covid)

 

GSM

La vaccination

Le 7 avril 2021 - Institut Pasteur

Selon les dernières modélisations de l'Institut Pasteur, un retour à la normale en automne n'est pas réaliste si l'on vaccine uniquement les adultes.

VACCINS - Respirer sans masque. Profiter d’un quotidien apaisé. Ce mardi 6 avril, face à des collégiens des Alpes-de-Haute-Provence rêvant d’une vie normale, Emmanuel Macron a dessiné un progressif allègement des restrictions sanitaires. “Jusqu’à cet été, les commerces vont rouvrir, mais il faudra porter le masque au maximum. J’espère que vous aurez des conditions sanitaires allégées à la rentrée”, a détaillé le chef de l’État par visioconférence.

Confiant sur l’efficacité des vaccins contre le coronavirus, le chef de l’État envisage donc une sortie de crise à l’automne. Et dans ce scénario, le rôle des plus jeunes est de plus en plus mis en avant.

Pour alléger les gestes barrière “avant l’automne”, comme le souhaitent Emmanuel Macron et plusieurs dirigeants européens, les enfants pourraient devoir se faire vacciner, selon de nouvelles modélisations de l’Institut Pasteur dévoilées cette semaine. Un acte altruiste -cette catégorie d’âge a très peu de chance de développer des formes graves du Covid-19- qui pourrait aider à atteindre rapidement la couverture vaccinale nécessaire pour maîtriser l’épidémie et libérer les Français.

Au regard de ces modélisations, vacciner uniquement les adultes dans l’espoir mener une vie normale en septembre semble en effet irréaliste. En prenant en compte le nombre de personnes déjà infectées par le Sars-Cov-2 (environ 20% de la population au 22 mars 2021), et différentes hypothèses concernant le taux de transmission théorique des variants (R0),

Institut Pasteur - Dernière mise à jour le 6 avril 2021

On estime qu’entre le début de la pandémie et mars 2021, environ 20% des Français ont été infectés par le virus SARS-CoV-2, ce qui est très en dessous de l’immunité collective. Dans ce contexte, une campagne de vaccination de grande ampleur est nécessaire pour relâcher les mesures de contrôle et reprendre une vie normale.

Nous avons développé des modèles mathématiques pour étudier comment la vaccination pouvait impacter la dynamique de l’épidémie (Tran Kiem et al, HAL). Ces modèles permettent d’évaluer l’impact de différentes stratégies de priorisation vaccinale au démarrage de la campagne lorsque le nombre de doses est limité. Ils permettent également de se projeter à plus long terme et d’anticiper quelle couverture vaccinale serait nécessaire dans les différents groupes d’âge pour pouvoir relâcher les mesures de contrôle. Le développement de ces modèles a commencé il y a plusieurs mois pour informer les recommandations de la Haute Autorité de Santé et les évaluations du Conseil Scientifique, en prenant en compte les incertitudes qui existaient à l’époque sur l’effet des vaccins et l’évolution des connaissances durant ces derniers mois.

Les premières données d’efficacité suggéraient que les vaccins réduisaient d’environ 90% la survenue de formes graves (sévérité), mais leur effet sur le risque de transmission (infectivité) ou le risque d’infection (susceptibilité) est resté incertain pendant plusieurs mois. Des données récentes suggèrent que les vaccins pourraient également réduire la susceptibilité de l’ordre de 80%. Pour montrer comment l’évolution des connaissances peut impacter l’évaluation des stratégies, nous avons évalué l’impact de vaccins avec 3 profils différents: un vaccin réduisant la sévérité de 90% sans impact sur l’infectivité ou la susceptibilité (initialement, seules les données sur la sévérité étaient disponibles), un vaccin réduisant la sévérité de 90% et l’infectivité de 30% (initialement, cela semblait un scénario possible en l’absence de données sur la transmission), un vaccin réduisant la sévérité de 90% et la susceptibilité de 80% (le scénario que nous privilégions actuellement étant donné les données disponibles).

Nous trouvons que lorsque le vaccin réduit uniquement la sévérité, la priorisation des personnes les plus à risques réduit fortement la morbi-mortalité par rapport à une distribution sans priorisation. L’écart entre les deux approches se réduit lorsque les vaccins ont également un impact sur l’infectivité ou la susceptibilité des personnes vaccinées. En effet, dans ce dernier scénario, la vaccination des personnes plus jeunes, qui ont un risque plus faible de développer des formes sévères mais jouent un rôle important dans la transmission, permet de réduire la circulation du virus et donc de protéger de façon indirecte les plus fragiles.

A l’automne 2021, notre capacité à relâcher les mesures de contrôle dépendra de la couverture vaccinale atteinte dans les différents groupes d’âge et des caractéristiques de transmission du virus dominant. Pour une couverture vaccinale donnée, nous avons estimé la réduction du taux de transmission en population générale qui restera nécessaire pour que le nombre d’hospitalisations COVID-19 ne dépasse pas 1000 admissions journalières (à peu près 3 fois moins que ce qui a été observé durant les première et deuxième vagues). L’analyse est réalisée en faisant l’hypothèse que les vaccins réduisent la sévérité de 90% et la susceptibilité de 80%. La transmissibilité du virus dominant est caractérisée par le nombre de reproduction de base R0, défini comme le nombre moyen de personnes infectées par un cas en l’absence d’immunité et sans mesures de contrôle.

Si R0 durant l’automne 2021 est égal à 3 (similaire à la valeur estimée pour le virus historique durant le printemps 2020), la vaccination de 90% des plus de 65 ans et de 70% des 18-64 ans (59% de la population lorsqu’on prend en compte les enfants non vaccinés) permettrait de complètement relâcher les mesures de contrôle. Cependant, l’émergence de variants plus transmissibles, comme le variant B.1.1.7 désormais majoritaire en France Métropolitaine, fait craindre une augmentation de R0. Pour R0=4.0, la vaccination de 90% des plus de 65 ans et de 70% des 18-64 ans ne permettrait pas un relâchement total des mesures de contrôle. Dans ce scénario, pour que le nombre d’admissions de patients COVID-19 reste inférieur à 1000 par jour, il faudrait que des mesures de contrôle soient maintenues et réduisent les taux de transmission dans la population générale de 15-27% par rapport au scénario de relâchement total. En guise de comparaison, pendant le confinement de mars-mai 2020, les taux de transmission ont été réduits de 80%.

Si la campagne de vaccination porte uniquement sur la population adulte, pour R0=4.0, il faudrait que plus de 90% des adultes soient vaccinés pour qu’un relâchement complet des mesures de contrôle soit envisageable. Ces niveaux élevés s’expliquent par le fait que si seuls les adultes sont vaccinés, une épidémie importante est malgré tout attendue chez les enfants, contribuant à l’infection des parents et des grands-parents non protégés. S’il est démontré que les vaccins sont sûrs chez les enfants et qu’ils réduisent efficacement la susceptibilité dans cette population, la vaccination de 60-69% des 0-64 ans et de 90% des plus de 65 ans pourrait permettre le relâchement complet des mesures de contrôle.

Retour sur les modélisations réalisées ces trois derniers mois pour évaluer l’impact des variants et des vaccins sur la pandémie COVID-19

Dernière mise à jour le 6 avril 2021

Le début de l’année 2021 a été marqué par une nouvelle phase de la pandémie. D’un côté, l’émergence de variants plus transmissibles a rapidement fait craindre qu’une dégradation de l’épidémie était possible. De l’autre, la vaccination est apparue comme une source d’espoir devant conduire, à terme, à la réduction de la morbi-mortalité et du stress sur le système de santé. Nous revenons sur les analyses de modélisation que nous avons réalisées depuis le début de l’année pour mieux caractériser la menace que posent les variants et construire des scénarios permettant d’explorer comment les variants, les vaccins et les mesures de contrôle allaient impacter la dynamique de l’épidémie durant la première moitié de 2021.

La dynamique du variant UK en France

La première question que nous nous somme posée était de déterminer à quel moment le variant UK (B.1.1.7 ou VOC) allait devenir dominant en France. Pour cela, nous nous sommes basés sur les estimations de la proportion de cas infectés par le variant UK dans l’enquête Flash#1 (7-8 janvier) et avons fait l’hypothèse que le variant UK était 50% (40%-70%) plus transmissible que le virus historique, en nous appuyant sur l’expérience britannique.

Les tous premiers résultats de l’enquête Flash#1 suggéraient que début janvier, 1% des cas étaient infectés par le variant UK. Sur cette base, nous estimions dans l’avis du Conseil Scientifique du 12 janvier que 27% (16%-57%) des cas seraient infectés par le variant UK le 1er mars 2021. Cependant les estimations de l’enquête Flash#1 ont été rapidement revues à la hausse pour atteindre 3.3% de variants UK. Cela nous a conduit à mettre à jour nos estimations de la dynamique attendue du variant UK en France métropolitaine. Nous estimions courant janvier que ce variant deviendrait dominant sans doute dans la deuxième moitié de février - début mars (il est devenu dominant aux environs du 20 février) :

C’est sur la base de cette analyse que le Conseil Scientifique a conclu courant janvier que le variant UK était susceptible de changer la dynamique de l’épidémie par rapport à un scénario sans variant plutôt en mars 2021.

Trajectoires avec et sans effet du couvre-feu

La première moitié de janvier a été caractérisée par une croissance importante des hospitalisations, qui a conduit le 16 janvier à la mise en place du couvre-feu national à 18h. Alors qu’il était encore trop tôt pour évaluer l’impact de ce couvre-feu, nous avons développé avec l’équipe de Vittoria Colizza (INSERM) des modélisations pour évaluer comment l’épidémie pouvait évoluer dans un scénario où le couvre-feu ne permettrait pas de ralentir la progression de l’épidémie. Sans impact du couvre-feu, étant donné la croissance des hospitalisations liée au virus historique observée début janvier, on pouvait s’attendre dès février à une vague épidémique importante, amplifiée par l’effet du variant UK. Ce scénario est décrit dans la note d’éclairage du 29 janvier. Des scénarios présentés en annexe (page 21) de cette note montraient qu’une stagnation des hospitalisations était possible avant d’observer une remontée, en raison de l’incertitude concernant l’impact du couvre-feu.

Les données supplémentaires recueillies après la mise en œuvre de ces analyses suggéraient un impact du couvre-feu. Dans une note datée du 2 février, nous avons donc mis à jour nos projections en présentant des scénarios où le couvre-feu avait un impact. La projection ci-dessous, qui est issue de cette note et a été réalisée par l’équipe de Vittoria Colizza, montre l’un de ces scénarios (courbe grise):

Cette projection est également disponible dans un rapport mis en ligne le 2 février par l’équipe de l’INSERM.

Le 8 février, nous avons produit un rapport plus complet montrant pour la première fois comment la vaccination était susceptible d’impacter le devenir de l’épidémie, avec un scénario de référence qui prenait en compte l’effet du couvre-feu. Le scénario de référence (courbe rouge) produit le 8 février est présenté ci-dessous (les traits noirs pointillés représentent les niveaux atteints aux pics de la première (haut) et deuxième (bas) vagues). Il anticipait qu’en l’absence d’un renforcement du couvre-feu, on pourrait atteindre début avril le pic d’hospitalisations de la deuxième vague ainsi que le seuil de 50000 cas journaliers:

Les résultats principaux de ce rapport sur la dynamique épidémique étaient:

  • Le variant VOC devrait devenir dominant début mars, entraînant une augmentation du taux de transmission des virus SARS-CoV-2 et une dégradation de la situation épidémiologique.
  • L’impact de la campagne de vaccination sur la courbe des hospitalisations devrait se faire sentir dès le mois de mars, conduisant à un ralentissement de la dynamique des hospitalisations par rapport à ce qui serait attendu sans vaccin.
  • Cependant, dans un scénario où le couvre-feu serait maintenu sans renforcement des mesures de contrôle, l’impact de la vaccination ne serait pas suffisant pour contrer l’impact du variant VOC et l’on pourrait s’attendre à ce que les hospitalisations dépassent début avril 2021 les niveaux observés au pic de la deuxième vague.


Cette analyse montrait qu’il était peu probable que l’effet des vaccins soit suffisant pour remporter à court terme la course entre vaccins et variants annoncée par le Conseil Scientifique le 12 Janvier, et qu’un renforcement des mesures de contrôle serait donc sans doute nécessaire pour éviter la saturation des hôpitaux.

L’analyse a été complétée et mise en ligne en pré-print le 23 février Bosetti et al.. Dans le préprint, étant donné la dynamique de l’épidémie dans notre scénario de référence, nous faisions l’hypothèse qu’un renforcement des mesures de contrôle serait mis en place le 22 mars 2021 (les mesures de freinage ont été instaurées par le gouvernement le 20 mars 2021) :

(les traits pointillés noirs montrent les niveaux atteints aux pics de la première (haut) et de la deuxième (bas) vagues).

Des analyses qui sont amenées à sans cesse évoluer et s’affiner

On note des améliorations importantes entre la note d’éclairage du 29 janvier et les rapports des 8 et 23 février, tant sur le fond que sur la forme (qualité des projections, nombre de scénarios présentés, estimation et prise en compte de l’effet du couvre-feu, prise en compte de la vaccination, complétude des études de sensibilité, présentation et discussion des détails méthodologiques, des hypothèses et des résultats). Ces évolutions sont attendues dans un contexte où les résultats préliminaires sont partagés en temps-réel pour soutenir la planification et mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles données deviennent disponibles et que les modèles se complexifient. Ces analyses requièrent des développements méthodologiques importants pour prendre en compte l’évolution des enjeux (émergence des variants, vaccination), ce qui prend du temps. Il est important de comprendre la nature très évolutive de ces modélisations.

Scénarios vs prédictions

Il continue à y avoir beaucoup de confusion sur l’interprétation des résultats des modèles. La dynamique de l’épidémie dans les mois qui viennent reste très incertaine car elle dépend de nombreux paramètres (caractéristiques des variants, rythme de vaccination, timing, intensité et durée des mesures de contrôle, adhésion de la population). Dans ce contexte, l’évaluation de cette dynamique à moyen terme ne peut se faire que dans le cadre de scénarios prospectifs avec des hypothèses de travail bien définies. C’est pour cela qu’on parle de scénarios et non pas de prédictions. Les modèles peuvent être utiles pour construire des scénarios qui s’appuient sur différentes hypothèses et mieux comprendre comment les pièces de ce puzzle complexe peuvent s’emboîter pour impacter l’épidémie à moyen terme. La Figure ci-dessous montre par exemple l’étude de différents scénarios issue de Bosetti et al. :

Quand on compare les projections dans les différents scénarios, on voit bien qu’il y avait beaucoup d’incertitudes par exemple sur la date et la rapidité de la reprise, sur la taille du pic. Mais dans quasiment tous les scénarios, les modèles anticipaient une augmentation importante des hospitalisations qui allait nécessiter un renforcement des mesures de contrôle.

Lorsque les modèles sont utilisés pour évaluer la dynamique de l’épidémie à moyen terme, ils nous permettent d’avoir une meilleure idée de la tendance générale que risque de prendre l’épidémie, plutôt que d’obtenir une estimation précise du niveau d’infections à un moment donné.

Par ailleurs, le fait qu’une hypothèse s’avère incorrecte et qu’une projection ne se réalise donc pas n’invalide pas la méthode. La force de la modélisation est qu’elle permet de construire des scénarios qui s’appuient sur des hypothèses bien définies. Tout un chacun peut remettre en question ces hypothèses. Dans ce cas, les modélisateurs peuvent changer l’hypothèse pour étudier comment cela modifiera les résultats. Des échanges réguliers entre modélisateurs, acteurs de la réponse et experts d’autres disciplines sont importants pour déterminer les hypothèses qui reflètent au mieux l’état des connaissances et de l’épidémie.

Effet de la vaccination

Dans Bosetti et al., nous avons montré que la vaccination devrait rapidement permettre de réduire de façon substantielle les hospitalisations par rapport à un scénario sans vaccin mais que cet effet ne serait pas suffisant pour éviter une forte augmentation des hospitalisations et un renforcement des mesures de contrôle.

