Mémoires et radotages (304) – Le masque : Confinement des sentiments
Écrit le 24 septembre 2020
Le confinement général, lorsqu'il a cessé le 11 mai, a cédé la place à des gestes barrières ainsi qu’à un confinement individuel plus pratique, constitué par le port du masque.
C’est bien, le port du masque : On peut se remettre au travail, on peut circuler on peut vivre comme avant…
Comme avant ?... Pas tout à fait… Même pas du tout !
Avant, dans les magasins, les caissières disaient « bonjour », « au revoir », « à la prochaine fois », « merci de votre visite »…
Maintenant nombre de ces caissières ne disent plus rien ! Comme si le masque empêchait la civilité, comme s’il y avait un mur empêchant la politesse, un mur de berlin séparant les humains.
D’ailleurs les discussions se raréfient, la communication verbale s’étiole, nous sommes de moins en moins urbains et de plus en plus renfermés sur nous-mêmes. J’ai continué à dire au revoir, mais à force de silence en retour… Je finis aussi par me taire tant il me semble insultant d’être comme ignoré, snobé, victime d'une sorte d'arrogance...
Ce masque est vraiment le cimetière de la civilité et de la communication…
....................
Ce qui est plus grave, c'est qu'avant, je faisais des bisous à mes grands enfants, quand ils étaient là : Quand ils arrivaient, quand ils partaient, quand ils se levaient, quand ils allaient se coucher. Cela faisait du bien ces petits gestes de tendresse partagée…
Maintenant, mon Toto, qui avait bien compris le danger potentiel de contaminer ses parents a été le premier à refuser catégoriquement de s’approcher de nous. Je sais que c’est par amour, parce qu’ils ne veut pas nous perdre ni nous faire tomber malade. Ses deux autres frères l’ont imité.
Ainsi depuis des mois, je ne reçois plus ces bisous, ces preuves d’amour, de la part de mes enfants. Par contre, je reçois toujours les mêmes doses de haine verbales de ma femme.
J’avais décrit les curieuses mathématiques de l’amour… Je peux vérifier leur véracité encore une fois : Les preuves de haine reçues viennent bien se soustraire aux preuves d’amour reçues. Et donc, quand l’amour que l’on reçoit diminue, la haine qui nous percute l’emporte.
Il est donc vrai selon moi, que ce confinement individuel nous éloigne de nos amours, de nos joies, de tout ce qui fait notre vie d’occidental.
Même sans confinement général, la vie n’est plus la même avec ce covid de malheur !
Mémoires et radotages (314) – Les Français à l’épreuve de l’ « antiracisme »
Écrit le 17 novembre 2020
Je disais qu’avec les décisions complètement absurdes de ce gouvernement, il lui sera difficile d’obtenir une cohésion nationale sur d’autres sujets. Et pourtant, Macron aurait bien besoin d’une union nationale, sur plusieurs sujets :
-La souveraineté nationale,
-la lutte contre la conquête islamiste intérieure,
-l’agression de l’internationale islamiste extérieure,
-et la sécurité (sûreté) des citoyens y compris de nos forces de l’ordre, au quotidien…
Ces sujets méritent un développement important que je ne ferai pas dans cet écrit.
Il y a cependant des évolutions politiques inquiétantes qui actuellement sapent notre pays dans sa profondeur et le rendent inopérant et surtout passif, face à ces sujets précédemment évoqués ! Il s’agit d’une dérive tiers-mondiste qui ne porte plus sur la politique, mais qui vient à discriminer la race.
Cette déviance nous vient comme toujours des états unis, pays de la discrimination et du communautarisme et prend racine fort mal à propos, dans notre pays qui est laïc et sans discrimination raciale.
A la suite de l’effondrement de la gauche classique, la social-démocratie et sa lutte des classes, se sont vues remplacer par le combat des races, des genres et des identités…
Les minorités ont ainsi remplacé la classe ouvrière…
Nous sommes maintenant en but à des théories féministes, antiracistes et décoloniales. Une sorte de ressentiment est né parmi des peuples qui vivent en France et qui sont nourris de haine par un prosélytisme malintentionné, envers les autochtones de notre pays. (Je précise que cette tendance s'étend à toute la partie de l'occident qui est minée par une immigration massive). C’est ainsi que la France est tenue pour responsable de tous les malheurs de ces peuples inassimilables parce que trop nombreux et trop regroupés… De Gaulle disait s’agissant d’immigration de civilisations très différentes de la nôtre : « Il est possible d’intégrer quelques individus, voire quelques familles, mais jamais tout un peuple ».
C’est ainsi que le Français de souche devient l’accusé, et comme il est majoritairement blanc, c’est le Français blanc qui devient le responsable des mécontentements d’un certain type de population immigrée. Ceci dit l’homme blanc Français se porte souvent volontaire pour être accusé de tous les maux de la terre. Il n’est qu’à voir Macron, au début de son mandat, lorsqu’il battait sa coulpe en notre nom en nous accusant de génocide. Ces blancs prêts au martyr sont des progressistes qui croient bon de céder à cette mode de l’auto flagellation…
Mais ce genre d’aplatissement ne dégonfle pas la vindicte immigrée qui au contraire, se rengorge davantage en se disant que ses accusations étaient fondées…
Ainsi, nous incarnons par notre laisser faire et laisser dire, le summum de l’infamie. Nous serions les barbares exclusifs et universels dont il faudrait se débarrasser, sur le seul critère de notre peau blanche…
L’homme blanc, dans le discours indigéniste, antiraciste et même néo-féministe est la cible unique qui permet la cohésion de ces minorités. Or, haïr le blanc, ce n’est plus une lutte des classes, mais c’est bel et bien du racisme… Ainsi, l’antiracisme est bel et bien du racisme à l’état pur et cela nous renvoie à l’époque des années trente où les persécutions racistes étaient perpétrées par les nazis… Comme le dit Pascal Bruckner « L’anti-racisme est un racisme à l’envers » et « La seule chose qui fédère toutes ces communautés est l’idée que le blanc est responsable de tout ».
Les antifas ont les mêmes préjugés que ceux des années trente, dont la haine des juifs rebaptisée « antisionisme ». Tout ce sur quoi ils sont en désaccord, (une autre religion que la leur, des traditions folkloriques françaises, des habitudes culinaires), est systématiquement qualifié de fasciste !
Nous sommes donc à la merci de gens qui viennent s’installer chez nous pour nous expliquer que nous sommes des criminels et que nous devons expier jusqu’à la fin des temps.
Ce n‘est certes pas en prêtant le flan ni en entrant dans le jeu de ces minorités, comme l’a fait Macron, que nous rétablirons la réalité des choses, puisque c’est notre faiblesse à répondre qui nous cantonne dans le rôle de bouc émissaire. C’est en réaffirmant le rôle de notre république, en assurant l’ordre et la sécurité, au besoin par la force, que les indigénistes réapprendront ce que sont la liberté et l’égalité, dans notre pays.
Actuellement nous punissons en faisant des régimes de faveur aux populations qui nous crachent leur venin. Ne faisons plus de laxisme ciblé, cela nous montre faibles et soumis. Il ne faut plus rien laisser faire de criminel et il faut punir, sans exception d’origine.
Mémoires et radotages (338) – La montée de l’islamisation radicale
Écrit le 08 mars 2021
Qu’était la république Française aux temps jadis ? C’était un pays où une majorité était au pouvoir. C’était très simple en fait.
Il est apparu au fil des décennies que l’avis des minorités n’était pas pris en compte, ce qui provoquait parfois des débordements de certaines parties des minorités : grèves, manifestations. Celles-ci finissaient par obtenir plus ou moins rapidement une satisfaction partielle de leurs desiderata après des négociations avec les instances représentatives de ces minorités.
L’idée s’est faite jour, de la nécessité de donner plus de place aux minorités, afin de prendre en compte tous les intérêts des citoyens. Les lois édictées pour la majorité étaient légèrement amendées pour tenir compte des sensibilités minoritaires…
Mais de nos jours nous sommes tombés dans un système de gouvernement soutenu non pas par une coalition de minorités formant majorité, mais par un assemblage de minorités qui n’ont aucune appétence les unes pour les autres, mais seulement l’intérêt de faire partie du pouvoir. Et de plus, cette majorité de minorités est minoritaire, par l’action conjointe de la manipulation, de la diabolisation et de la démobilisation d’un électorat totalement dégoûté par la politique.
En organisant cette façon de mettre en avant les minorités, on ne pouvait que leur donner envie d’en vouloir toujours plus.
Et c’est cela qui est entrain de se passer : On a ouvert la boite de Pandore et permis l’émergence d’un totalitarisme des minorités qui ne laisse plus place à la majorité d’un pays qui n’a plus le droit à la parole, silencieux, opprimé et dépité.
Les minorités auxquelles nous avons affaire sont :
-les minorités sexuelles : féminisme, LGBT
-les minorités écologistes
-les minorités d’extrême gauche
-les minorités islamistes
Les pouvoirs politiques, judiciaires et médiatiques ont vite compris l’intérêt de soutenir ces minorités contre les majorités et il en est résulté un relâchement total de répression et de maintien de l’ordre à chaque fois qu’une minorité était en cause…
Ceci a favorisé le foisonnement des dealers en tous genre, des actes de violence gratuite, des agressions tous azimuts, qu’elles soient physiques ou bien verbales ; ces minorités brandissent toutes à l’unisson leur étendard victimaire et diabolisant tout ce qui appartient à la majorité : le peuple de la majorité, les représentants de tout ce qui est régalien.
Nous avons donc affaire à des minorités virulentes qui exercent une véritable dictature sur notre pays qui s’apparente à un terrorisme physique et intellectuel visant à empêcher toute forme d’expression divergente et toute réaction contraire…
Une partie de la gauche, la gauche Mélenchonniste et les ultragauchistes, ont cru bon de soutenir les adeptes de l’islamisme, sans toutefois qu’un pacte soit scellé entre eux. La gauche agit par électoralisme, sans réaliser que l’islamisme se débarrassera de ses encombrants alliés dont il ne veut pas, dès que la situation le permettra ! (C’est la même histoire que le pacte Germano-soviétique, foulé au pieds par Hitler)…
Nous voyons très clairement un islamisme politique conquérir le pouvoir absolu épaulé par :
-le terrorisme
-le communautarisme islamiste
-la violence de la rue
-l’augmentation de ses « troupes » par l’immigration
-l’endoctrinement et l’entrisme dans tous les rouages de la société Française
Avec pour armes idéologiques : Leur propre victimisation et la diabolisation de tous autres qu’eux-mêmes y compris les autres minorités qui seront diabolisées et balayées, dès que possible…
En utilisant abondamment la diffusion des mensonges sur les réseaux sociaux
Avec pour complicité : l’islamo gauchisme, le laxisme et la peur des gouvernants, des pouvoirs régaliens et encore d’une partie des médias, le soutien du libéralisme (dont les institutions de l’UE).
Par chance, la parole a commencé à se libérer pour dénoncer ce fascisme islamo gauchiste et cela s’amplifie…
Ce n’est qu’un début, continuons le combat !
1940 - Une défaite programmée
Cet homme aujourd'hui disparu, m'a raconté cette épopée hors du commun.