Dans l’avis du Conseil Scientifique du 11 mars 2021, nous avons complété ces analyses en présentant un scénario qui prend en compte une réduction importante du risque d’infection lorsqu’on est vacciné qui a récemment été documenté. Cela conduit à une réduction encore plus importante des hospitalisations, mais qui ne permet cependant pas d’éviter un renforcement des mesures de contrôle. Des résultats supplémentaires sur l’évaluation des stratégies vaccinales sont disponibles à la page suivante.

Estimation à partir des données françaises de l’augmentation de transmissibilité du variant UK

En analysant la progression du variant britannique en France, nous avons estimé que le variant UK est 50%-70% plus transmissible que le virus historique (Gaymard et al, Eurosurveillance). Cela confirme les hypothèses que nous avions faites début janvier et qui s’appuyaient sur les données britanniques.

 Conclusion

Au tout début de l’émergence du variant UK en France et alors que les données de surveillance sur ce variant étaient limitées, ces modèles ont correctement anticipé que le variant deviendrait dominant fin février-début mars, et qu’il pourrait donc fortement impacter la dynamique de l’épidémie par rapport à un scénario sans variant plutôt à partir du mois de mars. Peu de temps après la mise en œuvre du couvre-feu et avant que son effet ne puisse être estimé, ces modèles ont anticipé que si le couvre-feu n’avait pas d’impact, on pourrait s’attendre à une vague importante d’hospitalisations dès février, liée au mauvais contrôle du virus historique et amplifiée par le variant UK. Dès que nous avons eu suffisamment de recul pour estimer l’impact du couvre-feu, les modèles ont été mis à jour pour prendre en compte cette information. Dès ce moment (le 8 février), ils ont correctement anticipé que dans la course entre vaccins et variants, l’effet de la vaccination serait initialement insuffisant pour éviter une hausse importante des hospitalisations. Ils ont également correctement anticipé que sans renforcement du couvre-feu, on pourrait atteindre début avril le pic d’hospitalisations de la deuxième vague ainsi que le seuil de 50000 cas journaliers. Au-delà de la trajectoire détaillée dans le scénario de référence, ils montraient que dans la très grande majorité des scénarios qui pouvaient être envisagés, un renforcement du couvre-feu allait être nécessaire.

Au final, ces travaux de modélisation sont sans doute une bonne illustration de la démarche scientifique, avec son lot d’échecs et de réussites. Certaines hypothèses de départ sont validées (par exemple, la transmissibilité accrue du variant UK); d’autres ne le sont pas (par exemple, le faible impact du couvre-feu). Progressivement, de nouvelles données nous permettent d’affiner les hypothèses et d’estimer de nouveaux paramètres comme l’impact du couvre-feu. Dans le même temps, les modèles se complexifient pour prendre en compte une réalité qui est de plus en plus complexe (émergence des variants, mise en œuvre de la vaccination).

13 août 2021

Covid 19 : est-il vrai que la majorité des personnes hospitalisées en Israël sont vaccinées ?

 

GSM

Je rappelle : Israël au lundi 9 août 2021 : 5.400.236 personnes entièrement vaccinées et 3.255.305 non vaccinés ou en cours.

Sur MSN :

Question posée le 06/08/2021.

Selon les chiffres les plus récents du ministère de la Santé israélien, relayés par la presse nationale durant la première semaine du mois août, la vaccination diminuerait le risque d’hospitalisations de 93 % pour le variant Delta (contre 97,5 % pour la variante Alpha). Dans le même temps, divers médias ont relayé des données – apparemment contradictoires – selon lesquelles la majorité des israéliens hospitalisés pour Covid étaient pleinement vaccinés. Mi-juillet, les chiffres de la presse nationale renvoyaient ainsi à une proportion de 3 vaccinés pour 5 patients hospitalisés pour forme grave. D’autres chiffres, plus récents, font état de taux de vaccinés encore plus élevés dans certains hôpitaux.

Illusion statistique

Le paradoxe (qui n’en est pas un) s’explique simplement. Dans la population à risque de formes graves de Covid, l’immense majorité des personnes est vaccinée – 90 % des plus de 60 ans ont en effet déjà reçu deux doses de vaccins. Bien qu’une très faible proportion de vaccinés développent une forme grave de la maladie s’ils sont exposés au virus, le nombre absolu d’individus concernés est grand, puisque celui des vaccinés est grand.

Les non-vaccinés sont, proportionnellement, plus nombreux à développer des formes graves de la maladie. Mais la part de personnes à risque non-vaccinées (qui n’a reçu aucune dose ou une seule dose de vaccin) étant très faible en Israël, le nombre absolu d’individus concerné est également faible.

De façon générale, pour déterminer si un vaccin diminue efficacement un risque (développer une forme symptomatique du Covid, être hospitalisé, décéder…), il est nécessaire de comparer la proportion de personnes touchées dans une population vaccinée avec la proportion touchée dans une population non-vaccinée. Pour que cette comparaison soit pertinente, ces populations doivent être d’âge comparable, et leur niveau d’exposition au virus doit être similaire.

Surtout, comparer en valeur absolue le nombre de personnes touchées n’a de sens que s’il y a autant de vaccinés que de non-vaccinés dans les deux groupes considérés, ce qui n’est plus le cas en Israël depuis déjà plusieurs mois.

44 décès au mois d’août

Mi-juillet, la chaîne israélienne Channel 12 News Israel notait que 61 personnes étaient hospitalisées dans un état grave. Parmi les personnes âgées de plus de 60 ans, près d’une sur cinq (8/44) était non-vaccinée, alors que les non-vaccinés représentent moins d’une personne sur dix dans la population de cette classe d’âge. Par ailleurs, parmi les 17 personnes de moins de 60 ans hospitalisées dans un état grave, seule une était vaccinée.

Selon les derniers chiffres communiqués par le ministère, 618 patients sont actuellement hospitalisés en Israël des suites d’une infection au Covid-19, parmi lesquels 360 «dans un état grave», dont 57 sous respirateur. Pour l’ensemble du mois de juillet, 44 décès auraient été recensés. Ce 9 août, Sharon Alroy-Preis, responsable des services de santé publique au sein du ministère de la Santé israélien, a déclaré à la presse qu’«il n’y avait [actuellement] pas de patients de moins de 60 ans vaccinés hospitalisés», mais qu’il y avait bien des «personnes de moins de 60 ans non-vaccinées», sans détailler le nombre de cas concernés. Contacté par Libération, le ministère ne nous avait pas transmis ces informations à l’heure de la publication de cet article.

Notons que la semaine passée, le directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem a déclaré à l’antenne d’une chaîne nationale que «85 à 90 % des hospitalisés [dans cet hôpital] sont complètement vaccinés». Interpréter cette déclaration est toutefois difficile sans disposer d’informations sur l’âge des patients, et surtout sur le taux de vaccination dans cette même classe d’âge dans la ville de Jérusalem, zone urbaine la plus peuplée du pays.

Un effet du variant Delta ?

En soi, l’importante proportion de personnes vaccinées dans les hôpitaux n’est donc nullement un indice de l’inefficacité du vaccin. Elle est seulement la traduction logique de la très forte couverture vaccinale dans le pays. Toutefois, si la proportion de vaccinés hospitalisés augmentait plus vite que la part des vaccinés dans la population, cela pourrait signifier que la protection conférée par le vaccin diminue dans le contexte épidémique actuel. La moindre sensibilité du vaccin au variant Delta pourrait être une piste d’explication. Toutefois, des indices d’une diminution de l’efficacité du vaccin plusieurs mois après l’administration de la seconde dose sont également avancés.

Les autorités sanitaires israéliennes ont débuté une campagne d’injection d’une troisième dose auprès de populations à risque – l’OMS appelant de son côté à un moratoire sur de telles «troisièmes doses», considérant que de nombreux pays touchés par la pandémie peinent à s’approvisionner pour leurs premières et secondes doses.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-est-il-vrai-que-la-majorit-c3-a9-des-personnes-hospitalis-c3-a9es-en-isra-c3-abl-sont-vaccin-c3-a9es/ar-AAN7bYf?ocid=uxbndlbing

    

26 juillet 2022

Mémoires et radotages (432) – Ce qui était juste est devenu faux

 

 

GSM

Écrit le 25 juillet 2022

On écrit sa vie… On relit sa vie… Ce qu’on lit est étrange… A-t-on menti à l’époque ?... Tout semble faux, tout semble mensonger… Et pourtant quand nous avions écrit ces pensées, ces faits, leurs conséquences et la morale que l’on pouvait en tirer, nous étions sincères, complètement sincères… Et maintenant, tout nous semble faux… Non pas les faits, mais leur interprétation. Et si le sort de la vie avait été juste envers nous ? Et si on avait été si mauvais, que les coups de la vie n’avaient été que justice ? Et si notre innocence n’était que culpabilité ?

Victime ? De quoi ? Des prédateurs, ou bien de notre propre incurie ?

Pourquoi se vanter d’avoir les meilleurs enfants du monde, alors que nous avons eu la folie criminelle de contribuer à les faire venir au monde dans un enfer, qu’ils n’ont pas voulu et surtout, pas mérité ! Serait-on des criminels par inadvertance ?

Quand on pense avoir été utile sur terre et que la façon dont nous avons été traités en retour est une punition, n’est-ce pas la preuve, que nous étions, non pas des héros maltraités, mais plutôt des bons à rien qu’il fallait châtier, des inutiles qui empêchaient le monde de tourner rond !

C’est maintenant, cette seule et unique idée qui emplit et emplira le reste de mes jours. Les prédateurs sont les justiciers et les résistants sont des terroristes, et non pas l’inverse, comme je l’ai toujours cru…

C’est pourquoi, ces textes que je relis, ne sont plus ma vérité, mais plutôt un univers qui était le mien et seulement le mien…

Qu’est-ce que l’amour, quand on parle de couple ? Une vaste fumisterie ! Une simple attirance sexuelle, une pulsion irrationnelle… Et quand elle s’éteint, on s’aperçoit que ce n’était pas de l’amour, mais une simple illusion…

Il me revient cette phrase de mon chef de secteur et du directeur d’agence de la Spapa de Gennevilliers (tous deux d’excellents Gaullistes, selon leurs tonitruantes déclarations), cette phrase donc, selon laquelle « Un homme n’en vaudra jamais deux »… Cette phrase qui est le bon sens même, quand il s’agit de l’égalité devant la loi et la république, j’en contestais bêtement, l’application au sujet des salaires des ouvriers, prétextant que certains travaillaient comme deux, voire comme trois et que, partant, il était juste de calculer les primes en conséquence, d’autant que l’entreprise gagnait bien davantage par cet intéressement des exécutants. Ce que je fis en me heurtant à cette hiérarchie rétive… En en étant fier, à l’époque… Et bien, c’est moi, qui aie été viré ! Quel con je fus… Un homme n’en vaut pas deux, c’est comme ça ! Le libéralisme n’est pas comme je l’avais cru, un moyen pour tous (ouvriers et patrons) de gagner plus. Non, j’avais tort ! Le libéralisme, c’est faire la séparation entre les possédants et les exécutants, entre les seigneurs et les manants ! Et j’en ai été bien puni ! L’injustice, ce n’est pas celle dont j’ai cru être la victime… C’est celle que j’avais eu l’impudence de créer en intéressant les ouvriers à leur tâche, en instaurant une ambiance dynamique et chaleureuse, en faisant que mes chantiers soient les plus rentables au grand dam des autres services qui appliquaient la doctrine de la société…

Bien d’autres épisodes me reviennent et tous ont la même conclusion : J’avais cru avoir raison mais en fait j’ai eu tort et je l’ai payé cher ! Mais je l’ai bien mérité : On ne passe pas impunément les règles de la société, même si ce sont des règles implicites non écrites !

Et il m’a fallu plus de 7 décennies pour le comprendre !

       

 

21 janvier 2021

Le ciel est gris, comme un ciel de mort (3)

GSM

Écrit le 14 octobre 2014

Putain de déficit ! Finalement J’ai eu du mal dans mes années longue-maladie, puis invalidité. Je dépensais comme avant. La belle-doche vivait à la maison à mes crochets, je payais sa bouffe, du chauffage à fond la caisse et des tonnes d'eau de chasse d'eau, sans le savoir. J’étais dans le coaltar. Je n’ai pratiqué aucune tenue de mes comptes en 2007 et 2008 (pour cause). Puis j’ai réalisé la catastrophe. Cela a été très dur de se restreindre…
Enfin, je me dis qu’heureusement je ne gère pas comme Hollande. Ce que j’économise sur un poste sert à compenser le déficit sur un autre poste et non à jeter par les fenêtres. Je crois que je vais réussir à avoir un déficit moindre que celui planifié pour 2014, sauf imprévu. Peut-être 7% au lieu de 10 ?


L’année prochaine, j’économise sur l’assurance maison 50 euros, puis sur le forfait mobile 45 € et à partir de septembre je diminue l’assurance décès 370 €. Je vais économiser le car et la cantine scolaire 1000 €. J’espère une petite diminution du chauffage grâce à la laine de verre que j’ai mis dans le comble. J’ai prévu un déficit de 2,9% pour 2015.

Ce qu’il ne s’imagine pas ce con d’Hollande, c’est que ce que j’économise, je le retire de son PIB.

Raisonnement de ces cons de Bruxelles : le déficit annuel est de 90 milliards (40 d’intérêts et 50 de déficit supplémentaires. Il faut que l’état Français réduise ses dépenses d’autant. Ce faisant elle diminue le PIB de 90 Milliards. Du coup il manque 51 milliards de recettes. Il faut donc réduire les dépense (et le PIB) de 51 milliards, ce qui entraine un manque de recettes de 27 milliards et ainsi de suite… Sans compter tous les nouveaux laissés pour compte que la récession va créer…

J’estime que l’équilibre sera atteint dans ce système idiot, avec un PIB de la France à 800 Milliards au lieu de 2000 milliards, des dépenses publiques réduites à 0 au lieu de 1100 milliards et une population survivante de 15 millions de personnes…

Ce sera formidable 49 millions de pollueurs, d’inutiles, de sans-dents jamais contents, de bouches à nourrir en moins…
Pour les UMP, les LS (Libéraux socialopes), les Verts, quel bonheur ! De l’argent gagné en spéculant sur le marché, de la nourriture et des équipements achetés à l’étranger, tout ira bien…
Sauf qu’il faut qu’ils ne fassent cela qu’en France… Parce que si tous les pays font de même (acheter ailleurs), il n’y aura plus d’ailleurs… Et tous ces gros cons crèveront ! Ils ont déjà eu des avertissements par différents organismes de recherche et notamment de la NASA je crois… Mais tous les nantis rigolent : « Mais non ! Moi je suis plus malin, je m’en sortirais ».
Bien sur qu’ils s’en sortiront en bêchant la terre à la main, en s’entretuant pour quelques arpents de terre, en survivant comme des bêtes dans des trous creusés au burin et au marteau, avec leurs petites mimines…

« Si on les avait écoutés les sans-dents ! Maintenant on n’a plus de dents non plus », diront-ils. Nous on s’en foutra ! On sera mort et on rigolera à les voir gémir…
  
19 juillet 2021

Comprendre les crampes

 

 

GSM

08 juin 2021 sur Améli

Les crampes musculaires constituent un problème courant, le plus souvent bénin, plus fréquent chez les femmes enceintes, les personnes âgées et les sportifs. Elles sont caractérisées par une contraction douloureuse, soudaine et involontaire d’un ou de plusieurs muscles.

QU’EST-CE QU’UNE CRAMPE MUSCULAIRE ?

Une crampe est une contraction musculaire involontaire, visible, très douloureuse, localisée à un muscle.

Elle débute brutalement sans qu'aucun symptômes ne prévienne de sa venue. Durant la crampe, le muscle atteint est douloureux et raide. Lors de la palpation, le muscle apparaît contracté et très sensible. La crampe disparaît généralement au bout de quelques minutes, mais le muscle peut rester sensible plusieurs heures après.

Les muscles les plus souvent atteints sont ceux : des membres inférieurs. La crampe apparaît au niveau du pied, du mollet ou de la cuisse. Elle survient le jour souvent après un exercice inhabituel ou la nuit au repos durant le sommeil ; des mains. On parle de "crampe de l’écrivain" lorsque la crampe survient après des efforts prolongés d’écriture.