09 mai 1940
La recette rêvée de la bombe incendiaire
Mémoires et radotages (399) – Macron / Manipulations
Écrit le 29 janvier 2022
J’ai regardé les 10, 17 et 24 janvier derniers, une série sur TF1 en six épisodes diffusés donc sur trois semaines… La première semaine, dès le 1er épisode, je regardais Marc Ruchmann séduire Marine Delterme et instantanément sa façon d’agir m’a fait penser : « Il est exactement comme Macron, il a la même façon d’embobiner ». Et plus l’action se poursuivait, plus j’en étais intimement convaincu… Quand j’eu l’idée de regarder le titre du feuilleton « Manipulations », j’ai sauté de joie : C’est exactement ça ! Tous deux manipulent : L’un, des gonzesses pour les séparer de leur environnement, les pousser à la dépression et leur piquer leur fric, l’autre pour diviser les Français, les séparer de leurs valeurs traditionnelles, pour les rendre moroses, fatalistes, les appauvrir et les asservir…
Si vous voulez voir et revoir Macron le pervers narcissique en action, regardez « Manipulations ». Vous verrez comment on vous sodomise avec perversion… Vous êtes représentés par Maud (Marine Delterme) à l’écran !
Hémorroïdes
VIDAL - Mis à jour : Lundi 11 Octobre 2021
Cet article, destiné au grand public et rédigé par un rédacteur scientifique, reflète l'état des connaissances sur le sujet traité à sa date de mise à jour. L'évolution ultérieure des connaissances scientifiques peut le rendre en tout ou partie caduc. Il n'a pas vocation à se substituer aux recommandations et préconisations de votre médecin ou de votre pharmacien.
Les hémorroïdes (l’inflammation et la dilatation excessive des veines hémorroïdaires) peuvent causer des crises douloureuses. Une bonne hygiène de vie limite les risques d’inflammation et lorsqu’une crise survient, des médicaments permettent de la traiter. Dans certains cas, la chirurgie se révèle nécessaire.
Qu’est-ce qui provoque une crise d’hémorroïdes ?
La maladie hémorroïdaire (couramment appelée hémorroïdes) peut entraîner des crises douloureuses lors de l'inflammation et la dilatation excessive des veines hémorroïdaires autour de l’anus. La constipation en est la principale cause car elle entraîne des efforts de poussée répétés pour l’évacuation des selles. Certains aliments semblent favoriser les crises, notamment les viandes, les plats épicés, le café, le thé, les colas et divers alcools. Une alimentation pauvre en fibres et une hydratation insuffisante provoquent le durcissement des selles, et rendent leur évacuation problématique.
Où se situent les hémorroïdes ?
Les hémorroïdes (et non hemorroides ou hémorrhoïdes, comme on l’écrit parfois par erreur) sont un réseau particulier de veines dites hémorroïdaires qui font partie de l’anatomie du canal anal et de l’anus. Elles contribuent à la continence (le fait de retenir les selles et les gaz). Les hémorroïdes internes, situées en haut du canal anal, sont sensibles à la pression des gaz et des selles. Elles ne sont généralement pas douloureuses, même lorsqu’elles sont dilatées. Les hémorroïdes externes sont situées sous la peau de l’anus, qui est très sensible à la douleur.
Les hémorroïdes sont-elles fréquentes ?
Tout individu peut présenter un épisode hémorroïdaire à un moment ou à un autre de sa vie. On estime qu’en France environ 1 personnes sur 2 âgée de plus de 50 ans a présenté une crise d’hémorroïde.
Pourquoi développe-t-on des hémorroïdes ?
La constipation est la principale cause des crises hémorroïdaires, car elle entraîne des efforts de poussée répétés pour l’évacuation des selles. Par ailleurs, une alimentation pauvre en fibres et une hydratation insuffisante provoquent le durcissement des selles, rendent leur évacuation problématique et peuvent contribuer à la survenue d’une crise. Certains aliments semblent également favoriser les crises, notamment les viandes, les plats épicés, le café, le thé, les colas et divers alcools.
On observe par ailleurs que les crises hémorroïdaires se produisent plus fréquemment dans certaines familles.
Certains facteurs augmentent la pression abdominale et, par conséquent, la dilatation des veines situées près de l’anus : le surpoids, la position assise prolongée ou la constipation chronique.
Le manque d’exercice, la position assise prolongée ainsi que des efforts physiques violents ou spécifiques (cyclisme, équitation par exemple) peuvent également favoriser les crises.
Chez la femme enceinte, il n’est pas rare que des hémorroïdes, notamment apparaissent à la fin de la grossesse ou après l’accouchement. La pression due à l’utérus, la constipation chronique pendant le dernier trimestre de la grossesse ou dans les semaines qui suivent la naissance, ainsi que les contractions lors de l’accouchement font enfler les veines et augmentent le risque de crise hémorroïdaire.
Quels sont les symptômes des hémorroïdes ?
Les symptômes de la maladie hémorroïdaire sont variables selon les personnes et selon la localisation des hémorroïdes. Ils peuvent survenir soit sous forme de crise hémorroïdaire aiguë, soit de façon continue. La crise hémorroïdaire se manifeste par de vives douleurs, des saignements plus ou moins visibles, éventuellement la sortie hors de l’anus des hémorroïdes internes. Elle peut se compliquer de thrombose hémorroïdaire.
Les douleurs de la crise hémorroïdaire
Les crises d’hémorroïdes externes se traduisent par l’apparition d’une petite boule juste au bord de l’anus, de la même couleur que la peau. La formation de ce caillot occasionne souvent de vives douleurs, car la paroi de l’anus, très irriguée et innervée, est extrêmement sensible. Les crises d’hémorroïdes internes ne sont habituellement pas douloureuses.
Les saignements lors des hémorroïdes
Les hémorroïdes étant des vaisseaux sanguins très superficiels, les saignements sont fréquents. Ceux dus aux hémorroïdes internes sont plutôt des saignements discrets, généralement visibles uniquement sur le papier toilette, pendant ou après les selles.
Le prolapsus hémorroïdaire
Lorsque les hémorroïdes internes sont très dilatées, elles peuvent apparaître hors de l’anus, notamment lors des poussées : c’est le prolapsus hémorroïdaire. Il peut provoquer des irritations, des démangeaisons ou une envie fréquente d’aller à la selle, sans résultat.
Quelles sont les complications éventuelles des hémorroïdes ?
Les crises d’hémorroïdes disparaissent habituellement en quelques jours. Elles ont tendance à réapparaître. Elles entraînent des saignements. S’ils sont abondants et répétés, ils peuvent entraîner une anémie. La véritable complication est l’étranglement des hémorroïdes à l’anus, source de douleurs vives et durables, notamment si un caillot se forme (thrombose hémorroïdaire).
Sang rouge et sang noir |
Le sang dans les selles peut se présenter sous deux formes. S’il est visible et rouge, l’affection qui touche le patient est nécessairement située dans le bas des intestins. En effet, si le sang est noir, cela signifie qu’il a été « digéré » et transformé. Il provient donc d’une situation en amont du tube digestif. Le sang noir est rarement visible parmi les selles, sauf lorsqu’une hémorragie importante provoque l’apparition de selles noires et particulièrement malodorantes. Habituellement, seul un test en laboratoire d’analyses peut le mettre en évidence avec certitude. |
Les hémorroïdes sont-elles fréquentes ?
Tout individu peut présenter un épisode hémorroïdaire à un moment ou à un autre de sa vie. On estime qu’en France environ 1 personnes sur 2 âgée de plus de 50 ans a présenté une crise d’hémorroïde.
Pourquoi développe-t-on des hémorroïdes ?
La constipation est la principale cause des crises hémorroïdaires, car elle entraîne des efforts de poussée répétés pour l’évacuation des selles. Par ailleurs, une alimentation pauvre en fibres et une hydratation insuffisante provoquent le durcissement des selles, rendent leur évacuation problématique et peuvent contribuer à la survenue d’une crise. Certains aliments semblent également favoriser les crises, notamment les viandes, les plats épicés, le café, le thé, les colas et divers alcools.
On observe par ailleurs que les crises hémorroïdaires se produisent plus fréquemment dans certaines familles.
Certains facteurs augmentent la pression abdominale et, par conséquent, la dilatation des veines situées près de l’anus : le surpoids, la position assise prolongée ou la constipation chronique.
Le manque d’exercice, la position assise prolongée ainsi que des efforts physiques violents ou spécifiques (cyclisme, équitation par exemple) peuvent également favoriser les crises.
Chez la femme enceinte, il n’est pas rare que des hémorroïdes, notamment apparaissent à la fin de la grossesse ou après l’accouchement. La pression due à l’utérus, la constipation chronique pendant le dernier trimestre de la grossesse ou dans les semaines qui suivent la naissance, ainsi que les contractions lors de l’accouchement font enfler les veines et augmentent le risque de crise hémorroïdaire.
Certaines mesures générales (hydratation, lutte contre la constipation et activité physique) peuvent permettre de prévenir les hémorroïdes.
Luttez contre la constipation
Veillez à ce que les selles soient régulières et molles, en adoptant par exemple une nourriture riche en fibres alimentaires (fruits, légumes, céréales complètes) et en buvant beaucoup.
Pratiquez une activité physique
Prenez l’habitude de pratiquer une activité physique quelle qu’elle soit, en évitant toutefois le cyclisme et l’équitation. Le mouvement, les exercices physiques réguliers activent la circulation et la digestion et préviennent ainsi la formation d’hémorroïdes.
Évitez la station debout ou assise prolongée
Suivez la règle valable pour toutes les affections veineuses : plutôt marcher ou se coucher que rester debout sans bouger, ou assis de manière prolongée.
Évitez de prendre des aliments favorisant les crises
Pour cela, faites une liste de ce que vous avez ingéré dans les heures qui ont précédé celles-ci. Avec le temps, vous devriez pouvoir faire des recoupements et identifier les aliments incriminés.
Surveillez vos médicaments
Certains médicaments favorisent la constipation, et donc les crises hémorroïdaires. Lorsque le médecin vous prescrit un nouveau médicament, n’hésitez pas à en parler avec lui.
Pratiquez une hygiène anale raisonnable
Procédez à des lavages réguliers de l’anus à l’eau tiède avec un linge en coton ou une lingette humide, sans abuser du savon.
Que faire en cas d’hémorroïdes ?
Les personnes sujettes aux crises d’hémorroïdes ont tendance à réprimer, par peur de la douleur, le besoin d’aller à la selle. La constipation entraînée par un tel comportement aggrave les hémorroïdes, ce qui engendre un cercle vicieux. Veillez donc à ce que les selles soient régulières et molles.
Evitez si possible les séances prolongées aux toilettes, et surtout les efforts de poussée. Mieux vaut y retourner plus tard que s’obstiner.
Utilisez un papier de toilette neutre, sans colorants ni parfum. Ceux-ci peuvent contenir des substances irritantes. En cas d’hémorroïdes externes difficiles à nettoyer, mouillez le papier ou utilisez une lingette humide pour minimiser l’irritation, et séchez doucement.
Conduite à tenir en cas d'hémorroïdes |
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A |
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Si des saignements se produisent lorsque l'on va à la selle. |
A |
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Si des démangeaisons anales chroniques se manifestent |
A |
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Si les douleurs deviennent insupportables. |
A |
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Si la douleur persiste au-delà de 48 heures d'automédication. |
B |
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Si la nature hémorroïdaire de la douleur a déjà été diagnostiquée et a fait l'objet d'une prescription. |
Légende |
A Consultez un médecin dans les jours qui viennent. |
B Il est possible de s’automédiquer. |
Que fait le médecin en cas d’hémorroïdes ?
Il examine le patient pour voir si les saignements sont dus à des hémorroïdes et non pas à une autre maladie. Il procède si nécessaire à un toucher rectal, à une analyse des selles ou à une anuscopie (visualisation des hémorroïdes internes grâce à un appareil non traumatisant passé par l’anus). Il questionne aussi le patient sur ses habitudes de vie et lui propose de prendre des mesures susceptibles d’éviter les récidives.
Pour le traitement, il dispose de divers moyens : des médicaments, dont certains s’obtiennent sans ordonnance, une ligature ou une sclérose des vaisseaux distendus. Dans certains cas, une opération chirurgicale se révèle nécessaire. Le traitement dépend du degré de gravité et de la taille des hémorroïdes.
Le sujet est souvent tabou, pourtant de nombreuses femmes souffrent d'hémorroïdes au cours de leur grossesse. Douloureuses, les hémorroïdes peuvent nuire au bien-être et aggraver une constipation pré-existante. Des mesures simples de prévention, visant notamment à régulariser le transit intestinal, permettent de les éviter.
Pourquoi les hémorroïdes sont-elles plus fréquentes pendant la grossesse ?
Les femmes enceintes ont davantage de risque d’avoir des hémorroïdes parce qu’elles souffrent fréquemment de constipation, mais également parce que le poids et le volume de l’utérus gênent le retour du sang veineux vers le cœur. De plus, le risque d’hémorroïdes est important dans les jours suivant l’accouchement, à cause de l’effort de poussée nécessaire pour faire naître l’enfant.
Comment prévenir les hémorroïdes au cours de la grossesse ?
Pour prévenir les hémorroïdes, il faut d’abord prévenir la constipation. En effet, la constipation, du fait des efforts de poussée qu’elle entraîne, favorise l’apparition des hémorroïdes. Parce que les hémorroïdes rendent le passage à la selle douloureux, avec pour conséquence une constipation par blocage psychologique, un cercle vicieux peut s’installer.
La prévention de la constipation repose sur une alimentation riche en fibres (fruits, légumes, céréales complètes), des boissons abondantes (moins deux litres par jour) et une activité physique régulière (marche, natation, etc.). Il est recommandé d’aller aux toilettes dès que vous en ressentez le besoin, et de ne pas rester assise sur les toilettes inutilement trop longtemps.
Parce que les hémorroïdes ont les mêmes causes que les varices (un mauvais retour du sang veineux vers le cœur), le port de bas de contention pour améliorer la circulation veineuse est parfois recommandé pour réduire le risque d’hémorroïdes, sans preuve formelle. Pour limiter les problèmes de circulation veineuse, il faut également éviter de croiser les jambes lorsque vous êtes assise et ne pas rester debout sans marcher de manière prolongée. Vous pouvez vous allonger au cours de la journée en relevant les jambes de façon à faciliter le retour du sang vers le cœur.
Comment soulager les hémorroïdes au cours de la grossesse ?
En premier lieu, il faut traiter une éventuelle constipation avec des suppositoires à la glycérine ou des laxatifs compatibles avec la grossesse (laxatifs osmotiques ou laxatifs de lest conseillés par votre médecin ou votre pharmacien).
Par ailleurs, le médecin peut prescrire un traitement local pour atténuer les crises d’hémorroïdes. Certaines pommades rectales contenant un anesthésique local ou des substances lubrifiantes ou protectrices sont utilisables en cure courte pendant la grossesse.
Les médicaments contenant du paracétamol peuvent être utilisés pour soulager la douleur. En revanche, les médicaments contenant un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS, par exemple l’ibuprofène) sont déconseillés pendant les cinq premiers mois et contre-indiqués à partir du sixième mois de grossesse. Certains médicaments veinotoniques à prendre par voie orale peuvent être prescrits pour atténuer les symptômes des hémorroïdes.
Mémoires et radotages (443) – dégonflocratie, laxistocratie, merdocratie
Écrit le 03 novembre 2022
Je me cite : « Il y a des fois où la soi disant démocratie est carrément une dégonflocratie, une laxistocratie, une merdocratie ! Je n'ai jamais appris qu'une démocratie véritable faisait passer les minorités avant la majorité, et qu'au lieu de servir les citoyens, elle devait les asservir... ».
(J’aime bien me citer, vaniteux, que je suis…)… mais je pense ce que j’écris en l’occurrence et donc je le revendique !
Nous vivons depuis l’après de Gaulle, une situation de permissivité et de tolérance qui va de plus en plus loin, au point de laisser se commettre des actes de plus en plus agressifs, violents, gratuits, lesquels contribuent de plus en plus à donner aux citoyens « l’impression d’insécurité », comme dirait un certain Dupont Moretti, l’être le plus abject, le plus injuste, puisqu’en tant qu’avocat, il a réussi à diminuer les peines des coupables, voire blanchir les pires criminels et qui est hélas à la tête de l’institution qui devrait garantir l’équité et la justice dans notre pays, mais qui hélas est resté dans sa configuration mentale anti-citoyenne et pro-racaille ! En fait ce n’est pas qu’une impression, c’est une réalité !
Et cette politique dont je rappelle qu’elle est faite pour asservir le citoyen lambda entre le marteau et l’enclume, a des effets de plus délétères sur les Français !
A tel point, qu’elle a des conséquences inattendues de la part de nos gouvernants qui vont obtenir l’inverse de ce qu’ils ont souhaité ! Ils ont voulu nous réduire à leur merci, dépendants et soumis et voilà qu’ils déclenchent notre ire, puis une jacquerie comme celle des Gilets jaunes et maintenant, une envie de plus en plus prégnante de vouloir se faire justice soi-même, puisque l’injustice et l’impunité règnent en maître dans ce qui fut le beau pays de Zola et de Saint-Just !
Alors on nous balance dans la figure le « respect de l’état de droit »… Nous sommes soi-disant dans un état de droit ! Alors je conseille d’aller à la pêche de la définition de ce qu’est un état de droit… Et bien cela est très vague ! En fait on voudrait que le Français respecte le droit ! OK, ce serait très bien, mais si seulement le droit en question n’était pas modifié petit à petit en droit permissif pour les racailles et en droit répressif pour les honnêtes gens, surtout les petites gens…
Pour un sujet de philo, j’invite à développer ce sujet de réflexion :
- Un état de droit est-il forcément une démocratie ? Est-il un synonyme de « liberté, égalité, fraternité » ?
Je zappe le développement (thèse et antithèse), et je donne ma réponse : Et bien non pas forcément ! Il n’est que de voir ce qu’est devenu notre beau pays au fil du temps. Je ne crois absolument pas que la dérive vers l’asservissement soit très démocratique ! Diviser pour régner peut aboutir, ce que j’espère, peut-être à une "révolte" comme le pensait notre Roy Louis XVI de l’époque, (« Non Sire, c’est une révolution », lui avait alors répondu le Duc de La Rochefoucaud)…
Sinon, cette fois, si nous ne réagissons pas, nous allons finir comme l’Empire Romain dans la décadence (dans laquelle nous sommes déjà) et dans l’effondrement de notre civilisation et de notre existence…
Invasion migratoire, développement du radicalisme islamiste, du radicalisme d’ultragauche, du radicalisme écolo, prise de pouvoir des minorités, obéissance aux lobbies et aux diktats de la commission de Bruxelles, effondrement de la justice, de l’éducation, du système de santé, délabrement des forces de l’ordre, de l’armée, abandon de notre souveraineté dans tous les domaines…
Nous allons droit dans le mur !
Épaule douloureuse : et si c’était une capsulite ?
Écrit par Sylvie Dellus Article publié le 1 févr. 2019 sur Santé Magasine
Vous avez du mal à lever un bras, à vous habiller, votre épaule se bloque au moindre mouvement… vous souffrez probablement d’une capsulite rétractile. Souvent confondue avec une tendinite, la capsulite de l’épaule est pénible. Il faut être patient, mais on en guérit. Causes, symptômes et traitements : les explications d'un rhumatologue et d'un kinésithérapeute.
Les différentes phases d'une capsulite rétractile
- Au début, des douleurs d’intensité modérée apparaissent au niveau de l’épaule, lors de gestes banals. « C’est une phase d’incertitude », selon le Dr Éric Noël. À ce stade, les douleurs peuvent être confondues avec celles d’une tendinite et traitées comme telle. Conséquence : le patient continue à mobiliser son articulation sans précaution, ce qui ne fait qu’aggraver la douleur.
- Au bout de quelques semaines ou quelques mois, il entre dans la phase “chaude” de la maladie. La capsule, l’enveloppe de l’articulation, s’enflamme. La douleur s’intensifie, jour et nuit, et l’épaule commence à se bloquer. « La zone touchée est très innervée, et c’est pour cela que l’inflammation est si douloureuse », observe Frédéric Srour, kinésithérapeute.
- Cette inflammation va ensuite disparaître pour laisser la place à une raideur très gênante de l’épaule. Il devient impossible de se coiffer ou d’agrafer son soutien-gorge. Cette phase “froide” s’explique par une perte d’élasticité, une fibrose et une rétraction de la capsule. Les examens d’imagerie (radio ou échographie) ne montrent rien d’anormal. Mais lorsque le médecin mobilise le bras du patient, il constate un blocage dans toutes les directions.
Les causes d'une capsulite souvent mal cernées
Traiter l'inflammation par des infiltrations
Rééduquer l'épaule
Symptômes et diagnostic du diabète
13 décembre 2021 sur ameli (accès totalement gratuit)
Le diabète de type 1 est le plus souvent diagnostiqué en présence de symptômes qui apparaissent rapidement. Le diagnostic du diabète de type 2 est fréquemment identifié par hasard. Une prise de sang confirme le diagnostic.
Diabète de type 1 : symptômes et diagnostic
Les symptômes du diabète de type 1
Les symptômes du diabète de type 1 apparaissent brutalement, en quelques jours ou quelques semaines. Les principaux signes caractéristiques de l’
sont :
- une augmentation du besoin d’uriner, qui devient fréquent et survient nuit et jour, avec des urines abondantes (polyurie) ;
- une augmentation de la soif (polydipsie) ;
- une perte de poids malgré un appétit qui augmente ;
- une fatigue importante ou une vision trouble.
Si le diabète n'est pas traité, d'autres signes apparaissent :
- des nausées et des vomissements ;
- une perte d'appétit ;
- une somnolence ;
- des troubles de la vue plus importants ;
- un parfum fruité de l'haleine et une odeur anormale des urines dus à la production de corps cétoniques (substances issues de la dégradation des graisses dans l’organisme).
Quand doit-on suspecter un diabète chez le très jeune enfant ?
Soif importante, urines fréquentes, énurésie secondaire (« pipi » la nuit alors que l'enfant était déjà propre), fatigue, amaigrissement, douleurs abdominales, nausées, vomissements, infections cutanées récidivantes... sont des signes qui peuvent faire suspecter un diabète chez un jeune enfant. En présence de ces symptômes chez votre enfant, consultez rapidement votre médecin traitant.
Comment est posé le diagnostic du diabète de type 1 ?
Le diabète de type 1 est le plus souvent diagnostiqué en présence de symptômes ; il est rarement découvert au cours d'un bilan médical, pour un autre motif.
Le diagnostic de diabète est établi grâce à une prise de sang qui dose le taux de sucre (glycémie) dans le sang. Le diagnostic est posé lorsque :
- la glycémie, à n'importe quel moment de la journée, est supérieure à 2 g/l en présence de symptômes ;
- la glycémie à jeun est supérieure ou égale à 1,26 g/l, contrôlée à deux reprises en l'absence de symptômes.
Afin de confirmer le résultat du dosage de la glycémie à jeun, le médecin prescrit une seconde prise de sang.
Lorsque le diagnostic est posé, un bilan initial permettant le suivi médical du diabète est prescrit par votre médecin traitant ou un diabétologue :
- un bilan sanguin : dosage de l’HbA1c, bilan lipidique, bilan de la fonction rénale ;
- un bilan urinaire à la recherche d’une atteinte rénale ;
- une consultation ophtalmologique.
D’autres examens peuvent être nécessaires selon chaque cas.