Pourquoi a-ton des crampes ?

La crampe est secondaire à une augmentation de l'excitabilité des nerfs des muscles conduisant à leur contraction involontaire et brutale. Mais le mécanisme de survenue de ce phénomène d'hyperexcitabilité est mal connu. Un déséquilibre en eau et sels minéraux des cellules musculaires et une perturbation de la commande nerveuse jouent un rôle dans le déclenchement du processus.

FACTEURS FAVORISANT LES CRAMPES

Les crampes peuvent survenir sans raison, ou être dues à des problèmes de santé.

Le plus souvent, la crampe n’a pas de cause particulière.

Ces crampes dites idiopathiques peuvent survenir chez n’importe qui, mais elles sont plus fréquentes chez les personnes de plus de soixante ans, les femmes enceintes et les sportifs. Elles sont bénignes mais affectent la qualité de vie. Elles surviennent plus volontiers la nuit ou lors d'un exercice physique :

Les crampes nocturnes

Les crampes survenant la nuit sont localisées au niveau du mollet et du pied. Elles réveillent la personne atteinte et l'obligent à se lever, à marcher ou à étirer le muscle. Leur fréquence augmente avec l'âge et au cours de la grossesse, tout particulièrement lors du troisième trimestre.

Les crampes liées à l'exercice physique

Elles apparaissent au cours d’un exercice musculaire le plus souvent intense, prolongé et peu préparé,

souvent réalisé dans un environnement chaud et humide ou dans les heures qui le suivent.

Certaines circonstances ou maladies favorisent la survenue de crampes.

Parmi celles-ci :

la déshydratation (en cas de transpiration abondante, par exemple) ;

la prise de certains médicaments (diurétiques , laxatifs, certains traitements visant à faire baisser le cholestérol sanguin ou contre l’ostéoporose…). De nombreux médicaments peuvent être en cause.

Consultez la notice, n'interrompez pas le traitement et demandez conseil à votre médecin ; la maladie rénale chronique ainsi que les séances d’hémodialyse (voir Traitement de la maladie rénale chronique) responsables de pertes importantes d’eau et de sel ;

certaines maladies endocriniennes (ex : hypothyroïdie, le diabète…) ;

de nombreuses maladies neurologiques : neuropathie du diabète, de l'intoxication alcoolique, maladie neurologique dégénérative comme la sclérose latérale amyotrophique (paralysie musculaire progressive)... la cirrhose ;

certaines intoxications (métaux lourds, venin d'animaux…)

      

13 octobre 2023

Le 15 septembre 2013...

GSM

 

Mes chers compatriotes, de Marseille, de métropole, d'outre-mer et de l'étranger,

Je pense que nous pouvons être fiers de ces universités d’été.

Vos interventions, vos contributions, vos réflexions, à toutes et à tous, sont pour moi une matière utile. J’ai toujours besoin de ce terreau, le terreau fertile de vos idées, pour continuer à enrichir mon projet pour la France !

Merci à tous les intervenants ! Et bravo !

La réussite de ces universités, c’est un événement en soit, mais c’est aussi la poursuite d’une dynamique.

Comme vous, je la vois à l’œuvre depuis quelques années déjà, mais je la sens accélérer.

Nous avons continué en 2013, année pourtant sans élection, un très sérieux travail de fond.

Et nous avons connu depuis le début de l’année beaucoup de succès.

Je ne parle pas des sondages, qui montrent bien entendu une adhésion croissante à nos idées, et nous laissent espérer de grandes réussites aux élections à venir. Toujours nous progressons, toujours nous montons ! Bien sûr nous nous satisfaisons des bons chiffres que nous prenons comme des encouragements.

Mais je veux surtout parler de nos réussites concrètes, celles qui ont jalonné les derniers mois et qui ont renforcé la place du Front National.

Je pense bien entendu aux élections partielles.

L’élection de l’Oise d’abord, que notre candidate Florence Italiani a failli remporter ! Cette élection a fait date parce qu’elle a montré que nous avons maintenant des capacités de progression et de rassemblement qui surpassent toutes les prévisions !

Et je pense aussi à l’élection de Villeneuve-sur-Lot où Etienne Bousquet Cassagne a plus que fait trembler l’UMPS ! Alors que tous les partis du système s’étaient ligués contre sa candidature, il a lui aussi fait exploser les compteurs.

Ces deux partielles sont une extraordinaire motivation pour nous, le camp des patriotes !

Elles montrent que le soi-disant front républicain est mort, que la funeste bipolarisation de la vie politique est enterrée et surtout, que les électeurs, de plus en plus, adhèrent à nos idées, que le vote Front National, moins encore que les autres, n’est un vote protestataire, mais, au contraire, qu’il est un vote positif, d'adhésion, assumé, plein d’espoir !

Et notre succès, en cette année 2013, peut-être le plus grand, c’est d’avoir approfondie notre présence dans tous les débats politiques, dans les débats entre Français, d’être incontournable puisque, vous le voyez bien : quel que soit le sujet abordé, nous sommes au centre des discussions.

A tel point que le Parti Socialiste, toujours bien inspiré par Rantanplan Harlem Désir, a choisi de consacrer son université d’été, non pas au chômage, non pas à la croissance, encore moins à chercher des solutions pour améliorer la vie des Français, mais au Front National !

Voilà le Parti Socialiste qui veut se lancer dans la « déconstruction » de notre programme ! Mais c’est bien la preuve, mes chers amis, que notre programme est au cœur de toutes leurs préoccupations ! Qu’ils viennent, nous les attendons avec gourmandise !

Et l’UMP aujourd’hui comme hier, par la bouche cette fois de François Fillon, parle de nous, parle de nous sans relâche. Oh, elle parle aussi beaucoup d’elle l’UMP, ça on ne peut pas lui enlever. Elle passe même son temps à se regarder le nombril.

A l’UMP, on se regarde aussi beaucoup les uns les autres, en chiens de faïence ! Mais à l’UMP, la vraie préoccupation essentielle, c’est le FN ! C’est notre progression ! Et c’est l’adhésion croissante des Français à nos idées !

Oui, mes chers amis, l'obsession qu'ils ont pour nous est un nouveau point commun entre le PS et l'UMP, un énième point commun et c’est un aveu de taille de leur part. L’aveu que la seule chose qui les inquiète n’est pas l’aggravation de la situation personnelle de chaque Français, mais la défense de leurs intérêts électoraux et politiciens.

Ça, pour sauver leurs postes, leurs fauteuils, leurs mandats, ça cogite, ça blablate, ça se réunit. Les Français eux… attendront !

Alors si nous sommes aujourd’hui si hauts,

si nous sommes aujourd’hui aussi présents dans le cœur et l’esprit des Français,

si nous sommes de plus en plus capables de rassembler les patriotes et représentons objectivement la seule force politique porteuse d’espoir,

si tous les regards convergent vers nous,

si nos anciens, qui ont une longue expérience de la vie politique, sont en train de nous rejoindre en masse, et qu’ils comprennent où est la sincérité et où se cachent les mensonges, ce n’est pas le fruit du hasard.

J’entends parfois dans la bouche de certains commentateurs partisans, ces petites phrases, ces petites analyses de comptoir, presqu’aussi méprisantes qu’indigentes, qui consistent à conclure par paresse intellectuelle que le Front National ne progresse que parce que la situation de la France se détériore.

Ces réflexions (qui leur évitent de se remettre en cause) sont aussi la conséquence de la peur du système pour lui même.

Ce système qui sent bien qu’il est à bout de souffle, en bout de course ; il ne pense plus, il rabâche, il n’argumente plus, il radote et fini par renvoyer sa véritable image comme le célèbre portrait de Dorian Gray- sclérosé, rabougri, desséché.

Face à eux, nous représentons la vie, l’énergie, l’imagination, l’espérance, une nouvelle jeunesse pour la France.

Et chacun s’accorde à constater que nous menons une action de grande ampleur, pensée, sérieuse, méthodique, et que nous gagnons en efficacité.

Notre stratégie est payante. Elle nous fait entendre et comprendre, elle nous permet de rassembler un nombre croissant de Français. Et comme nous devons aller plus loin, comme nous devons connaître davantage de succès électoraux, comme nous avons de très hautes ambitions pour les scrutins de 2014, et les suivants, nous devons poursuivre et intensifier notre stratégie

Cette stratégie, qu’elle est-elle ?

Notre stratégie, c’est d’abord la mise en action d’un principe très simple : toujours privilégier les intérêts de la France et du peuple français. A la différence de beaucoup d’autres, nous ne nous inféodons à personne. Nous sommes indépendants, et de cette indépendance, nous tirons notre discours de vérité ; nous sommes toujours ceux qui cherchons ce qui est bon pour la France et les Français.

C’est pour cela que nous ne sommes affiliés à aucun camp : ni la droite, ni la gauche, toutes deux en échec parce que partisanes. Notre seul camp, c’est celui de la France !

Notre stratégie, c’est aussi de parler de tous les sujets, et de faire des propositions sur tous les sujets. Aller sur tous les fronts. Il n’y a plus un domaine du débat public où nous ne soyons présents.

Et beaucoup dont nous sommes les seuls à parler, imposant le débat, sans tabou : l’Europe, l'euro, la mondialisation, l’immigration.

Notre stratégie, c’est aussi d’aller partout sur le territoire, à la rencontre de tous les Français, quels qu’ils soient, d’où qu’ils viennent. Pour les municipales, nous voulons des listes partout en France, et je vous annonce qu’à cette date 623 têtes de listes ont déjà été investies !

Vous savez aussi que j’ai entamé début 2013 un tour de France des oubliés, au plus près des réalités des Français, dans toute la France, de toutes les conditions sociales, il m’a permis de constater à quel point dans nos campagnes, dans nos lointaines banlieues, dans tous ces coins de France méprisés de tous nous sommes attendus, nous sommes espérés !

J’achèverai bientôt ce tour de France à Brachay, petit village où je me suis déjà rendue pendant la présidentielle, village symbole de l’oubli dans lequel des pans entiers du territoire se trouvent.

Et notre stratégie enfin, ne l’oublions pas, parce que c’est aussi le cœur de nos ambitions, c’est une volonté farouche de rassembler les Français.

Droite et gauche divisent, fragmentent la société. Par leurs mensonges, par leurs échecs, par leurs tactiques permanentes de communication et de diversion. Nous sommes à l’inverse les garants de l’unité nationale, nous luttons contre les ferments de la division.

Parce que nous n’avons qu’un seul crédo : unis les Français sont invincibles.

Je crois profondément à cette idée : je crois que les Français peuvent tout quand ils ont confiance en eux, et qu’ils se sentent profondément unis, en la France.

Mais je sais aussi, malheureusement, l’état actuel de désespérance de la société française.

Je sais que depuis l’élection de François Hollande, la déception face à la gauche ressemble étrangement à la déception éprouvée face à la droite auparavant.

Je sais le dégoût qu’inspire aujourd’hui la classe politique, inconsistante et inconséquente, à la plupart des Français.

Je sais qu’ils sont atterrés devant ce concours du pire auxquels se livrent UMP et PS, Nicolas Sarkozy puis François Hollande. Je les comprends.

Je sais les ravages de l’insécurité. Si forte ici à Marseille qu’on peut parler de parties du territoire national désormais hors de la République, hors de l’Etat de droit.

Je sais le retour aux féodalités, à la barbarie, et je sais que chacun en souffre, parfois dans sa chair.

Vous en savez quelque chose à Marseille. Les règlements de compte ne sont que la partie la plus voyante d’une insécurité quotidienne et les ministres ne viennent que pour la photo.

Monsieur Valls réunit les élus qui, depuis quarante ans, montrent leur incompétence dans le cadre d’un « pacte », comme le terme est bien choisi ! Il n’en oublie aucun, y compris ceux mis en examen ou condamné à de la prison ferme.

On finira même par être flatté d’avoir été écarté par Monsieur Valls de cette énième pitrerie car, bien évidemment, il a refusé de convier le Front National qui ne représente, il est vrai, qu’un ¼ de la population !

Monsieur Valls craignait d’entendre Stéphane Ravier exposer les solutions que les Français attendent.

Il n’y a pas d’exception marseillaise. Il n’y a qu’une préfiguration marseillaise. Il suffit de lire les faits divers. La gangrène criminelle s’étend peu à peu à toute la France. Aujourd’hui, même les campagnes et les bourgs ruraux ne sont plus épargnés.

Et n’en déplaise à Monsieur VALLS, les chiffres parlent même s’il cherche à les faire taire et la violence s’apparente de plus en plus à un terrorisme des rues dont le but est, certes, de voler ou de tuer mais aussi de terroriser la population avant de la soumettre.

Je mesure plus que jamais à quel point la France est déstabilisée.

Je sais à quel point la France est aujourd’hui déstabilisée, dans ses rapports humains, profondément dégradés, je viens de parler de l’insécurité, je pourrais aussi parler de l’immigration, du communautarisme, de l’affaissement de l’identité française, bref de tous ces maux qui ruinent notre capacité collective à la fraternité et à l’unité.

La France est déstabilisée dans ses valeurs profondes que les politiques de droite comme de gauche remettent en cause.

Déstabilisée dans le rapport au travail, aujourd’hui souvent une souffrance, dans le chômage, la précarité des salariés (la part des embauches en CDD s’est élevée à près de 82 % au 3ème trimestre 2012), le sentiment de ne plus récolter le juste salaire devant les profits exorbitants des grandes sociétés, devant les gains sans limite de la finance internationale, de la spéculation, de la banque.

Déstabilisée car terre sans usines qu'on voudrait sans avenir !

La France est déstabilisée dans tout ce qui fait sa noblesse et sa grandeur.

Aujourd’hui, la France est rabaissée, sans cesse.

La France ne peut plus rien.

La France n’est plus rien.

On ne peut plus rien faire sans penser "Etats-Unis" ou "Europe". Politique étrangère, souveraineté économique, culture, éducation, modèle social, plus rien de ce qui était autrefois une part constitutive de la grandeur française ne semble pouvoir exister aux yeux d’élites ou pour l’ailleurs les yeux de Chimène.

Je pourrais vous parler de tout cela pendant des heures tant cette petite boutique des horreurs politiques m’indigne.

Mais je ne le ferai pas.

Je ne suis pas là pour me lamenter avec vous sur la bassesse de ceux qui nous gouvernent depuis 30 ans. Je ne suis pas là pour faire des constats, continuer de regarder, de déplorer bien sûr, la nuit qui tombe sur la France.

Non, je veux vous dire aujourd’hui ce qu’il est possible de faire.

Je ne supporte plus comme vous le discours sur le « ce n’est pas possible ». Je ne veux pas que vous désespériez, et je veux porter un espoir.

Je sais que la France a besoin de nous. Je sais que la France compte sur nous, pour que nous puissions bientôt, au pouvoir, la remettre d’aplomb. Alors je veux dire aujourd’hui, par votre intermédiaire, à la France, quelle est ma perspective française.

 

Les 4 grands axes de la perspective française

Une France libre

Il faut d'abord à la France retrouver sa liberté. Sa liberté en tant qu’État, sa liberté en tant que Nation.

Une France libre, c’est une France souveraine et indépendante!

Deux notions inextricablement liées : de l’une, la souveraineté, dépend la réalité politique -pour ne pas dire métaphysique- de notre pays, de l’autre, l’indépendance, dépend sa grandeur.

C’est dans les choix de politique étrangère que s’exprime l’indépendance d’un pays. Cela ne signifie pas avoir en toute circonstance un avis contraire et opposé à celui de nos voisins ou alliés, mais cela signifie que l’on doit être capable d’avoir un avis différent.

La France ayant ses propres intérêts à défendre, elle ne peut et ne doit définir sa politique étrangère qu’en fonction d'eux.

Cette diplomatie forte et indépendante –et devrais-je dire forte CAR indépendante !- est celle qui a caractérisé la voix de la France dans le monde pendant des décennies, et qui a fait de notre pays un modèle pour les peuples qui aspiraient à retrouver le chemin d’une souveraineté nationale !