L'exonération du ticket modérateur
Le diabète de type 1 est reconnu affection de longue durée (ALD). Les examens et les soins en rapport avec cette pathologie sont pris en charge à 100 % (dans la limite des tarifs de l’Assurance Maladie). Parlez-en à votre médecin traitant.
Diabète de type 2 : symptômes et diagnostic
Diabète de type 2 : les symptômes sont tardifs
Le diabète de type 2 évolue souvent en silence (sans aucun symptôme) pendant plusieurs années, car la glycémie augmente très progressivement.
Le plus souvent, le diagnostic est fait par hasard, à l’occasion d’une analyse de sang ou lors d’un dépistage du diabète.
Des symptômes existent parfois et sont susceptibles de vous alerter. Ils peuvent apparaître progressivement, après plusieurs années d’évolution :
- une augmentation du besoin d’uriner ;
- une augmentation de la soif ;
- une diminution du poids de manière inexpliquée alors que l’appétit augmente ;
- une fatigue ;
- des démangeaisons au niveau des organes génitaux ;
- une cicatrisation très lente d’une plaie ;
- une vision trouble ;
- des infections plus fréquentes.
Parfois, une complication du diabète se manifeste en premier et va permettre le diagnostic.
Comment est posé le diagnostic du diabète de type 2 ?
Afin de diagnostiquer un diabète de type 2, une prise de sang réalisée à jeun est nécessaire. Elle permet de mesurer la glycémie. Pour que les résultats soient justes, il faut auparavant respecter un jeûne de 8 heures.
Le diagnostic est posé lorsque cette glycémie à jeun est égale ou supérieure à 1,26 g/l (ou 7 mmol/l) et est constatée à 2 reprises.
Une fois le diabète découvert, votre médecin traitant vous examine et demande plusieurs examens complémentaires.
L'examen clinique complet inclut :
- la mesure du poids et de la taille ;
- le calcul de l’indice de masse corporelle (IMC) ;
- l'examen du cœur et des vaisseaux sanguins (prise des pouls et mesure de la tension artérielle) ;
- l'examen neurologique...
Le bilan biologique comporte :
- le dosage de l’hémoglobine glyquée (ou HbA1c), reflet de la glycémie sur les 3 derniers mois ;
- le taux de graisses dans le sang (cholestérol, triglycérides…) ;
- l'analyse de la fonction rénale...
Parmi les examens complémentaires :
- l'électrocardiogramme avec éventuellement épreuve d'effort ;
- l'examen ophtalmologique (fond de l’œil).
L'exonération du ticket modérateur
Le diabète de type 2 est reconnu affection de longue durée (ALD). Les examens et les soins en rapport avec cette pathologie sont pris en charge à 100 % (dans la limite des tarifs de l’Assurance Maladie). Parlez-en à votre médecin traitant.
La TVA sociale - mon point de vue
La TVA sociale sera ce qu'en fera le législateur.
Ce concept existe depuis bien avant la naissance des couches-culottes qui en parlent sans savoir...
On supprime les charges patronales sur les salaires.
On ajoute une TVA sociale, calculée comme une TVA, sur le prix HT du produit, (ce produit étant moins cher hors taxes, puisque le prix global de la main d’œuvre a baissé).
Ensuite, sur le prix obtenu on rajoute la TVA normale comme avant.
En moyenne, les prix obtenus sont identiques.
Je dis bien en moyenne. Car les produits à fort pourcentage de main d’œuvre, comme le bâtiment, les services, vont baisser.
Les produits comportant peu de Main d’œuvre (produits importés), vont augmenter sensiblement par l'impact de l'augmentation de la valeur ajoutée...
L'assiette, normalement est celle de la TVA normale, donc sans les produits exportés HT, lesquels produits ne subiront plus l'impact des Charges sociales. Donc, tout ce qu'on importe + tout ce qu'on produit (que l'on consomme sur le seul marché intérieur).
Voilà le concept qui avait été créé dans les années 80.
Il est possible de se reporter au Monde Diplomatique de l'époque.
Les avantages :
- c'est qu'un patron considère sa main d’œuvre comme moins chère et donc moins pénalisante.
- c'est qu'un produit importé soit plus cher et donc nos produits à nous moins chers sur le marché intérieur, d'où l'amorce d'une possibilité d'enrayer le chômage et la délocalisation...
Alors ceux qui tapent sur la TVA sociale n'ont qu'à se renseigner avant...
Que les gens de gauche, qui actuellement sont contre la TVA sociale, se rappellent que, lorsque la gauche a perdu le pouvoir après la mort de Mitterrand, elle a chanté les "mérites" de ladite TVA sociale par la bouche même de leur très idolâtré "Dominique Strauss Kahnn", seulement parce qu'ils savaient Chirac opposé à ladite mesure...
La gauche est contre quand la droite est pour, la droite est contre quand la gauche est pour. Il faut toujours empêcher le parti au pouvoir de prendre les bonnes mesures. Il serait trop beau d'améliorer la situation...
Si vous pouviez arrêter votre Dogmatisme de mauvaise foi à géométrie variable !
Si on la fait comme j'ai dit, la TVA sociale est une bonne chose. Notre baguette de pain et notre Renault seront moins chers. La Toyota et l'écran plat seront plus chers.
Alors évidemment, si on fait autrement, par exemple, ne pas supprimer les charges sociales patronales ou faire une TVA sociale exorbitante, évidemment, le consommateur se fera rouler dans la farine... Et le but ne sera pas le même, mais seulement de ponctionner nos portefeuilles...
Cafard
Alors je finis par te demander de m’excuser pour ne pas te parler. Je te dis que je n’ai pas le moral, que j’ai ce matin un cafard immense et que finalement il est inutile de te le communiquer. Je me force un peu en te demandant si tu as des examens aujourd’hui, si tu révises bien.
J’ai si peur pour toi, mais je ne te le dis pas. Je t’aime et je te l’ai déjà dit bien des fois, mais ce matin je ne peux le dire, car je pense que tu serais fondé à me répondre que si je t’avais vraiment aimé je ne t’aurais pas mis au monde dans ce pays et dans cette époque sans travail, sans avenir et sans espoir.
Tu es pourtant le dernier de mes trois espoirs. Puisses-tu, contrairement à la situation précaire actuelle de tes deux frères, réussir ta vie, t’accomplir, avoir un travail. Oui, car maintenant un emploi est un don du ciel réservé seulement à quelques-uns, pas à des élus de Dieu, mais simplement à des bénéficiaires d’emplois de connivence et de réseau que les parents ont tissé…
Les autres, toi et tes frères en font partie de ces autres, ne bénéficient d’aucun réseau. Je m’en sens coupable. Réussir ma vie aurait pu être cela : faire partie d’un réseau, rien que pour placer mes enfants… Je ressens la cruelle inutilité de ma vie, moi qui n’ai pas su ni pensé à faire cela. Je sais que vous trois n’avez pas les ressources psychologiques que j’avais. Vous avez le don moyen de ces fils-à-papa qui ont une place réservée dès leur naissance. Manque de chance je n’ai pas la compétence d’un père capable d’avoir des fils-à-papa…
Dans ma volonté d’indépendance, ma fierté, mes principes moraux, j’ai omis de penser qu’il n’y avait pas que mon avenir en jeu, mais qu’il y aurait aussi celui de mes enfants. Honte sur moi, d’avoir mis sur terre des enfants dans un monde de misère.
Mais ça, je ne te le dis pas, parce que j’ai honte, parce que ce n’est pas la peine que je te mette cette idée en tête, au cas où tu me la ressortes un jour comme un coup de sabre dans la figure. Sait-on jamais ?
Nous sommes arrivés. Je te dépose. « Travaille bien mon Nono, bonne journée ».
Bordel ! Qu’est-ce que j’ai fait comme conneries dans ma vie ! On ne fait pas de gosses, quand on n’est pas capable !
Vivre, c’est prévoir. Je n’ai pas prévu. Ma vie ratée est inutile…
Une journée noire s’annonce devant moi ! Je cherche une explication pour me rassurer. C’est vrai, je suis toujours dans ma dépression du retraité ! Ça ne me rassure pas vraiment…
Le mieux est d’aller me coucher et de dormir, pour oublier tout…
" Macron est un psychopathe " - Bob Azzam - C'est écrit dans le ciel
Ecrit le 22/09/2023
Je l'avais bien évaluée, la tapette perverse et narcissique, lorsque le capitaine de pédalo l'avait fait nommer ministre... J'ai été un des premiers à dire qu'il était psychopathe...
Ensuite, j'avais publié l'article du professeur Sagatori le 13 mai 2017... alors que tout le monde était incrédule... Mais depuis, nombre de spécialistes (les plus courageux) se sont prononcé dans le même sens.
Ce qui me fait mal, c'est la bande de poissons rouges qui ne se souviennent pas de mes propos... Quand ça vient de zalandeau, c'est de la merde... Mais zalandeau sait voir les gens autrement que par les apparences. Les propos, les faits et les actes sont les éléments qui forgent mon jugement depuis fort longtemps !
Et j'emmerde tous ces poissons rouges qui ont laissé élire l'usurpateur...
« Macron est un psychopathe »
https://zalandeau.blogspot.com/2017/05/macron-est-un-psychopathe.html
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Bob Azzam... On savait vivre et profiter en ce temps là, sans psychopathe
C'est écrit dans le ciel
Mémoires et radotages (506) – L’affaire Dieudonné, c'est l'antisémitisme ou l'antisionisme ?
Écrit le 17 janvier 2014
A rapprocher de l’affaire Dieudonné…
Idéologie écologique - La Macronnerie est au pouvoir (2)
Mémoires et radotages (385) – L’amitié, denrée rare
Écrit le 11 décembre 2021
J’ai souvent raconté les fausses amitiés, les vraies amitiés rares, celles qui disparaissaient…
Je peux, je crois, dire que cette semaine, jeudi plus précisément, une empathie nouvelle, une sympathie que je crois réelle, est apparue après treize années d’une sympathie virtuelle, mais sincère…
Je n’avais rien préparé quand je suis arrivé dans ce petit village du Cher… Du coup, ma seule stratégie a été de me dire « je ne veux pas qu’ils se sentent mal à l’aise, si j’ai un ton inquisiteur », alors j’ai adopté le mode « je ne parle que de moi », afin de ne pas les mettre mal à l’aise… En fait, il est possible que mon débit verbal ait été exagéré et les ait gênés…
Ils m’ont accueilli avec beaucoup de prévenance, de gentillesse et j’ai compris que la vie n’était pas finie, que je pouvais avoir encore de nouveaux amis. Je crois que c’est le début d’un attachement qu’on appelle amitié…
Au soir de mon retour, le Bacchus, dont j’avais intensément eu peur qu’il fut disparu et pour lequel j’avais contacté l’état civil de sa commune… m’a appelé. Il m’a dit « Ici je téléphone du secrétariat du Paradis » et s’est gentiment foutu de ma gueule…
Bon, ça m’apprendra à être moins inquiet pour ceux à qui je tiens…
Du coup, j’ai pris la liste de ma promo et j’ai fait deux listes : Ceux que j’aime bien et qui m’aiment bien depuis longtemps : Huit noms, dont deux décédés… Puis la liste de ceux qui me supportent depuis plus récemment : Sept noms, dont un également, mort… Les autres… et bien les autres n’ont rien à foutre de moi… Je ne cherche plus à les contacter, il m’en a cuit bien des fois…
L’amitié est un met rare et qui disparaît au fil du temps… Et je suis donc très content d’avoir pu rencontrer, jeudi, cette personne (et son épouse), que j’apprécie depuis treize ans de manière cybernétique…
A part quelque alerte sur ma pathologie qui dégénère, c’est une bonne semaine somme toute, si cette saloperie d’ADSL voulait bien fonctionner…
Michel Poniatowski – Que survive la France
La voici :
- "Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluriethnique et pluriculturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.
Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…)
Ces pages peuvent apparaître cruelles, mais elles correspondent à un sentiment très profond.
Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane.
Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain.
Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours.
Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées.
Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes.
Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression.
Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux.
Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale.
Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit. Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?....
La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Santé, la Police, notre place en Europe ?.... En miettes !!....
La France est à l’abandon, et en décomposition à travers le monde.
Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État."
Si la vérité vous choque, faites en sorte qu'elle devienne acceptable mais ne bâillonnez pas celui qui en dénonce l'absurdité, l'injustice ou l'horreur ....."
Charles Trénet - Que reste-t-il de nos amours ?
Mémoires et radotages (318) – Violences, pandémie et vaccins : Le bordel !
Écrit le 1er décembre 2020
Stop au désordres et violences quelles qu’elles soient…
J’en ai autant pour ces blackblocks de merde que pour les flics racistes ! Ces individus qui veulent l’anarchie sont totalement libres de brûler les bagnoles, de saccager tout ce qui ne leur appartient pas et de tabasser des flics… Ils ne valent pas mieux que les flics racistes. Pire, leur haine est programmée, leur actions concertées, leurs actes impunis !
Il ne serait que temps de les attraper et de leur infliger des peines sévères… Pendant le feuilleton des « gilets jaunes », seuls des dizaines de gilets jaunes ont subi injustement des violences policières… Les Blackblocks sont passés au travers sans dégâts…
La simple notion de justice voudrait qu’à l’avenir nos forces de sécurité taillent des croupières à ces malfaisants et respectent les simples manifestants pacifiques !
Il serait particulièrement facile de choper ces cloportes avec une organisation et des effectifs militaires, en plus des forces de l’ordre traditionnelles.
J’ai plus que marre des ultragauchistes, des islamo-gauchistes, de Mélenchon et sa clique qui ont viré du républicanisme à la subversion, des islamo-écologistes et de toutes ces minorités qui n’ont de cesse que de mettre à bas la France et les Français !
L’ordre et la sécurité doivent régner et en même temps la liberté. Ce ne sont pas des concepts antinomiques, mais tout simplement complémentaires, comme je l’ai djà démontré par ailleurs.
Bien des Français sont prêts à se mettre au service de l’ordre contre le désordre…
Mais encore faudrait-il que le gouvernement actuel cesse d’errer de minorité en minorité en quête de soutien, alors que ces minorités sont comme le régime actuel, des planches pourries !
Mais encore faudrait-il que la politique gouvernementale soit juste et équitable envers les Français, que l’ultralibéralisme cesse, que l’emploi en France soit favorisé, et qu’enfin nous cessions d’obéir à des dictats supranationaux et que nous retrouvions notre souveraineté.
……….
Les vaccins…
Quand on nous annonce l’imminence des premiers vaccins, ça me fait rire… jaune !
Avant qu’une fraction significative de la population soit vaccinée il passera beaucoup d’eau sous les ponts ! Nous connaissons tous le total manque de sens de l’organisation du pouvoir actuel… Il est vrai qu’on ne peut être énarque et avoir des compétences qui n’ont pas été dispensées dans ce moule à champions de l’élocution !
Dans la première phase :
-Les personnes âgées résidant en Ehpad, environ 750.000 personnes, doivent être vaccinées en priorité, ainsi que le personnel de ces établissements présentant des risques de co-morbidités
Dans une deuxième phase :
-L'ensemble des personnes âgées, en commençant par les plus de 75 ans,
-Puis les personnes de 65 à 74 ans ayant une co-morbidité,
-Puis les autres personnes de 65-74 ans, ainsi que les "professionnels du secteur de la santé, du médico-social et du transport sanitaire, en priorisant les professionnels âgés de plus de 50 ans" ou présentant un facteur de risque de forme grave,
Dans une troisième phase :
-L’ensemble des personnes de plus de 50 ans ou de moins de 50 ans mais à risque de forme grave du fait de leurs co-morbidités, ainsi que l’ensemble des professionnels du secteur de la santé et du médico-social et les professionnels issus des secteurs indispensables au fonctionnement du pays" (sécurité ou éducation par exemple).
Dans une quatrième phase :
-Les professionnels dont l’environnement de travail favorise une infection (contacts réguliers du public, milieu clos...) et aux personnes vulnérables ou précaires ayant un pronostic moins favorable en cas d’infection par la Covid-19 (résident en hôpital psychiatrique, sans domicile fixe, détenus...).
Dans une cinquième et dernière phase :
-Sous réserve que les allocations de doses vaccinales auront été suffisantes pour vacciner chacune des populations prioritaires, la vaccination des personnes de plus de 18 ans et sans co-morbidité pourrait alors être initiée.
Enfin bref, un beau bordel, quand on intègre le fait que plus de la moitié des Français ne veut pas se faire vacciner. La défiance et l’expérience du vaccin contre l’hépatite B y sont pour beaucoup…
Personnellement, je me ferais vacciner lorsque mon tour viendra… Je ne me fais aucun doute qu’il faudra au minimum six mois (compte tenu des deux injections espacées de 4 semaines)…
Donc il faudra encore « tenir » de nombreux mois avec la continuation des gestes barrières, des masques et de la solution hydro alcoolique.
Il faut également que ceux qui seront vaccinés continuent de porter le masque… Pourquoi ?
Parce que :
-Si les gens vaccinés ne le portent plus, les autres les imiteront, cons comme ils sont !
-Ce n’est pas parce que l’on est vacciné et sans risque de maladie, que l’on ne peut pas être porteur du virus et le refiler aux autres. (Aucun spécialiste n’a pu nous certifier l’innocuité des gens protégés par leurs antigènes… Et tous les spécialistes ont des avis très dissemblables sur la question. Ils ne savent rien en fait !).
Bref, je répète : Ce sera un beau bordel…
Déjà qu’à Intermarché ce matin, autour de moi, j’ai vu 5 personnes avec le masque sous le nez, et un autre avec le masque sous le menton… on imagine bien ce que ce sera pendant la campagne de vaccination.
Il s’agit de gens non pas séniles, parce qu’on comprendrait qu’ils n’ont plus toute leur tête, mais de gens de 45, 50, 60, 70 ans… Je me demande vraiment si le Français est intelligent, ou bien s’il est idiot par nature…
Mémoires et radotages (414) – Avec Macron, retour vers le passé
Écrit le 20 avril 2022
J’écrivais le 12 mars dernier : « Et ce que je déteste par-dessus tout, c’est ce conditionnement auquel on nous soumet pour nous préparer à payer très cher, ces sanctions qui par boomerang vont nous sanctionner, nous, les européens de l’ouest, davantage que le dirigeant du Kremlin ! Nous et surtout les plus pauvres d’entre nous, également nos entreprises qui vont faire faillite, nos salariés qui vont se retrouver au chômedu, les jeunes qui espéraient enfin un travail, et qui verront s’envoler durablement toute chance de vivre de leurs talents et de leurs efforts…
Aujourd’hui encore, la propagandastaffel de notre illustre escroc candidat à sa propre succession, et dont le bilan est calamiteux, fait passer des messages subliminaux, alléguant des monceaux d’emploi à pourvoir dans le BTP, dans l’hôtellerie ainsi que dans bien des domaines du secteur des services…
La vérité vraie est à rechercher dans un futur proche, très proche, trop proche !
L’augmentation des prix induite par la surchauffe de l’économie, la spéculation augmentée surtout par la guerre en Ukraine et les sanctions qui se retournent contre nous, font baisser les pouvoirs d’achat de tous, et vont provoquer immanquablement une baisse de la demande, par manque de moyens financiers pour les ménages. C’est ainsi que cette offre surabondante d’embauche, va rapidement se tarir et même, les jeunes embauchés actuels, risquent de se voir licenciés pour raison économique… On le voit dans l’augmentation des crédits à l’habitat, dans l’inflation du coût de la construction, les candidats à l’acquisition immobilière commencent à renoncer, (surtout les moins aisés) à leurs projets… Il en va de même dans les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, où la progression des prix, rend leurs services superflus, pour ceux des consommateurs qui de plus en plus, cherchent comment finir les fins de mois.
De nombreuses entreprises sont impactées par la diminution de leurs approvisionnements en provenance de la Russie (et de l’Ukraine), l’énergie augmente, les entreprises sont en chômage technique et peut-être bientôt en cessation de paiement…
Notre secteur automobile et tout le tissu industriel souffrent du manque de matières premières et d’équipement… Les rendant ainsi plus fragile qu’ils n’ont jamais été…
Une solution bien tentante serait bien entendu d’augmenter tous les revenus et pensions à due concurrence de cette inflation… Mais le défaut de cette mesure c’est que cela renchérirait d’autant la valeur ajoutée de nos productions hexagonales, les mettant en péril face à la concurrence…
Macron, sans le dire, tente de laisser les salaires au niveau où ils sont, afin de faire baisser le coût de nos productions et de nous rendre attractifs (on sait que plusieurs pays de l’UE ont augmenté substantiellement les salaires)… Macron ne fera pour sa part, que de petits gestes (Smic +2,5%) pour faire mine d’être compatissant et calmer le peuple… Mais cela fonctionnera-t-il avec les « Gaulois réfractaires » dont il n’a cure ?
Nous allons donc avoir sous peu, du chômage en quantité, sauf… si on prenait de fortes mesures d’investissement pour favoriser la relocalisation en France de productions industrielles, agricoles et de services…
Mais dans ce cas, cela nécessite une sorte de protectionnisme ciblé (pas n’importe comment et pas pour tous les produits), qui immanquablement nous mènera à des conflits économico-politiques avec moult pays du monde entier… Il faut quelqu’un de fort dans sa tête et de motivé pour sauver son pays (comme Zelensky, par exemple)…
Dans ce jeu-là, il ne faut pas compter sur Macron car son ultralibéralisme ne s’accommodera pas d’un concept souverainiste qu’il haït par tous les pores de sa peau…
Vous voulez Macron ? Prenez-le ! Mais c’est le pire candidat pour défendre les intérêts de la France et des Français
Bon retour vers l’ère pré-industrielle avec Macron, avec toute la misère que cela sous-tend…
Post scriptum : Les écolos doivent se frotter les mains devant la baisse de production automobile et le futur rationnement en énergie… Il est vrai que pour eux, pas de rationnement, ils ont les moyens de se payer ce que les pauvres ne pourront plus s’offrir… Et puis il faut bien qu’il reste des consommateurs, ce seront les écolos…
« Faites ce que je dis et pas ce que je fais ! »
Diabète de type 1 (2ème partie)
VIDAL - Mis à jour : Jeudi 06 février 2020 (Accès libre et gratuit)
Peut-on prévenir le diabète de type 1 ?
On ne connaît pas de moyen pour prévenir l'apparition d'un diabète de type 1. Des études en cours cherchent à évaluer l'efficacité d'un vaccin destiné à empêcher l'action destructrice des cellules de l'immunité sur le pancréas. Si le rôle d'une infection virale ou bactérienne est confirmé, il est probable que des essais cliniques chercheront à évaluer si une vaccination contre cette infection peut prévenir l'apparition du diabète de type 1.
Comment diagnostique-t-on le diabète de type 1 ?
En présence de symptômes évoquant un diabète de type 1, le médecin prescrit des analyses de sang. Le diagnostic se fait en mesurant le taux sanguin de glucose (glycémie), ainsi qu’en recherchant la présence de sucre et de corps cétoniques dans les urines. Le diagnostic peut être confirmé par des examens complémentaires : recherche d’anticorps dirigés contre les cellules bêta du pancréas, mesure du taux sanguin d’hémoglobine glyquée, mesure de la réaction du corps après l’administration de sucre par voie orale, etc.