Oui, je le crois, il y a quelque chose de français dans l’attitude de l’Inde, de la Chine, de la Russie, du Brésil, de l’Argentine ou encore du Vénézuela, à travers cette capacité à dire « non » aux puissants quand leurs intérêts sont en jeu.

Refus de l’atlantisme, volonté d’être une puissance d’équilibre, nécessité de l’existence d’un monde multipolaire. Il existait jusqu’à peu bon gré, mal gré, une certaine constance dans la diplomatie française. Il n’en est plus rien.

Elle fut brisée d’abord, par Nicolas Sarkozy : alignement systématique de la France sur les Etats-Unis, réintégration du commandement intégré de l’OTAN, réorganisation de nos implantations militaires à l’étranger loin des zones de notre influence naturelle, de l’Afrique vers le Moyen-Orient.

Affaiblissement impardonnable de nos armées et réduction de leur format. En 2011, la France se rendait complice de l’assassinat d’un dirigeant étranger et plongeait la Libye dans un chaos islamiste dont elle ne s’est jamais relevée.

Pour la première fois depuis longtemps, un président de la République déshonorait la France à l’international. Nous nous rassurions alors comme nous pouvions, Sarkozy ne devait être qu’une « parenthèse » dans l’histoire de France.

Hélas encore, nous nous trompions.

La France aujourd’hui, ridiculisée comme jamais par des dirigeants incompétents, incohérents et nuisibles, récidive en Syrie.

Qui aurait deviné, que sous ses airs placides de modeste président du conseil général de Corrèze, François Hollande cachait un belliciste aussi zélé ? Plus soumis encore à Obama que Tony Blair en son temps à Georges W.Bush.

Cette soumission est telle que l’on devine même chez les Américains une forme de gêne, et chez certains Anglais une évidence de jalousie, semblable à celle de l’épouse légitime envers la maîtresse…

Plus inquiétante encore est notre soumission à des pays qui n’ont avec nous aucun lien historique ni culturel, seulement des liens d’argent sonnant et trébuchant et dont l’ensemble de la politique internationale vise à armer le fascisme vert, je veux parler de l’Arabie Saoudite et du Qatar.

Ces deux pays, arrière-garde de tous les mouvements jihaddistes internationaux, alimentent, à force d’armes et d’argent, le terrorisme et la guerre non seulement en Syrie, mais aussi au Sahel, en Afghanistan ou bien en Libye. La France, maitresse des USA, devenue catin d’émirs bedonnants…

Très clairement, je romprai avec cette diplomatie du renoncement et de la servitude !

Je redonnerai sa voix à la France, son rôle spécifique dans le monde !

Toute mon action portera au service de ses intérêts et de ses intérêts seuls.

Je renouerai des partenariats privilégiés avec toutes les zones d’influence du monde et je ne permettrai à aucun pays de décider à la place de la France qui est fréquentable et qui ne l’est pas.

Une diplomatie forte suppose également un outil militaire et de renseignement digne de ce nom. Une armée pleinement autonome, sans carence capacitaire, dotée des moyens matériels et humains nécessaires.

Je reconstituerai un arsenal militaire à la hauteur des ambitions que je nourris pour la France et je graverai dans le marbre de notre Constitution cette limite minimale de 2% du PIB pour notre budget militaire !

N’oublions jamais : l’industrie de défense ce sont des centaines de milliers d’emplois et l’un des plus puissants moteurs de la recherche et du progrès technologique ; il s’agit d’un investissement d’avenir par excellence !

La politique d’indépendance que je porte a eu ses modèles, et ses antécédents ont souvent couvert d’honneur et de gloire l’histoire notre pays.

Et la vérité nous oblige à nous souvenir qu’il fut un temps pas si lointain où la France se devait seulement d’être française, ni américaine, ni soviétique. Libre de ses choix politiques, maitresse de son destin. Un temps où notre pays était armé moralement, politiquement, économiquement et bien sûr militairement.

Il fut un temps pas si lointain où, aussi profondes que fussent ses plaies, la France était souveraine. Des Institutions fortes, une monnaie, des frontières, une armée gagnant en puissance. La France avait tous les attributs de la souveraineté. Elle pouvait traduire sa volonté politique en actions concrètes, toujours au service de ses intérêts.

Alors, ne venez pas me dire que ça n’est pas possible !

Vous l’avez compris, nous avons donc le double devoir impérieux de récupérer et notre indépendance et notre souveraineté ! Ce qu’assurément je ferai, à l’instant même où le peuple français m’aura donné sa confiance!

La souveraineté n’est pas un artifice de communication, un gadget ou un slogan électoral. C’est LA donnée fondamentale de tout pouvoir politique, de tout pouvoir qui prétend en être un. Elle n'est surtout pas dépassée, elle est l'instrument du futur, du rebond et de la liberté !

Regagner notre souveraineté c’est retrouver notre liberté législative quand l’essentiel de nos lois sont décidées à Bruxelles et imposées aux Français à leur insu ou contre leur gré.

c’est retrouver notre liberté budgétaire : la dernière des prérogatives qu’il restait aux parlementaires, qu’ils ont eux-mêmes transférée à la Commission européenne, pour faire mine aujourd’hui de batailler entre eux sur un budget dont ils n’ont plus la maitrise.

c’est retrouver notre liberté monétaire pour qu’enfin la France ait une monnaie adaptée à son économie, et qu’elle retrouve la possibilité de financer sa dette aujourd’hui laissée à des marchés financiers prédateurs ;

c’est retrouver des frontières -enfin !-frontières économiques pour mettre en œuvre un protectionnisme intelligent, ainsi que le font l’immense majorité des pays du globe, frontières migratoires pour contrôler les flux humains et lutter contre les trafics et les réseaux criminels Tout cela mes amis, suppose la remise en cause sans délai de l’Union Européenne.

Et parce que je crois en la démocratie, je me tournerai vers les Français par référendum pour leur demander leur avis sur notre appartenance à l'Union européenne !

Et sans délai, je ferai retirer les drapeaux européens, aujourd’hui symbole de soumission, de nos édifices publics et j'y mettrai partout des drapeaux nationaux !

Ainsi, je ne parle pas de l’Europe pour le plaisir de parler de l’Europe. Mais parce qu’il faut que les Français soient plus nombreux à comprendre qu’on ne peut rien faire sans défaire cette Union Européenne.

La souveraineté c’est aussi la reconnaissance d’un souverain, au-dessus duquel rien ni personne ne porte. En France ce souverain, c’est le peuple !

Or l’Histoire a montré que son autorité n’était pas absolue, quand de serviles parlementaires se sont autorisés à bafouer sa volonté, commettant une faute si lourde qu’ils n’en paieront probablement jamais le prix.

En adoptant en 2008 un Traité européen contraire à la volonté populaire librement exprimée moins de trois ans plus tôt, ces parlementaires se sont rebellés contre leur souverain légitime!

Ce précédent est le coup le plus rude jamais porté à la Démocratie depuis la Seconde Guerre mondiale.

En conséquence de cette trahison, je retirerai au Parlement son pouvoir constituant, qui sera désormais l’apanage exclusif du peuple. Aucun texte fondamental, ni aucun Traité européen ne pourra plus passer sans l’accord du peuple souverain.

Je mettrai par ailleurs en place un véritable référendum d’initiative populaire, pour que les Français, par eux-mêmes, se saisissent, s’expriment et tranchent les questions de leur choix.

Mes amis, d’une certaine manière notre tâche est autrement plus ardue que les épreuves du passé.

Nous combattons un ennemi que nous ne voyons pas et qui pourtant chaque jour remporte de nouvelles victoires.

Le projet est connu, mais ses auteurs se cachent : détruire la France, son identité et son pouvoir, pour lui substituer une entité supranationale et illégitime, au service exclusif du Marché et des puissances d’argent.

Nous évoluons dans un monde pernicieux, dominé par le mensonge, par la communication où le pouvoir, subrepticement, est passé des mains du peuple à celles d’individus non-élus. Des gens parfaitement étrangers au destin de la France et qui ont pu compter sur l’extraordinaire servitude d’une élite française indifférente au sort de la Patrie.

Nous nous battons contre des forces aux capacités redoutables, mais qui n’ont cependant pas encore mesuré la puissance intrinsèque du peuple français, quand celui-ci reprend la conscience de lui-même et de son unité !

Une France sûre et unie

Une France libre à l’extérieur ne peut être qu’une France sûre à l’intérieur.

Car la première des libertés individuelles est la sûreté, la liberté d’aller et de venir. Et il n'y a aucune fatalité à ce que nous vivions dans une société de plus en plus conflictuelle, de plus en plus barbare, de plus en plus anxiogène. La France doit redevenir sûre parce qu'il en va de notre cohésion nationale, de la sécurité des plus vulnérables et de notre prospérité !

Je veux que tous les Français et aussi, je le dis avec force, toutes les Françaises puissent circuler librement, en toute sécurité et partout sur notre territoire national, dans tous les quartiers de nos villes, à toute heure du jour et même de la nuit.

Assez de ces zones où le seul droit est celui des délinquants et des trafiquants

Assez de cette extension du domaine de l’insécurité par des bandes organisées de cambrioleurs itinérants !

Assez de ces rodomontades ministérielles qui n’arrivent même plus à dissimuler le laxisme d’État, hier comme aujourd'hui !

Je veux en finir avec la politique de l’excuse.

Je veux en finir avec la pseudo-pédagogie de Madame Taubira, ou avant elle de Madame Dati, et de tous leurs alliés en bien-pensance, qui fournissent les rangs de l’UMPS.

La sanction doit être appliquée dès la première transgression de la loi, dès le premier délit, même le plus petit.

La sanction doit toujours être appliquée, et vite, surtout pour les mineurs. Il faut bannir toute impression d’impunité.

Parce que la sanction est aussi éducation. Sans sanction, aucune éducation n’est possible.

J’ose le dire : la sanction, la sanction réelle, la sanction appliquée est la meilleure des dissuasions, la meilleure des préventions.

J’ose aussi rappeler à Madame Taubira une évidence claire : au moins pendant le temps de l’incarcération, la société est protégée de la récidive.

Et parce que la sanction, c’est la justice que l’on rend à la victime. N’oublions jamais la victime. Pensons d’abord à elle ! Et ensuite seulement au délinquant, ou au criminel.

D’où vient cette insécurité grandissante ?

De ce laxisme d'Etat avec lequel je romprai. Mais aussi pourquoi le nier de l’immigration, de l’immigration massive, de l’immigration incontrôlée, de l’immigration favorisée.

200 000 entrées légales chaque année depuis 10 ans, et combien de clandestins ?

Je le dis et ne fais que dire une évidence juridique : chaque clandestin est un délinquant. Dans un État de droit, être sans papier est un délit.

Or, c’est aujourd’hui un délit sans peine et même, disons-le, un délit rémunérateur et quasiment récompensé.

Aide sociale, logement d’urgence social, scolarisation gratuite, AME, autant de pompes aspirantes qui finissent par rendre la situation hors contrôle et la situation du délinquant plus appréciable que celle des honnêtes gens.

En nous privant avec Schengen du contrôle de nos frontières, l’Union européenne nous a privé aussi de notre capacité à assurer notre sécurité.

Et, à partir du 1er janvier prochain, ce sera encore pire.

Les Roms seront chez eux en France avec l'ouverture totale des frontières avec la Roumanie et la Bulgarie. Ils deviendront inexpulsables. Ces pompes aspirantes marcheront alors à plein régime avec des conséquences inédites.

Les Français doivent exiger l’abrogation de Schengen et ne pas accepter de plier devant les apôtres du laisser-aller, du laisser-faire, du laisser-venir.

Quant au droit d’asile, il est aujourd’hui totalement dévoyé, devenu une vulgaire filière nouvelle d’immigration clandestine, ayant subi une hause de 74 % dans les 5 dernières années.

Je demande d’ailleurs l’abrogation immédiate de cette loi qui oblige les préfets à loger, pendant le temps d’instruction de leur dossier, soit en moyenne 18 mois !, les étrangers en attente d’un éventuel statut de réfugiés politiques et ce avant les citoyens français.

Je demande que les prestations familiales soient réservées aux Français, quelle que soit leur religion ou leur absence de religion, quelles que soient leurs origines ethniques ou la couleur de leur peau, mais aux seuls Français, aux seuls qui ont la nationalité française !

Je demande que les emplois, en ces temps de chômage, soit accordés en priorité aux Français. Et ma conception est la même pour les logements sociaux, au nom d'une saine justice.

Je demande que les Français ne soient pas obligés d’abonder au train de vie des criminels et des récidivistes d’habitudes. Il faut dont leur supprimer les aides sociales.

A fortiori quand le délire fiscal qui a fait créer en deux ans à Nicolas Sarkozy et François Hollande 84 taxes nouvelles- près de 30 milliards d’alourdissement fiscal chacun- payées par des Français aujourd’hui sur la paille.

Je demande que les travailleurs français soient protégés contre toutes les concurrences déloyales à commencer par celles dont ils sont victimes sur le territoire national.

Je demande enfin une politique de prévention qui repose sur les fondements mêmes de la République.

C’est bien beau d’afficher une charte de la laïcité dans toutes les écoles de France. Mais ce simple geste est déjà l’aveu d’un échec.

Plus d’un siècle après la loi de 1905, il faut écrire noir sur blanc des principes qui étaient il y a encore 20 ans des évidences.

Quelle force aura cette charte alors que la Cour de Cassation, en vertu des directives européennes, à condamné la crèche Baby Loup qui avait licencié une salariée qui portait le voile alors que l’on n’a même pas été capable de protéger le personnel de cette crèche qui, sous les menaces de représailles, a du déménager !

Et puis, le texte de monsieur Peillon ne prend pas en compte la réalité de l’histoire de France, la réalité de notre culture. Pour comprendre la nation française, la République française, il faut connaître et admettre ses fondements chrétiens.

N’en déplaise à certains.

D’ailleurs, aucun problème concret n’y est abordé, ni la nourriture hallal dans les cantines scolaires, ni le voile à l’université, ni la séparation des sexes dans les piscines.

Cette opération de com est encore un aveu que le système se complait dans la politique de l’affichage.

Cette « charte pour rien » ne peut mettre fin à ce multiculturalisme qui fragmente la population de la France selon la religion et les origines.

La Grande-Bretagne, les Pays-Bas, l’Allemagne et même les Etats-Unis constatent l’échec du multiculturalisme et de la discrimination dite positive.

En France, la droite archaïque et la gauche obsolète n’ont encore rien appris, rien compris. L’UMP et les centristes se sont empressés d’apporter leur soutien au socialiste Peillon, espérant benoitement qu’un bout de papier punaisé dans un préau puisse régler les problèmes qu’ils ont créés.

Voilà quarante ans, de Valéry Giscard d’Estaing avec son regroupement familial à François Hollande avec ses naturalisations pour tous, droite et gauche encouragent cette immigration massive, pour le plus grand plaisir du MEDEF et des grands patrons voraces.

Et bien ce n'est pas l'avenir que je veux pour la France !

L’assimilation à la nation française est indispensable et elle ne se fera qu'en arrêtant l'immigration légale et clandestine, en rappelant des règles claires et fermes et en redonnant à chacun la fierté d'être français!

Dans le même temps, ils démantèlent l’École de la République, creuset culturel, outil de l’assimilation de tous les Français dans un seul espace public national. Là non plus il n'y a aucune fatalité.

Je veux une École qui transmette les savoirs.

Je veux une École qui transmette notre histoire.

Je veux une École qui apprenne le respect, à commencer par celui des enseignants.

Je veux une École qui s’accroche au bon sens et qui tourne le dos aux dingueries pédagogistes.

Une école de la tranquillité, de la sécurité, de la sérénité.

Je veux en un mot le redressement de l’École de la République.

Je sais que nos amis du Collectif Racine, regroupement d’enseignants, de professeurs, amoureux de l’école et de la France, s’y emploient avec passion et rigueur. Qu’ils aient tous nos encouragements, et vos applaudissements !