Lorsqu'un diabète de type 1 est diagnostiqué, une hospitalisation est systématique pour faire un bilan complet, mettre en place un traitement à l’insuline adapté et débuter un processus d’éducation thérapeutique afin que le patient apprenne les principes de sa prise en charge : traitement, alimentation, activité physique, etc.
Parmi les examens systématiquement réalisés lors des visites médicales en milieu scolaire ou professionnel, la recherche de sucre dans les urines (à l’aide d’une bandelette) est destinée à dépister les cas de diabète non diagnostiqués.
Que faire en cas de diabète de type 1 ?
Lorsqu'un diabète de type 1 a été diagnostiqué et stabilisé par un traitement, certaines habitudes permettent de réduire les risques de complication.
Informez-vous
Le patient diabétique est le premier acteur de sa santé. Mieux il connaît sa maladie, mieux il saura adopter les gestes qui en minimisent les conséquences. De très nombreux documents d'information sur cette maladie sont disponibles auprès des médecins, des associations de patients, des laboratoires pharmaceutiques ou en librairie. Des programmes d'éducation sur le diabète destinés aux patients sont proposés dans certains hôpitaux (dans le cadre des hospitalisations de jour) et par des réseaux locaux de professionnels de santé (médecins, infirmières, diététiciennes, pédicures-podologues, etc.). Renseignez-vous auprès de votre médecin ou auprès des associations de diabétiques.
Equilibrez votre alimentation
L'adaptation des habitudes alimentaires est un élément important de la prise en charge du diabète de type 1. En effet, elle permet à la fois de mieux contrôler le taux de sucre dans le sang, d'éviter une prise de poids excessive et de prévenir les complications cardiovasculaires de la maladie.
Bougez
Associée à un régime alimentaire, l'activité physique a un effet bénéfique sur le diabète car elle contribue à éviter la prise de poids et à prévenir les complications cardiovasculaires. De plus, elle permet souvent de diminuer les doses quotidiennes d’insuline.
Les médecins conseillent généralement aux personnes atteintes par cette maladie une activité physique d’intensité moyenne (20 à 30 minutes, au moins trois à cinq fois par semaine). Les pratiques physiques et sportives d'intensité moyenne et de longue durée (marche, cyclisme, ski de fond, randonnée, escaliers, etc.) sont particulièrement indiquées. Pendant cette activité, maintenez un bon niveau d’intensité : vous devez pouvoir continuer à parler en vous exerçant, mais chanter doit être impossible ! Si vous pouvez chanter, augmentez l’intensité ; si vous ne pouvez pas maintenir une conversation, ralentissez.
Il est important de vérifier son taux sanguin de glucose (glycémie) avant et après l’activité physique ou sportive, ce qui permet d’adapter l’alimentation et le traitement par l’insuline. En règle générale, les périodes d’activité physique doivent être suffisamment éloignées des injections d’insuline pour réduire le risque d’hypoglycémie. Bien sûr, lorsqu’on pratique une activité physique ou sportive, il est important de garder sur soi des aliments sucrés au cas où une hypoglycémie surviendrait. Attention, celle-ci peut survenir plusieurs heures après la fin de l’exercice.
La pratique d’un sport ou d’une activité physique doit être évitée pendant un épisode d’excès de sucre dans le sang (hyperglycémie). En effet, dans ces conditions, le corps va puiser l’énergie nécessaire dans les graisses du corps (acides gras) et cela expose au risque d’acidocétose potentiellement dangereuse. Dans le doute, il est possible de rechercher les corps cétoniques dans l’urine à l’aide d’une bandelette urinaire. La présence de ces substances dans les urines contre-indique l’activité physique ou le sport.
Sport et diabète de type 1 |
Le sport est tout à fait possible pour les personnes diabétiques de type 1. Les premières années qui suivent la découverte de sa maladie, un diabétique de type 1 peut pratiquer, sur avis médical, n’importe quel sport et même faire de la compétition de haut niveau. Les seules contre-indications absolues sont les sports où la perte de connaissance induite par une hypoglycémie serait catastrophique : plongée, escalade, vol libre, etc. |
Prenez soin de vos pieds
Les plaies du pied, chez le diabétique, sont à la fois dues à la perte de sensibilité et aux lésions des petits vaisseaux sanguins. Souvent provoquées par des traumatismes mineurs (frottements sur la chaussure, marche pieds nus, petites blessures), elles présentent un risque élevé d'aggravation rapide et d'infection pouvant parfois conduire à l'amputation d'une partie du pied.
Si vous n'avez pas de plaie au niveau des pieds, il vous suffit d'avoir une bonne hygiène. En revanche, si vous êtes sujet à ce type d'ulcération, inspectez vos pieds tous les jours à la recherche de lésions que vous n’auriez pas senties. Si votre embonpoint ou un manque de souplesse vous gênent, utilisez un miroir pour inspecter le dessous de vos pieds.
Quelques conseils à suivre :
- Évitez de marcher pieds nus et prenez garde aux coupures.
- Lavez vos pieds tous les jours à l'eau tiède avec un savon doux. Prenez soin de contrôler la température de l'eau avec la main si la sensibilité à la chaleur de vos pieds est diminuée.
- Séchez vos pieds correctement, en particulier entre les orteils.
- Utilisez éventuellement une crème hydratante formulée pour les pieds permettant ainsi d'atténuer la sécheresse de la peau.
- Attendez qu’ils soient bien secs pour mettre des chaussettes propres, de préférence en fibre naturelle (coton, laine, etc.).
- Ne portez que des chaussures confortables et à votre taille.
En cas de blessure :
- Rincer la plaie à l'eau claire,
- Désinfectez à l'aide d'une compresse stérile et d'un désinfectant incolore,
- Appliquez un pansement sec (sparadrap microporeux, compresse stérile).
Votre médecin examinera régulièrement vos pieds. Pour évaluer la sensibilité des nerfs, il utilise un fil de nylon relié à un dispositif rigide (test au monofilament de Semmes-Weinstein) : il applique le fil en trois endroits de la plante du pied (pulpe du gros orteil, base des orteils) et vous demande si vous percevez la pression du fil.
Prenez soin de votre peau
Lavez-vous à l'eau tiède avec un savon doux et protégez votre peau à l'aide d'un écran solaire. Prenez soin des coupures et des égratignures, nettoyez-les et recouvrez-les d'un pansement. Consultez votre médecin lorsque des coupures cicatrisent trop lentement ou qu'une infection apparaît. Assurez-vous que votre vaccination contre le tétanos est à jour.
Prenez soin de vos yeux
Les troubles oculaires provoqués par le diabète peuvent mener à la cécité. Il importe donc de consulter un ophtalmologiste au moins une fois par an.
Prévenez les maladies du cœur et des reins
Faites surveiller votre tension, consultez votre médecin en cas d'essoufflement anormal, de fatigue durable ou de douleurs dans la poitrine à l'effort. Si nécessaire, assurez-vous de bénéficier d'un bilan lipidique et d'un électrocardiogramme au moins une fois par an, ainsi que d'une recherche de protéines dans les urines (microalbuminurie ou albuminurie) pour contrôler l’état de vos reins. Tous ces examens sont prescrits par votre médecin qui établira un récapitulatif annuel avec vous.
De plus, lorsqu’on est diabétique, il est préférable de ne pas fumer. Le tabac augmente considérablement le risque de souffrir de complications cardiovasculaires.
Ne vous soignez pas seul
Si vous souffrez de diabète de type 1, attention à l'automédication ! En effet, de nombreux médicaments, compléments alimentaires et plantes (fenugrec, ginseng, nopal, orange amère, etc.) peuvent interférer avec votre traitement et provoquer des baisses soudaines du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie), potentiellement dangereuses. Avant de prendre un produit de ce type, demandez l'avis de votre médecin et de votre pharmacien.
Quel est le traitement du diabète de type 1 ?
Le traitement du diabète de type 1 repose sur l’injection d’insuline, une alimentation équilibrée, et la pratique d'une activité physique régulière. Son objectif est de maintenir le taux sanguin de sucre dans les valeurs normales, de prévenir les complications et de maintenir un poids raisonnable. Son efficacité est mesurée en suivant régulièrement le pourcentage d'hémoglobine glyquée dans le sang, une forme particulière d'hémoglobine. Un soutien psychologique est prescrit lorsque le besoin s'en fait sentir.
Les traitements médicamenteux
Le traitement du diabète de type 1 repose sur l'administration d'insuline par injection sous-cutanée (sous la peau). Contrairement au traitement du diabète de type 2, les médicaments antidiabétiques oraux (pris par la bouche) n'ont pas d'efficacité démontrée dans le diabète de type 1. Récemment, une insuline destinée à être inhalée a été commercialisée aux Etats-Unis, mais elle a depuis été retirée du marché.
Les conseils hygiéno-diététiques
Deux éléments essentiels du traitement du diabète de type 1 sont une adaptation des habitudes alimentaires et la pratique régulière d'une activité physique. Lorsqu'un traitement ne semble pas suffisamment efficace, ces deux paramètres sont évalués et éventuellement corrigés avant de songer à modifier le traitement médicamenteux.
L'éducation thérapeutique
Lorsqu’une personne reçoit un diagnostic de diabète de type 1, elle est systématiquement hospitalisée pour mettre en place le traitement. Cette hospitalisation lui permet également d’apprendre à prendre en charge son traitement dans tous ses aspects : auto-injection de l’insuline, autosurveillance de la glycémie, adaptation de l’alimentation et du traitement à l’activité physique, etc. L’éducation thérapeutique est assurée par l’ensemble de l’équipe soignante : médecins, infirmières, diététiciennes, etc. Elle concerne le patient mais également ses proches (parents, conjoint, etc.).
Cette démarche éducative est essentielle et elle doit être régulièrement entretenue tout au long de la maladie. En effet, les séances d’éducation thérapeutique sont personnalisées et permettent d’identifier et de corriger des lacunes de savoir qui pourraient avoir un impact négatif sur le traitement et l’évolution de la maladie. De nombreuses études ont confirmé que les personnes diabétiques qui suivent régulièrement des séances d’éducation thérapeutique parviennent à mieux contrôler leur glycémie que celles qui n’en bénéficient pas.
La prise en charge psychologique
Le diabète est une maladie chronique qui impose des contraintes tout au long de la vie, au patient comme à ses proches. Pour un meilleur suivi du traitement et un meilleur contrôle de la glycémie à long terme, il est essentiel qu'un soutien psychologique soit assuré lorsque le besoin s'en fait sentir. Pouvoir parler de ses difficultés ou de son sentiment de ras-le-bol contribue à réduire le stress (qui semble avoir des effets négatifs sur le contrôle de la glycémie).
Le suivi de l'efficacité du traitement
Chez les patients diabétiques, on évalue l'efficacité des mesures mises en œuvre en suivant régulièrement le pourcentage d'hémoglobine glyquée dans le sang (HbA1c, une forme d'hémoglobine sur laquelle des molécules de sucre sont fixées). Le taux sanguin d'HbA1c reflète le taux de sucre dans le sang pendant les six dernières semaines. Une personne qui ne souffre pas de diabète a un taux d'HbA1c inférieur à 5,5 %. Chez un patient diabétique de type 1, le taux d'HbA1c à maintenir est fixé à 7 % chez les adultes et à 7,6 % chez les enfants.