La France est une et indivisible. C’est cette France que j’aime. C’est cette France que nous aimons. Cette France où nous sommes tous égaux dans l’espace public, où chacun d’entre nous est libre dans la sphère privée, où peut alors régner une harmonie fraternelle.

C'est cette France unie que je défends.

Cette France qui mettra fin aux haines et aux divisions, cette France qui fera passer le rouleau compresseur républicain et qui bannira le communautarisme.

Cette France rassemblée qui ne reconnaîtra qu'une seule communauté, la communauté nationale !

Cette France qui n’aura pas peur de s’aimer et de s’afficher.

Cette France de la fraternité entre les Français, où toutes et tous ne seront que Français, et rien que Français !

 Une France prospère

Ma perspective française, c'est cette France sûre et unie, et c'est aussi naturellement une France prospère, une France redressée, une France innovante, industrielle, agricole, une France qui se retrousse les manches, une France au travail qui offre un emploi à chacun et qui cesse de se faire marcher sur les pieds dans la mondialisation !

Pas de perspective française, pas d'avenir pour nos jeunes, pas de dignité pour nos anciens, sans redressement économique et social !

La terre de France je ne la crois pas un instant condamnée à n'être qu'une vaste friche industrielle ou un terrain de jachère. Je ne me résous pas à ce que les files d'attente devant Pole Emploi soient plus fournies que celles devant les grilles de nos usines!

Je crois profondément au génie français. J'ai une confiance totale dans nos savoir-faire, la formation d'excellence que nos écoles savent encore donner. J'ai la certitude que si on lui propose un grand dessein le peuple de France, étudiants travailleurs, retraités, créateurs, chercheurs aura à cœur de travailler d'arrache-pied pour se relever !

Alors, oui mes chers compatriotes, je fixe en matière de prospérité trois grands objectifs, et je ne fais qu'une seule promesse : tout mettre en œuvre pour les atteindre !

Ces trois objectifs sont simples : redonner du travail au Français, remettre la justice là où il n'y a plus qu'injustice, et faire de la France un pays qui produit !

Ces objectifs - le travail, la justice, la production - ne sont pas des mots lancés en l'air. Et bien sûr, on ne les atteindra pas par je-ne-sais-quel-miracle, en claquant des doigts, ou en répétant ad nauseam les mêmes mensonges sur une croissance mirage qu'on invente de toutes pièces pour tromper et tromper encore une opinion publique légitimement en colère !

Ces objectifs - travail, justice, production - tranchent avec les discours lénifiants de ceux qui ont tout échoué depuis si longtemps mais qui par la grâce d'un retour aux affaires voudraient nous faire croire qu'ils peuvent donner des leçons de compétence.

Nous mettrons tout en œuvre, dans la clarté et la vérité, pour remplir ce contrat que je passe avec les Français.

Un contrat exigeant mais qui mérite de le porter de toutes nos forces.

Ce que je veux c'est une France qui tienne son rang face à la mondialisation sauvage. Une France qui retrouve des muscles pour faire valoir ses atouts et protéger ses intérêts.

C'est la grande bataille que je lancerai pour le protectionnisme à nos frontières nationales, un protectionnisme intelligent, tarifaire et non tarifaire, qui visera à rétablir une concurrence juste quand aujourd'hui elle est déloyale, quand aujourd'hui sans aucun respect pour quelque norme que ce soit :

  • on devrait laisser sans rien dire des productions venues d'Europe de l'Est, de Chine ou d'ailleurs submerger notre marché national,
  • ou l’on devrait sans réagir laisser délocaliser nos productions ou nos services, ou encore comme dans le bâtiment ou le transport par exemple, laisser nos entreprises et nos salariés être, sur notre propre territoire, victimes d’un dumping social féroce.

Pas de réindustrialisation sans protectionnisme, c'est à dire sans sortir de cette attitude naïve et suicidaire face à des concurrents qui eux n'hésitent pas à défendre et protéger leurs intérêts.

Et parce que je ne vous ai fait qu'une seule promesse : tout mettre en œuvre pour atteindre mes objectifs, je ne reculerai devant rien, et certainement pas devant les oukases ultralibéraux des grands prêtres de l'Union européenne, qui depuis des années se noient dans les mensonges de leur idéologie, mais n'ont pas le droit d'y noyer les peuples avec eux !

Pas d'emploi, pas de production, et donc pas de justice sans stopper la machine à aspirer l'industrie française, mais aussi l'industrie espagnole, italienne, irlandaise, portugaise : l'euro !

Monnaie unique, monnaie inique, invention allemande qui correspond provisoirement aux intérêts de l'Allemagne, ou plus exactement aux intérêts du grand patronat allemand, mais qui défait nos pays, qui défait, vide de son énergie industrielle et agricole la France. Machine à détruire notre compétitivité et nos exportations, à fabriquer du déficit.

Oui, je refuse les discours déclinistes des adeptes du surplace et de l'immobilisme.

Si le protectionnisme est possible dans un si grand nombre de pays du monde, il le sera demain en France, dans une France souveraine !

Si 95% des nations maîtrisent leur monnaie et leur politique monétaire, la France aura les capacités de le faire elle-aussi demain ! Comme elle l’a fait durant des siècles hier.

Je refuse de voir mon pays mourir pour les beaux yeux de la Banque centrale de Francfort.

Je refuse qu'on fasse croire aux Français que le changement serait impossible pour mieux leur faire avaler la pilule d'une idéologie moribonde.

Si le patriotisme économique ne plaît pas à l'Union européenne, et bien nous nous passerons de l'Union européenne, parce que nous voulons le meilleur pour la France!

Une France qui crée de l'emploi, de la justice, une France qui produit, c'est une France qui demain demandera par une loi à son Etat, à ses collectivités locales, à ses entreprises publiques d'acheter en priorité français !

C'est une France qui n'obéira plus aux directives insensées d'une Europe qui veut privatiser tous ses services publics, qui veut faire entrer la loi de l’ultrarentabilité et à tout prix notamment au prix de l’égalité des citoyens et, en réalité, de la prospérité des consommateurs.

C'est une France qui valorisera le travail, par une fiscalité beaucoup plus juste, pour les ménages comme pour les PME.

Une France qui n'acceptera plus de voir des retraités vivre dans des conditions indécentes.

Une France qui protégera l'environnement parce qu'elle produira sur place et non parce qu'elle aura créé 36 taxes verdâtres !

Une France qui refusera la dictature de la finance aujourd'hui maîtresse et des banques d'affaire, parce que sa Banque Centrale sera souveraine, parce que son État aura un cap, parce que les lobbies auront été dégonflés et la corruption remplacée par la probité et le sens du service !

Une France tournée vers l'avenir, avec son Etat comme socle solide, des muscles pour se battre et l'intelligence collective de son peuple pour avancer et inventer sans cesse !

Une France sûre d'elle-même

Mais, quand nous dessinons les perspectives françaises, nous voyons que le pire poison, mes chers compatriotes, c'est le manque de confiance en soi, c'est la dépréciation de soi, de son propre pays.

Et l'antidote à ce poison, c'est l'espérance française. Cette espérance que je partage avec vous aujourd'hui pour redonner confiance à tout un peuple, à mon peuple.

Lui redonner confiance en lui, redonner à tous les Français la maitrise de leurs lendemains et le sentiment de leur profonde utilité.

Confiance dans nos capacités individuelles et collectives. Confiance dans notre avenir, dans notre destin, dans nos forces et nos atouts !

Confiance, oserai-je dire, dans la bonne étoile qui guide la France depuis des siècles et la hissera à nouveau demain aux premiers plans.

Nous sommes la France !

Prenez conscience de ce que cela signifie, des millénaires d'histoire qui nous précédent, prenez conscience de l'éclat de ce nom dans le monde entier, de la gloire qu'il porte, du respect que partout il inspire, de l'honneur que nous ressentons d'en être !

Oui nous sommes la France !

Nous sommes ce pays qui peut compter sur un peuple de bon sens quand ses élites ont trahi.

Un pays unique, une nation politique, la plus politique d'entre toutes les nations du monde. Un pays qui abat l'impossible quand il est uni, rassemblé.

Nous ne sommes pas le passé, nous ne sommes pas petits, nous ne sommes pas moyens, nous ne sommes pas un musée, nous ne sommes pas une région d'Europe, nous ne sommes le vassal de personne.

Je ne veux plus qu'aucun Français en doute !

Je vous demande mes chers compatriotes de ne pas laisser vos pseudo-élites salir votre pays, et de vous battre avec la première des énergies pour faire respecter votre droit à la fierté.

Ce n’est pas le peuple français qui est faible, ce sont nos élites qui l’affaiblissent.

Ce n’est pas le peuple français qui désespère, ce sont nos élites qui nous désespèrent.

Le peuple français n’a pas peur, ce sont nos élites qui nous font peur.

Ce n’est pas le peuple français qui manque de courage, ce sont nos élites qui le découragent.

Oui, vous avez droit d'être fiers de vous, d'être fiers de votre pays. Ce n'est pas honteux, ce n'est pas criminel, c'est au contraire indispensable, et c'est ainsi que nous rayonnerons !

Je me battrai contre tous ceux qui, au plus haut niveau, n'ont de cesse de rétrecir leur propre pays, qui de gré ou de force veulent le maintenir dans la médiocrité ou l’asservissement.

Nous sommes la France, nous sommes l'avenir, nous sommes nécessairement la grandeur parce que nous sommes la France !

Mes chers compatriotes, sûr de soi ne veut pas dire seul. Sûr de soi ne veut pas présomptueux. Sûr de soi ne veut pas dire irréaliste. La confiance est d'abord le reflet de l'amour que l'on porte à sa patrie.

Si la France chasse de sa tête les oiseaux de mauvais augure et les velléitaires de gauche et de droite, les portes de l'avenir lui seront grand ouvertes.

Voilà pourquoi je vous demande de croire en vous ! Et voilà pourquoi je mettrai fin à toutes les repentances !

Je ne supporte pas qu'on symbolise, par des repentances aussi inutiles, mensongères que blessantes, la volonté de rabaisser la France, cet acteur du monde qui toujours s'est battu pour l'opprimé et l'asservi et qui est encore, malgré ses dirigeants, symbole de liberté dans le monde.

Voilà pourquoi je remettrai l'enseignement de l'histoire de France au cœur des programmes scolaires. Nicolas Sarkozy avait fait disparaître Charles Martel, Henri IV, Louis XIV et Napoléon, voilà que François Hollande retire le général De Gaulle.

A ce rythme, qu’il supprime l’enseignement de l’histoire, ça ira plus vite !

Mais pour qui se prennent-ils ? Le passé ne leur appartient pas, ils ne peuvent pas en disposer à leur guise.

Je rendrai donc aux Français toutes les composantes de leur patrimoine au premier rang desquelles leur histoire glorieuse.

Le chemin du redressement que je dessine avec vous ne sera pas tous les jours facile, c'est certain.

Mais il sera vrai, il sera juste, il sera enthousiasmant.

Et il sera surtout possible si la France cesse de se lamenter sur elle-même, cesse de douter d'elle-même, cesse de se flageller, cesse de regarder toujours hier et avant-hier quand il faut résolument et de toute urgence penser à demain ! En un mot, si la France est la France.

La nouvelle politique et conclusion

Mes chers amis, vous avez compris que le chemin que je propose, que nous proposons, à la France, n’est pas celui sur lequel, avec l’UMPS, nous errons depuis des décennies.

Parce que je suis convaincue que le peuple lui sait où il veut aller, alors c’est lui qui doit reprendre la tête de l’épopée française.

Mais il ne suffit pas de savoir où l’on veut aller. Il faut aussi savoir comment on y va.

Je ne veux pas proposer aux Français de continuer à faire de la politique comme on en fait en France depuis maintenant trop longtemps.

Le fossé qui sépare le peuple des politiques est devenu un gouffre. Le divorce entre la classe politique traditionnelle et les Français est consommé et c’est un divorce pour faute, aux torts exclusifs de l’UMPS. Il n’est plus possible d’appliquer aujourd’hui les mêmes recettes que par le passé.

Alors, puisqu’ils sont de plus en plus nombreux à nous faire confiance, je veux commencer à dire aux Français qu’il y a une autre manière de faire de la politique.

Je veux commencer aujourd’hui à expliquer la nouvelle politique que je propose aux Français.

Il y a d’abord une réflexion à mener sur la notion de promesse.

Dans la vie politique française, existe une habitude insupportable : à chaque élection, les candidats nous font des promesses, ils en remplissent des catalogues entiers, et à chaque fois, arrivés au pouvoir, ils ne les tiennent pas, et font souvent l’inverse de ce qu’ils avaient promis.

Nous sommes obligés de constater que tous les responsables politiques depuis 30 ans ont été élus sur des mensonges.

Je pense bien sûr à François Hollande et à ses promesses sur le chômage, je pense à Nicolas Sarkozy et à ses promesses sur l’immigration, la sécurité ou le pouvoir d’achat, jamais tenues!

Le premier problème qui se pose, ce sont évidemment les hommes, c’est cette classe politique, c'est l'absence de souveraineté qui les amène à préférer la communication à l'action.

Ces gens-là ont pris l’habitude de mentir effrontément aux Français. Ils ne peuvent rien faire et font croire qu'ils peuvent, le temps d'une campagne...

Ça n’a pas tant d’importance pour eux puisque leurs préoccupations essentielles n’est pas qu’est-ce qu’ils feront arrivés au pouvoir mais comment arriver à se faire élire.

La tactique politicienne a pris le pas sur la politique.

Les moyens sur la fin.

Les promesses sur les objectifs.

La défense des intérêts personnels sur celle de l’intérêt général.

C’est vrai et il faut le reconnaître et le dire avec franchise aux Français, nous vivons dans un monde complexe.

Et dans un monde complexe, il n’est pas possible de faire des promesses simplistes ou purement idéologiques.

Dans un monde complexe comme l’est le monde d’aujourd’hui, il n’est plus possible de dire qu’il suffira d’un peu de volonté ou de chance pour que les mesures que l’on prendra produisent les effets que l’on recherche.

Il n’est plus possible de faire croire, à chaque élection, qu’avec les mêmes recettes demain tout ira mieux.

Que ce qui n’était pas possible hier, ce que l’on n’a pas voulu ou pas pu faire, on le fera demain.

Les Français ont trop souffert, et ils souffrent encore aujourd’hui, de cette facilité dans la vie politique française.

Et quand je dis cela, je pense aussi aux désillusions futures, à cet éternel recommencement du cycle des promesses non tenues.

Je veux que cela change.

Nous devons revoir fondamentalement notre manière de voir la politique. La politique, ce ne sont pas des coups de baguette magique, des incantations ou des danses de la pluie.

La politique, ce doit être un combat de tous les jours pour tenir les objectifs fondamentaux que l’on s’est fixé.

C’est un combat contre les effets pervers des décisions que l’on prend, c’est un combat contre les forces puissantes qui veulent contrecarrer la volonté du peuple.

Ces forces contraires, et la finance internationale en est une, comme certains conservatismes, ou certains fanatismes, on sait qu’elles se manifesteront, et l’on doit se préparer à les affronter.

La politique, ce doit être un combat au nom de grands objectifs que l’on fixe, avec le peuple, par et pour le peuple. Et c’est l’engagement fondamental, peut-être la seule promesse que l’on soit en droit de faire, dans laquelle l’on puisse mettre toute son énergie, toute sa détermination, toute son audace, au service de ces objectifs.

Oui, dans cette nouvelle politique, fini les enchaînements de promesses. Place aux objectifs !

Que le peuple sache clairement pour quoi il vote !

Qu'il sache ce qu'il veut faire, ce qu'il se fixe comme ambitions, et que le chemin soit clair pour tout le monde !

Fixer quelques grands objectifs pour la France, ce que j'ai fait aujourd'hui, et ne vous faire qu'une seule et unique promesse : tout mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs, pour respecter la parole du peuple français, ses choix fondamentaux !

Voilà une nouvelle façon de faire de la politique.

La nouvelle politique, c’est de dire aux Français, avant les élections, que ce ne sera pas facile. Que l’on ne se remettra pas de trente années d’abandon, d’errances et de défaites, en un mois ou une année.

La nouvelle politique c’est un langage de vérité, pour dire qu’il ne faudra pas fléchir sur certaines orientations, qu'il faudra être ferme.

Je peux le dire aux Français. Quand nous serons au pouvoir, nous ne ferons pas plaisir à tout le monde. Nous ne satisferons pas toutes les demandes minoritaires. Nous ne pourrons pas faire dans la démagogie.

Parce que nous devrons nous en tenir à l’essentiel. Nous devrons d’abord et avant tout atteindre les objectifs sur lesquels nous aurons été élus par la majorité des Français.

C’est la voix du peuple qui s’exprime à travers les élections.

C’est la voix légitime de la majorité qui détermine la politique de la Nation. Et si le peuple a majoritairement statué pour aller dans une direction, c’est cette direction qu’il faut suivre, quelles que soient les pressions et les vents contraires que nous devons subir.

Alors, oui, je serai dure avec certaines revendications illégitimes, et je ne succomberai pas à la démagogie, qui serait de vouloir faire plaisir à ceux qui s’opposent à la voie choisie par le peuple français, à ceux qui revendiquent le plus haut, à ceux qui parlent le plus fort.

Je serai dure avec les minorités autoproclamées qui veulent faire plier l’ordre républicain, contre la sécurité de tous.

Je serai dure avec ceux qui fraudent la Sécurité Sociale, contre la survie de notre modèle français.

Je serai dure avec les spéculateurs qui veulent s’enrichir sur le dos des travailleurs et des entrepreneurs, contre la vitalité de notre économie.

Je serai dure avec les fanatiques qui veulent imposer leur loi dans l’espace public, dans l'école et dans l’entreprise, contre la laïcité et l’universalité de nos lois.

Je serai dure avec ceux qui ne jouent pas le jeu, parce que je veux que la volonté du peuple soit enfin entendue et respectée.

Je sais qu’il y aura des râleries, des contestations, des souffrances peut-être même, mais je ne peux tolérer que des intérêts particuliers prennent trop de poids au détriment de l’intérêt général.

Qu’on me comprenne bien, je ne suis l’ennemie de personne, d’aucune religion, d’aucune catégorie de la population, et je n’en veux à personne en particulier, ni ne m’attaquerai aux droits de quiconque, mais qu’on sache que je ne travaillerai qu’au service de la France et de la défense de l’intérêt des Français. Dans le respect absolu du mandat qu’ils m’auront donné.

Un président doit présider, et un Premier ministre, avec ses ministres, gouverner.

Je pense donc que le président de la République est responsable de la stratégie qui doit guider la politique de la Nation. Il n’a pas besoin pour cela d’un cabinet pléthorique, de créer des doublons de ministres, ou de donner à ses conseillers une autorité politique quelconque.

C’est à lui de décider, et c’est au Premier ministre de prendre en charge l’exécution des orientations déterminées. Il faut donc choisir à ce poste la personne la plus compétente pour exécuter une stratégie, et à la tête de chaque ministère des personnalités qui sont en phase avec la ligne générale fixée par le peuple.

Qu’il y ait des opinions personnelles émises dans le cadre de la communication gouvernementale, chacun peut le comprendre.

Mais qu’un ministre remette en cause publiquement l’orientation dessinée par le président de la République, et à travers lui, par le peuple français, est inacceptable !

Je ne pense pas par ailleurs, puisque nous parlons du gouvernement de la France, qu’on puisse se satisfaire d’une équipe ministérielle déconnectée de la réalité que connaissent les Français.

Vous le savez, nous sommes le parti de la réalité, nous sommes le seul mouvement qui ait ce souci de tenir compte de la réalité vécue par les Français.

Comment concevoir qu’un gouvernement ne comporte quasiment aucun membre issu de l’entreprise, qu’il s’agisse d’entrepreneurs ou de salariés ? C’est pourtant le cas du gouvernement actuel, c’était le cas du précédent.

Il faut à l’inverse, dans le gouvernement, des gens qui aient expérimenté la complexité de l’univers économique, des gens qui aient vécu l’expérience d’un salarié, qui aient conscience de ce que signifie le mot précarité, de ce que signifie la peur du chômage, l’angoisse des fins de mois difficiles, des gens qui aient eu envie un jour de créer une entreprise, qui aient vécu, concrètement, ce que signifie la rudesse de la concurrence.

Oui, le peuple de France, dans toutes ses composantes, a le droit d’être représenté. A l’Assemblée Nationale, bien sûr, mais aussi au gouvernement de la République.

Dans tous les rouages de l’administration, notamment au plus haut niveau, il faut des personnes respectueuses des grandes orientations fixées par le peuple français.

C'est une donnée essentielle de cette nouvelle politique que je veux mener : il faut casser la connivence qui existe entre la haute fonction publique et la haute finance.

Je ne veux plus de ces transferts entre Bercy et les multinationales de la finance, entre l’inspection générale des finances et les banques d’affaires.

Je remettrai de l'ordre dans les affaires de l'Etat, du gouvernement et de son administration.

Et pour que le gouvernement de la Nation puisse conduire une action déterminée, fidèles aux grandes orientations prises par le président, il faut que le circuit législatif soit accéléré. Nous n’avons plus de temps pour attendre quelques réformes essentielles.

Ainsi, l’Assemblée Nationale, dont je respecte totalement la légitimité, à condition qu’elle soit élue au scrutin proportionnel et que la France soit souveraine, doit exercer son pouvoir législatif et contrôler l’action du gouvernement.

Mais je ne peux comprendre aujourd’hui que le Sénat vienne considérablement ralentir le rythme du vote des lois, pour une valeur ajoutée très discutable et un coût très élevé. Le débat doit s’ouvrir sur le maintien ou la suppression de cette chambre, tant il est vrai qu’en ces temps difficiles, tout ce qui n’est pas utile est inutile.

Si j’insiste aujourd’hui mes chers amis, sur la façon nouvelle dont il faut faire de la politique en France, c’est que j’ai bien mesuré le degré d’exaspération des Français, et que je commence à m’en inquiéter.

Je m’en inquiète, parce que je sais que le contournement permanent de la volonté populaire, par le non respect des promesses, par l’attention toujours donnée à ceux qui ne se reconnaissent pas dans la République, par le flou aussi toujours entretenu sur le dessein que l’on veut vraiment pour la France, je sais que toutes ces causes de l’exaspération des Français peu à peu minent la confiance collective dans l’action politique.

Pis, ces ferments de destruction sapent le moral du pays, c’était hier une étude d’opinion annonçant que ¾ des Français ne croyaient plus en l’avenir du pays, année après année ils l’enfoncent dans un défaitisme dont il n’apparaît plus aujourd’hui possible de sortir, et surtout désagrègent, lentement mais sûrement, notre contrat social.

Ce que je crains aujourd’hui, si l’on continue dans la voie que nous suivons depuis des décennies, c’est la décomposition de l’unité des Français, c’est, pour le dire plus simplement, la désunion, l’insurrection et peut être même la guerre civile.

Oui, si nous ne changeons pas notre façon de faire de la politique, c’est au final cette terrible issue que nous pouvons craindre. Sombre perspective.

Mais perspective évitable, parce que nous sommes là !

Je vous le disais tout à l’heure, l’année 2013 est une année sans élection. Mais l’année 2014 verra les scrutins municipaux et européens. Nous devons dès maintenant nous tourner vers ces batailles électorales qui sont autant d’opportunités d’amorcer un virage aussi radical que salutaire pour la France.

Nous devons dès maintenant dessiner, pour les Français, la perspective française que nous leur proposons.

Les maires, les conseillers municipaux, les députés européens que nous ferons élire seront l’avant-garde de cette nouvelle donne politique.

Ils constitueront partout dans les Conseils municipaux, mais aussi au parlement avec tous les patriotes des Nations européennes, les prémisses de l’alternative que nous proposons aux Français. La preuve aussi que faire mieux, beaucoup mieux c’est possible !

Nous menons un beau combat et avec nous toutes les forces patriotes de France- la jeunesse nous regarde, nous attend et nous rejoint.

Les Français unis sont invincibles disais-je il y a quelques minutes.

Je n’ai jamais eu de croyance plus forte.

De toutes mes forces, de toute mon âme, j’ai espoir en la France, et j’ai espoir en la politique.

De tout mon cœur, je crois en vous !

Portez partout en France, ce message, la France peut se relever, une autre politique est possible !

Il ne tient qu’à vous, il ne tient qu’à nous, il ne tient qu’à la France toute entière de croire en elle-même !

Vive le Front National !

Vive la République !

Vive la France !

Marine Le Pen

Discours

15 septembre 2013

 

 

20 mai 2021

Témoignage bouleversant de la mère et de la soeur de Marjorie

GSM

J'adresse mes plus sincères condoléances à la famille de la victime. Je partage leur émotion qui me bouleverse et je suis en colère contre une société où de pareils crimes se produisent... Et se reproduiront, parce que les sanctions pénales sont totalement ridicules...

 

Les faits se sont produits en pleine rue, vers 16h40. Une adolescente a été tuée à l’arme blanche, rue Jean-Perrin, située dans la cité Pierre-et-Marie-Curie à Ivry-sur-Seine. Cette dernière allait avoir 18 ans en juillet prochain. Malgré les tentatives de réanimation, elle a été déclarée morte à 17h16 selon nos informations.

Le tueur présumé, qui serait un mineur de 14 ans, a pris la fuite. Il a finalement été interpellé chez sa mère à Massy (Essonne) par les policiers de la BAC, dans la soirée, selon une source proche du dossier.

La police judiciaire a été saisie de l’enquête. Un différend sur les réseaux sociaux serait au départ de ces terribles faits. Après avoir échangé sur Snapchat, la jeune victime, son jumeau et le mis en cause se sont donnés rendez-vous à l’endroit où les faits se sont produits, pour avoir une explication. Une bagarre aurait ensuite éclaté et l’adolescent de 14 ans serait remonté chez lui récupérer un couteau, avant de revenir et de poignarder la victime au thorax et à l’abdomen

    

23 juillet 2021

Mémoires et radotages (359) – Pass Sanitaire

 

 

GSM

Ecrit le 23 juillet 2021

 

Le Pass sanitaire est la grande marotte de Macron (et son orchestre). Va-t-il utiliser le 49.3 ?

A mon avis, non !

Pourquoi fait-il cela (le pass sanitaire) ? Parce que nous sommes à 10 mois de la présidentielle et qu’il est bon de ratisser large parmi les vaccinés, et parce qu’aussi ne rien faire, alors que le monde médical prévoit une recrudescence de la pandémie, laisserait un boulevard à des procès contre les ministres concernés et pourquoi pas contre le président, intentés par ceux qui, antivax ou non-vaccinés attraperaient le covid, arguant l’inaction de nos responsables…

 

Il a choisi cette solution, parce que c’est la seule qui puisse satisfaire la population pro-vaccin qui en a marre de subir des restrictions pour protéger ceux qui ne veulent pas l’être !

 

Il faut aller plus loin dans l’analyse de la situation… Quelle est l’importance du risque ?

 

Le variant Delta, puisqu’il faut l’appeler par son nom… N’est pas capable " d’enrichir en un jour l’Achéron " (citation de la Fontaine)…

En effet, ce variant est bien plus contagieux, mais pas plus destructeur que le covid « basique »… Alors, étant donné la quantité de gens vaccinés qui comprend une grande partie des gens à risque, que va-t-il se passer ?

Une progression fulgurante des cas de contamination qui engendrera beaucoup de malades, mais avec une proportion bien moindre des cas graves et des cas mortels (j'ai bien dit en proportion)…

Mais là encore, il ne faut pas confondre une proportion plus faible et une valeur absolue, car s’il y a beaucoup plus de contaminés, il y aura fatalement plus de cas graves. Faut-il les sacrifier pour des caprices de damoiselles, des antivax, lesquels faux-culs comme pas deux, comptent sur la masse vaccinée pour les protéger par une semi immunisation collective ?

 

Le risque n’est probablement pas de voir les services de réanimation débordés, mais par contre, les admissions à l’hôpital augmenter sensiblement.

 

D’ailleurs, pour corroborer mes dires, les autorités ont bel et bien changé de braquet, puisque les unités de mesure ne sont plus les morts et les lits de réanimation, mais les cas journaliers de contamination et le taux de propagation…

 

En fait, l’état Macronien, l’état tout court, ne pouvait pas rester à ne rien faire ! Pouvait-il continuer de mécontenter toute la population, alors même que ceux, vaccinés, voudraient enfin être tranquilles et commencent à s’irriter de devoir continuer à subir des contraintes sanitaires pour protéger les rétifs ? Cela peut durer une éternité, avec bien sûr, la perspective de multiplication des variants et l’installation d’un covid à durée éternelle…

 

Les modalités…

Je crois que Macron demande le bras, pour pouvoir obtenir la main ou le doigt (technique bien connue des syndicats). Les débats assemblée /sénat/conseils d’état et constitutionnel, vont amender je pense, les mesure de manière raisonnable.

 

Je pense que le but, est de priver les antivax et autres non-vaccinés des plaisirs de la vie : boite de nuit, cinéma, et autres lieux de rassemblement festifs… Cela constitue un bon moyen de stimuler la vaccination pour ceux qui ne veulent se priver de rien…

 

Les centres commerciaux avec un pass ? C’est une vraie connerie… Qui va contrôler quoi et comment (commerçant ou police) ?... Mais cela fait partie du lest que Macron sait pertinemment devoir lâcher…

 

Alors utiliser le 49.3 ? Nombre de vaccinés sont anti 49.3. Cela irait à l’encontre des buts poursuivis par Macron. Il ne le fera pas… Mais s’il le faisait c’est vraiment que la Macronie serait encore beaucoup plus con que je ne l’imaginais, ce que je ne crois pas !

     

20 avril 2022

Macron sur la Hongrie : pourquoi il a (encore) perdu l’occasion de se taire

GSM

Écrit par Diego Valero le 13 avril 2022 en accès libre

Mais pourquoi les Français seraient-ils les seuls à bénéficier de la verve Macronienne ? Pourquoi auraient-ils le monopole de se faire « emmerder », de « foutre le bordel », de « n’être rien » ou de traverser la rue pour trouver un boulot ? Surtout qu’en grand rassembleur européen, il reste encore quelques hordes de barbares à civiliser en Europe centrale. Magnanime, donc, Jupiter a profité de son meeting d'hier à Strasbourg pour ajouter la Hongrie à son très long répertoire de saillies. Quand un manifestant hostile lança un (fort stupide, il faut bien le dire) « À bas la République », un Macron visiblement à bout de souffle ne trouva rien de mieux à répondre que « Ici, vous pouvez le faire, c’est la différence entre vivre en France et vivre en Hongrie ».

Après avoir traité le Premier ministre polonais d’antisémite (excusez du peu), voici qu’il accuse un autre pays de l’Union européenne, au détour d’une envolée devant la foule, d’être, grosso modo, un goulag à ciel ouvert. Pourquoi s’en prendre à la Hongrie, d’ailleurs ? Peut-être parce que Viktor Orbán vient de se faire réélire triomphalement en provoquant des migraines à une intelligentsia européenne aussi myope que rancunière qui pariait sur une opposition bancale et incompétente pour le désarçonner. Cinglant camouflet pour cette Europe d’en haut qui rêve de jouer, à Bruxelles, le match retour d’une élection nationale qui n’a aucune vocation à être arbitrée où que ce soit. Macron, en champion toutes catégories de cette caste de mandarins, ne pouvait se retenir de jeter l’anathème sur ces Hongrois réfractaires à l’air du temps. C’est désormais chose faite avec la désinvolture et le fiel que les Français lui connaissent et qui, pour une fois, n’est pas forcément le fruit de son mépris de classe récurrent mais de la fébrilité d’un candidat en difficulté.