Les autres mesures thérapeutiques
La prévention des complications cardiovasculaires liées au diabète de type 1 peut nécessiter la mise en place de traitements spécifiques : contre l'excès de cholestérol et contre l'hypertension artérielle, en particulier. De plus, l'arrêt du tabac est fortement recommandé aux personnes diabétiques afin de réduire le risque de maladie cardiovasculaire.
Mémoires et radotages (427) – Voiture électrique : Carrosse de Monseigneur
Écrit le 14 juin 2022
L’électrique ? C’est bien pour ce qui est fixe ou alors ce qui est mobile mais est alimenté par des caténaires ou des rails électrifiés…
Certes, le développement des piles et batteries a fait éclore toutes sortes d'appareils portatifs, les lampes de poches, les transistors, les ordis portables, les téléphones du même nom les outils avec batteries et tant d’autres choses… Il y a dans ces équipements tant d’avantages et d’agréments qu’on en oublie les quelques petits désavantages qui sont somme toutes, assez secondaires…
Alors les gros cons qui nous dirigent, incapables de prendre la mesure de ce qu’une extrapolation peut donner de complètement imbécile, ont décidé de nous priver des voitures à moteurs thermiques pour nous gratifier de voitures électriques… Les petits désagréments vont alors devenir de gros désagréments...
L’autonomie de ces voitures (et donc de leurs batteries) est assez faible et donc pour partir en vacances il faudra plusieurs recharges, lesquelles sont assez longues… Descendre sur la côte d’azur par exemple, ne sera plus l’affaire d’une journée, mais de plusieurs jours…
Il y a encore beaucoup de progrès à faire en ce domaine…
Et les bornes de recharge, qui y a pensé ? Parce que plusieurs arrêts-recharges, ça a l’air simple… Mais quand dans une station service on met 5 minutes pour faire le plein, combien faut-il de « bornes à électricité » avec recharge d’une heure pour remplacer les pompes à carburants ??? Et bien 12 fois plus ! Peut-on imaginer qu’au lieu de 8 pompes il y ait dans une station 96 bornes ?... Et ce n’est pas tout : Quand il y a de l’attente, au lieu de 2 fois 5 minutes ce sera 2 fois 1 heure, au lieu de 3 fois 5 minutes ce sera 3 fois 1 heure… Je crois que le carrosse sera plus rapide que la voiture en ce cas…
On consomme moins parait-il avec une voiture électrique ?… On consommera moins de carburant fossile (à condition de ne pas produire l’électricité avec de l’énergie fossile), mais on ne consommera pas moins d’énergie… Les batteries sont tellement lourdes, que les véhicules sont énormes et très lourds, et donc la consommation d’énergie étant proportionnelle au poids et fonction exponentielle de la prise au vent, les consommations de Kilowattheures seront bien supérieures…
Et ce que l’on ne dit pas, c’est le piège à cons que l’on tend aux automobilistes… L’état va-t-il se passer de la manne énorme des taxes sur les carburants ??? Que nenni ! L’électricité servant à charger nos voitures sera très fortement taxée pour conserver ces recettes immenses…
A quoi croyiez-vous que servirait ce compteur Linky dont on nous gratifie tous, mais avec obligation très autoritaire ??? Ces petites bestioles électroniques seront capables en relation avec des serveurs informatiques, de quantifier l’énergie servant à recharger les bagnoles…
Donc au bas mot, le coût de ce nouveau carburant sera, étant donné sa consommation supérieure et sa charge en taxes, plus cher que l’énergie fossile actuelle…
A présent, un léger détail : Quand la batterie d’un téléphone rend l’âme après avoir diminué progressivement de durée de charge, ça ne coûte presque rien, on ne s’en préoccupe pas et quand la batterie est foutue, on la change…
Le phénomène concernant les batteries des voitures sera exactement le même : Diminution progressive de la durée de conservation de l’énergie (malgré une charge toujours aussi coûteuse), donc, un coût kilométrique de plus en plus fort au fur et à mesure du vieillissement de la batterie, (ce qui n'arrive pas avec du carburant classique)… Les propriétaires de véhicules seront donc amenés à changer de véhicule pour un véhicule neuf (changer seulement des batteries neuves étant un budget trop important, pour continuer à utiliser un véhicule dont le moteur électrique sera déjà bien « secoué » et au bord du recyclage…
Qui achètera ces véhicules d’occasion ? Les gens peu aisés… Lesquels se feront pigeonner parce qu’ils auront acheté un tas de boue, avec d’énormes frais à engager alors qu’ils n’en auront pas les moyens…
Donc, les riches pourront sans soucis renouveler fréquemment leurs véhicules. Pour eux pas de problèmes ! Mais ne soyons pas plus royalistes que le Roi ! Après tout, les « terres rares » dont sont composées ces batteries sont…. devinez… RARES ! Donc, il est absolument certain qu’il n’y aura pas assez de réserves de terres rares pour que tous ceux qui à présent ont un véhicule thermique puissent avoir à l’avenir un véhicule électrique… Or le prix de ces batteries et donc des voitures électriques est bien plus élevé que les voitures classiques !
Oh, mais cela tombe bien ! La voiture électrique, sera l’apanage des gens les plus aisés et seulement eux ! Cela me rappelle les siècles passés : Les riches allaient en carrosse ou à cheval et les pauvres, à pieds !
Et bien nous reviendrons à ces époques bénies où l’on pouvait distinguer un riche d’un pauvre… Quel progrès ! Pas de travail pour les pauvres parce qu’ils ne pourront plus se déplacer et tous les avantages pour les nantis (Villégiatures, emplois, etc…) !!!
Et chacun se fout que le bilan global de pollution pour la production et la durée de vie d’une voiture électrique soit supérieur à celui d’un véhicule classique ! Ce serait vraiment déplacé par rapport à l’idéologie ambiante : Il ne faut pas le dire, c'est tabou ! Silence dans les rangs !
Actuellement, on ne sait pas recycler les batteries !!! Incroyable, non ? Nos ingénieurs ont intérêt à apprendre rapidement à le faire ! Ils ont aussi intérêt à apprendre à leur donner une durée de vie plus longue ! Ils ont également intérêt à apprendre à leur donner une autonomie beaucoup plus importante ! Ils ont intérêt à en faire baisser les coûts de production ! Ils auront intérêt à faire diminuer les durées de recharge… Ils auront enfin, intérêt à en faire diminuer leur énorme poids…
Bon ! Chacun aura compris que toutes ces conditions ne seront pas possibles à réunir, malgré quelques petites améliorations possibles…
En conclusion, la voiture électrique autonome (c’est à dire, qui emmène son énergie avec elle comme l’escargot emporte sa maison), n’est pas la solution de l’avenir post-énergie fossile…
C’est juste un gadget en production limitée réservé aux privilégiés et non pas un véhicule de masse…
D'autre part, les terres rares sont en grandes parties aux mains des Chinois, ce qui nous rendra totalement dépendants et à la merci d'un gros fournisseur !!!
Je crois qu’il faut développer dès à présent, deux types de recherches :
-Des véhicules électriques sur des réseaux fournissant l’électricité (comme le TGV, le métro ; le trolley, etc), et c’est un vrai casse-tête techniquement pour une circulation de masse en ville, ainsi que dans les zones moins denses à cause des coûts d’investissement exorbitants et non rentables.
-D’autres énergies… On parle d’hydrogène… Cela pose beaucoup de problème, que j’aborderais peut-être un jour si j’en ai le courage… Notamment le bien plus gros volume de réservoir pour une quantité d’énergie donnée, et l’équation non-encore résolue du processus de fabrication de l’hydrogène. Actuellement la fabrication de l’hydrogène génère plus de pollution carbonique que nos moteurs thermiques !!! La solution théorique à ultra haute température est encore au stade de l’étude et des investissements de recherche (ITER, etc)…
A moins encore, que l’on ne découvre un moyen d’utiliser d’autres énergies potentielles, que la nature ne nous a pas encore révélées et que notre curiosité n’a pas encore découvertes…
Les Roquets Européens feraient bien de s’occuper de l’Europe
Monsieur Poutine rêve de reconstruire la grande URSS… C'est vrai que tomber de 280 millions d'habitants à 120 Millions après la chute de l'empire communiste de 1989, ça l'a vraiment marqué profondément ! Et je crois que cela a forgé sa motivation pour devenir le Nabuchodonosor de la Sainte Russie…
Mais que vois-je ? Tous ces roquets Européens, (dont Flamby), qui jappent à la dictature et à l'arbitraire.
Et si ça ne plaisait pas à Monsieur Poutine, qu'on fasse main basse sur l'Ukraine en la subventionnant, (bien que l'Ukraine ne fasse pas plus partie de la Russie que la Belgique ne fait partie de la France, mais les dictateurs ne raisonnent pas pareil que nous) ?
Des menaces de la part des Européens ?
« Mais », pourrait dire Vladimir : « L'Union Européenne ? Combien de divisions ? », paraphrasant ainsi son illustre prédécesseur, Joseph Staline, à propos du Vatican…
Nous comptons comme toujours sur le grand frère, mais il commence à être un peu las ...
« Barack, le méchant ours il veut nous dévorer ! »
« Calme-toi, my petit Flamby, we have déjà donné deux fois en 17 et en 44. Il faut te démerder avec tes petits copains de l'yourope, maintenant ! »...
Diabète de type 2 (2ème partie)
VIDAL - Mis à jour : Jeudi 06 mai 2021 (Accès libre et gratuit)
Informez-vous
Le patient diabétique est le premier acteur de sa santé. Mieux il connaît sa maladie, mieux il saura adopter les gestes qui en minimisent les conséquences. De très nombreux documents d'information sur cette maladie sont disponibles auprès des médecins, des associations de patients, des laboratoires pharmaceutiques ou en librairie. Des programmes d'éducation sur le diabète destinés aux patients sont proposés dans certains hôpitaux (dans le cadre des hospitalisations de jour) et par des réseaux locaux de professionnels de santé (médecins, infirmières, diététiciennes, pédicures-podologues, etc.). Renseignez-vous auprès de votre médecin ou auprès des associations de diabétiques.
Équilibrez votre alimentation
Le changement des habitudes alimentaires peut suffire à contrôler un diabète de type 2 débutant. Appliquez les conseils spécifiques.
Bougez
Associée à un régime alimentaire, l'activité physique a un effet bénéfique sur le diabète car elle contribue à la perte de poids, à la diminution de la masse graisseuse et à une meilleure sensibilité à l’insuline. On propose généralement aux personnes atteintes par cette maladie une activité physique d’intensité moyenne (20 à 30 minutes, au moins trois à cinq fois par semaine). Les pratiques physiques et sportives d'intensité moyenne et de longue durée (marche, cyclisme, ski de fond, randonnée, escaliers, etc.) sont particulièrement indiquées. Pendant cette activité, maintenez un bon niveau d’intensité : vous devez pouvoir continuer à parler en vous exerçant, mais chanter doit être impossible ! Si vous pouvez chanter, augmentez l’intensité ; si vous ne pouvez pas maintenir une conversation, ralentissez.
Le sport, notamment l’activité physique adaptée, fait partie de la prise en charge des personnes diabétiques de type 2. Il est préférable de le faire sous stricte surveillance médicale et après avoir effectué un bilan cardiovasculaire. En effet, en cas de maladies du cœur et des vaisseaux, le sport pourrait provoquer des crises d’angine de poitrine ou un infarctus. D’autres complications liées au diabète (hypertension, hémorragie de la rétine, présence de protéines dans les urines, insensibilité des extrémités, etc.) doivent également être dépistées sous peine d’être aggravées par une pratique sportive inadaptée.