Les comparaisons sont odieuses mais quitte à jouer la chansonnette du Président, ne nous privons pas de rappeler quelques faits bien têtus. Pour commencer, la Hongrie vient de se rendre aux urnes sans que personne n’ait eu à subir le quart de la moitié des violences auxquelles sont confrontés, en France, les militants qui soutiennent les mauvais candidats. Dans ce pays, personne ne se fait cracher dessus ou tabasser s’il distribue les mauvais tracts sur un marché. Un degré de sécurité qui est d’ailleurs une constante, dans ce pays. La Hongrie n’est en rien tiraillée par les fractures culturelles et religieuses et les problèmes de « vivre ensemble » qui en découlent. Un pays aux antipodes de tout ensauvagement et dans lequel la Hongrie périphérique n’est pas le souffre-douleur des élites, mais plutôt la grande gagnante de douze ans de gestion pragmatique et judicieuse, avec l’intérêt de l’immense majorité des Hongrois comme seule boussole.

Un pays, par ailleurs, dans lequel le cancer culturel de la cancel culture n’a pas imposé cette chape de plomb d’autocensure qui oblige, en France, des milliers de journalistes, d’universitaires ou de citoyens à tourner leur langue sept fois avant de s’exprimer. Un pays dans lequel le droit des parents à éduquer leurs enfants comme ils le souhaitent est pleinement reconnu et dans lequel l’école n’est pas devenue la succursale d’ONG intersectionnelles qui endoctrinent les élèves en les abrutissant de haine de soi. Un pays, enfin, quoi qu’on en dise, dans lequel la presse est politiquement diverse et où l’opinion publiée reflète l’opinion publique.

Un pays, en somme, qui est en droit d’exiger que personne ne remette en cause ses choix politiques et sociaux et qui mérite surtout d’être respecté comme il respecte les autres. Si Orbán a eu l’élégance de ne jamais s’immiscer dans les affaires internes de la France, il serait grand temps que le très policé Macron en fasse autant. Et, en passant, qu’il se montre digne de la fonction qu’il est censé incarner, au lieu de la dégrader au fil de ses dérapages.

Au demeurant, nous vivons dans un pays où la sortie de Macron n’a fait aucune vague et dans lequel le gouvernement semble avoir d’autres priorités que celles d’un Président TikTok en campagne. Les chiens aboient, la caravane passe, surtout que les chiens ont perdu du poil de la bête.

https://www.bvoltaire.fr/macron-sur-la-hongrie-pourquoi-il-a-encore-perdu-loccasion-de-se-taire/

         

27 février 2022

Mémoires et radotages (406) – Intervention Russe illégitime ?

 

 

GSM

Écrit le 26 février 2022

Illégitime ? Bien sûr… Mais cependant, si on parlait des interventions des USA avec le concours de l’occident…

Quand Bush Junior a exhibé des fausses preuves de présence d’armes de destructions massives, comme prétexte à l’invasion de l’Irak en 2003, cela ne ressemblait-il pas aux allégations de Poutine contre les soi-disant néonazis drogués, pour envahir l’Ukraine actuellement ?

Quand nous avons prétexté le droit d’ingérence au Kosovo et que nous y sommes allés sans y être invité, cela ne ressemblait-il pas à ce droit d’invasion « salvatrice » de Poutine en Ukraine ?

Certes, les Serbes massacraient bien les populations Kosovar, contrairement aux Ukrainiens qui ne massacrent pas les habitants du Dombass, mais au contraire répondent coup pour coup à des provocations qui sont devenues une vraie guerre. Le problème de l’Ukraine, vis-à vis de la Russie, mais qui ne légitime absolument pas une invasion, c’est de ne pas avoir respecté sa promesse de Minsk en 1991, d’accorder l’indépendance du Dombass

Il y a tant d’autres exemples d’interventions oiseuses des Etats-Unis, au cours des dernières décennies, qu’il serait fatiguant de les énumérer…

Nous n’avons pas signé de traité mutuel de défense avec les Ukrainiens !

L’Ukraine était dans l’orbite de la Russie et cherchait à en sortir. La Russie s’arroge le droit de la reconquérir, avec pour seul prétexte le Dombass, avant que l’OTAN ne lui ouvre les bras, pour former un glacis entre l’OTAN et la Russie… (J’espère que les Pays Baltes ne feront pas l’objet des appétits « Poutinesques », car en ce cas, il y aurait motif à l’OTAN de répliquer et ce serait un enclenchement funeste).

Poutine répondait à chaque argument de Macron (le négociateur pas fufute), par l’histoire de la grande Russie… Notre président aurait du comprendre la nature des motivations de conquêtes du dictateur Russe…

Poutine a menti, a fait semblant de négocier, pendant que son armée se mettait en place. Il a réussi son coup.

Mais s’il compte bien renverser le gouvernement Ukrainien pour mettre en place des hommes à son entière dévotion, Poutine n’a pas intérêt à ce que l’armée rouge s’éternise en Ukraine, d’autant que l’esprit de résistance commence à se faire jour dans le pays envahi et que les pertes et les coûts de la guerre risquent de se multiplier et de finir par mécontenter le peuple Russe. Combien de temps résisteront les Ukrainiens ?

Pour nous, c’est « wait and see »… Mais il serait souhaitable que l’Europe de l’UE prennent conscience à l’occasion, de sa vulnérabilité, militaire, décisionnelle, diplomatique et se mette à réarmer sérieusement en vue d’établir un réel équilibre avec cet Ours Russe qui se réveille… Sachant que les mesures de rétorsion vont nous coûter chaud et que bien des pays non alignés continueront en douce, leur business avec la Russie...

En attendant, j’éprouve une grande sympathie pour le président Ukrainien et pour son peuple…

     

 

4 juillet 2022

Mémoires et radotages (429) – Justice et équité, ne sont-ce que des mots ?


 

GSM

Écrit le 03 juillet 2022

La justice… L’équité…

Ce sont les valeurs auxquelles j’ai toujours imperturbablement accordé le plus d’importance. Et même si en vieillissant, mon caractère change, en même temps que mes priorités et mes préoccupations… Cette soif de justice ne m’a jamais quitté…

Je me souviens dans un entretien pour un emploi, chez un de ces connards de chasseurs de têtes… J’avais parlé de justice, à propos des rémunérations de ceux dont j’ai eu la responsabilité… Oh, que n’avais-je pas dit là ! Le pauvre naze que j’étais ! Même pas bon à employer les bons mots, ceux de la bonne société… Non, et puisque j’employais un vocabulaire de naze, j’ai été écarté du poste ! Bien fait ça m’apprendra !

Il aurait fallu que je dise « équité »… Et oui, bien entendu… C’est une question de mot… L’importance que je sois juste ou bien équitable n’entre pas en ligne de compte dans le choix d’un candidat qui aura la fonction d’être la pire des peaux de vache, le plus injuste possible et le plus inéquitable… J’étais vraiment à coté de la plaque !!!

Bon ! C’était un aparté… Encore un souvenir cuisant, un de plus ! Le sujet n’était pas là…

Mon sujet de ce jour de vieillerie… C’était, comme toujours mes gamins… Enfin, disons mes grands enfants, tous trentenaires pour une durée d’une année…

Je fais le point, et ce n’est pas facile ! Depuis un an ai-je été juste avec mes enfants ? Zut je devais dire « équitable »… Faut-il aider autant tous ses enfants ? Dans l’absolu, ce serait l’idéal… mais cela est davantage possible pour les familles fortunées qui peuvent faire des donations de même valeur à chacun de leurs moutards qui eux-mêmes pètent dans la soie ! Mais quand nous sommes dans la modestie des familles modestes, avec des situations professionnelles chaotiques différentes, peut-on aider plus l’un que l’autre ? Fatalement, sur la dernière année, j’ai davantage aidé le Kikson… qui était dans la merde et qui n’avait pas les moyens de se payer un ordinateur alors qu’il était en formation pour décrocher son diplôme de … ça y est, ça m’échappe encore… disons un diplôme en informatique pour travailler sur le web… Un ordi qui fonctionne bien, c’est comme une épée pour un chevalier : un outil indispensable !

Ensuite j’ai aidé le toto, mais seulement partiellement pour son ordi… Mais depuis hier, j’ai rétabli une sorte d’égalité avec Nono en aidant ce dernier pour son nouvel ordi à la même hauteur que Toto… Considérant que Toto et Nono, sont au même niveau de revenus résiduels mensuels…

Bien évidemment cet écart entre le Kikson et ses deux frères me préoccupe… Mais je me dis que le Kikson était bien plus nécessiteux que ses frères et que j’ai bien fait, finalement de l’aider beaucoup plus…

Tout à coup… Je me rends compte de l’insignifiance de mon texte, par rapport à des gens qui brassent tant d’argent que mes financements doivent leur paraître bien ridicules ! De ces gens qui mettent mille euros par personne et par semaine pour des vacances d’été par exemple… De ces gens fort nombreux qui ont le dernier SUV qui va bien, etc…

Ils n’ont qu’à pas me lire, ces bobos dédaigneux, après tout ! Je les emmerde, à pied, à cheval et en voiture ! Point barre !

      

 

18 mars 2021

Mémoires et radotages (339) – La vie, l’amour, la mort et Dieu ?

 

 

GSM

Écrit le 18 mars 2021

Finalement que devient cette vie, celle-là, qui est en moi, la mienne ???

Qu’a-t-elle été ? A quoi sert-elle ? A-t-elle servi à quelque chose ???

Avant, c’est à dire il y a quelques années, considérant mon passé et mon présent, je voyais toujours le verre à moitié plein, à tel point que je le voyais complètement plein, c’est à dire que mes échecs étaient très vite effacés par mes succès, même si ces derniers étaient d’une ampleur bien moindre que mes échecs…

Ensuite, j’ai traversé une très brève période, ou je percevais la dualité du verre à moitié vide et du verre à moitié plein, peut-être étais-je dans un état de lucidité peut-être moins propice à une activité dynamique, mais franchement, je n’en avais plus besoin…

Mais maintenant, je note que le verre à moitié vide, je le vois comme totalement vide ou presque… Rien dans mon passé ne me donne satisfaction et à chaque fois, je ne vois que les échecs que j’ai subis… Quand je dis ‘subis’, je peux dire aussi parfois provoqués, tant j’ai pu être naïf, tant j’ai pu faire bêtement passer mes principes moraux avant mes intérêts, tant j’ai pu être timoré, tant aussi quand mes sens m’ont trompés et mis sur la mauvaise route au croisement des chemins…

Ma vie n’a été, me semble-t-il qu’une succession d’échecs, de mauvais choix, de ratages de bonnes occasions, aussi bien dans le domaine professionnel, que amoureux…

Cependant, il y a une exception, une seule exception. Ce sont mes trois enfants dont je suis tombés amoureux fou, un véritable cou de foudre à la naissance des deux derniers et en quelques semaines pour l’aîné qui avait cinq ans quand je l’ai connu… Je les aime et je crois très fort qu’ils m’aiment eux aussi et ça c’est formidable, c’est merveilleux, c’est ma rédemption, mon paradis sur terre…

Mais bien hélas malgré moi, cette jubilation de bonheur est assombrie par des pensées noires, quand je pense à ma responsabilité d’avoir contribué à mettre sur cette terre sans avenir et sans espoir, des enfants si formidables et emplis de qualités humaines si intenses (fidèles en amour et en amitié, honnêteté, principes moraux élevés, gentillesse), alors qu’ils n’ont aucune des armes psychologiques pour survivre parmi les prédateurs d’aujourd’hui… J’ai mis au monde des victimes… J’aurais du mettre au monde des prédateurs, des égoïstes, des méchants, des fourbes, des traîtres… Et bien non ! Et j’en porte la douloureuse responsabilité…

C’est hélas une chose que je ne dois pas leur dire, surtout pas ! Parce que si d’aventure ils se mettaient à adhérer à cette idée que je suis le seul coupable de leur pauvre condition… Ils ne m’aimeraient plus et se mettraient à me détester… Ce qui me serait bien entendu impossible à vivre et me conduirait à choisir la mort… (La victimisation est l’arme destructrice la plus récente que l’être humain ait inventé pour ostraciser et détruire par la haine le reste du monde)…

Parce qu’enfin, si je m’accroche à la vie, c’est pour mes enfants, c’est parce qu’ils m’aiment, c’est parce que je sais qu’ils ont besoin de moi, besoin du peu d’aide que je puis leur apporter…

Alors je continue à vivre pour eux en sachant pertinemment qu’il me reste si peu de temps à les voir, à les aimer et encore moins à les aider. Le temps qui m’est à venir se réduit comme peau de Chagrin… Que deviendront-ils ? J’espère que leur amour fraternel contribuera à les faire s’entraider, se soutenir, venir au secours les uns des autres… Ce qui serait pour moi, inespéré, tant je sais que les liens fraternels ne sont pas en général, les liens les plus forts.

Alors, pour eux, mes petits garçons, je prie… Je prie Dieu, mon Dieu à moi, pas celui de ces dogmatiques, pas celui de ces curetons, pas celui de ces endoctrinés, pas celui de ceux qui ont vu un mec debout sur le lac de Tibériade, pas celui de ceux qui croient aux papes et aux ayatollahs, non ! Je crois, j’ai la faiblesse ou peut-être la force de croire dans l’existence d’un être supérieur qui créa toutes choses de cet univers et qui parfois, apporte son aide à ces pauvres créatures que nous sommes… Un Dieu qui est sans considération pour les dogmes imbéciles écrits par des manipulateurs pour asservir les idiots et les imbéciles…

Mon Dieu, s’il vous plait, protégez mes petits garçonnets…

   

28 janvier 2021

Mémoires et radotages (331) – Bilan comptable zalandien 2020

 

 

GSM

Écrit le 27 janvier 2021

Il est temps de faire le bilan comparé de mon budget 2020 par rapport à celui de 2019…

J’avais écrit à la fin du premier confinement que j’avais dépensé bien plus sur le poste alimentation… En fait, c’est à la fois vrai et pas vrai… La fainéantise que la morosité du confinement a engendrée en moi, m’a effectivement fait abandonner l’épluchage et le maximum de préparation des plats, préférant des aliments en conserve ou bien congelés, voir même tout prêts…

Donc cela a augmenté mes dépenses de bouffe pour une journée normale…

Mais il y a eu moins de repas : Kikson, à cause des restrictions de circulations n’est venu nous voir que deux fois dans l’année au lieu de six en moyenne. Toto à cause de ses difficultés respiratoires et aussi des contraintes de circulation, n’est pas venu nous voir les week-ends, pendant plus de deux mois… De sorte que finalement mon « budget bouffe » a légèrement baissé… Mes enfants, à la place, ont mangé chez eux (de sorte que l’agroalimentaire n’y a rien perdu au contraire)… Nous avons aussi été interdit de bar par le confinement et avons moins consommé dans ces établissements. Économie globale de bouffe sur mon budget 2020 : 200€

Le poste « EDF, eau, assainissement, gaz » a augmenté de 80€ essentiellement à cause de l’électricité… Bande de voleurs ! Nous augmenter, nous les cochons de payeurs, pour pouvoir vendre moins cher à des fournisseurs qui revendent sans rien produire (à part du bénéfice) ainsi que pour racheter de l’énergie éolienne et photovoltaïque hors de prix… Cela s’appelle de l’escroquerie !

Par contre le poste « vacances + cadeaux » a bondi de 300€… Et comme je n’ai rien dépensé dans le poste vacances (qui consiste habituellement à aller sur la tombe de mes parents)… c’est le poste cadeaux qui a explosé de 900€ : Des cadeaux à mes fistons (réparations auto pour l’un, paiement des deux voyages pour le deuxième, une télé pour le troisième et trois Blackberry anciens modèles invendus, bradés, datant de 2010 environ).

Le budget « réparations + entretien automobile » a explosé aussi de 800€, à cause de la voiture de merde de mon épouse… laquelle à elle seule a coûté plus de 1600€ de réparations diverses et variées !!! GRRRR !!! Ce n’est pas compliqué… Il y a encore un problème apparu en janvier 2021. J’ai décidé de n’y porter aucun remède ! Quand elle cassera, ça sera la casse illico !!! Une voiture de 128000 km… elle a coûté au fil des années bien davantage que celles de tout le reste de la famille ensemble et qui ont deux fois plus de kilométrage !!! Ce sera poubelle en 2021 ! Non mais !!!