Prenez soin de vos pieds
Les plaies du pied, chez le diabétique, sont à la fois dues à la perte de sensibilité et aux lésions des petits vaisseaux sanguins. Souvent provoquées par des traumatismes mineurs (frottements sur la chaussure, marche pieds nus, petites blessures), elles présentent un risque élevé d'aggravation rapide et d'infection pouvant parfois conduire à l'amputation d'une partie du pied.
Si vous n'avez pas de plaie au niveau des pieds, il vous suffit d'avoir une bonne hygiène. En revanche, si vous êtes sujet à ce type d'ulcération, inspectez vos pieds tous les jours à la recherche de lésions que vous n’auriez pas senties. Si votre embonpoint ou un manque de souplesse vous gênent, utilisez un miroir pour inspecter le dessous de vos pieds.
Quelques conseils à suivre :
- Évitez de marcher pieds nus et prenez garde aux coupures.
- Lavez vos pieds tous les jours à l'eau tiède avec un savon doux. Prenez soin de contrôler la température de l'eau avec la main si la sensibilité à la chaleur de vos pieds est diminuée.
- Séchez vos pieds correctement, en particulier entre les orteils.
- Utilisez éventuellement une crème hydratante formulée pour les pieds permettant ainsi d'atténuer la sécheresse de la peau.
- Attendez qu’ils soient bien secs pour mettre des chaussettes propres, de préférence en fibre naturelle (coton, laine, etc.).
- Ne portez que des chaussures confortables et à votre taille.
En cas de blessure :
- Rincer la plaie à l'eau claire,
- Désinfectez à l'aide d'une compresse stérile et d'un désinfectant incolore,
- Appliquez un pansement sec (sparadrap microporeux, compresse stérile).
Votre médecin examinera régulièrement vos pieds. Pour évaluer la sensibilité des nerfs, il utilise un fil de nylon relié à un dispositif rigide (test au monofilament de Semmes-Weinstein) : il applique le fil en trois endroits de la plante du pied (pulpe du gros orteil, base des orteils) et vous demande si vous percevez la pression du fil.
Prenez soin de votre peau
Lavez-vous à l'eau tiède avec un savon doux et protégez votre peau à l'aide d'un écran solaire. Prenez soin des coupures et des égratignures, nettoyez-les et recouvrez-les d'un pansement. Consultez votre médecin lorsque des coupures cicatrisent trop lentement ou qu'une infection apparaît. Assurez-vous que votre vaccination contre le tétanos est à jour.
Prenez soin de vos yeux
Les troubles oculaires provoqués par le diabète peuvent mener à la cécité. Il importe donc de consulter un ophtalmologiste au moins une fois par an.
Prévenez les maladies du cœur et des reins
Faites surveiller votre tension, consultez votre médecin en cas d'essoufflement anormal, de fatigue durable ou de douleurs dans la poitrine à l'effort. Assurez-vous de bénéficier d'un bilan lipidique et d'un électrocardiogramme au moins une fois par an, ainsi que d'une recherche de protéines dans les urines (microalbuminurie ou albuminurie) pour contrôler l'état de vos reins. Tous ces examens sont prescrits par votre médecin qui établira un récapitulatif annuel avec vous.
Ne vous soignez pas seul
Si vous prenez un traitement contre le diabète de type 2, attention à l'automédication ! En effet, de nombreux médicaments, compléments alimentaires et plantes (fenugrec, ginseng, nopal, orange amère, etc.) peuvent interférer avec votre traitement et provoquer des baisses soudaines du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie), potentiellement dangereuses. Avant de prendre un produit de santé quel qu'il soit, même si vous en aviez l'habitude avant la mise en place du traitement antidiabétique, demandez l'avis de votre médecin et de votre pharmacien.
Quel est le traitement du diabète de type 2 ?
Le traitement du diabète de type 2 repose sur :
- la diminution et le contrôle du poids par une alimentation équilibrée,
- une activité physique régulière,
- l’arrêt du tabac le cas échéant.
Si ces mesures ne se sont pas suffisantes, des médicaments antidiabétiques peuvent être prescrits, d’abord sous forme de comprimés puis, si nécessaire, en injections. L’objectif du traitement est de réduire le risque de complication en maintenant le taux sanguin de sucre dans des valeurs normales.
Le suivi de l'hémoglobine glyquée (HbA1c)
Chez les patients diabétiques, on évalue l'efficacité des mesures mises en œuvre en suivant régulièrement le pourcentage d'hémoglobine glyquée dans le sang (HbA1c, une forme d'hémoglobine sur laquelle des molécules de sucre sont fixées). Le taux sanguin d'HbA1c reflète le taux de sucre dans le sang pendant les six dernières semaines. Une personne qui ne souffre pas de diabète a un taux d'HbA1c inférieur à 5,5 %. Chez un patient diabétique, le taux d'HbA1c à maintenir est fixé par le médecin en fonction du stade de la maladie : au début, l'objectif est de maintenir ce taux en dessous de 6 %, mais au fur à mesure que la maladie progresse, cette limite augmente : 6,5 %, puis 7 %. Une augmentation durable du taux d'HbA1c de 1 % augmente de 40 % le risque de complications au niveau des petits vaisseaux sanguins, et de 20 % celui au niveau des artères principales.
Les conseils hygiéno-diététiques
Pour de nombreux patients souffrant de diabète de type 2, le simple fait de maintenir une alimentation équilibrée et de faire de l'exercice suffit à contrôler les concentrations de sucre dans le sang. De ce fait, le premier élément de la prise en charge du diabète de type 2 est une modification des habitudes alimentaires et la pratique régulière d’une activité physique. Ces mesures sont appliquées pendant les six premiers mois qui suivent le diagnostic, en l’absence de traitement par les médicaments.
Bien que certaines personnes présentant ce type de diabète soient minces, la majorité des patients souffre d'obésité ou, au moins, de surpoids. Le fait de perdre du poids (même 4 ou 5 kg) peut contribuer à abaisser les concentrations sanguines de sucre. Idéalement, chez les patients en surpoids (IMC supérieur à 25), l’objectif est de perdre 5 à 10 % du poids initial en six à douze mois, et de maintenir ce nouveau poids.
Les traitements médicamenteux
Lorsque les mesures hygiéno-diététiques appliquées pendant six mois n'ont pas suffit à diminuer le taux de sucre et d'HbA1c dans le sang, la prescription de médicaments devient nécessaire. Les médicaments prescrits contre le diabète de type 2 sont généralement administrés par voie orale, et doivent être pris au moment des repas. Si le traitement par voie orale est insuffisant, le médecin peut prescrire des injections d'insuline.
Le suivi du traitement
Si le diabète est équilibré dans les limites fixées par le médecin, celui-ci prescrit au patient un bilan sanguin plusieurs fois par an (par exemple tous les trimestres). Le médecin peut être amené à proposer des contrôles plus fréquents aux patients dont le diabète n'est pas équilibré. Dans tous les cas, les personnes diabétiques peuvent être conduites à surveiller elles-mêmes leur taux de sucre une ou plusieurs fois par semaine (autosurveillance avec un lecteur de glycémie), en particulier si elles sont traitées par des sulfamides hypoglycémiants, voire une à plusieurs fois par jour si elles reçoivent un traitement par insuline.
De plus, chez les personnes en surpoids, le médecin suit le poids et l’IMC de son patient afin de s’assurer de l’efficacité des mesures hygiéno-diététiques.
Qu'est-ce que l'autocontrôle de la glycémie ? |
On appelle autocontrôle de la glycémie les techniques de mesure du taux de sucre dans le sang qu’un diabétique peut apprendre à maîtriser. Cette mesure est devenue plus facile ces dernières années et elle permet d’adapter l’alimentation, l’activité physique et le traitement par l’insuline. Pour en savoir plus... |
Les autres mesures thérapeutiques
La prévention des complications cardiovasculaires liées au diabète de type 2 peut nécessiter la mise en place de traitements spécifiques : contre l'excès de cholestérol et contre l'hypertension artérielle, en particulier. De plus, l'arrêt du tabac est fortement recommandé aux personnes diabétiques afin de réduire le risque de maladie cardiovasculaire.
Les personnes qui viennent d’apprendre qu’elles sont diabétiques pensent souvent qu’elles ne pourront plus manger de glucides (pâtes, riz, pommes de terre, céréales, gâteaux, etc.). En fait, il n’en est rien.
Quelle alimentation lorsqu'on souffre de diabète de type 2 ?
Les règles principales de l’alimentation des patients souffrant de diabète de type 2 ne sont pas différentes de celles recommandées à chacun d’entre nous :
- réduire sa consommation d’aliments gras (en particulier, ceux contenant des graisses d’origine animale) pour lutter contre le surpoids et l’excès de cholestérol (même chez les personnes qui ne sont pas en surpoids), et consommer du poisson au moins deux fois par semaine. Les margarines molles à l'huile de tournesol et les huiles d'origine végétale (olive, colza, tournesol, etc.) sont à privilégier (l'équivalent d'une cuillerée à soupe par repas).
- augmenter sa consommation d’aliments riches en fibres (fruits et légumes, au moins cinq par jour, ou compotes sans sucre ajouté) car celles-ci ralentissent l’absorption des sucres par le système digestif et facilitent le contrôle du taux de sucre dans le sang ;
- préférer les féculents issus de céréales complètes ou de légumes secs (plutôt que les gâteaux et les sucreries), en évitant d'en consommer entre les repas. Attention, il est préférable d'éviter les produits alimentaires allégés en sucre qui sont souvent aussi riches en calories et qui entretiennent le goût des aliments sucrés.
- pour les personnes qui souhaitent consommer des boissons alcoolisées, se limiter à un verre par jour pour les femmes et à deux verres par jour pour les hommes. Attention, l’alcool peut augmenter le risque d’hypoglycémie chez les personnes qui prennent des sulfamides hypoglycémiants ou de l’insuline.
Ainsi, il n’existe pas de menus-type pour le diabète. Chaque individu doit mettre au point peu à peu celui qui lui sera le plus bénéfique, tout en conservant le plaisir de manger. Le médecin vous conseillera peut-être de prendre plus de deux repas principaux par jour afin de répartir vos prises alimentaires et de réguler ainsi plus facilement votre taux de sucre dans le sang. N’hésitez pas à demander à votre médecin de vous conseiller une diététicienne. Elle vous aidera à trouver le régime alimentaire qui vous convient le mieux.
Quelle place pour l’activité physique adaptée dans la prise en charge du diabète de type 2 ?
L’activité physique adaptée (APA) fait partie des traitements non médicamenteux du diabète de type 2. En effet, la pratique régulière d’une activité physique contribue à une meilleure maîtrise de la glycémie, aide à contrôler son poids et réduit les facteurs de risque cardiovasculaire.
De nombreuses activités sportives peuvent être adaptées pour pouvoir être pratiquées par les personnes souffrant de diabète de type 2, même celles en surpoids voire obèses : par exemple, athlétisme, aviron, basket-ball, canoë-kayak, escrime, football, karaté, natation, taïchi chuan et qi gong, et tennis de table. Dans le cadre du diabète de type 2, le médecin traitant peut désormais prescrire de l’APA en précisant les objectifs recherchés (contrôle du poids, régulation de la glycémie, etc.) et les contre-indications propres au patient. Dans les clubs qui proposent ces disciplines, des éducateurs formés à la pratique du sport santé sont chargés de définir des protocoles de remise en forme et d’entraînement adaptés à chaque cas particulier. Les frais engagés, souvent modestes, sont parfois pris en charge par les assurances complémentaires (« mutuelles ») ou les mairies / départements.
Les patients qui ont recours à ces activités adaptées témoignent de bénéfices physiques (par exemple sur l’autonomie et l’endurance), mais également de bénéfices psychosociaux (lutte contre l’isolement, meilleure image de soi).