Alors heureusement, nous avons moins roulé. Le poste « carburant + stationnement + etc » a baissé de 400€. Il faut dire aussi que  le prix du carburant a baissé de 15 à 20 % en 2020…

Le poste « habillement + divers » à fortement baissé de 1000€. C’est de la faute de ce Macron qui a déclaré les commerces comme non essentiels, donc on s’est privé : Slips troués, chaussettes avec des patates, lecture : Peau d'zob !!! Si t’es pas content tu vas cul nu !

Le poste « assurances » a baissé, uniquement parce que j’ai résilié l’assurance décès en cours d’année… Avec le covid, c’était quand même un risque… On verra bien !

Les « impôts et taxes » ont baissé grâce à Macron qui a supprimé la taxe d’habitation… (Mais hélas nous allons le payer par d’autres taxes sur l’eau, l’assainissement, l’EDF, etc…)

Le poste « travaux » a explosé… suite au renouvellement de mes outillages plutôt foutus, dès que les magasins ont été accessibles, (j’ai pensé à ma succession et je me suis dit que mes enfants aimeront se partager des outils électriques neufs, alors qu’ils n’en ont pas actuellement) et suite aussi à des achats de matériaux pour effectuer des travaux curatifs sur « eul barrak »…

En fait sur le budget global de l’année nous avons dépensé en 2020, autant qu’en 2019, à 50€ près !...

Nous ne faisons pas vraiment parti de ces Français qui ont mis 120 milliards supplémentaires de coté !!!

   

26 août 2021

Mémoires et radotages (365) – Macronie - La casse de la société Française

 

GSM

Écrit le mercredi 25 août 2021

En préambule je recopie deux de mes commentaires faits sur d’autres blogs :

Nous sommes tous d'accord sur ce que tu dis... Seulement, il y a ceux qui méritent d'être appelés Français, parce qu'ils sont intégrés, qu'ils vivent et agissent comme nous, ne cherchant pas à nuire à qui que ce soit... Et il y a les autres, qui ne méritent et ne mériteront jamais d'être appelés Français, parce qu'ils n'aiment pas la France, ils n'aiment pas notre Pays ni les Français. Ils sont de plus en plus nombreux à tomber dans l'escarcelle des envahisseurs conquérants sanguinaires fidèles à Mahomet, ce psychopathe fou, qui osait se prétendre la voix d'un Dieu qui n'était que la part diabolique fantasmatique de son cerveau de détraqué... Il va falloir mettre les choses au point, cette catégorie de plus en plus nombreuse, n'a pas le droit d'être appelée " Français ". La nationalité Française doit leur être supprimée. D'ailleurs il faut revenir au droit du sang... Et que les futurs immigrés filtrés avec parcimonie et sévérité demandent la nationalité Française attribuée sur examens et épreuves...

Très bonne journée à toi

Nous sommes bien dans un régime dit "progressiste", qui est en fait un régime d'inversion des valeurs afin de mieux contrôler le peuple par le lâcher de voyous et criminels dans la nature... C'est une politique complètement voulue... Comme sous le 3ème reich : les Sections d'assaut étaient recrutées parmi les bandits et gros voyous. La différence c'est que l'ennemi à abattre au lieu d'être les cocos comme à l'époque, ce sont les Franchouillards ordinaires et normaux qui sont dans le viseur...

Le régime progressiste de Macron est plus subtil que celui d’Adolf Hitler. Pourquoi embrigader des racailles dans une structure, alors même que cela va coûter un bras pour les vêtir, les nourrir, les loger, les encadrer ? Sans compter l’évidence qui deviendrait alors flagrante de la nature du pouvoir exercé par Macron !

Il est donc plus subtil en fait, de laisser tranquille les racailles, qu’elles soient islamistes ou qu’elles soient d’ultragauche, afin de placer les citoyens ordinaires (ceux que le pouvoir veut maîtriser), en situation de porte à faux : Coincés entre le pouvoir régalien au service du régime et la racaille en totale liberté et impunité, les citoyens ne peuvent que demander la protection de leur suzerain, alors mêmes qu’ils sont en total désaccord avec ce dernier et qu’ils sont réprimés plus sûrement que les racailles susnommées…

On peut donc dire que ces moyens employés par le régime Macronien sont très proches d’un régime dictatorial  déguisé, je dirais « soft »… Mais de moins en moins de gens sont aveugles et sourds… Une part de plus en plus importante de Français, et même une toute petite partie de la presse (elle y a mis le temps), convient de décrire ce grand écart du pouvoir Macronien qui s’appuie comme je l’ai déjà écrit, sur les minorités agissantes, contre la majorité des Français qu’il a manipulée et qu’il a émiettée. Ajouté à cela des règles électives permettant de gouverner avec une minorité de voix, du moment que cette minorité soit moins faible que les autres, et emballé, c’est pesé ! Il convient donc de rajouter ce moyen de pression que constitue une alliance de fait avec les délinquants et criminels, dont on ne cherche pas à juger les actes, pour lesquels on ne construit pas de prison, et qu’on n’expulse pas en arguant toutes sortes de raisons dilatoires…

Et voilà constitué un pouvoir que je qualifierais d’illégitime, parce qu’il mène une politique personnelle, avec des procédés fort peu démocratiques, mais hélas, conformes aux règles de notre république, même si c’est à la marge…

L’immigration n’est donc pas prête d’être contrôlée et ralentie, puisque cette submersion est nécessaire à l’annihilation du peuple Français, de ses us et coutumes, de son patriotisme, de l’existence même de sa communauté nationale.

Macron est un apprenti sorcier, il joue avec le feu… Quand les Français se réveilleront-ils ?

   

29 août 2021

Mémoires et radotages (366) – Covid et médiatisation : parfois contreproductif

 

 

 

GSM

Écrit le dimanche 29 août 2021

La découverte de l'ARN messager en 1961 par deux français l'un en amérique et l'autre en france, devait au fil du temps être utilisée pour lutter contre les cancers et aussi le VIH (pas le sida qui est un stade ultime)... Mais ces virus sont plus difficiles à appréhender que ce coronavirus actuel... Le succès du vaccin à ARN contre le covid, va maintenant motiver les investissements en matière de recherche pour lutter contre les cancers et le VIH... Parce qu'il faut de gros investissements... Il faut rappeler que les cancers ne sont pas d’origine virale et que le message qui doit être envoyé aux cellules saines pour se défendre est totalement différent de celui envoyé à nos anticorps contre un virus ordinaire…

Quant au covid 19, nous n'en sommes pas sortis, loin de là... Bien évidemment cela va alimenter les complotismes en tous genres… Mais il faut bien constater que la sincérité qui a été étalée dans les médias, ajoutée aux mensonges de nos gouvernants, ainsi qu’à la libre parole donnée à certains qui n’avaient aucune connaissance, ni compétence sur le sujet, mais qui, avec un fort ego et une très forte envie d’accéder à la célébrité, ont inventé des contre vérités, car seul le sensationnalisme mène à la gloire… Et nous avons eu cette explosion de scepticisme tous azimuts que chacun a pu ressentir ou constater…

Certes, il faut faire le constat que les laboratoires sont les grands gagnants et qu’ils ne sont pas là pour faire la charité, mais bien là pour faire du fric ! Mais qui en aurait douté ? Nous sommes dans un monde capitaliste, il faut faire du profit ! D’ailleurs ils ne donnent aucune dose aux pays pauvres… C’est à nous, pays dits ‘riches’, d’acheter les doses au prix forts et de les donner gratuitement ou les revendre à prix réduits aux pays qui n’ont pas les moyens de vacciner leurs populations… Chose que nous avons tout intérêt à faire si on veut enrayer la pandémie !

Il est bien évident que les labos ont très vite compris la dangerosité de cette communication débridée pouvait avoir sur leur business, les gouvernements ont également compris que trop d’honnêteté revient au même que trop de mensonge et enfin les média ont pris conscience que trop d’infos non vérifiées tuent l’info…

Les labos, et j’en termine, n’ont bien évidemment pas voulu assumer dans ces conditions, les conséquences de procès long et coûteux contre des gens qui voudraient absolument tirer profit d’un désagrément de santé si commode à imputer à la vaccination et étant donné la mauvaise communication et gestion de nos gouvernements, ils leur ont imposé de prendre en charge les désagréments qui pourraient en résulter… Pour quelques euros la dose, pourquoi prendre des risques se chiffrant par millions ? Et cela est très normal, d’autant plus que les interlocuteurs et clients, n’étaient pas les candidats aux vaccins, mais les états directement… Alors, à ces derniers d’assumer… Et cela est très compréhensible…

C’est pourquoi, maintenant, la communication s’est quelque peu réduite… En effet, la pandémie évolue et si on en révèle le détail, cela va relancer les controverses, les scepticismes et le complotisme. Donc, même si les chercheurs continuent de grands efforts afin de rattraper ce virus (ou ces virus), il ne faut pas en parler puisqu’au lieu d’un soutien, on n’obtient que haine et crachats !

Comment comprendre qu’après la ‘floraison’ d’une quinzaine de mutants en début d’année, nous n'en soyons arrêtés qu'au variant delta depuis des mois. Plus aucun variant n’apparaît. Bizarre, non ?... En fait, le virus continue probablement à muter, c’est intelligent ces petites bestioles et avec une grande adaptabilité… On en est peut-être au variant zeta ??? Mais pourquoi nous le dire ? Pour créer une panique et une défiance sans précédent ? Ils ont raison : Il ne faut rien dire mais lutter dans les labos et dans les ministères…

Nous sommes peut-être même sans le savoir dans un covid 21... Mais je crois que labos et gouvernements ont compris que toutes révélations au grand public étaient totalement contre-productives, puisque détournées par les désinformateurs très nombreux qui, à défaut de savoir créer des vaccins, savent créer des fake-news, de la défiance, de la haine et de la panique...

Comment faire évoluer le vaccin par rapport au virus mutant, c’est le problème qui tente d’être traité aux quatre coins du monde.

Certains complotistes vilipendent avec ironie la 3ème dose… Oh certes, c’est une manne pour les groupe pharmaceutiques (que l’on nomme « Big Pharma »)… Manne financière s’entend !

Mais a-t-on réfléchi au fond du phénomène d’évolution de ce « delta » qui a certainement changé moult fois de nom et de capacité de nuisance…

Doit on révéler aux "civils" tous les secrets d’une guerre ? Non ! Et "les combattants" l’ont enfin compris !

La troisième dose est-elle un complément, comme on l’affirme publiquement, parce que le vaccin a besoin de rappel et que ses effets ne sont pas éternels, ou bien est-elle une version modifiée plus adaptée au variant actuel ??? Ou peut-être les deux ? Nous le saurons peut-être un jour... Mais je crois qu'on n’a pas fini de se faire vacciner, non seulement en guise de rappel, mais surtout en actualisation du virus nouveau (de la même façon que pour la grippe saisonnière : elle mute tous les ans, pourquoi Covid ne pourrait-il pas muter lui aussi et de façon encore plus rapide et vicieuse ?)...

A quel moment, la vaccination deviendra-t-elle superflue, parce que le covid sera peu dangereux ??? Là est toute la question !

En tous cas, les Chitenoques et leur labo P4 ultra-secret de Wuhan… Je les retiens ! J’espère que ça se paiera !

   

 

16 octobre 2021

Mémoires et radotages (379) – Justice, Jubillar, Zemmour, fake-news, cueillette…

 

 

GSM

Écrit le 16 octobre 2021

La justice :

Je suis assez dur en matière de justice par rapport au laxisme judiciaire qui règne en ce 21è siècle. J’étais pour conserver la peine de mort, du temps où elle existait, pour les assassins les plus inexcusables… Badinter est passé par là, et la perpétuité a pris la place. Ensuite le progressisme gauchiste est également passé par là et la perpète s’est muée (ô miracle de l’évolution sémantique) en 20 ou même 18 ans de taule… Insatisfaite, cette même justice est devenue injuste : envers les victimes, lorsque les criminels sont peu punis et quand cette même institution a inversé les valeurs : On relâche les délinquants et criminels, alors que l’on punit de plus en plus sévèrement pour des pécadilles, les gens au casier judiciaire vierge… Une idéologie a pris place, d’enfermement du peuple que l’on encercle en tenaille entre racaille et juges pour le faire tenir tranquille et qui est renforcée par une sévérité accrue envers ceux qui osent se défendre eux-mêmes en réaction au laxisme de la justice. Dès lors même la légitime défense est fustigée par les instances judiciaires, et le peuple Français est acculé à la soumission et à la résignation. C’est du moins le but de ces juges qui veulent s’accaparer le pouvoir absolu, ce qui constitue un totalitarisme nouveau dans l’histoire de notre démocratie.

L’affaire Jubillar :

Bien que je sois très dur envers les assassins, comme je viens de le dire, dans l’affaire Jubillar (et cela vaut dans toutes les autres affaires analogues), je dois constater qu’il n’y a pas de preuves d’aucune sorte, il n’y a pas non plus d’aveu.

Je verrais mal que Jubillar soit condamné à quelque peine que ce soit. En toute bonne et vraie justice il doit être relaxé. Un non-lieu devrait selon moi être prononcé. Car on ne peut supporter dans une vraie démocratie que seuls des mobiles et des présomptions soient des éléments de condamnation ! La seule présomption d’innocence doit être retenue. Il vaut toujours mieux laisser un coupable en liberté que de mettre un innocent en prison…

C’était la raison invoquée par Badinter et sa clique en 1981, pour abolir la peine de mort : En arguant qu’on pouvait guillotiner un innocent, la gauche laxiste a pérennisé l’embastillement sur culpabilité présomptive, alors que c’est cela qu’il fallait abolir et non la peine de mort !

Aubry et sa détestation de Zemmour :

L'immigration et la sécurité ne sont certes pas les préoccupations N°1 du petit peuple, mais elles viennent juste après les conditions de vie matérielles de survie... Pour les bobos (droite et gauche confondues), elles viennent très loin derrière, parce qu'ils se gardent de toute promiscuité avec ce qu'ils appellent de leurs vœux comme étant bons pour les autres et pas bons pour eux-mêmes... Alors évidemment... ça ne les gêne pas puisque cela sert leurs intérêts divers et variés sans en avoir les désagréments...

D'ailleurs, ces bobos, surtout ceux de gauche et la Aubry entre autres, n'ont qu'à se demander pourquoi le peuple, autrefois leur fond de commerce, déserte les rangs socialo-islamistes et, au mieux, s'abstient ou bien va vers les partis souveraino-sécuritaires...

Autre chose : Il faut se méfier des sondages arborant Zemmour avec des scores de popularité de 17% : Cela est voulu afin de l'encourager à se déclarer candidat, à diviser la droite et le RN, afin de rendre l'élection de Macron plus facile... !!! Maintenant si celui-ci progressait au point d’unir sur son nom un grand rassemblement au-dessus du plafond de verre RN-iste actuel… cela pourrait être très positif pour la destitution de ces 25% de bobos minoritaires qui s’arrogent le droit de nous asservir…

Masques et covid :

Il y en a qui ne croient qu’aux fake-news et aux manipulateurs et qui croient que c’est la vraie science, alors bien évidemment, ils y croient dur comme fer, pire qu’à une religion dont ils seraient les endoctrinés fanatiques… Montrant ainsi, leur manque de lucidité, de rationalité de libre arbitre et leur bêtise… Car toute vérité n’est pas toute noire ou toute blanche… Mais il faut ouvrir les yeux, les oreilles… et surtout faire fonctionner ce qu’il y a entre les oreilles (Pour ceux qui y ont quelque chose)

Faire le plein de vitamines en allant cueillir :

Perso, je cueille chez Leclerc, Inter, Aldi et Lidl... et parfois chez Carrefour city...

Bon, je sais, ce n'est pas la réponse attendue... Mais c'est celle que bien réellement je peux faire comme beaucoup de Français d'ailleurs... En fait, quand on habite une campagne dédiée à l’élevage et aux grands cultures et qu’il n’y a pas de culture maraichère, ni fruitière, ni de forêts ou pousseraient des fruits sauvages… Et bien à moins de voler dans un jardin privé, ce qui est malhonnête et que je m’interdis de faire, on en est réduit à cueillir, contre espèce sonnante et trébuchante, chez les commerces sus-désignés…

     

 

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